Kristos baise rapidement et ses doigts s'enfoncent dans mes fesses. Et, là... je sens venir un super orgasme...
— Aaaaaahhhh... je jou... ouiiiii...
Putain, c'est bon! C'est presque trop fort et trop bon. Il me fait jouir comme Vénus jouissait quand elle se faisait enfiler par Mars, le frère de son mari.
Kristos se retire. Oh! Je me sens toute vide! Je me redresse en chancelant un peu. Kristos me prend contre lui en disant :
— Alors, c'était bon ?
— Oui, merci, Monsieur.
Il me lâche. Je dis à Julien :
— Remets ma culotte, sinon le sperme va couler sur mes jambes. Il se met à genoux et m’obéit. Comme ça, il se rappelle bien sa place.
On rejoint les autres. Un garçon me demande :
— Il t'a montré la carte ?
Ça les fait rire. Je réponds :
— Oui, j'ai adoré ça.
On s'assied autour du feu avec les autres. Je me mets à côté de Kristos. Il me prend par la taille et m'embrasse. Il dit :
— Cette petite est forte pour lire les cartes.
Rires à nouveau. Julien est juste derrière moi. Il ne sait pas où se mettre, au propre comme au figuré. Je me tourne vers lui pour dire :
— Viens t'asseoir ici.
J'écarte les jambes et lui montre le sol entre elles. Il vient aussitôt s'asseoir à mes pieds. Je lui caresse les cheveux en disant :
— Tu as été sage, c'est bien.
Il est entre mes cuisses, tout près de ma culotte très humide du sperme d'un autre. J'adore l'idée. Kristos boit une rasade de bière à la bouteille, puis il me la tend. Je bois et je donne le fond à Julien. Quand il a bu, il tourne la tête pour embrasser ma cuisse, en disant :
— Merci, Samia.
Vous voyez comme il est sage ! Par contre, Kristos a les mains baladeuses.
Tard dans la nuit, on éteint le feu et tout le monde va se coucher. Kristos me dit :
— Je pars tôt demain, mais je laisserai un mot pour toi à la réception.
Il me prend contre lui et m'embrasse. Je gémis un peu :
— On se reverra, hein ?
— Dans une semaine.
— Sûr ?
Il me donne une claque sur les fesses en disant :
— Oui, je viens de te le dire.
Il rejoint les autres dans un coin du dortoir. Eh, il pourrait quand même dormir avec moi. Bah... je suis crevée. Julien et moi, on se couche sur nos paillasses et je m'endors très vite en serrant les cuisses pour garder son sperme en moi. C'est un réflexe de femelle.
***
Le lendemain, on se réveille tard. Je regarde le coin où Kristos a dormi avec ses amis, ils se sont déjà levés. Je vais quand même voir dans la cour. Ni lui ni ses amis ne sont là. Ils sont partis ! Merde ! Julien m’annonce :
— Samia, je crois que la gamine de l'auberge veut te dire quelque chose.
Ah oui, elle est à une fenêtre et me fait signe du doigt de venir. Plutôt désinvolte, la gamine. On va dans la pièce où elle se trouve. Elle me dit :
— C'est quoi ton nom ?
Elle le sait, puisqu'on a rempli des fiches, hier. Je réponds :
— Samia, mais...
Elle me tend un papier, je lis :
« Ma belle, je serai de retour dans une semaine, appelle Lucie pour dire où tu es. ??????? »
Il veut me revoir ! Je demande à la gamine :
— C'est toi Lucie ?
— Ouais, donne-moi le papier, je vais t'écrire le numéro de téléphone.
Elle écrit et je lui dis :
— Je t'appelle dès qu'on a trouvé un endroit pour dormir pour dire où on est.
— D'accord. C'est 10 F.
Normal... Elle me tient ! Je lui donne en disant :
— Merci d'avance, Lucie.
Je vous ai parlé des deux visages, non ? Kristos me plaît et si je dois me déculotter et payer pour que cette petite garce fasse le message, je le fais !
Julien prend nos sacs et on sort de l'auberge. On se dirige vers le Centre. Je n'ai pas pris de douche et j'ai toujours un peu de sperme de Kristos en moi...
On s'arrête dans un café et je commande un petit déjeuner : croissants et café, 50 F. L'argent file.
Ensuite on va jusqu'au panneau "Cap d’Agde" pour faire du stop.
Quelques belles voitures passent sans s'arrêter. Les riches ne prennent pas les auto-stoppeurs. C'est une vieille Peugeot qui nous prend. Le conducteur travaille au Village Naturiste. Il est sympa. On discute un peu du village. Il nous dit que ça donne du boulot à pas mal de gens du coin.
Un quart d'heure plus tard, on arrive dans le grand parking du village. Il y a un panneau avec les dessins d'un appareil photo et d'une caméra barrés en rouge. On doit payer 100 euros d'entrée. Ouch !
Le conducteur de la Peugeot a un abonnement. On entre dans le village et je lui demande :
— On peut se déshabiller ici ?
— Bien sûr.
J'enlève ma robe rouge, qui a besoin d'être lavée, et ma culotte que je ne laverai pas. Le chauffeur de la Peugeot me dit :
— Boudiou ! Que tu es belle.
Je l'embrasse sur la joue pour le remercier du compliment. Il en profite pour me donner une claque amicale sur les fesses. À tout hasard, je lui demande :
— Vous n'auriez pas une idée de ce qu'on pourrait trouver comme petits boulots ?
— Ici, dans le village naturiste?
— Oui.
— Gaulée comme tu es... ça ne doit pas être difficile.
Il remet la main sur mes fesses. Si ça l'aide à réfléchir, autant le laisser faire. Il me dit :
— Dans la grand-rue qui va vers les plages, il y a un glacier qui s'appelle Miliani. Tu demandes Monsieur Miliani. L'année passée, il a engagé ma petite nièce pour vendre des glaces e il a d'autres affaires, aussi.
— Merci, c'est très gentil.
Dernière claque sur les fesses. Je regarde Julien. Ce petit ahuri a gardé son slip. Je lui dis :
— À poil, petit.
Il l'enlève et on met nos vêtements dans un sac. Nous voilà nus comme Adam et Ève après qu'Ève a croqué la pomme, car on sait que c'est un péché et c'est ce qui me plaît.
Quand je me relis, je me dis qu'on pourrait penser que je parle de moi avec complaisance ou que je suis narcissique et... euh... c'est un peu vrai. J'ai conscience que je suis belle et séduisante... Je ne vais pas me décrire de nouveau en détail. À moins que vous n'insistiez. Oui ? Bon, d'accord ! J'ai une abondante chevelure brune ondulée que j'attache en une queue de cheval... sauvage. J'ai de grands yeux noirs, un petit nez, une bouche charnue naturellement... Dommage que je ne puisse pas me dédoubler et m'embrasser avec passion.
Je continue et j'aurais dû commencer par là : je mesure 1 m 70 et pèse 55 kg. Ma peau est ambrée, comme celle de mes ancêtres venant des Indes. J'ai la taille mince, des seins en poire bien ferme, des fesses bombées, des belles cuisses. Oh Samia, je t'aime ! Mais oui ma chérie, je t'aime aussi.
Pour le dire autrement : je plais et ma description flatteuse est très proche de la vérité.
Je vais aussi décrire Julien, mon esclave gadjo. Il mesure environ 1 m 70 et il est mince, mais avec un petit ventre mou : je l'ai déjà mis au régime ! Ses cheveux sont blond sale, comme on dit en anglais. Il est... banal, pas vraiment beau, pas vraiment laid. On est aussi bien assortis qu'une licorne et un mulet ou une sirène et un cabillaud.
On marche nus au milieu des gens nus. Ils ont l'habitude, mais je sens quand même les regards des hommes sur mes seins, mes fesses et surtout les poils de mon pubis. J'aime ça.
Je constate que beaucoup de femmes sont épilés, ou au moins "toilettées". Moi, j'ai une forêt vierge sur le pubis et entre les cuisses. Enfin, disons une forêt tropicale.
Tout d'abord, il faut trouver un job pour mon gadjo. On va chez le glacier. C'est un bel établissement, où deux serveuses nues servent des glaces à des clients nus, pour la plupart... C'est dingue ! Je demande Monsieur Miliani à une des serveuses. Elle m'indique une porte où il est écrit "Privé" en disant :
— Demandez à la secrétaire.
On y va. Dans le bureau, je dis à une femme habillée :
— Je voudrais voir Monsieur Miliani pour lui...
Elle me coupe, tout en regardant les poils de mon sexe d'un air dégoûté :
— Vous devez téléphoner pour prendre un rendez-vous. Monsieur Miliani est très occupé.
Elle est franchement pas sympa, mais j'essaie quand même de lui dire :
— C'est important.
Elle hausse les épaules et répond en articulant bien :
— Prenez rendez-vous. Maintenant, si vous voulez me laisser, j'ai du travail.
J'hésite entre lui balancer mon poing sur le nez ou renverser sa carafe d'eau sur le clavier de sa machine à écrire électrique. Une tête apparaît au-dessus d'une vitre opaque, séparant le bureau voisin de celui-ci. Un homme nous regarde et me sourit. Il tape sur le carreau, la secrétaire lève la tête et le regarde. Il lui fait signe. Elle me regarde en disant :
— Partez maintenant, je dois aller dans l'autre bureau.
— Je crois que votre patron a envie de nous voir.
Oh qu'elle n'aime pas! Elle se lève et va dans le bureau voisin. Deux minutes, plus tard, elle revient et on dirait qu'elle vient de mordre dans un citron pas mûr! Elle nous annonce :
— Monsieur Miliani va vous recevoir.
Nous entrons dans le bureau. Monsieur Miliani est un gros type au crâne rasé, moustache, polo couleur lavande. Il sent le parfum Infinity et ses mains sont soignées... donc, il est... gay ! Cool, je ne devrai pas le sucer pour avoir le job, par contre c'est peut-être Julien qui devra s'y coller ! Il nous dit :
— Que puis-je pour vous ?
Il regarde avec gourmandise le tout petit "service-trois pièces" de Julien. Il est gay !
Il se lève et tourne autour de nous, C'est surprenant.
A suivre.
"Samia, fille du voyage" est publié. Infos : mia.michael@hotmail.fr
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Je réponds aussitôt :
— D'accord.
Eh! C'est beaucoup 400 F. En Roumanie, sur les parkings de l'autoroute Soarelui, c'est beaucoup moins cher, enfin, à ce qu'on m'a dit. Et puis, si on peut faire plaisir surtout à des prêtres... Je me mets à genoux entre les jambes du Père et il rabat sa soutane sur moi. Heureusement que je n'ai pas peur du noir, enfin pas trop, et heureusement que le père n'est pas trop fâché avec le savon.
Il est plutôt bien monté, pour un prêtre... Mais, après tout, les curés sont des hommes! Je caresse un moment son sexe avant de dégager le gland. Je le lèche un peu puis ma bouche va et vient sur son sexe. Tout ça dans le noir, heureusement que j'ai une certaine pratique. On doit apercevoir de drôles de mouvements sous la soutane. Bon, je ne vais pas y passer des heures, je suis dans le noir et ça manque d'air. J'accélère les mouvements, tout en emprisonnant ses couilles dans une main. Je tiens un prêtre par les couilles... Il remue un peu et je sens qu'il va tout lâcher. Juste avant, je me recule et je vise le sol... Hélas, pour lui c'est le bas de sa soutane qui prend tout ! Il n'y a rien sur ma robe, c'est le principal.
Je sors de sous sa soutane et je respire une grande bouffée d'air frais, puis je replonge sous la soutane du père Lucas. Ouch! Il est moins net. Je mets vite son sexe dans ma bouche, une partie de l'odeur disparaît. Je le suce tout aussi soigneusement que son collègue. Il est plus jeune et plus sensible aussi, rapidement, je décore le bas de sa soutane, aussi. Voilà, voilà...
Le père me tend l'argent. Je lui dis assez bas pour ne pas réveiller les gens devant nous:
— Merci mon père. Ça ne vous dérange que mon frère me fasse un petit câlin?
Je vois presque leurs yeux briller dans le noir. Ils ne seraient pas un peu vicieux, ces deux-là? Oui, moi aussi, d'accord. Je dis à Julien:
— Viens m'embrasser, petit frère
Il obéit tout de suite... Je m'installe bien: à moitié couchée sur le père Martin, je mets une jambe sur les cuisses du père Lucas. J'imagine ma chatte offerte à la langue de mon frère. Il me lèche, bien. Je sais qu'il est accro à mon odeur, à mon goût et à ma façon de le traiter. C'est quand même un peu périlleux de faire ça au milieu de tous ces gens qui dorment ou somnolent...
Je prends les mains des deux prêtres et je les pose sur mes seins.
Je suis sans doute la seule fille au monde à se faire lécher la chatte, pendant que deux prêtres lui caressent les nichons... J'aime cette idée. Je pousse un peu sur la tête de Julien en murmurant:
— Suce mon clito...
Là, je sens que mon vagin se serre, il se prépare quelque chose....
Oh oui, oui... ouiiiii, je jouis.... Quel bel orgasme, presque unique au monde. Je repousse Julien... J'ai dû gémir un peu fort, car plusieurs personnes se retournent. Le Père Martin leur dit:
— Elle a fait un mauvais rêve.
Le reste du voyage se passe bien. Quelques retraités doivent se douter de quelque chose et j'ai droit à des sourires... complices.
On arrive à Marseille, le car s'arrête dans un parking, près de la friche La Belle de Mai, un joli nom pour une ancienne manufacture transformée en lieu culturel. On dit au revoir à tout le monde, les prêtres m'embrassent, l'un me caresse la chatte, l'autre les fesses, pas trop discrètement. Ils nous donnent leurs adresses dans les Ardennes.
Nous voilà à Marseille... Mon but, c'est les Saintes Maries. On marche un bon moment, Julien geint un peu. Je lui demande s'il veut une bonne raison de pleurnicher.Non, il s'arrête de geindre.
On arrive à une entrée de l'A 7. Je fais du stop et rapidement, une voiture nous prend. Le conducteur est un représentant sympa. Il nous dépose à la sortie qui nous permet d'aller vers la N 113. On est pris par un couple du coin. Julien est surpris de la facilité avec laquelle les gens nous embarquent. J'inspire confiance! Les gens sont gentils, enfin, avec les gens jeunes et beaux, les autres peuvent attendre. Je crois que je donne trop de détails, accélérons un peu.
On arrive aux Saintes Maries et on va directement à l'église. Je mets un foulard sur mes cheveux. Sara était la servante noire de Marie Salomé et Marie Jacobé. Moi aussi, je me sens comme une étrangère, dès qu'on sait que je suis une Rom.
Je reste un moment pour la remercier et discuter avec elle. Elle me remonte un peu les bretelles, mais dans l'ensemble, elle m'a à la bonne, à voir son air impassible.
On sort de l'église. C'était la partie religieuse de mes vacances. Enfin, je veux dire la visite à Sainte Sara. Les prêtres qui m'ont "forcée" à faire des choses pas convenables. Je préfère le dire comme ça, tant qu'on est si près de l'église. Maintenant, la partie sexy des vacances: le Cap d'Agde. J'ai envie d'être nue et que tout le monde me regarde... D'accord, il y aura peut-être quelques gays qui regarderont Julien et sa petite quéquette.
On reprend l'A113. Deux voitures et un camion plus tard, on se retrouve à Agde. Le couple qui nous a pris nous dit qu'on est à 15' du village naturiste.
C'est la fin d'après-midi, on doit trouver où se loger à Agde... Je veux dépenser le moins possible. On va dans le centre et je repère des jeunes qui font la route. Je le sais parce qu'ils ont des sacs à dos, ils sont sales et ils boivent de la bière! Je vais leur parler:
— Dites, les gars, on est fauchés. Vous ne savez pas où on peut dormir?
Le grand à qui je me suis adressée, parce qu'il a l'air cool et un peu pété, répond:
— Tout est hors de prix ici, ma belle. Mais je peux te donne une adresse.
— Oh oui, volontiers!
Il sort un bout de papier et me griffonne un truc. Je le remercie. Il me demande:
— T'as pas envie de continuer la route vers Carcassonne?
— C'est gentil, mais on doit rejoindre des amis au Cap.
On part dans la direction qu'il nous indique. Nous marchons pendant un bon quart d'heure. Julien est derrière moi avec nos sacs.
On finit par arriver à la sortie de la ville, presque dans la campagne, devant un grand bâtiment qui doit être une ancienne ferme. Sur la façade, quelqu'un a écrit sur une planche "Auberge de Jeunesse" et en dessous "Pris résonables" (les fautes ne sont pas de moi). Vous avez déjà été dans ce genre d'endroit? Non, je ne crois pas. C'est sommaire. La catégorie en dessous, c'est dormir sur un sac en plastique dans un taillis.
Nous entrons et je demande des renseignements à une gamine assez jolie vêtue d'une robe pas très propre et d'une casquette des « Yankees de New York ». Elle nous dit:
— C'est 50 F par personne. Il y a une douche et des draps propres pour 2 F. Vous voulez voir?
En la suivant, on arrive dans une très grande pièce. Il y a des rangées de petits matelas alignés à 50 cm les uns des autres. Je ne sais pas si je l'ai dit, mais je suis une Rom et j'ai connu pire. Par contre, Julien est très surpris. Je l'élève à la dure! J’annonce à la gamine:
— On prend 2 lits.
— Ça fera 100 F. Il y a un distributeur pour les draps en papier. Avant 22 h, vous pouvez acheter des boissons et des sandwichs "faits maison". À 22 h, vous n'avez plus accès qu'à la chambre et au jardin. Il y a un gardien à partir de cette heure-là. Vous pouvez vous adresser à lui, s'il y a une vraie urgence.
Je la paie et elle me donne un papier avec les numéros de nos lits. J'achète 4 sandwichs et 4 bouteilles de bière. On va dans le jardin, qui est en fait la cour de la ferme. À côté, il y a une "casse" où se trouvent des carcasses de voiture. Un groupe s'est installé autour d'un petit feu.
Je dis « bonjour » à ceux qui lèvent la tête à notre arrivée. Un garçon nous dit:
— Venez avec nous. On fait cuire des marshmallows comme aux USA.
Marrant! J'ai jamais mangé de la guimauve grillée. On va s'asseoir avec eux. Nous mangeons nos sandwichs et de la guimauve. Il y a un joint qui tourne, je prends une taffe, Julien me dit:
— S'il te plaît... Samia.
Les autres sont un peu surpris. Je lui réponds:
— Exceptionnellement.
— Oui, merci Samia.
Les jeunes sont sympas. On partage nos 4 bières et on boit aussi du rosé. Beaucoup d'entre eux continuent la route vers l'Espagne. Je leur dis la vérité... ou presque: on est en vacances, mais mon mari — oui, ça surprend — s'est fait voler presque tout notre argent, le con! On va aller au village naturiste où une fille qui a un tour de poitrine de 90 B naturel, comme moi, doit forcément trouver un petit boulot. Un jeune gars, cheveux noirs bouclés, visage d'ange déchu, me dit:
— Ils sont vrais tes nichons?
— Cent pour cent bio.
— Montre.
— Demande à mon mari s'il est d'accord.
Le jeune regarde Julien en disant:
— Ta femme peut montrer ses seins?
Réponse embrouillée de Julien:
— Euh... comme on va au... Cap d'Agde et que...
Je baisse les bretelles de ma robe pour leur montrer mes nichons. Je tourne un peu pour qu'ils les voient bien. J'ai droit à quelques coups de sifflet admiratifs et à des compliments.
Le jeune homme se met aussitôt à me caresser les seins. Je me défends en riant, puis je remonte ma robe en disant:
— Devant mon mari! T'es pas gêné, toi!
Manifestement, il se fiche de mon mari. Montrer ses seins, c'est fou ce que ça aide à briser la glace. Une autre fille montre les siens en disant:
— Moi aussi, ils sont vrais!
C'est vrai et ils sont presque aussi beaux que les miens. On nous offre des bières, on rigole. Il y un mec qui a une guitare et qui joue. Une fille se met à chanter pas mal du tout. La nuit tombe et l'éclairage de l'auberge se limite à quelques ampoules nues.
Le jeune qui m'a caressé les seins s'appelle Kristos et il est grec. Il est beau, aussi. Il me dit:
— Il y a un plan d'Agde et du Cap près du bureau. Tu veux que je te montre les endroits où tu peux trouver un job?
— Oui, volontiers.
Je me lève, Julien aussi. Kristos me dit à l'oreille:
— Ton mari, c'est obligatoire qu'il nous suive?
— Il fera le guet, si tu veux encore jouer avec mes nichons.
Grand sourire carnassier de l'ange grec. On va dans le couloir, mais on reste juste derrière la porte. Je dis à Julien:
— Tu surveilles!
— Oui, Samia.
Ça m'excite de flirter juste à côté de lui. Kristos descend son pantalon sur ses chevilles et un sexe plus de 20 cm se dresse vers moi. Il a beaucoup de poils très noirs qui montent vers son nombril. Il me dit:
— À genoux et commence par me lécher les couilles!
Les gens peuvent avoir deux visages, non? Je veux un mari qui fait tout ce que je veux... mais, j'aime me faire baiser par un Homme avec un grand H qui me traite comme une femelle avec un petit f!
Je me mets à genoux sur le carrelage et en prenant ses fesses en main, je couvre ses couilles de baisers. J'ai le nez dans ses poils et il sent l'homme... viril, un peu trop, mais mon petit f aime ça ! Je lèche même ses couilles et j'ai le goût salé de sa sueur en bouche. Après quelques minutes il me dit :
— Maintenant suce-moi.
Je tire sur la peau de son sexe et dégage le gland. L'odeur virile devient très marine. Je le prends en bouche et ma tête va et vient sur son sexe. Je ne le suce pas très longtemps. Dès que son gland est propre, il retire son sexe de ma bouche et me dit :
— Présente tes fesses.
Je me lève et je retire ma culotte que je donne à Julien - vous voyez bien qu'il sert à quelque chose. Ensuite, je remonte ma jupe jusqu'à la taille et je me mets à quatre pattes. Kristos me dit :
— Demande.
— Baisez-moi.
Il me donne une bonne claque sur les fesses.
— Aiiieeeee !
— Demande mieux que ça et remue ton cul.
Tout en roulant un peu des hanches, je dis :
— Baisez-moi, Monsieur, s'il vous plait.
— Aiiieee... aaahhh.... oooohhh...
Il m'a pénétrée jusqu'à ce que ses couilles viennent claquer sur le haut de mes cuisses. Ensuite, il me baise à grands coups de reins. C'est bon, je gémis de plus en plus fort, ce qui me vaut une nouvelle claque tandis qu'il grogne.
— En silence !
Il ajoute pour Julien:
— Embrasse ta femme pendant que je la baise.
Il ne serait pas un peu vicieux le Grec ? Julien vient se mettre à genoux devant moi. Je l'embrasse, pour la première fois en fait - je vous rappelle qu'on n'est que fiancés.
A suivre.
Si vous voulez me joindre, ce qui me ferait plaisir, je suis ici : mia.michael@hotmail.ftr
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Samia.
*****
La bonne me dit:
— Merci et bon voyage, Mademoiselle.
Entendons-nous, je n'ai pas fait ça par intérêt pour la bonniche, mais pour tester mon pouvoir sur Julien. On redescend. Son père nous attend. Qu'est-ce qu'il a décidé, le gros? Il donne des billets à Julien en disant:
— Voilà ta semaine.
Sa semaine? Il n'a plus 12 ans, quand même! Enfin si, par certains côtés. Julien me donne aussitôt l'argent. Bien... Je dis au père:
— Au revoir, Monsieur. On sera là dans un mois, pour les préparatifs du mariage.
Je dis à Julien:
— Va dire au revoir à ta mère.
— Oui, Samia.
Quand il est sorti, le père me pose la question:
— Tu ne demandes pas d'argent?
— Non, je veux un mari soumis, pas de l'argent. Vous me ferez un cadeau quand je le ramènerai "clean".
— Clean, ça veut dire?
— Désintoxiqué.
Le père me prend par la taille et me colle à lui en disant:
— Tu me plais, toi. Je suis sûre que tu es vénale, mais qui ne l'est pas... Si tu réussis, je te proposerai un job dans mon usine.
— Un job intéressant?
— Je crois...
Et là, il m'embrasse sur la bouche. Je me laisse faire un court moment, puis je me dégage doucement en disant:
— Beau-papa, nous ne sommes pas seuls.
La petite bonne nous regarde en souriant, mais ça ne le dérange pas. Il me donne une claque sur les fesses en disant:
— Tu me plais de plus en plus.
Dès qu'on est sorti de la villa, je récupère mon sac dans la jeep et je laisse les clés sur le contact. On prend la petite route qui va vers la ville. Bien sûr, je me dis: « Mais qu'est-ce que tu fous? » N'importe quoi! Bah, on verra bien... Je ne veux pas trop réfléchir, j'agis à l'instinct, je réfléchirai plus tard.
J'entends une voiture arriver et je fais un signe de la main accompagné d'un grand sourire. Le conducteur s'arrête. Je lui dis:
— On va vers l'autoroute, ce serait très gentil si vous pouviez nous déposer dans la direction.
Il est d'accord, on monte dans la voiture. L'homme habite dans la région, ce n'est pas un Parisien en week-end. Il a une quarantaine d'années et il est plutôt sympa.
Je m'assieds à côté de lui et on parle. Non, le jeune homme n'est pas mon petit ami, c'est mon demi-frère. C'est un tout petit peu plus crédible que mon frère, étant donné que j'ai des cheveux presque noirs et la peau ambrée, je suis la nuit, tandis que Julien est blond et pâle comme... la lune. Je remonte un peu ma robe rouge et la main du chauffeur s'égare sur mes cuisses. Je lui dis:
— Vous pourriez peut-être nous déposer au péage de l'autoroute, M'sieur...
— C'est que...
Je prends sa main et la remonte jusqu'aux poils de ma chatte. Il me jette un rapide coup d'œil et dit:
— D'accord...
Je le laisse un peu jouer avec ma chatte, ça ne mange pas de pain. Au contraire, ça fait plaisir à tous les trois: ma chatte, lui et moi. Pourquoi dépenser de l'argent pour un taxi alors qu'on peut demander à des gens de vous déposer.
Mon chauffeur peloteur nous amène au péage. Je lui donne un baiser et on sort de sa voiture. En descendant, je me trousse pour lui montrer mes fesses. Le pelotage, c'est le prix de la course, la vue de mes fesses c'est le pourboire!
Je laisse passer quelques voitures immatriculées dans la région. En voyant arriver un petit autocar, je m'avance avec mon plus beau sourire. Merde! Il ne s'arrête pas. Ah, si. Il s'arrête un peu plus loin. Je crie à Julien:
— On court.
J'arrive à la portière du conducteur. Il baisse sa vitre et je lui dis:
— Mon frère et moi, on va vers le Sud...
— Montez. Les prêtres veulent bien vous prendre.
Les prêtres?? Je fais le tour et on monte. Les passagers sont tous des gens d'un certain âge. Ils nous sourient, moi aussi. Dans le fond du bus, il y a deux prêtres... en soutane! Je leur dis:
— Bonjour. Merci beaucoup de nous prendre.
Un des prêtres est un gros homme chauve, ou alors on lui a raté la tonsure. Il a le nez assez rouge. J'ai l'impression qu'il doit abuser du vin de messe. À côté de lui, je découvre un prêtre beaucoup plus jeune. Le gros ecclésiastique nous dit:
— Soyez les bienvenus, mes enfants... Ne soyez pas surpris de nous voir en soutane, nous sommes des intégristes et nous allons à un congrès à Marseille.
— Oh, c'est une chance mon Père, nous allons aussi à Marseille.
— Dieu nous a mis sur votre chemin, ma fille. Je me présente: père Martin, curé de Varennes-en-Argonne et voici le Père Lucas, curé de Stenay.
Je réponds bien poliment:
— Enchantée. Moi, je m'appelle Samia et mon demi-frère, Julien.
J'ajoute un peu plus bas:
— Il est un peu demeuré.
Vu la tête d'ahuri qu'il fait pour le moment, c'est très crédible.
À l'arrière, il n'y a qu'eux deux et un homme âgé dormant appuyé contre la fenêtre. Le père Martin est sympa. Il nous explique la raison de son intégrisme. Franchement, ça me saoule, mais je fais semblant d'être passionnée. Ils emmènent des retraités catholiques de la région des Ardennes passer quelques jours dans une maison mise à leur disposition par Monseigneur l'Évêque.
De mon côté, je lui raconte un peu n'importe quoi. On était en vacances chez des cousins au Crotoy, mais mon frère rêve de voir la Méditerranée. De mon côté, j'ai eu une pneumonie et j'ai beaucoup prié Sainte Sara pour guérir, alors je voudrais aller aux Saintes-Maries-de-la-Mer pour la remercier. Belle petite histoire, non? En plus, c'est vrai, je veux remercier Sainte Sara, mais de m'avoir dégotté Julien. Il me demande:
— Tu es une gitane?
— À moitié mon père, ma mère est une Rom.
— Ce n'est pas un peu dangereux de faire du stop quand on est une fille aussi belle que toi et qu'on a une robe aussi courte?
— Je prie tous les jours le Seigneur pour qu'il nous protège... Nous ne sommes pas riches, on ne peut pas se payer le voyage en train.
Le père Lucas intervient dans la conversation:
— J'espère que vous restez sérieuse, mon enfant.
En disant ça, il a tout à coup un petit air lubrique qui me semble de très bon augure. Je réponds:
— Parfois oui, parfois non, mon Père. Je dois parfois faire certaines choses pour avoir de l'argent, afin d’acheter des médicaments pour mon frère épileptique. Comme on dit: " nécessité ne connaît pas de loi "
Je pousse un peu pour avoir les larmes aux yeux, mais en réalité, j'ai plutôt envie de rire. Heureusement, Julien a pris une mine de circonstance.
Le père Martin soupire, puis me répond:
— Comme vous avez raison, ma fille... On est parfois obligé de faire certaines choses. Si je vous disais...
Là, il baisse la voix:
— Si je vous disais que le père Lucas et moi-même commettons parfois le péché de chair, mais nous nous confessons... l'un, l'autre.
Ben voyons... Je sens qu'on va s'entendre comme larrons en foire, les pères et moi. On discute encore un peu. Il me dit qu'on va voyager toute la nuit et qu'on sera à Marseille demain, en fin de matinée. Ils ne vont pas à l'hôtel, car ils n'ont pas un gros budget pour emmener les pensionnés en vacances.
Je remarque la montre du Père. Je lui demande:
— Oh! vous avez une Rolex, mon Père?
— Oui... euh... un cadeau d'un de mes paroissiens, certainement une fausse.
Je prends son poignet et je regarde attentivement sa montre en disant:
— Non, non, c'est une vraie Rolex.
— Vous croyez? Comment voyez-vous cela?
— Parce que l'aiguille des secondes est fluide, elle semble flotter sans à coup. Les aiguilles des secondes des fausses ont un mouvement saccadé.
Ils sont impressionnés par mon explication. Il faut dire que j'ai déjà eu quelques Rolex dans les mains, quand... euh... passons.
On s'arrête à une station d'essence pour faire pipi et manger. Le père nous conseille un sandwich. Julien a vraiment l'air à côté de ses pompes. Il faut dire que je le désintoxique à la dure: pas de joints, pas de coke et même pas d'alcool... C’est moi, sa drogue!
On choisit des sandwichs et des bières. Dès qu'il a vidé sa bouteille, Julien me demande:
— Je peux avoir une bière de la région? S'il te plaît, Samia. Je... ça me fait du bien, juste une s'il te plaît.
J'adore quand il me supplie comme ça. Je le laisse un peu attendre. Si on était seul, je le ferais ramper et lécher les semelles de mes chaussures. Je finis par lui répondre:
— C'est trop cher.
Le père Lucas lui donne une pièce en disant:
— Tiens, va chercher ta bière.
Julien prend la pièce en remerciant, mais il me regarde... je vais dire, peureusement. Genre: « Je peux? » Je lui fais un petit signe de tête et il bredouille:
— Merci Samia.
Il va acheter ce qu'il y a de plus fort comme bière de la région. J'adore le contrôler. Le père Martin me fait remarquer:
— Tu es sévère avec lui.
Aah, on se tutoie? Je réponds:
— Il a tendance à trop boire et il n'a pas fini sa croissance (surtout du côté de sa bite!). Je fais ça pour son bien.
On parle encore un peu... de moi. Ils me font des compliments, je suis si belle, et puis mes yeux noirs et puis mes... Comme ils louchent dans mon décolleté, je propose:
— Mes nichons?
Ils pouffent comme des collégiens.
— Oui... Vous êtes une très belle jeune femme.
Le conducteur vient nous dire qu'on doit repartir. On remonte dans le car et on va s'asseoir à l'arrière. Il y a un retraité, le Père Lucas, moi, le Père Martin et Julien. La nuit tombe et dans la pénombre, la main du père Martin s'égare sur mes cuisses. Je le laisse faire. C'est un prêtre, après tout. Il fait de plus en plus sombre dans l'autocar. Tout le monde dort ou somnole ou fait semblant. Le père met ma main sur la bosse qui déforme sa soutane et me dit à l'oreille:
— Ma chère enfant, jouons cartes sur table. J'ai envie de toi et tu n'es manifestement pas une oie blanche. Quatre cents francs pour une pipe au père Lucas et à moi.
À suivre.
Si vous voulez des renseignements sur mes livres, des photos et des dessins, écrivez-moi mia.michael@hotmail.fr
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Déjà lorsque j'avais 5 ans et que nous habitions près de Bucarest, je me disais, "Un jour, j'épouserai un homme riche." A l'époque, je rêvais au Prince Charmant. Un prince Charmant qui habiterait un château et pas une caravane comme nous.
C'est vers mes dix ans que mon père a décidé de partir pour la France, suite à quelques problèmes avec les autorités. De toutes façons on ne restait jamais longtemps au même endroit, nous sommes "Les gens du voyage".
J'étais contente de pouvoir aller à l'école, même si je changeais d'école au gré des destinations des foires que nous suivions. Tout le monde aura compris que je suis une Rom. On nous appelle aussi Tzigane, Manouche, Gitans, Romanichels dans les meilleurs des cas. Mais, aussi "voleurs de poules." Ce sont les citoyens 100 % honnêtes qui nous appellent comme ça...
Adolescente, je voulais toujours épouser un homme riche et voyager autrement qu'en caravane. Dans une des écoles que j'ai fréquentée, il y avait un garçon qui fait tout ce que je voulais et j'avais déjà beaucoup d'imagination à l'époque. Pour moi, le mari idéal était comme ça. Je choisissais d'abord un petit ami pour me défendre : dur d'être Rom dans la campagne française. Le genre de garçon dur à cuire me plaisait. Mais je recherchais aussi un petit esclave, un garçon amoureux de moi qui faisait mes devoirs, portait mon cartable, se faisait punir à ma place en échange de quelques rares baisers
Le fait d'être Rom est un handicap, bien sûr. Quels sont les parents qui accepteraient que leur fils épouse une voleuse de poules ? Par contre, je suis séduisante. Notre peuple est originaire des Indes et je ressemble un peu à une Indienne : j'ai des cheveux et des yeux très noirs et ma peau est légèrement ambré. Je plais aux hommes et aux femmes. Des amants décidés, j'en trouve, par contre des futurs maris à qui je pourrais mettre un collier et une laisse, c'est rare !
Début juillet, nos étions dans un village près de Marseille et je suis allé en stop aux Saintes Maries de la mer. J'ai demandé à notre patronne Sara la Noire, de m'aider à trouver un mari. J'y crois. Et j'ai raison d'y croire, parce que trois semaines plus tard dans le Nord, un jeune homme avec une montre Cartier semblait fasciné par moi. Genre, je suis une vipère à cornes et lui une gerbille. Au moment où il a renversé sa bière et où je l'ai obligé à nettoyer, j'ai sût qu'il ferait le mari idéal. Merci, Sainte Sara.
Il faisait exactement tout ce que je lui disait... C'est grisant, je mouillais de le voir obéir. On a été danser et j'ai flirté devant lui avec un homme comme je les aime, c'est à dire, un homme viril.
Sara me guide, comme Dieu l'a aidée à traverser la Méditerranée avec les deux Marie. Oui, je connais bien son histoire.
Cet après midi, je rencontre sa mère. D'après ce qu'il m'a dit, elle n'est pas commode. Je lui ai demandé de me donner ses clefs de voiture et son portefeuille. Il se trouve aussi démuni qu'un nouveau-né et sa maman c'est moi. Je le contrôle complètement, j'adore !
Ce midi, on s'est fait invité à manger par la famille. Je mets dans un sac quelques affaires et puis en route.
Il m'indique le chemin, jusqu'à une superbe villa dans une propriété au Touquet. On entre et on se dirige vers la piscine, une grande piscine. Il y a un couple, sûrement ses parents, je ne savais pas qu'il y aurait son père aussi. Julien non plus, car il murmure :
— Merde, mon père est là.
Sa mère est une blonde d'une quarantaine d'années, c'est une belle femme bien en chair. Comme elle n'est vêtue que d'une culotte de maillot, je constate que sa poitrine accuse un petit coup de fatigue.
Le père est un peu plus âgé, il est aussi en maillot. Il est gros et velu.
Je me dis qu'est ce que j'ai à perdre ? Rien ! Au pire, je largue leur rejeton et je retourne au camp. Je me présente :
— Samia, ravie de vous connaître
Eux ne se présentent pas et le père attaque tout de suite :
— Alors tu t'appelles Samia et tu as envie de passer des vacances avec notre fils ?
— Oui, Monsieur, mais d'abord...
Je me tourne vers Julien et lui dis :
— On doit parler entre grandes personnes. Va prendre une douche et prépare quelques affaires. Ensuite attend dans ta chambre, je viendrai te chercher.
— Oui Samia.
Ils sont sciés, les parents ! Yeux ronds, bouches ouvertes. Comme Julien se lève et s'en va aussitôt. La mère me dit :
— Il t'obéit aussi facilement ?
— Oui.
— Et s'il ne l'avait pas fait ?
— Je l'aurais pris en travers de mes cuisses et je lui aurais donné une bonne fessée. C'est la seule façon de faire obéir les enfants, non ?
Là, ça passe ou sa casse. Ça passe : ils éclatent de rire. Le père dit :
— J'adore cette fille. Tu vois Cynthia c'est ce qu'on aurait du faire depuis longtemps.
— C'est vrai.
Le père redevient sérieux, il me dit :
— Pourquoi, veux-tu passer tes vacances avec lui ?
— J'ai envie d'un homme obéissant et attentionné.
— Tu l'aimes ?
— Je l'aimes bien
— Alors c'est par intérêt ?
— Oui, bien sûr, mais pas que ça (Sainte Sara, ne m'abandonne pas)!. Je vous explique, vers 8 ans j'ai eu un petit copain qui faisait tout ce que je voulais : j'ai adoré ça. Je me suis dis "plus tard j'aurai un mari riche, qui fera tout ce que je veux." Quand votre fils a semblé subjugué par moi, je me suis dit "c'est lui que je cherche."
La mère répond :
— Tu sais qu'il est dépressif, paresseux comme une couleuvre. De plus, il boit beaucoup trop d'alcool et prend de la coke régulièrement.
— Je le changerai.
— Tu es bien sûre de toi.
— Oui.
Le père me dit :
— Tu as couché avec lui
— Plus ou moins, il m'a léchée.
Ils se regardent en souriant. La mère me dit :
— Et il te satisfait ?
— Avec sa langue, oui. Rien ne m'empêche de prendre un amant viril si j'ai envie de sentir une vraie queue en moi (Sainte Sara !!)
Ils restent un moment muets, puis, ils se remettent à rire tous les deux. Je mouille ! Le père me dit :
— Qu'est ce que tu veux et qu'est ce que tu proposes ?
— Je veux qu'on se marie et j'en ferai un mari obéissant, sobre et travailleur.
Ils sont un peu sur le cul, les grands bourgeois. Le père me dit :
— Si tu arrives à le changer, d'accord pour le mariage.
— Je dois encore vous dire que je suis une Rom et que mes papiers ne sont pas en règle.
Ils se regardent à nouveau. La mère me dit :
— Laisse-nous parler entre nous.
— D'accord ça ne vous dérange pas que je nage un peu ?
— Vas y.
J'enlève ma robe et je plonge dans la piscine. Mmmmhh, le froid me fait du bien... Je fais quelques longueurs puis je sors de la piscine en me hissant sur le bord opposé à eux. Matez mon cul, les gadjé !
Le père me dit :
— Reviens.
Quand je suis prés d'eux, mouillée et nue, il me dit :
— Si tu le guéris de ces addictions, d'accord pour le mariage dans un mois. Tu vois ça comment ces vacances ?
— On part à l'aventure en stop vers le Midi.
— Vous n'irez pas loin avec ce qu'il a. Tu veux de l'argent, sans doute.
— Non, merci, on va se débrouiller.
Là, ils sont encore une fois surpris.
Ils ont vraiment envie que je dresse leurs fils, mais ils sont méfiants. Le vent m'a séchée, je remets ma robe. Je leur plais ? Physiquement, oui, sans doute, pour le reste... à moi de jouer finement.
Le père me dit :
— Laisse-nous 5 minutes en parler entre nous.
— Oui, bien sûr. Je vais chercher Julien.
J'entre dans la maison en passant par la porte fenêtre du living et je vois la bonne en uniforme qui fait semblant de ramasser quelque chose. Elle écoutait la conversation, bien sûr. Je lui dis :
— Bonjour, il est comment Julien avec toi ?
Elle lève les yeux au ciel.
Ok j'ai compris. J'ajoute :
— Je vais le dresser ! Montre moi sa chambre.
Grand sourire de la petite bonne qui me dit :
— J'en serais ravie. Suivez-moi.
On va au premier étage où se trouve la chambre de Julien. Il est là avec des paquets de vêtements et deux grandes valises à moitié remplie. Il est malade. Je dis à la petite bonne qui est resté sur le pas de la porte :
— Tu pourrais aller me chercher un petit sac de voyage ?
— Oui, Mademoiselle, tout de suite.
Cool d'avoir une bonne, j'en aurai une aussi... bientôt. Julien crève d'envie de me demander comment ça s'est passé avec ses parents, mais il ne le fait pas. je lui dis :
— Tu mets un jean, un tee shirt et des baskets ou des chaussures de sport. pas de caleçon. Allez !
La bonne est revenue avec un petit sac de voyage. Elle le regarde se déshabiller en souriant. Elle me dit :
— Je peux vous aider Mademoiselle ?
— Oui, apporte sa brosse à dents et du dentifrice..
Elle va dans la salle de bain attenante et revient avec ce que je lui ai demandé. Dans le sac, je mets un tee shirt, deux pulls et une veste en cuir. Voilà, je veux qu'on voyage "léger" en tout cas lui. Maintenant une petit peu de dressage ! Je dis à Julien :
— D'après ce que tu me dis, tu n'as pas toujours été très gentil avec la bonne, hein ?
— C'est... vrai, mais...
— Excuse-toi avant de partir !
Il reste là tout con ! Je hausse le ton :
— Obéis !
— Je... je vous prie de m'excuser, Mademoiselle.
A suivre.
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3 - Une nuit chez les Roms.
Julien.
*******
Pour sortir de la boîte, Samia me tient fermement par le bras. J'avoue que je ne marche plus très droit.
C'est à nouveau elle qui roule. Elle a bu beaucoup moins que moi et elle a l'air de très bien tenir l'alcool. Malgré mon état, je pense à cette demi-journée avec elle et à ses paradoxes. Mes parents sont très autoritaires et je déteste ça. Alors, pourquoi obéir à Samia ? Je suis peut-être tombé amoureux d'elle en un temps record ? Ou alors, c'est qu'avec elle, je cesse d'avoir des idées noires, des angoisses ?
Demain, je compte quand même lui dire clairement les choses. J'aimerais une aventure avec elle, à condition de cesser de me traiter comme elle le fait...
Arrivés devant le terrain vague, elle me demande :
— Julien, c'est comment pour enclencher le 4 X 4 ?
— Je... ne sais pas.
Elle soupire, puis brutalise le changement de vitesse et elle trouve. On prend un chemin défoncé. Ce n'est pas évident, même en 4 X 4, mais elle conduit bien. Elle colle la voiture contre sa caravane, puis me dit :
— Si tu dois pisser, c'est dehors. Si tu dois chier, attends demain, je te montrerai les chiottes du camp.
Dès qu'on est entré, elle enlève sa robe. Je la regarde : qu'est-ce qu'elle est belle ! Ses seins bougent, tandis qu'elle débarrasse le lit de tout ce qu'il y a dessus. Elle fait un gros tas de tas de vêtements sales à côté du lit en disant :
— Tu dors là!
Elle se couche et éteint la seule lampe qui était allumée. Bon... Demain, je lui dirai qu'elle doit me traiter autrement. Je me couche sur ses vêtements... Je ne suis pas attiré par les odeurs, mais avec Samia, c'est à nouveau différent et je m'endors avec un de ses tee-shirts comme doudou.
***
Je suis réveillé par un coup de pied dans les fesses, c’est Samia, qui me dit :
— Debout !
Ouch ! J'ai la gueule de bois. Je la vois prendre dans le tas de vêtements sales un short en jean et un tee shirt. Elle les enfile me disant :
— Dépêche-toi !
J'enfile les vêtements que j'avais hier, ce n'est vraiment pas dans mes habitudes, mais comme on dit "À Rome, fais comme les Romains". Ici, ce serait "Chez les Roms, fais comme les Roms."
Dans un coin du camp, il y a une toilette comme celles qu'on installe sur les chantiers. Samia entre et ne ferme pas la porte. C'est dingue de faire ça, pratiquement en public. À la fin, elle s'essuie avec un morceau de journal en me disant :
— À toi ! Et pas des heures, hein ?
Moi, je ferme la porte et heureusement, ça va vite. Dès que je sors, elle m’annonce :
— On va déjeuner.
On ne se lave pas les mains ? Il semble que non.
Il y a une dizaine de caravanes dans ce terrain. Des gens ont installé des tables et des chaises à l'extérieur, pour déjeuner.
Elle va vers un petit groupe de gens qui mangent et embrasse tout le monde. Une femme bien en chair lui demande :
— Tu déjeunes avec nous ?
— Je ne veux pas déranger Luludja, surtout avec un gadjo.
— Pas de problème. Il s'appelle comment ?
Elle me regarde, je réponds :
— Julien, Madame. Merci de m'inviter.
— J'espère que tu aimes le hérisson. On en a trouvé un beau hier sur la Nationale.
— Euh....
Ils se mettent tous à rire. La femme me dit :
— Je te charrie.
Ouf, le hérisson écrasé, ça ne me dit rien. Je les regarde. Difficile de voir que ce sont des Roms. Un des enfants est même blond. Et, ils mangent comme nous : du pain et de la confiture. Ils boivent du café. Je dis à Samia :
— Je devrais téléphoner chez moi, sinon ils vont s'inquiéter.
— Il y a une cabine pas loin.
On déjeune... Ensuite, je remercie Luludja et sa tribu. On retourne vers la caravane de Samia. Elle me dit :
— Je vais te donner une idée de la vie avec moi, si on se marie (!!!). Le moins, puis le plus.
Je la regarde avec un air ahuri, sans doute, puisqu'elle m'explique lentement comme on le ferait à un enfant pas très malin :
— Tu devras obéir mais tu seras récompensé. D'accord ?
— Oui Samia....
Quand on est dans la caravane, elle me dit :
— Pour commencer, trie le linge sale, un tas avec les culottes, un tas avec les tee-shirts, le blanc d'un côté, couleur de l'autre. Et puis tu ranges, c'est un peu le bordel.
Pourquoi un peu ? J'ai jamais vu un bordel pareil! Elle va s'installer dehors au soleil avec un magazine et elle discute avec différentes personnes qui passent devant la caravane.
Trier ses vêtements sales, c'est troublant : j'imagine les strings entre ses fesses et contre sa chatte. Les tee-shirts sont aussi imprégnés de son odeur. Quand j'ai fini de trier les vêtements, je trouve un rouleau de sacs poubelles. J'en remplis deux avec des canettes et des boîtes de conserve vides, une autre avec divers détritus.
Je n'ai jamais fait ça. On a des servantes pour faire le ménage. Samia doit être une sorcière ou une magicienne, elle m'a ensorcelé. Je ne peux pas m'éloigner d'elle, quitte à faire son ménage.
Est-ce que le Dieu des bonnes me fait payer mon attitude avec Lucy ?
Je frotte aussi toutes les surfaces... Je transpire et j'ai envie de prendre une douche... Je refais son lit du mieux que je peux. Je sors de la caravane pour lui annoncer :
— J'ai rangé, Samia.
Elle entre dans la caravane et jette un rapide coup d'œil. Elle ne commente pas, se contentant de dire :
— Déshabille-toi et couche-toi sur le lit.
Elle se déshabille aussi et elle vient s'asseoir sur moi. Plus exactement, elle s'assied sur mon visage.
J'ai sa chatte sur ma bouche et mon nez entre ses fesses ou pour appeler un chat un chat, le nez presque dans son cul. C'est... euh... un truc de dingue. Et plus dingue encore, je trouve qu'elle sent bon. Elle a une odeur chaude et corsée, comme sucrée. Elle m’ordonne :
— Lèche.
Je commence à la lécher tandis que son odeur m'envahit. Je n'aime pas, c'est trop fort et en même temps son odeur et son goût m'affolent. Elle se penche et commence à "jouer" avec mon sexe. Je n'ai jamais été aussi excité de ma vie, c'est de la folie!
Elle me... masturbe avec deux doigts, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps... Quand je suis sur le point de jouir, elle s'arrête. Elle va continuer ce petit jeu un moment... Pendant ce temps, je lèche sa chatte et je respire une odeur telle que Marc Antoine devait s'en mettre plein le nez au cul de Cléopâtre.... Ou Charles VI, au cul d'Agnès Sorel, la dame de Beauté. Ces pensées étranges me viennent tandis que je suis sous ses fesses, toujours à un doigt de jouir. Elle se fait aller et venir sur mon visage, mon nez vient même faire une incursion dans son vagin. Elle accélère le mouvement, je suis devenu son sex-toy. Bientôt, elle jouit sur mon visage.
Je bouge un peu la tête pour lui demander :
— S'il vous plaît...
— Quoi ?
— J'ai envie... de jouir.
— Allez bon, je t'ai dit que tu verrais le bon côté...
Oh ! Elle prend mon sexe en bouche ! Sa bouche est douce, chaude et humide, c'est merveilleux comme sensation... Elle me suce très lentement, mais impossible de me retenir. Je vais jouir dans sa bouche ?? Oh oui... Oooohh c'est bon... Elle avale tout. Elle avale même mon âme, mon cœur, mon cerveau... en même temps que mon sperme.
Elle se relève et me dit :
— A ton tour d'avaler.
Elle se met au dessus de moi en écartant bien son sexe avec ses doigts.
Et... oh ! Elle pisse. J'avale le liquide chaud... Heureusement, elle ne fait qu'un petit peu. Elle me dit :
— Voilà, j'ai marqué mon territoire, les autres femelles sauront que tu es à moi.
Elle va sous la douche, rapidement... et s'essuie encore plus vite. Ensuite, elle met sa robe rouge, un string et des espadrilles compensées noires, c'est tout.
Je me rends compte que ça fait 25 h que je ne déprime plus. Samia est le meilleur antidépresseur qui soit. Elle m’annonce :
— On va téléphoner à ta mère et ensuite on se fera inviter à bouffer.
On sort du camp pour aller dans une cabine. Elle entre avec moi. On est collé l'un à l'autre, qu'est-ce qu'elle me plaît !
J'appelle et j'ai ma mère en ligne. Bien sûr, elle m'engueule... Elle crie si fort que Samia entend tout. Elle me dit :
— Passe-moi ton téléphone et sors de la cabine.
Incapable de résister à Samia, je lui donne et je vais attendre dehors. Une discussion entre ma mère et une Rom, ça va être spécial ! Quand elle a fini, elle sort de la cabine et me demande :
— Tu veux partir en vacances avec moi ?
— Oui...
— Tu sais que tu devras m'obéir.
— Oui, je sais.
— Bon, c'est arrangé. On va chercher des vêtements cet après-midi et je discuterai avec ta mère.
On retourne dans le camp. Il y a des odeurs de barbecue... On se dirige vers une autre caravane. Il y a pas mal de monde autour d'une table, une jeune fille cuit de la viande sur un gril posé sur des pierres. Samia embrasse tout le monde. Je reconnais le gros type, patron de la buvette où j'étais hier. Je dis bonjour. Ils me regardent intrigués, pas vraiment chaleureux. Samia demande au gros type :
— Je vais voir les parents du gadjo cette après-midi, tu peux me remplacer ?
— Oui, bien sûr.
— Merci... bon, on va aller manger.
Une femme plus âgée lui propose :
— Tu veux manger avec nous, ma belle ?
— Volontiers, merci beaucoup.
On nous fait une place. C'est bon ce qu'on mange, j'espère juste que ce n'est pas du hérisson. Je bois du rosé, je regarde Samia... Je suis bien.
A suivre.
Pour tous renseignements, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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On sort du petit établissement. La fille me dit :
— On va d'abord passer chez moi, je dois me changer.
Oui, ça vaut mieux. Je n'y avais pas pensé, mais les mini shorts en jean, c'est pas le genre des restaurants étoilés. Je ne marche pas très droit, il vaut mieux qu'elle conduise.
Je me rends compte que depuis que je l'ai vue dans ce café, je n'ai plus eu d'idées noires.
On monte en voiture. Elle conduit facilement cette voiture qui doit avoir 20 ans et pas de servo-direction. On s'arrête juste en dehors de la ville, devant un terrain où il y a quelques caravanes. Elle habite là-dedans ? Elle fait signe à un gamin qui rapplique aussitôt. Elle lui dit quelques mots dans une langue qui m'est inconnue. Il répond :
— Oui, sois tranquille, Samia.
Quelle drôle de prénom et quelle drôle de langue. On va vers la caravane. Je bute sur une pierre et manque m'étaler. Elle me rattrape in extremis en disant :
— Tu en tiens une solide, toi et ce n'est que la fin de l'après-midi.
— Euh... oui, j'ai un peu trop... bu... Vous parlez en... quelle langue ?
— C'est du rom, du tzigane.
Oh ! Pas étonnant que je ne comprenne rien. On entre dans la caravane. Le mobilier est sommaire : un lit, une table et des chaises. Par contre, il y a des vêtements en boule et de la vaisselle sale un peu partout. Dans un coin, il y a même un tas de canettes vides. Elle ne s'excuse pas du désordre. Ce qu'on pense de ses qualités de ménagères, manifestement, elle s'en fout. Elle se déshabille. C'est vite fait : un short, un chemiser et c'est tout, même pas de sous-vêtements. Elle ne s'exhibe pas, mais se met simplement nue, sans aucune gêne. J'admire ses seins en poire aux pointes foncées et la fourrure noire qui couvre son pubis. Elle me dit :
— Déshabille-toi.
Oh ! Je ne pensais pas que c'était une pute ! Mais ici, tout est possible et elle me plaît vraiment beaucoup, mais... je n'ai pas envie de... me mettre nu. Elle vient vers moi et me dit :
— Je vais te simplifier la vie. Quand je te dis de faire quelque chose, tu le fais sans discuter. Compris ?
Elle me parle comme je parle à Lucie. Plutôt que répondre, je me déshabille, mais en gardant mon caleçon. Avant que je puisse réagir, elle prend mon slip à deux mains par la ceinture et le descend sur mes chevilles.
Elle s'exclame :
— Oh ! Comme c'est mignon ! Il ressemble comme 2 gouttes d'eau à celui de mon neveu qui a 10 ans.
Elle prend mon sexe dans la main et elle le caresse en ajoutant :
— On peut te branler avec deux doigts... Et ces couilles, on dirait des toutes petites cerises.
Il arrive des choses vraiment surprenantes à Berck. L'alcool et elle, je n'ai plus les idées claires du tout et je la laisse me masturber. Qu'est-ce que je pourrais faire d'autre ?
Je devrais partir ou avoir honte... ou la laisser faire ce qu'elle veut. Elle sent la gitane qui a eu chaud et continue de me manipuler habilement. Je sens que je vais bientôt jouir dans sa main... J'ai honte mais en même temps, j'en ai très envie. Hélas, elle s'arrête en disant :
— Maintenant une bonne douche, ça va te dessouler.
Merde ! J'y étais presque. Je m'entends dire d'une vois geignarde :
— J'y étais presque ! Vous voulez bien....
— Non !
Elle me pousse dans un placard. Ah non, c'est la douche. Elle tourne un robinet et une pluie d'eau froide s'abat sur moi. Je crie :
— C'est trop froid !
— C'est ce qu'il te faut.
J'essaie de sortir, mais elle me maintient sous les jets d'une poigne de fer. Enfin, elle me laisse sortir et regarde mon sexe en riant.
— Maintenant, c'est mon neveu quand il avait 8 ans !
Le froid, c'est normal que... Elle m'essuie comme si j'avais vraiment 8 ans. Quand c'est fait, elle me dit :
— Rhabille-toi, on part.
— On ne pourrait pas...
— Quoi ?
— Continuer un peu... euh...
— On verra. Peut-être, si tu es sage. Maintenant, on part.
Je déteste quand ma mère ou les autres me traitent de cette façon, mais elle, c'est différent. Je me rhabille et on monte en voiture. Je suis un peu plus lucide et je me dis que je suis dingue de laisser cette fille conduire la voiture. Si ça se trouve, elle va s'arrêter sur une route déserte, m'enfoncer un couteau dans le ventre et voler mon argent et la voiture. Mais où va-t-elle ? Je lui fais remarquer :
— Ce n'est pas la route du Touquet.
— Non, on va ailleurs.
Par une route déserte ? On dirait qu'elle lit dans mes pensées, parce quelle ajoute :
— Panique pas. C'est quoi ton nom ?
— Ju... Julien. Où va-t-on ?
— Surprise.
On roule encore un peu et on arrive devant une discothèque bling-bling : "The Paradise Beach." Il y a des néons de toutes les couleurs et le dessin d'une pin up qui boit dans un verre avec une paille. Elle se gare et me dit :
— Donne-moi ton portefeuille.
Elle est folle?!! Ou alors c'est moi qui suis fou, parce que je lui donne. Elle le prend en disant :
— Voilà, tu dépends entièrement de moi, maintenant. Ça ta plaît ?
— Euh... c’est vous qui me plaisez
On entre dans la boîte. C'est plein de jeunes du coin, surtout de Berck, sans doute. Inutile de dire que c'est spécial. Elle va embrasser la barmaid et lui donne son sac, avec mes clefs et mon portefeuille. On trouve une petite table au bord de la piste de danse et on s'assied. Un serveur vient apporter une bouteille de champagne. C'est peut-être une entraîneuse et le champagne va me coûter un bras. Je lui dis :
— J'ai faim.
— On verra plus tard. Je vais danser, toi tu ne quittes pas la table. Ne te ressers pas avant que je sois revenue.
C'est maintenant qu'elle va aller récupérer son sac et partir avec la voiture. Pour donner le change, elle va d'abord sur la piste de danse. Les filles sont plutôt jolies et sexy mais pas très distinguées. Quant aux hommes, ils ont presque tous des tatouages et des dessins dans les cheveux ! Samia danse bien, je ne vois qu'elle, si belle dans sa robe rouge. Les garçons lui tournent autour mais elle ne s'occupe pas d'eux.
La piste est très éclairée, ce qui est inhabituel dans ce genre d'établissement. Comme je suis au plus près de la piste de danse, je regarde le sol et... Oh ! Les gens dansent sur un miroir ! Le sol est un miroir. Comme la plupart des filles ont des jupes très courtes, on voit leurs strings ou même leurs chattes et leurs fesses, en ce qui concerne quelques-unes. Quel spectacle?! Je suis fasciné par ces strings qui disparaissent entre les fesses. Savia a un string rouge doublé de fourrure noire ou alors ce sont ses poils! J'en oublie que je vais me faire dépouiller. J'adore cet endroit, j'adore Berck-sur-Mer... et aussi Samia, si elle revient.
Oui ! Après avoir dansé un moment, Samia rejoint notre petite table. Elle me dit :
— Sers-moi une coupe de champagne.
Elle ajoute :
— Alors, tu aimes le spectacle ?
— Oui, surtout vous.
Elle a des auréoles de sueur sous les bras et une odeur sauvage. Elle devrait quand même mettre du déodorant. Elle me dit :
— Je retourne danser...
Il y a un slow et je la vois danser avec un grand mec... J'aimerais être à sa place. Quand elle revient, le type l'accompagne. Elle me le présente :
— C'est Ralph.
Puis à lui :
— Voici Julien, mon futur fiancé, mais il ne le sait pas encore.
On se serre la main. Je suis surpris. Lui, aussi. Futurs fiancés, mais on ne se connaît que depuis quelques heures. Comme il n'y a que deux chaises, il s'assied et prend Samia sur ses genoux en me demandant :
— Ça ne te dérange pas que je prenne ta promise sur mes genoux ?
— Euh... non.
Il met la main sur les fesses de Savia, en me disant :
— Rarement vu un aussi beau cul, tu as de la chance.
Bêtement, je réponds :
— Merci.
Samia me dit :
— Sers-nous.
Je remplis son verre et puis le mien pour "Ralph" ! Ils boivent et retournent danser. Je regarde les petites chattes en string se trémousser sur la piste de danse... Je n'ai plus les idées claires du tout étant donné tout ce que j'ai bu aujourd'hui et je suis perdu par rapport à Samia. Pourquoi dit-elle qu'on est fiancés??
Elle vient danser un moment juste devant moi et elle se contorsionne de telle façon que sa chatte me fait presque la moue... Ensuite, je ne les vois plus. Je bois et je regarde. Elle revient, seule. Je remarque sa robe un peu chiffonnée et un gros suçon dans le cou. On dirait que ma fiancée n'est pas une fille sérieuse. Je lui demande :
— Pourquoi, avez-vous dit que j'étais... euh...
— Je dois me marier pour régulariser ma situation. Ça te plairait ?
— Qu'on se marie ?
— Oui.
Elle est folle ! On se connaît depuis quelques heures et j'ai vraiment l'impression qu'elle vient de se faire baiser dans les chiottes. Mais... depuis que je suis avec elle, je n'ai plus aucune de ces angoisses et...
— Alors ?
— Oui, ça me plairait.
Elle me sourit et plonge sa main dans mon pantalon... Oh?!!! Elle a pris mon sexe en main en disant :
— Tu as été sage, ça mérite une récompense pendant que tu te rinces l'œil.
Elle me caresse jusqu'à ce que je sois sur le point de jouir et là, elle s'arrête à nouveau et retire sa main. Ça fait deux fois qu'elle me laisse sur ma faim. Je lui dis d'une petite voix.
— Pourquoi vous... arrêtez ?
— Tu as été sage, mais pas assez que pour que je te permette de jouir. J'ai fait le tour de ce qu'il y avait ici, on rentre.
C'est vrai que la vie est simple comme ça. Elle ajoute :
— Tu veux passer la nuit chez moi?
— Oh, oui !
À suivre.
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Première Partie.
*******************
Julien.
********
Ma mère a les moyens de passer les vacances, n'importe où dans le monde et tous les ans on se retrouve au Touquet. Bonjour, la destination exotique.
J'aurais vraiment voulu me changer les idées, aux Maldives, par exemple, parce que je traverse une sale période. A 18 ans, je viens de rater ma dernière année au lycée et mes parents ont décidé que je n'étais pas assez intelligent et surtout trop paresseux pour faire des études universitaires. En septembre, je vais donc travailler dans l'usine de mon père. Je crains qu'il ne se venge de mes mauvais résultats en me donnant un travail pas marrant. Ce n'est pas que je sois vraiment paresseux, mais je manque... d'endurance, disons.
Un jour, je serai le PDG de la société avec ma soeur, qui, elle, poursuit des études de droit international, rien que ça !.
J'ai 18 ans, mais j'ai l'air plus jeune. Ma mère dit que je n'ai pas fini ma croissance. Je dois toujours avoir une pièce d'identité sur moi pour prouver mon âge. Un de mes complexes, c'est mon sexe : il mesure 10 cm en érection, ça ne facilite pas mes relations avec les filles. On va dire que de ce côté-là, je n'ai pas fini ma croissance, non plus. Pour tout dire, je suis puceau.
Mon allure juvénile et la taille de mon sexe ne renforcent pas ma confiance en moi. J'ai souvent des angoisses, des peurs irraisonnées... et des moments de dépression. Ma mère m'a déjà inscrit à plusieurs activités sportives, mais... je préfère jouer sur le Net.
Ces vacances me filent le cafard... Il faut dire que je ne suis pas en bonne compagnie. Je suis avec ma mère qui est une femme autoritaire et qui me traite comme si j'avais 8 ans. Son nouvel amant est là aussi. C'est un macho qui me traite de la même manière et m'appelle "petit" ou "petit feignant". Connard !
On est au bord de la piscine. Il y a ma mère, 42 ans, jolie et bien en chair. Elle est vêtue d'un string en tout et pour tout ! A côté d'elle, son amant, le connard ! Il doit mesurer 1 m 85 et peser 90 kg. Il y a aussi un couple d'amis, elle, seins nus. Je ne suis au bord de la piscine que parce que ma mère veut me dicter une liste de courses à faire. Elle a décidé que ça me ferait au moins une activité dans la journée. J'attends qu'elle se décide à me dire ce qu'il faut acheter.
Lucie, la servante originaire de la région vient m'apporter un Ricard. Elle me demande :
— Je le mets où, Monsieur ?
Elle m'énerve ! J'ai envie de lui répondre "dans ton cul !", mais je lui dis :
— Vous prenez une petite table et vous déposer le plateau dessus. Ça va, vous comprenez tous les mots ?
— Oui, Monsieur.
Ça fait rire ma mère. C'est vrai que les gens du coin sont des abrutis. J'ai d'autres raisons d'en vouloir à Lucie : je l'ai vue se laisser peloter complaisamment par mon père quand il vient le week end. Elle me traite, elle aussi, comme un enfant et... oui, un jour elle m'a surpris occupé à me caresser devant "YouPorn" et elle m'a dit en riant :
— Vous savez que ça rend sourd, Monsieur Julien.
Je n'ai pas apprécié ! On la paie pour nettoyer pas pour faire de l'humour. Ma mère tourne ses gros seins vers moi en disant :
— C'est le dernier Ricard, Julien ! C'est mauvais pour ta croissance.
Connasse ! Je l'emmerde ! J'en ai marre de ma mère, de ses amis, de Lucie, du Touquet ! J'en ai marre d'avoir sous les yeux les seins luisants d'huile solaire de ma mère !
Pour une fois, j'ai envie de bouger de voir d'autres gens. J'ai vu un documentaire sur Berck sur Mer, plage très populaire, surtout en été. Je dis à ma mère :
— Je vais faire les courses et puis je voudrais rejoindre un ami du collège qui est à Berck sur Mer.
— C'est archi-moche !
Berck sur Mer est à un peu plus de 20 km, mais on change de monde. Berck c'est le bas peuple. Je réponds :
— Cet ami va me montrer la plage où il y a des phoques, je voudrais faire des photos. Je peux prendre la Mercedes ?
— Sûrement pas. Prend la Land Rover.
— Mais elle n'a pas de servo-direction.
Son amant me dit :
— Comme ça vous serez deux à ne pas avoir de cerveau !
Ils se marrent ! Connards !! Quand elle a fini de rire, ma mère me dicte les courses à faire... C'est long.
Je lui dis :
— J'y vais et puis, je peux aller à Berck ?
C'est son amant qui répond :
— Oui, tu peux. J'en profiterai pour faire un câlin à ta mère.
Ça la fait glousser. Ecoeurant !
Je rejoins Lucie à la cuisine et on part faire les courses. Je lui en veux et je lui et je lui fais bien sentir. En rentrant, elle finit par me dire ::
— Vous n'êtes vraiment pas sympa avec moi, Monsieur Julien ?
— Tu refuses de prendre un verre avec moi.
— J'ai 25 ans Monsieur Julien et vous êtes encore un enfant..
Grrrr ! Je la dépose avec les courses devant la villa, qu'elle fasse un peu d'exercice.. Ensuite, je file à Berck.
J'en ai marre du Touquet. De ma mère, de son amant qui m'humilie, de Lucie qui me repousse... Ça fait beaucoup !
A Berck, je vais à la plage.
Je me balade, sur le bord de sable dur léché par les vagues et je regarde la faune. Tous les adultes sont tatoués ou presque. Il y a moins de belles filles que sur la plage du Touquet. C'est normal : les riches épousent de plus belles femmes.
Je voudrais parler avec ces gens, mais je n'ose pas et j'ose encore moins draguer les filles. Ça me change quand même très agréablement des snobinards du Touquet. C'est vraiment dépaysant!
Rapidement, j'ai envie de boire quelque chose. Je me dirige vers la rue principale et je passe à côté d'une foire, un peu minable, bien sûr. Il y a un manège avec des chevaux, quelques attractions, une friture et un débit de boisson. Ce qui me pousse à y entrer, c'est une publicité pour une bière de l'Abbaye de Brognies, 10,5 ° d'alcool. La faune qui s'abreuvent est encore moins classe que les gens sur la plage. Je prends mon courage à deux mains et j'entre. Il y a beaucoup de monde et plus une place de libre. Je vais me mettre debout au bar et je demande une bière d'Abbaye à un gros type patibulaire en maillot de corps pas très propre.
Les gens me regarde : je fais tache. Je suis bien habillé et pas tatoué. Je bois une bière, puis une autre. Une jeune fille arrive derrière le bar et embrasse le gros type sur la bouche. Si c'est son amie, ils ont 25 ans de différence, si c'est sa fille, ils sont très intimes. Elle doit avoir une vingtaine d'années et elle est plutôt grande, très brune et très sexy. Elle a un short en jean qui arrive juste au dessus des fossettes de ses fesses et un chemisier sans manches noués au dessus du nombril. Son abondante chevelure brune est retenue vers l'arrière par un gros élastique en une queue de cheval laissant échapper des mèches. Elle n'a pas de maquillage sauf les yeux qui sont soulignés de noir. Son visage est régulier et elle a petit nez. Sa bouche est mince, mais bien dessinée.
Il y a déjà une serveuse, donc, la fille derrière le bar doit être l'amie du gros type. C'est d'autant plus évident que je vois qu'il lui caresse les fesses.
Je suis fascinée par cette fille et par sa beauté sauvage. Elle aide mollement la serveuse en apportant des verres. Elle remarque que je la regarde... intensément, car elle me dit :
— J'ai du noir sur le nez ?
— ... euh... pardon... Je vous regarde parce que vous êtes très belle.
— Bonne réponse. Ne reste pas debout, assied toi, là.
Elle me désigne une place qui vient de libérer à une table où il y a déjà 3 mecs... pas sympas. Je réponds :
— Je ne veux pas déranger.
Elle me prend par la main et elle m'amène vers la chaise libre en disant :
— Faut pas être timide. Ils ne vont pas te manger. Hein, les gars ?
Les gars rigolent tandis que je rougis. J'offre une tournée aux trois hommes pour me faire bien voir et je continue à la bière forte.
C'est la fin de l'après midi et l'alcool commence à me faire vraiment de l'effet. Je discute avec les gars. Ils viennent de Lille, moi aussi et ils travaillent en usine, moi aussi, mais je ne crois pas qu'on fasse le même boulot !
C'est surprenant, mais je me sens bien, ici. Je commande encore une tournée. La belle brune apporte 3 verres et me dit :
— Pas pour toi, tu as assez bu.
— ... juste un dernier verre.
— Non.
— Mais, j'ai soif.
— Bois de l'eau.
Eh ! Je suis un client quand même ! Dès qu'elle a le dos tourné, un de mes nouveaux amis me dit :
— Bois un coup du mien.
C'est gentil. Je veux prendre son verre, mais je fais un faux mouvement et je le renverse sur la table. Mes voisins se reculent pour ne pas en avoir sur leur pantalon. La fille qui a vu la scène me dit sèchement :
— Qu'est ce que j'avais dit ?
Je réponds bêtement :
— Mais, je l'ai pas fait exprès.
— Manquerait plus que ça !
Elle me tends une serviette en disant :
— Nettoie !
Je frotte la table, sous les regards goguenards de mes voisins. Elle revient et me donne un torchon en disant :
— Par terre, aussi.
Là les gens rient carrément, surtout quand du bout du pied elle me montre un endroit mouillé. Je nettoie, puis je vais vers le bar pour rapporter le torchon. Elle le prend et me dit :
— Tu veux payer ?
Sans réfléchir, je réponds :
— Je tiens à m'ex... m'excuser. Est ce que je peux vous inviter au restaurant ? Au Touquet il y a un très bon restaurant.
Elle n'a pas l'air surprise par ma proposition. Elle répond :
— Tu as quoi comme voiture ?
— Une Land Rover.
— D'accord, mais, c'est moi qui conduit. Donne moi tes clefs.
Je les lui donne. Je paye et elle va parler au patron, je vois qu'il me regarde. Elle met ses bras autour de son cou et se colle à lui. Il commence par refuser, je pense, mais elle lui murmure des choses à l'oreille. Il finit par soupirer et lever les yeux au ciel. Je suppose que ça veut dire qu'il accepte.
A suivre.
Dessin de Bruce Morgan
Si vous voulez me contacter, je suis ici : mia.michael@hotmail.fr
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La semaine passée j'avais rendez-vous chez mon gynéco pour une visite de routine...
Je vais chez lui...pfff..... depuis des années...
C'est comme un grand père pour moi...le genre à me donner un bonbon si je ne dois pas lui avouer trop de bêtises.
Quand c'est mon tour, l'infirmière me fait entrer dans le cabinet et là, au lieu d'un bon-papa, il y a un homme, genre Georges Clooney...mais plus jeune et sans Nespresso à la main.
Il m'explique que mon docteur est à un congrès, qu'il le remplace...et que tout va bien se passer... « Déshabillez-vous... » me dit-il d'une belle voix grave, qui fait courir des frissons le long de mon échine.
Euh...se retrouver toute nue devant homme qu'on voit pour la 1ère fois, c'est comment dire...excitant... J'avais même tout à coup un petit chat...dans la gorge...Il commence par une palpation mammaire – yes !!! - ...Mon Dieu, comme ses mains sont douces et comme ils les examinent bien...j'avais l'impression d'entendre mes nichons ronronner de plaisir et les bouts devenaient tellement durs que j'aurais pu rayer du verre...
Il palpe mes aisselles aussi...commence à faire chaud ici !!
Puis, il me dit de me coucher sur la table d'auscultation, les pieds dans les étriers...
En écartant les jambes, je me rends compte que je suis toute mouillée...je les referme,
un peu gênée...mais lui m'écarte doucement mais fermement les jambes en me disant : « Ne soyez pas timide », moi ! timide !!! ...Il a de ces mots !
Il commence à m'examiner, se rends compte de mon trouble et me dit : « Vous êtes très très sensible....bon je ne peux pas vous laisser comme ça... ». « Oh non docteur, me laissez, pas comme ça! » je miaule...
Ah on peut dire que toutes ces années d'études c'est utile, c'est un pro de la chatte !!
J'essaye que ça dure un peu en pensant à l'hiver, aux impôts, à Rihanna...NON !!! pas Rihanna...trop tard.... elle m'a accompagnée (en pensée, hélas) jusqu'au 7eme ciel...
J'aime bien la façon d'ausculter de ce nouveau docteur, je le lui dit...On s'embrasse, quand je me suis mise debout, en même temps il me palpe les fesses...
J'ai pas du payer. Il m'a dit que je devais revenir pour un examen plus ...approfondi.
J'ai justement une sensation de chaleur, je crois que ce serait prudent de prendre rendez-vous chez mon (nouveau) gynéco :o)
***
Je m'appelle Mia Michael et j'écris des livres très excitants, si, si. Tapez mon nom sur google et vous verrez.
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Tournée générale!
Les Françaises savent qu'elles n'ont pas le choix : il faut obéir.
Elles se mettent toutes les trois dans la même position, mains sur la nuque et cambrées...
"Tournez", dit Souad.
On voit trois fois la lune : une pleine lune et deux lunes... minces, aux hanches étroites...
"À genoux!"
Elles obéissent immédiatement...
Souad appelle le Noir costaud — son nom est Thioro — pour lui annoncer : "Tu vas t'occuper d'elles. S’il faut les punir, que ça ne laisse pas de marques sur le corps."
Elle réfléchit... "Frappe sur la plante des pieds... ou utilise des piments de Cayenne!"
Grand sourire du Noir.
Elle s'adresse aux trois Françaises, "Ce nègre est à présent votre maître. C'est comme aux Antilles, sauf que c'est exactement l'inverse. Vous avez compris?"
Elles répondent un petit "Oui."
On dit "Oui, Maîtresse,
"Oui, Maîtresse."
Les servantes et Thioro, le nouveau seigneur et maître des Françaises, nous préparent en fin d'après-midi.
D'abord, on se lave soigneusement avec de l'eau du puit.
Les servantes prennent un air dégoûté devant notre pilosité. "On dirait des chèvres" dit l'une d'elles.
Il faut reconnaître que la mère et même les deux jumelles ont des toisons abondantes!
Le pubis de la mère est couvert de poils qui débordent sur les cuisses et même vers le nombril.
Bon, ce sont des aristocrates, pas des catins!
Une des servantes fait chauffer de la cire.
Quand c'est prêt, elles commencent par moi.
Je dois me coucher sur le dos, les jambes écartées, et elles versent la cire chaude sur mon sexe. Je pousse un petit cri et puis un cri strident quand la cire a refroidi et qu'elles l'arrachent d'un coup sec!
Ensuite, elle verse un peu de cire entre mes fesses, là ça fait moins mal. Elles terminent avec une sorte de mousse et un rasoir.
Ce n'est pas le fouet, bien sûr, mais ça fait mal... et en même temps, me faire tripoter de cette façon, ça m'excite involontairement. Elles s'en aperçoivent, bien sûr, et s'amusent de me voir aussi émue. Une des filles me pince le clitoris. Ouch! Je me tortille en gémissant... Thioro dit "Elle a le feu au cul, la Princesse!!"
Ensuite on passe aux aisselles, heureusement! Je veux dire, c'est gênant d'être aussi excitée! Elles m'épilent les jambes et les bras. Deux fins poils blonds sur l'aréole du sein gauche ne leur échappent pas! Elles les enlèvent avec une pince à épiler.
On passe à la mère. Elle a une chatte vraiment touffue!! Les filles lui mettent beaucoup de cire et quand elle est refroidie, elles tirent à deux d'un coup sec!!
La "patiente" pousse un tel cri qu'une de ses filles s'enfuit! C'est vraiment stupide de faire ça.
Sans se presser, Thioro va chercher un chien dans un grand enclos. Il lui dit "Attrape, Perro!"
Je connais cette race. C'est un lévrier irlandais, comme moi. Je veux dire, Irlandais comme moi. On en avait au château. Ce sont des grands animaux très costauds.
La fille a eu une crise de panique. Elle ne pouvait espérer s'enfuir. Pour aller où d'ailleurs?
En quelques bonds, le chien l'a rejointe. Il se met devant ses jambes, elle trébuche et tombe sur un genou.
Le chien aboie juste une fois, ça suffit. Elle revient, le chien derrière elle.
Je fais bêtement remarquer: "Elle a paniqué."
Une des servantes me répond "De quoi tu te mêles?"
"Pardon, Maîtresse." C'est vrai de quoi je me mêle???
La fille revient terrorisée. Elle se trouve entre un chien de 50 kg et des filles qui arrachent les toisons.
"On enlève ses poils et puis on lui fait goûter au piment !" dit Thioro à une des filles.
"Bien, Maître."
Elle verse de la cire et arrache les poils. Elle crie, mais bon, ça n’a rien d’insupportable. C'est maintenant qu'elle va regretter sa fuite!
La fille va chercher une sauce épaisse et rouge à base de piment.
Sa mère et sa sœur regardent la scène, impuissantes.
Thioro prend la fille et la couche sur le dos, sur la table. Elle pousse des cris, supplie... Il lui relève les jambes, exposant complètement son sexe nu.
La servante met de la sauce rouge sur son doigt, puis l'enfonce complètement dans l'anus de la fille. Ensuite, elle enfonce son doigt dans son vagin, puis le fait aller et venir en tournant. Un peu comme ferait le sexe d'un homme, sauf que ça ne va pas être les mêmes sensations!
D'abord, il ne se passe rien, à part que la fille gémit... Et puis ça commence à chauffer et à brûler, de plus en plus fort! La fille crie "Oh mon Dieu, ça brûle!!"
On la remet sur ses pieds, Thioro lui annonce: "La prochaine fois, c'est le fouet!!"
La fille se tortille en criant de plus en plus fort!
Thioro lui montre le plat de sauce en la menaçant: "Tu te tais ou je te fais manger ce qui reste."
Ça marche! Elle se contente de tortiller son cul en silence!
Quelle idée de s'enfuir... et quelle idée de m'en mêler!
Une des servantes dit à Thioro: "La Princesse a fait une réflexion qui ne m'a pas plu, tout à l'heure."
"C'est vrai?" me demande-t-il.
"Pardon Maître, j'ai parlé sans réfléchir."
Après m’être mise à genoux devant lui, j’enlace ses jambes, la joue sur la bosse que fait son sexe dans ses chausses.
Mais soumission ne suffit même pas!
Il enfonce son doigt dans la sauce rouge et me le tend. Je le suce.
Bien fais Mina, t'as qu'à pas être si conne!!
Il n'a heureusement trempé que le bout de son index dans la sauce, je n'ai qu'un petit brasier dans la bouche.
Je souffre en silence, essayant de saliver le plus possible et d'avaler cette horrible mixture.
Mes grimaces les font rire.
"Tu as compris la leçon?" me demande Thioro.
"Oh Oui, Maître!"
Maintenant, on ressemble à des gamines prépubères. Enfin, à cet endroit-là.
Le piment, le fouet, le chien... tout cela est suffisamment dissuasif pour qu’il n'y ait plus d'incidents!
Ensuite on est lavées, coiffées... On a même droit à un peu de parfum.
On s'habille, enfin, on ne met pas de vêtements, mais des sous-vêtements, des chemises toutes fines et transparentes... C'est joli mais très indécent.
Les filles qui s'occupent de nous se préparent aussi. Elles portent des tenues plus longues, quoique tout aussi transparentes.
En début de soirée, on va allumer les torches pour éclairer l'extérieur de la taverne.
Les clients arrivent. Ils sont accueillis par Souad.
Un groupe d'hommes arrive. Elle leur fait presque une révérence et les installe à la meilleure table. Ils sont le centre d'attention...
Il y a homme grand et barbu. Il a le teint mat, mais des yeux bleu clair. Il a aussi une large cicatrice, qui part de la tempe et se termine sur le cou. Malgré ça, il a l'air charmant... Non, je plaisante, il fait peur!! J'entends qu'on l'appelle capitaine Espada, sans doute à cause de sa cicatrice (un coup d'épée?).
Il est avec des membres de son équipage, presque aussi impressionnants que lui.
Ils ont une dizaine de captives avec eux.
Ça ne passe pas inaperçu!
Manifestement dans ses petits souliers, Souad s'adresse au Capitaine: "Puis-je vous présenter les nouvelles filles?"
"D'abord, il faut du vin... du bon... et pour tout le monde. J'offre une tournée générale."
Son équipage et les autres clients font "Hourra! Pour le capitaine..."
Souad fait signe aux servantes. Elles vont chercher de grands pichets de vin et des gobelets.
Le capitaine se lève et désigne les captives tremblantes: "Ces filles font aussi partie de la tournée générale."
Les clients remettent ça: "Merci! Hourra! Vive le Capitaine!"
Il sait se rendre populaire, le capitaine: du vin, des filles, tout cela gratuit!!
"Panem et circenses", du pain et des jeux, comme disaient les Romains. Sauf qu'ici, c'est "vino et puellae", du vin et des filles, ce qui est encore mieux.
Il se tourne vers Souad: "Alors, tu as de nouvelles putains intéressantes? Il paraît que tu ne te sens plus pisser!"
Pas plus à l'aise qu’avant, elle vante sa marchandise "Une authentique Princesse Irlandaise..."
Le capitaine la coupe "Il n'y a pas de Princes en Irlande."
Tête de Souad!! Elle se tourne vers moi avec l'air gentil de la mangouste qui s'apprête à sauter sur un cobra replet, son menu préféré...
Elle me jette "Explique."
Je vais me mettre à genoux (ils tremblent) devant lui pour raconter mon histoire: "Mon père est le seigneur de T, Maître. Les pirates ont attaqué le château et..."
Il me coupe: "J'ai entendu parler de ça. Avaient-ils une complice dans le château?"
"Oui, Maître."
Il se tourne vers Souad "Quoi d'autre?"
Elle fait signe aux trois Françaises qui viennent vite se mettre à genoux. Elle comence son baratin: "La mère et ses deux filles, sœurs jumelles, sont des aristocrates Françaises, qui revenaient des Antilles où leur famille a..."
Il s'adresse à la mère "Ton nom?"
"Comtesse de Y, Maître."
Ça a l'air de lui convenir. Comme si on allait essayer de le truander!!
Ensuite il s'adresse à une des filles, celle qui a eu du piment dans le cul. Elle a les yeux rouges d'avoir pleuré et le... trou du cul sûrement tout aussi rougeoyant. "C'est toi qui as essayé de t'enfuir?" demande-t-il.
"Oui, Maître."
Ah putain! Il est au courant de tout!!
Il interroge Souad "Combien pour tes filles?"
"Les filles de la maison sont à cinq sols, les aristocrates françaises à 10 sols. La princesse est encore pucelle, mais on peut disposer de sa bouche pour 15 sols."
Il lui répond "Je veux le lot complet, toi y compris."
Là, elle a l'air... mal prise en répondant: "C'est un très grand honneur... mais je... je ne fais plus ça. Je suis presque associée et..."
"Ta taverne, c'est pas un bordel?"
"Si, mais...."
"T'es pas une esclave qui a été vendue et qui est devenue putain?"
"Si, mais..."
"Et tu vas me dire que tu n'es pas à vendre?"
Silence dans l'établissement, alors qu'il y a une trentaine de pirates, des filles, du vin, du tabac et des filles pour les pipes!!!
Le capitaine reprend: "Je pourrais t'acheter à ton maître... mais je pense que ce serait inutile, car tu es restée une putain. On va voir ça tout de suite! Alors, je veux toutes les filles, y compris le pucelage de la Princesse et ça pour trois jours."
Il sort une bourse et l'ouvre. À l'intérieur, on voit briller des doublons d'or.
Là, les yeux de Souad se mettent à briller autant que ces pièces!
Ah là, là! La cupidité mène le monde! Surtout dans mon nouvel univers de pirates et de putains. Souad ne vaut pas mieux que nous...
"Alors?" redemande le Capitaine, "Tu es toujours une putain?"
Elle lui fait un grand sourire "Oui, Maître."
Sur ce, elle fait disparaître la bourse avec la rapidité d'un caméléon gobant un gros coléoptère qui fait la sieste!
Le capitaine lui dit: "Je veux d'abord voir les Françaises se faire des câlins."
Les hommes approuvent!
À suivre.
Si vous aimez mes histoires, vous aimerez mes livres, qui ne coûtent que 3,50 e. Envoyez un mail mia.michael@hotmail.fr et je vous enverrai les adresses et une photo habillée... non, je rigole, pas habillée !
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Un p'tit coup, facteur ?
Il y a 3 jours, on sonne. J'allais prendre une douche Bien sûr, c'est toujours à ce moment-là qu'on sonne.
Je regarde par la fenêtre : c'est le facteur. Il m'apporte peut-être une bonne nouvelle, genre Tarrentino veut faire un film avec mon livre, "Dans la peau d'une esclave". (Quentin, if you read me, it's ok for the movie!)
Je prends une serviette que je mets devant moi et j’ouvre la porte. C’est un nouveau facteur qui me regarde avec de grands yeux, car j’ai pas mal de parties de moi qui dépassent de la serviette.
Je lui dis : " Excusez-moi facteur, j’allais prendre une douche. "
Il bredouille : " Vous êtes… euh… très bien comme ça… ."
Ce qu'il m'apporte, c'est pas une lettre de Tarrentino, c'est un recommandé !
Pour signer son papier, je suis obligée de lâcher la serviette et voilà mes
nichons qui montrent le bout de leurs nez… Je vois le facteur qui louche dessus
et devient tout rouge… C’est fou l’effet que peut faire une paire de nichons sur
un facteur !
Depuis, il vient régulièrement m’apporter mon courrier. C’est gentil, non ? Pour
le remercier, je lui offre une tasse de café.
Souvent, je n’ai que la serviette devant moi. On va dans la cuisine, il me suit et je crois qu’il aime bien la vue… Il faut dire que j’arriver à écrire 888 en tortillant des fesses ! Il est timide et se contente de regarder…
Dernièrement, j’étais encore en tee shirt de nuit, court, très court… Bon, je
ne vais pas faire de manières, mes fesses, il les a déjà vues. Par contre, quand je
me suis baissée pour ramasser quelque chose par terre, je lui ai montré beaucoup plus. Je crois que ça l’a un peu décoincé et quand je lui ai servi son café, il a posé une main timide sur mes fesses.
Moi, je lui ai dit ce que disent toutes les femmes à leur facteur : " Facteur !!! Qu’est ce que vous faites ? C’est pas convenable. " Mais, je l’ai laissé faire.
Qu’est ce vous voulez, j’aime qu’on me caresse les fesses... Je me suis esquivée quand son doigt allait atteindre des zones très humides.
Je lui ai dit : " Et votre tournée ? Vous allez être en retard. "
C’est la voix rauque qu’il m’a répondu : "rrr A rrr rrr demain rrr."
(Je fais bien la voix rauque, hein ?)
Ça me plait ce jeu avec le facteur et depuis ce jour, je me laisse complaisamment
caressée, mais en tout bien tout honneur, on ne fait rien de sexuel. Sauf, qu'avant, hier, j’ai été obligée de faire un peu plus. J’étais occupée à écrire un article sur la fellation et tout à coup, j’ai eu un trou : je ne savais plus comment on faisait ! Juste à ce moment là, il sonne.
Je lui dis : " Ah vous tombez bien, facteur, j’ai un trou. Vous voulez bien me servir de cobaye ? "
Quand je lui ai expliqué de quoi il s’agissait, il était tout à fait d’accord et il a sortit de son pantalon un sexe, ma foi, fort sympa.
Me voilà donc, à genoux, devant ce sexe agité de petits soubresauts d’impatience, le méat très humide étant un signe que je ne le laisse vraiment
pas indifférent. Moi un sexe d’homme, ça m’attire, c’est pas que j’ai le feu au cul, mais je suis un peu….. flirteuse !
Je commence à pratiquer quelques petits tests utiles pour mon article… et une
chose en entraînant une autre, j'ai fini par êtres très excitée.
Ma chatte me réclamait sa part avec une insistance qui devenait douloureuse… Je me suis donc retrouvée penchée sur la table, avec le facteur derrière moi qui me baisait en levrette. Franchement, c’est arrivé sans que je me rende bien
compte… C’est pourtant pas mon genre de me faire prendre en levrette par un
inconnu… D’un autre côté, je le connais, c'est le facteur.
Et pile ( !) à ce moment là, on sonne. Trois coups : deux courts, un long. C’est un code. Celui de mon nouvel amoureux.
Ooops ! Je repousse le facteur. Il sort de moi et ça fait "plop", un peu comme une ventouse qu’on décolle !
Je lui dis : " Vite, facteur, faut pas qu’il vous trouve ici. "
Difficilement, il remet son sexe dans son pantalon et je le fais sortir par derrière.
Ensuite, je vais ouvrir à mon amoureux. Je lui dis : " Bonjour, mon chéri, quelle bonne surprise, tu ne devais venir qu’à midi…"
Il répond : " Oui mais un client n’étais pas là. "
Il me caresse les fesses, lui aussi, et son doigt glisse.
Il me dit : " Mais t’es toute mouillée, toi ! "
Moi, l’air angélique, je réponds : " Je pensais à toi, mon chéri ".
Et de nouveau, l’enchaînement : sa main, mes fesses, ses doigts, ma chatte, bref il a terminé ce que le facteur avait si bien commencé. Merci, la poste !
Le midi on a été mangé dans un petit resto et en passant, on a acheté des revues et un billet de loto.
Il m'a dit : " Je sens que je vais avoir de la chance aujourd’hui. "
Alors, ça, c'est très possible !
PS : Il ya une photo, où je vais ouvrir au facteur, en petite tenue. Je la mettrai dès que cet article sera publié
J'écris des livres follements excitants, si, si. J'en parle ici : www.leslivresdemia.blogspot.com
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DANS LA PEAU D'UNE ESCLAVE.
Chapitre 1 – Léantos est déprimé.
En cette fin du 25ème siècle, on est revenu à une vision simplifiée de la Société.
Le but est de prévenir les guerres, les famines, les inégalités dans la mesure du possible. Pour y arriver, il a fallu refaire des classes sociales sur un modèle antique. C’est ce que le philosophe Tien Long, appelle « Une société en forme de pyramide. »
Tout au sommet, il y le Consortium Suprême, qui nomme les Gérants des Régions.
En dessous, mais toujours au sommet, il y les riches ou citoyens Alpha. Ils sont environ 1/20ème de la population mondiale. Ile sont riches et disposent de la technologie moderne. Ils peuvent faire ce qu’ils veulent, sous réserve de ne pas déplaire à un membre du Consortium et de payer l’impôt.
Au milieu, il y a les citoyens Lambda. Ils n’ont aucuns rapports avec le sommet de la pyramide. Ils ignorent même l’existence des citoyens Alpha. Ils vivent comme au Moyen Age, sans aucune technologie, ce qui est un gage de paix ou de conflits limités. Les villes Alpha leur sont dissimulées.
En dessous et jusqu’à la base, il y les esclaves. Il y en a a aussi bien chez les Alpha que chez les Lambdas. Ce sont les condamnés de droit commun pour des faits bénins : dettes, vol, avoir déplu à un citoyen Alpha… Les condamnés pour des faits graves sont envoyés sur les planètes bagnes.
Dépendant du Consortium et des citoyens Alpha, il y a les gens d’armes : soldats, policiers, gardes privés, informaticiens.
Seuls le Consortium et les citoyens Alpha ont accès à la technologie.
Depuis, très longtemps, il n’y a plus de carte d’identité, de passeport, de permis de conduire, de cartes de crédit. Tous les citoyens et tous les esclaves ont une minuscule puce dans leur organisme, où tous les renseignements les concernant sont consignés. Il est impossible d’extraire cette puce.
Léantos.
En ce début de juin, je suis plus déprimé que jamais. J’envisage même de léguer tous mes biens et mon titre de Gérant de La Région 3 de l’Europe du Sud Est. Je voudrais repartir à zéro sur un des mondes que nous avons colonisés. Enfin, je me suis quand même organisé pour envoyer une importante somme d’argent, d’or et de diamants dans une banque discrète sur une planète qui l’est tout autant. Je suis déprimé, mais pas au point de risquer de me retrouver citoyen Lambda.
Une des causes de cette situation est mon récent et catastrophique mariage.
La passion vous prive de toutes formes de lucidité !
J’ai eu un coup de foudre pour Fenza, une fille de 22 ans, le tiers de mon âge. C’est une très jolie brune aux yeux noirs. Elle est petite et mince avec un tour de poitrine atteignant à peine les 85 cm et des fesses de garçon. Jusqu’à ma rencontre avec elle, je ne m’intéressais qu’aux femmes aux formes opulentes. Je suis tombé follement amoureux de Fenza et je l’ai épousée un mois après notre première rencontre : une pure folie !
Pourtant, j’avais déjà fait l’expérience d’un mariage raté. Ma première épouse avait un caractère difficile et était une véritable nymphomane. J’ai réussi à faire annuler notre mariage. C’est une chose terriblement difficile à faire de nos jours et ça m’a coûté… un bras.
Les lois du Consortium sont devenues strictes, concernant la protection des conjoints. Je n’avais d’ailleurs pas de griefs recevables, juridiquement parlant, pour obtenir le divorce.
Comment, après mon premier mariage ne me suis-je pas mieux renseigné sur la personnalité de Fenza? La passion ! Son caractère dominant montrait déjà le bout de son nez, certes, mais avec moi, elle était adorable et au lit elle se révélait perverse et inventive. Toujours prête à ajouter quelques esclaves pour pimenter nos ébats. La grande révolution de l’année 10 du Consortium, a heureusement remis de l’ordre dans notre société en créant la Grande Pyramide. Elle a aussi donné la possibilité aux citoyens Alpha et Lambda d’acheter des esclaves. Le monde Lambda étant une source inépuisable d’esclaves, que nos hommes d’armes vont « razziés ».
J’ai une trentaine d’esclaves dont une vingtaine de femmes.
Fenza, ma nouvelle femme, a une qualité, c’est une très bonne maîtresse de maison… Avant de la rencontrer, c’est mon intendant qui s’occupait de faire régner l’ordre parmi mes esclaves. Il le faisait assez mollement, toujours prêt à accepter de ne pas punir une esclave si elle était assez docile, ce qui est pourtant la définition même d’une esclave. Il s’en suivait une légère nonchalance chez certaines esclaves…
Fenza a changé tout ça, avec une main de fer dans un gant d’acier. Elle est très sévère, d’autant plus que c’est une maniaque de l’ordre et de la propreté. Elle ne supporte pas le plus petit manque de soin. Les punitions sont donc devenues extrêmement fréquentes. Les esclaves la craignent et une esclave qui a peur est d’autant plus obéissante et soumise, cherchant à tout prix à plaire à ses maîtres et a leurs invités. Et puis, c’est amusant de voir une esclave présenter ses fesses pour se faire fouetter, surtout quand elle n’a rien fait pour mériter ça. Elle a aussi établi toute une série de règles et de punitions. On ne voit nulle part des esclaves aussi bien dressées que chez nous. A tel point, que nos amis s’inspirent à la lettre de son règlement pour l’appliquer chez eux…
En ce qui concerne la tenue de la maison et la discipline des esclaves, Fenza est parfaite… Par contre… sexuellement, elle a cessé de faire des efforts comme au début de notre mariage et m’envoie régulièrement me satisfaire avec une esclave.
Nos enfants sont en pension, mais la nièce de ma femme qui a 18 ans, vit avec nous. Elle s’appelle Calypso. Je l’ai accueillie dans ma famille et je suis devenu son beau-père, légal, jusqu’à ses 21 ans. Elle est belle, très belle et a un QI de 167, ce qui fait d’elle un membre de la prestigieuse société du Temple d’Athéna, qui réunit les cerveaux les plus brillants. Athéna étant la déesse de l’intelligence. Hélas, comme beaucoup de jeunes gens, elle fait des bêtises. Fenza la punit souvent et la fait même fouetter par une esclave noire, ce qui est l’humiliation suprême pour une citoyenne Alpha. Je dois avouer que je prends un grand plaisir à voir Calypso se faire fouetter. C’est une beauté callipyge, pour rester dans la terminologie de la Grèce antique, c'est-à-dire qu’elle a les plus belles fesses du monde ! Oui, je deviens exalté quand je parle des fesses de ma belle-fille. Les relations entre elle et Fenza sont devenues explosives. Bien sûr, elle mérite souvent une punition et ce n’est pas sans raison que Fenza la punit, contrairement aux esclaves qu’elle fait fouetter pour se distraire ou amuser nos invités.
Ma belle-fille s’appelle donc Calypso, ce qui veut dire « la très désirable » en référence à la reine de l'île d'Ogygie, amante d’Ulysse et elle porte bien son nom.
Les prénoms de la mythologie grecque sont devenus une mode ces dernières années en Europe du Sud.
Calypso déteste celle qui est devenue sa belle-mère légale et qui n’a que 3 ans de plus qu’elle. D’autant plus, qu’elle a le droit de la punir à sa guise.
Fenza s’est mise à régenter ma vie personnelle, aussi… Si je n’y mets pas bon ordre, elle va me faire un règlement, comme aux esclaves et à notre belle-fille !
Mon moral étant au plus bas, je ne souhaite plus qu’une chose, me séparer de cette épouse qui devient de plus en plus tyrannique.
Je sais qu’il y a eu une enquête quand je me suis séparé de ma première épouse. Les lois sont ainsi faites que si un des époux le refuse, le divorce est impossible. Il m’a donc fallut obtenir le consentement de ma première épouse par des moyens un peu… spéciaux. Je ne puis recommencer avec celle-ci.
Ce matin, n’en pouvant plus, je suis allé chercher un peu de réconfort auprès de ma belle-fille. Si une personne peut trouver une solution à ce problème, c’est elle
Je sais qu’elle ne supportera plus longtemps, les brimades et les humiliations que lui inflige sa belle-mère. Elle a d’ailleurs, certainement, du élaborer un plan.
Concernant, ma belle-fille, j’ai un aveu à faire : je suis terriblement attirée par elle. Je veux dire, sexuellement. Plus mes rapports avec ma femme se détériorent plus mon désir pour Calypso devient brûlant.
La voir fouettée par une négresse met le feu à mes sens.
Il est 10 h du matin. Elle vient à peine de rentrer.
Sa belle-mère va de nouveau piquer une crise, étant donné qu’elle exige qu’elle soit rentrée à minuit au plus tard. Elle va sûrement la faire fouetter et l’enfermer dans sa chambre tous les soirs à 7 h, pendant une semaine.
Calypso est légèrement ivre, ses vêtements sont froissés, elle a même une tache de sang sur une manche de sa tunique de soie transparente. Elle m’embrasse et me dit :
— Beau-papa, quelle bonne surprise.
— Je n’en peux plus ma chérie, je ne supporte plus cette femme.
C’est certainement quelque chose qu’elle attend avec impatience.
A bout de nerfs, je me mets à pleurer.
Calypso vient contre moi et met ses bras autour de mon cou…
Elle a eu chaud, très chaud… Elle sent… la nymphe qui a beaucoup couru dans les bois.
A travers, mes larmes, je lui dis :
— J’adore ton parfum
— Je n’en ai pas mis. C’est mon odeur naturelle.
Elle lève un bras et met le creux de son aisselle humide contre mon nez !
Aussitôt, je m’arrête de pleurer et… je me mets à bander…
Elle me dit :
— Tu es décidé ?
Enivrée par son odeur, je bredouille :
— Oui, ma chérie… et pardon… de l’avoir laissé…
Je veux dire, pardon d’avoir laissé ta belle-mère te punir, mais les mots restent dans ma gorge, car elle enlève sa légère tunique. Ses seins nus pointent agressivement vers moi.
Elle me la donne en disant :
— Allez, essuie tes larmes et mouche-toi. Il est temps que tu te décides. Cette sorcière causera ta perte, si on ne l’élimine pas.
Je mets mon nez dans son vêtement humide de sueur comme un enfant peureux met le sien dans son « doudou » !
Elle enlève son léger pantalon. Elle n’est plus vêtue que d’une minuscule culotte à motifs léopard d’un parfait mauvais goût, mais extraordinairement érotique sur elle. Je me mets à geindre :
— Elle ne voudra jamais accepter de divorcer et tu sais que son consentement va me coûter une fortune.
Elle me tourne le dos et enlève sa culotte en se tortillant…
Les fesses de Calypso sont les plus belles du monde. Elles luisent, laiteuses, dans la lumière du petit matin.
Elle me tend sa culotte... J’ai deux « doudous » !
Puis, elle vient s’asseoir à califourchon sur mes cuisses les deux bras autour de mon goût en disant :
— Je sais comment nous en débarrasser sans dépenser un sou.
— Sérieux ?
— Oui. Et en plus, je te fais une proposition : je te débarrasse de ta mégère et tu peux me baiser.
Mon rêve… Non, mes rêves !
L’odeur musquée et entêtante de sa sueur me brouille l’esprit… Et puis, je me sens incapable de continuer à vivre avec cette garce de Fenza et… je rêve de baiser ma belle-fille !
J’embrasse son épaule me rapprochant encore de l’odeur de son aisselle
Elle dit :
— Je veux que tu me lègues tes biens et tes titres. Tu avais quand même l’intention de la faire un jour.
Avec un chat dans la gorge, je réponds :
— Et on baise…
— Oui…
Je vais enfin la baiser.
Elle sort un petit ordinateur d’un tiroir et l’allume. Je vois le document concernant la cession de mes biens et titres à ma belle-fille.
Sans réfléchir, je mets mon pouce sur le premier emplacement, puis mon iris sur l’autre. Elle fait la même chose et envoie le message.
Avant que je réalise bien ce que je viens de faire, elle écarte les cuisses en disant :
— A genoux et montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue.
Je mets le nez dans sa chatte en jachère, ses poils me chatouillent les narines. Je passe de l’odeur musquée de ses aisselles à celle fortement marine de son sexe… Je suis au 7ème ciel.
Je reste là, à la… humer, elle me donne une claque sur la tête en grognant :
— Qu’est-ce que tu attends ?
Je vais lécher la chatte en broussaille de ma Calypso, enfin !
Bien sûr, c’était une chose que je ne fais jamais avec mes esclaves. Qui irait lécher le cul ou la chatte d’une esclave ? Il m’est cependant arriver de le faire à mes épouses et je lèche ma belle-fille, comme une esclave lèche sa maîtresse.
Rapidement, elle me repousse, en disant :
— Baise-moi beau-papa et fais-moi un enfant.
Je suis saoulé par ses odeurs et enivré par ses paroles.
Elle veut que je me couche sur elle dans la position du missionnaire. Elle croise ses pieds sur mes reins, pour m’enfoncer au plus profond d’elle.
De toutes mes forces, j’essaye de freiner le tsunami de sperme qui se prépare… Impossible, je jouis trop rapidement en elle…
Calypso, met rapidement sa main en conque sur son sexe en disant :
— Je garde ton sperme en moi… Tu peux rester, mais moi, je dors.
Je viens de réaliser mon fantasme : lécher et baiser Calypso.
Et puis, elle saura me débarrasser de Fenza, cette garce qui me pourrit la vie.
Évidemment, je lui ai légué ma fonction, ainsi que tous mes biens… Enfin, une petite partie de mes biens. Elle a beau avoir un QI énorme, elle ne saura jamais que j’ai dissimulé la plus grosse partie.
Je la laisse dormir, mon sperme bien au chaud dans le fond de sa vulve. Mes spermatozoïdes se battant comme des barbares à qui sera le premier à violer son ovule !
Chapitre 2 - Calypso fouettée pour la dernière fois.
Calypso.
Pour le moment, je fais profil bas, ce qui n’est pas dans mon caractère.
Je suis dorénavant, la seule propriétaire des biens et des titres de mon beau-père. Je n’aurais jamais imaginé que ce serait aussi facile. Il a suffi que ce vieux cochon renifle mes aisselles et que je lui montre mon cul, pour que j’en fasse ce que je veux. Quelle moule !!
Je sais qu’il a mis une très grosse partie de sa fortune dans une banque qu’il croit sûre, mais les biens de mon beau-père sont désormais à moi et j’ai des amis qui vont très vite me renseigner. Pauvre type, je vais l’enculer à sec !
Pour tout dire, ça m’a plu qu’il me baise et qu’il jouisse en moi. J’aime les sports extrêmes et ceci en est un, non ?? Il lèche pas mal d’ailleurs, je le garderai peut-être pour ça. Mais, je n’ai pas envie qu’il passe son temps à baiser « mes esclaves », aussi je l’équiperai d’un petit gadget, l’équivalent pour les hommes d’une ceinture de chasteté. Il va être mignon avec ça… Pas très content, mais mignon !
Maintenant, c’est le tour de ma chère belle-mère de se faire enculer, mais elle ce sera à sec et au moyen d’un énorme gode trempé dans du piment ! Ah, elle va griffer les mains de sa mère… la salope !
Elle ne doit surtout pas savoir ce qui va se passer… J’adore l’idée de lui faire la surprise
Il est impossible de faire confiance à une esclave, elles sont éduquées à être veules et obéissantes. Celle qui me plait le plus c’est Aicha ! C’est une blanche, bien sûr, mais elle a la peau mate, ce qui fait qu’on lui a donné ce nom Africain. Le nom d’une esclave est souvent insultant ou ridicule. Un jour je lui ai demandé si je pouvais lui faire confiance, elle m’a répondu :
— Non, Maîtresse, si on m’interroge énergiquement, je vous trahirai.
C’est une bonne réponse.
Ce soir, je suis dans ma chambre. Punie ! Je suis rentrée à 9 du matin au lieu de minuit. Résultat ma belle-mère va me faire fouetter et je devrai être au lit tous les jours à 19 h 30’ Mon Dieu que j’ai hâte de lui faire la petite farce que j’ai mise au point !
Elle ignore que je suis à présent la maîtresse des lieux, des biens et des titres de son époux…
Elle vient se distraire à mes dépends. Et, elle est à l’heure, 19 h. Oui, c’est une maniaque de l’heure. Elle arrive dans ma chambre avec une esclave en disant joyeusement
— C’est l’heure Calypso, on va te chauffer les fesses.
L’esclave dépose près de mon lit, 2 tranches de pain sec et un verre d’eau, mon repas du soir !
Ma belle-mère me dit,
— Tu sais ce que tu as à faire.
— Oui, belle-maman, mais, si je suis rentrée…
— Je m’en fous, minuit c’est minuit
— Oui, belle-maman…
Je remonte ma chemise de nuit blanche jusqu’aux reins. La chemise de nuit, c’est son idée, bien sûr. Je mets l’oreiller au milieu du lit et je me couche dessus de façon à ce que mes fesses soient surélevées.
L’esclave a en main un court fouet à plusieurs lanières, ça fait mal, même très mal, mais ça n’entame pas la peau.
« swwwitch », les lanières s’abattent sur mes fesses.
— Aaîîîîeee ! 1, merci belle-maman.
C’est une fétichiste de la fessée, si je ne compte pas et ne remercie pas, c’est un de plus… ma vengeance ne sera que plus jouissive…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 2, merci belle-maman.
Elle dit à son esclave :
— Ne va pas trop vite, il faut qu’elle apprécie, chaque coup !
— Oui, Maîtresse.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 3, merci belle-maman. Je ferai attention.
— Je crois que tu aimes te faire fouetter.
— Non, je vous ju…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 4, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 5, merci belle-maman.
Elle pose la main sur mes fesses, en disant :
— Elles ne sont pas encore à point !
— Oui, mais…
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 6, merci belle-maman.
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 7, merci belle-maman.
Elle s’adresse à son esclave :
— On avait dit combien ?
— Vous ne m’aviez pas dit, Maîtresse.
— Bon, je te dirai quand arrêter !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 8, merci belle-maman. Je serai sage !
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 9, merci belle-maman. Je vous le jure.
— Bien… C’est bien, j’aime te voir t’humilier Calypso. Plus qu’un, alors.
(grrrrrr !)
« swwwitch »
— Aaîîîîeee ! 10, merci belle-maman.
Elle vient de nouveau tâter mes fesses en disant :
— On pourrait faire cuire un œuf au plat sur tes grosses fesses, Calypso.
— Oui, belle-maman.
Tu vas voir les tiennes de grosses fesses, poufiasse, et dans pas longtemps !
L’esclave m’attache par la cheville à une barre du lit.
Ma belle-mère, très femme du monde, me dit :
— Bonne nuit sur le ventre, Calypso.
— Merci, bonne nuit à vous aussi, belle-maman.
En pensée, j’ajoute « ce sera ta dernière bonne nuit avant un bon moment. »
Mais, elle me réserve une dernière petite gâterie,
— Ah, j’oubliais, embrasse la main de l’esclave qui t’a fouettée et remercie-la. Elle s’appelle, Mouche Bleue.
L’esclave me tend sa main et je l’embrasse en disant :
— Merci Mouche Bleu de m’avoir bien fouettée.
Petit gloussement satisfait de la sorcière.
Une fois seule, j’essaye de manger un peu de pain, mais il est tellement dur qu’il faudrait le faire tremper pour le manger et comme je n’ai qu’un verre d’eau, je préfère boire.
La chaîne qui m’attache au lit, ne me permet pas d’aller à la salle de bains. La première fois qu’elle m’a fait fouetter et attacher pour la nuit, je lui ai dit :
— Et si je dois faire pipi, belle-maman ?
— Tu serres les fesses !
Elle est jouette ! Enfin, plus pour longtemps !
Chapitre 3 - Le plan machiavélique de Calypso.
A 2 h du matin, Aicha entre dans ma chambre, elle scie la chaîne au ras de l’anneau avec une scie a métaux.
Ensuite, on va chercher une esclave qu’on a déposée devant la porte de la propriété. Elle ressemblait à Fenza avant que je l’envoie dans la clinique du Professeur Di Martino, et maintenant, c’est Fenza.
Bien sûr, vous vous dites, impossible de faire ce genre de substitution, à cause de la puce identitaire dissimulée en nous. Exact… Mais, je fais partie du « Temple d’Athéna » qui regroupe les QI les plus élevés du monde. Le grand Maître est aussi un membre de la Triade du Dragon de Feu qui règne sur toute l’Asie pour le compte du Consortium. Il a trouvé très amusant mon idée d’échange et m’a mise en contact avec leurs spécialistes en bio-informatique. Là, on m’a fabriqué une copie exacte de la puce de ma belle-mère. Elle est dissimilée, inactive, dans la nouvelle esclave.
A trois, nous remontons dans la chambre de Fenza
Elle dort profondément, Aicha lui a donné un soporifique puissant. Son esclave dort par terre, à côté de son lit. Elle dort ou elle fait semblant. Les esclaves ont souvent un 7ème sens leur permettant de survivre.
Je fais une piqûre à Fenza pour l’endormir pendant 24 h. Ensuite, je prends un petit appareil pour désactivé sa puce et immédiatement après, j’active celle de l’esclave qui va prendre sa place.
La nouvelle esclave est devenue Fenza.
Voilà ! Le Contrôle Central ne peut pas se rendre compte que la puce a cessé d’émettre pendant une fraction de seconde.
On met Fenza dans une grande valise et on descend dans le garage.
On l’installe dans le coffre et on est part.
A suivre : https://www.amazon.fr/Dans-peau-esclave-Collection-Pleine-ebook/dp/B01MFEGCW9/ref=pd_ecc_rvi_1
mais à seulement 3,50 e. Et que je me réveille avec des fesses plates, si vous n'aimez pas le livre !
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République de Salé - Anno1667
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Lécher Murphy, c'était... ça m'a laissé un sale goût en bouche, au propre et au figuré!
J'ai commencé à aimer, ça avec Foxy... et puis à aimer beaucoup avec Souad.
J'aime son sexe lisse et mouillé, son odeur, son goût et je la fais jouir en la lapant comme une chienne... Elle geint, se tortille, moi qui n'aie aucun pouvoir ici, je me rends compte que ma langue en a... un peu...
Elle reste la maîtresse des lieux et je me doute qu'elle est loin d'être facile!
Quand, elle a joui, elle me dit, "Descend du lit!"
Je me mets vite à genoux.
Elle passe une djellaba légère en voile diaphane, puis prend son fouet.
Qu'est-ce que j'ai fait??? Elle voit que j'ai peur.
Elle dit, "Tu lèches bien, tu obéis encore mieux et tu as peur devant le fouet... Tu es une petite chienne, c'est ça??"
Je hoche vigoureusement la tête! Je ne sais pas si je dois parler ou aboyer...
"Fais la belle!"
Je me mets dans la position les avant-bras repliés. Elle me donne sa main à lécher, puis elle me caresse l'oreille, je gémis de plaisir.
Faire le chien et lécher sa longue main brune, j'ai connu pire comme humiliation!!
Elle me donne une de ses vieilles chemises. Très courte et pas lavée, je reconnais son odeur.
"Tout à l'heure, on te transformera en Princesse... mais avant ça, tu es ma chienne."
Elle me met aussi un gros collier en cuir et y attache une corde...
"Pour que tu ne te perdes pas." dit-elle en riant...
On va dans la taverne, il y a déjà quelques clients. Ils mangent et boivent...
Ils ont l'air content de voir Souad arriver.
"Alors, elle est où est ta Princesse?"
"Au bout de la laisse. Pour le moment, c'est ma petite chienne!"
ça les fait rire.
Elle me donne une série d'ordres, "Assise!!" "Fais la belle!!" "Aboie!"
Oh pas de problème du moment! Du moment, que ça ne fait pas mal. Je prends la pose, les oreilles dressées!! Ouaf Ouaf!
Le chien de la taverne a l'air surpris de me voir faire la belle et aboyer.
Il vient me renifler les fesses!
"Une femelle pour toi, Pero," dit un des hommes...
Il a l'air plus gentil que les hommes, Pero.
"On peut la voir nue, Souad?" demande un des hommes.
"En fin d'après-midi, on la transformera en Princesse et vous pourrez la faire se déshabiller et vous sucer... On attend aussi des Françaises, la mère et ses filles."
Elle a vite assez de jouer avec moi, elle enlève la corde de mon collier et me dit, "Va aider les filles à servir."
Une des servantes m'explique, comment saluer respectueusement les clients, toujours dire Monsieur, Madame ou Mademoiselle. Sourire. Obéir à tout ce qu'ils demandent...
Les hommes m'appellent, me demande du thé, du vin...
Je leur apporte, ils me caressent sous la chemise...
Souad dit à une servante, "Va donner à boire aux filles dehors et montre à la Princesse comme faire."
"Oui, Maîtresse."
Dehors dans un enclos, il y a les filles avec qui j'ai dormi.
On leur apporte du pain, quelques fruits, de l'eau...
Elles mangent et boivent goulûment...
Elles ont des chemises courtes comme moi, mais nettement moins propres.
Elles ont toutes des colliers en fer et des anneaux aux poignets et aux chevilles.
Le Noir les surveille, il est armé d'un grand fouet.
Quand elles ont fini, la servante me dit, "Je vais te montrer, ce qu'il faut faire."
Elle va chercher deux colliers avec des pointes de fer au bout desquels il y a une clochette. "Ce sont les deux filles qui ont essayé de s'enfuir et qui sont attachées pour la nuit. Avec les clochettes, on sait toujours où elles sont."
Ça doit être pénible! De plus il est impossible de se coucher pour se reposer un peu...
Elle met ces colliers aux filles qui se mettent aussitôt à tinter!
Il y a pire, elle prend trois armatures de fer, sortes de cages qu'elle place sur la tête des trois filles. "Elles ont parlé ou répondu à l'homme qui les louent.", me dit la servante.
Ces armatures sont dotées d'une pièce que rentre dans la bouche! Plus moyen de parler! Ça doit être très désagréable. Les filles font la grimace!
Des hommes et des femmes arrivent. Ils viennent chercher des filles. Ils les louent à la journée, pour des travaux divers ou pour des tavernes moins importantes. Ils ont tous les droits sur les filles, mais ils ne doivent pas les abîmer. Les fouetter, oui bien sur, mais il ne faut pas de blessures. C'est normal, c'est comme si on allait louer un cheval ou une mule, il faut les rendre en bon état, aussi.
Quand toutes les filles ont été louées, on retourne dans la taverne.
Je prends les fermes résolutions de ne pas m'enfuir, les clochettes, non merci.
Je continue à servir les clients.
Souad attend les Françaises.
J'ai entendu le capitaine et Wilson en parler hier. Il s'agit d'aristocrates Françaises, qui revenaient des Caraïbes où leur famille a des plantations de canne à sucre. Le capitaine les a achetés pour la taverne. Une Princesse et des aristocrates, la taverne, va devenir l'endroit le plus classe de la petite république... d'après Souad.
En fin de matinée, on voit arriver des hommes avec les trois femmes. Elles sont reliées entre elles par une chaîne qui va d'un collier en fer à l'autre.
Elles ont de belles robes, mais déchirées et sales. Les trois femmes se ressemblent, surtout les deux sœurs. Elles peuvent avoir 18, 20 ans. La mère sans doute dans la fin de la trentaine. Elle a dû les avoir, jeune.
Je me souviens l'état dans lequel j'étais, au début de ma captivité et je comprends leurs larmes et leur désarroi.
Une des sœurs se blottit contre sa mère, l'autre reste un peu en retrait.
Un des hommes dit quelque chose d'incompréhensible, pour moi, qui fait rire tous les autres.
Ici, ils parlent différentes langues dont la "lingua franca", mélange d'espagnol, d'arabe, de français...
"Détache-les", dit Souad...
Quand on leur enlève leur collier de fer, elles ont une belle marque rouge sur le cou. Je suis contente de n'avoir qu'un collier de cuir.
Souad, leur dit, "Déshabillez-vous..."
Elles hésitent. Souad prend le fouet qui pend à sa ceinture...
Là, elles n'hésitent plus. Elles enlèvent leurs belles robes, enfin qui ont été belles et les trois jupons qui sont en dessous.
Elles se retrouvent en chemise... comme moi.
Souad tend son fouet,... elles l'enlèvent.
Les hommes poussent des crid de joies...
Bien sûr, les servantes sont peu vêtues et on peut leur dire de se déshabiller, mais voir ces aristocrates quitter leurs dessous de luxe, pour être nues au milieu des hommes comme des esclaves... ça leur plait.
Les femmes prennent la position de la vénus pudica, un bras replié sur les seins une main sur le sexe.
Le fouet de Souad claque et elle reçoivent un bon coup de fouet sur les fesses, elles poussent un cri... "Mains derrière la nuque!!" dit Souad.
Elles le font immédiatement, les yeux pleins de larmes.
Elles sont franchement belles... La mère et ses filles ont les cheveux châtains. Elles sont jolies, malgré les yeux rouges.
La mère a des seins lourds mais fermes, les filles des petits seins, qui regardent vers le ciel... Elles ont des jambes fines et leur pubis n'est pas épilé, bien que la mode des sexes épilés se répande en France dans la haute société.
"Belles recrues." dit un homme. "Elles et la Princesse, ce sera bientôt les putains les plus célèbres de la région!"
Comme ça, elles sont fixées sur leur sort : prostituées pour des pirates...
Avant d'être vendues.
Souad me dit, "Déshabille-toi et montre-toi"
"Oui, Maîtresse."
J'enlève ma chemise... Je croise les mains derrière ma nuque pour faire saillir mes seins, enfin le plus possible.
Souad me dit, "Tourne."
Je me mets de dos, jambes écartées et je me penche en avant, pour que tout le monde puisse voir que... je suis une fille. Ensuite, je reprends la pose de face. Foxy m'a appris à faire ça.
"Voilà comme il faut se montrer!" dit Souad, "Allez-y!"
Je pense qu'elles ne vont pas le faire. Malgré tout ce qu'elle vienne de subir ces derniers jours, elles ne sont pas dressées comme moi!
Aah, si elles obéissent!
Et Souad joue avec elles... Elle est belle comme une chatte au soleil, jouant avec trois souris captives...
À suivre
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