A propos du groupe

La masturbation est une pratique sexuelle en solitaire ou à plusieurs, consistant à provoquer l'éjaculation ou le plaisir sexuel par la stimulation des parties génitales ou d'autres zones érogènes, généralement à l'aide des mains, ou parfois d'objets tels des godemichets ou autres jouets sexuels. Les variantes sont donc très nombreuses, et sans aucune discrimination. Il est évidemment important de ne pas oublier lors de ces pratiques de prendre toutes les précautions nécessaires pour se protéger des MST. Ceci étant dit, faites-vous plaisir.

Orion  ☀️ ☯️
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Switchloicdebutant
situation qui fait envie, les mains bloquées dans le dos un lien ? le sexe sollicité énergiquement, j'imagine les paroles lui interdisant d'éjaculer pourtant avec autant de sollicitations, voir cette chatte poilue le pauvre quelle frustration
J'aime Il y a 5 heure(s)
Mr mornigStar
Bien le bonjour à tous. Quel plaisir cela va être pour ma part de pouvoir lire vos récits et échanger avec vous. Très bonne journée à tous.
Yolaine
Le bdsm soft c’est du jeu, le bdsm hard c’est une philosophie du sexe. Le corps au service de l’esprit"
Isela
Manon, en sous-vêtements devant sa penderie ouverte, se demande quelle tenue elle va choisir. Ce n'est qu'un dîner, seule avec ses parents, mais cette jolie brune veut se sentir belle pour fêter avec eux ses 18 ans. La majorité, ce n'est pas rien pour cette jeune fille très conventionnelle. Son éducation catholique, bien que Manon ne soit pas pratiquante, conjuguée à une grande timidité naturelle, ne l'a pas poussée hors des sentiers battus. Elle n'a même pas fait de crise d'adolescence, c'est tout dire ! Elle reste très perplexe pour choisir sa tenue. Elle ne se sent pas bien dans son corps qui est pourtant d'une belle finesse, avec des courbes harmonieuses et de longues jambes. La couleur noisette de ses yeux lui donne un regard coquin, qui ne correspond cependant pas à son comportement. Elle pourrait se comparer à ses mannequins qui font la couverture des journaux féminins si il n'y avait cette poitrine qu'elle trouve trop grosse. C'est assez incompréhensible car elle ne fait pourtant qu'un 85C, mais cela reste son complexe. Elle finit par choisir une petite robe d'été, très courte, qui met bien ses jambes en valeur, mais dont le haut est au ras du cou, devinez pourquoi ! Manon est heureuse de partager ce moment avec ses parents qui sont tout pour elle, fille unique. Elle est très proche de Nathalie, sa mère, qui se comporte souvent avec elle comme une grande sœur. Eric, son père, est de vingt ans plus âgé que Nathalie. Il vient juste de prendre sa retraite après une activité de chef comptable dans une grand entreprise. Manon, il y a peu de temps, avait osé interroger sa mère sur cette différence d'âge. Nathalie lui avait alors répondu : « C'est simple, ma fille. A la quarantaine, un homme marié a souvent envie d'aller voir ailleurs pour en trouver une plus jeune. Alors, si tu choisis un vieux, tu évites le problème », ajoutant après une petite hésitation et sur le ton de la confidence : « Et puis, ils sont en général ... euh ... plus agréables au lit que des jeunes fougueux mais peu expérimentés. Ces hommes murs sont parfois plus ... coquins. J'ai peut-être tort de généraliser, mais, pour ton père, c'est le cas. » Manon avait rougi en entendant ça, mais elle avait bien enregistré. Ce soir, elle est heureuse de partager ce dîner avec ses parents, car elle va bientôt s'installer dans un petit studio, à Rennes, près de l'université et aura moins l'occasion de les voir. Aller de Pleinmar, où ils habitent sur la côte bretonne, à Rennes, matin et soir, aurait été très fatigant pour elle. Ces parents lui ont donc loué un petit studio, qu'elle partagera avec une autre étudiante, leurs moyens étant limités. Manon souhaiterait devenir professeur de musique, elle qui a commencé avec beaucoup de plaisir à apprendre le violon. Après le dîner et le gâteau d'anniversaire, c'est le moment des cadeaux. Manon découvre un magnifique violon et, heureuse, remercie ses parents en leur sautant au cou. Sa mère lui dit alors : « Nous t'offrons cet instrument en commun, mais nous avons voulu aussi choisir chacun un petit cadeau personnel », lui tendant un paquet dans lequel Manon trouve un pupitre moderne qui permet un éclairage des partitions par batterie. Manon embrasse de nouveau sa mère, alors que son père lui tend un autre paquet, en disant : « Ce sera pour ton premier concert, ma chérie. » Cette fois, il s'agit d'une robe longue, noire, probablement assez moulante, faite dans un tissu très fin. En la faisant tourner devant elle, Manon remarque une fente, qui lui paraît raisonnable, le long de la jambe, mais surtout un décolleté en pointe qui plonge presque jusqu'à la taille. Elle ne peut alors que laisser ses joues s'empourprer. Comment pourrait-elle porter un vêtement si indécent? Sa surprise passée, Manon vient de nouveau embrasser son père, ce qui la fait rougir une fois de plus, car le baiser ne s'est pas fait sur la joue, mais au coin des lèvres. Aurait-elle bougé sans s'en rendre compte ou serait-ce lui qui...? Manon n'a aucune certitude, alors qu'elle entend son père dire : « Tu pourrais peut-être nous faire un essayage? » Sa mère prend la suite en disant : « Viens, ma chérie, je vas t'aider à la passer. » Lorsqu'elle sont dans la chambre, Manon, qui vient de retirer sa robe d'été, questionne sa mère : « Cette robe du soir est très belle, mais ... un peu trop ... » « Oui, sexy », complète Nathalie. « L'avais-tu vue avant? », questionne Manon, alors que sa mère répond négativement, rappelant qu'il s'agit d'un cadeau personnel, ajoutant en riant : « Ma fille, les hommes sont tous des cochons ... même ton père. » Manon voit évidemment qu'il est impossible de garder un soutien-gorge sous cette robe qu'elle enfile, le buste nu. « Oh, on voit trop mes seins ... qui sont si moches ! », fait remarquer Manon. « Pourquoi dis-tu ça? Ils sont magnifiques, ma chérie », rétorque sa mère. « Ils sont trop gros et, tu vois, ils pendent même un peu », insiste Manon. Cette remarque fait réagir Nathalie : « Là, tu as tort, ma fille. Les mannequins dont la poitrine est toute petite sont là pour faire acheter des robes par les femmes. Les hommes n'ont pas tous envie de ces petits seins parfaitement ronds. Un peu de volume, avec une certaine mouvance, leur fait bien plus d'effet, crois-moi. » Manon enfile la robe puis se regarde dans la glace, ce qui lui fait dire : « De profil, on voit mes seins presque jusqu'aux pointes ! » « Et bien, pour jouer du violon, tu te tiendras de face », répond sa mère en riant, ajoutant après un coup d'œil sur la tenue : « Avec une robe si moulante, on voit trop la marque de ta culotte. Ça gâche tout ! » Immédiatement Nathalie passe ses mains par la fente de la robe et lui retire le sous-vêtement incriminé. Manon, choquée, n'ose cependant pas protester et elles reviennent dans le séjour. Leur arrivée est saluée par un père qui suffoque presque à la vue de sa fille : « Tu es magnifique, Manon ! » Gênée, celle-ci s'active en positionnant son nouveau pupitre et en y plaçant une partition, avant de prendre son violon. Dès qu'elle joue, elle a l'impression de donner un premier concert privé dans cette tenue de soirée. Elle a oublié ses craintes, jusqu'au moment où son père se lève, s'approche d'elle, se plaçant de côté. Manon voit bien que le regard de son père plonge dans son décolleté et c'est la raison d'une première fausse note. Sa gêne s'est curieusement accompagnée d'une humidité nouvelle entre ses cuisses qui lui fait même, à son corps défendant, bouger un peu tout en jouant, se penchant légèrement pour laisser voir, de profil, un téton qui durcit instantanément. Son émoi provoque une série de fausses notes, qui lui font dire : « Je n'y arrive pas. J'arrête. Merci à vous deux. Je vais me coucher. » Manon embrasse ses parents avant de les quitter. Cette fois, le père comme la fille ont envie de refaire un baiser furtif juste au coin des lèvres, mais, comme chacun tourne un peu la tête pour y arriver, c'est un vrai baiser sur la bouche qui en résulte pendant une courte seconde. Dans sa chambre, Manon enlève sa belle robe et, pour la première fois, se glisse nue sous les draps, décision qu'elle justifie par la chaleur de l'été. Sa main descend vers son pubis pour caresser un clitoris bien excité et faire glisser un doigt entre des lèvres vulvaires bien mouillées. Manon n'a pas eu de relations sexuelles avec des garçons de son âge, qu'elle trouve complètement immatures. Elle voit en son père l'homme idéal, tout en sachant qu'il lui est inaccessible. Son éducation lui interdit même de telles pensées. Cela fait déjà longtemps qu'elle se caresse comme elle le fait ce soir. C'est le seul plaisir physique qu'elle s'autorise. A 18 ans, elle est, contrairement à nombre de ses copines, encore vierge, mais ce retard ne l'a pas gênée jusqu'ici. Dans la chambre voisine, Eric et Nathalie se sont couchés, nus également, mais la chaleur n'en est pas la raison première. Ils sont tous deux très excités. Nathalie commence à sermonner son mari avec un petit sourire qui atténue bien ses reproches : « Tu t'es bien rincé l'œil en regardant ta fille dans cette robe, mon cochon. Je suis certaine que, lorsque tu as acheté ce vêtement, ton choix n'a pas été innocent. Tu crois que je n'ai pas vu ton baiser sur la bouche de ta fille ! Tu n'as pas honte? » Eric ne trouve rien pour se justifier devant sa femme qui, posant sa main sur le sexe de son mari, découvre qu'il bande comme jamais, aussi dit-elle : « Mais, en plus, on dirait que ça t'excite vraiment ! Tu imagines des cochonneries avec ta propre fille. Tu es un gros pervers ! » « Je ne suis pas le seul à trouver ça excitant, n'est-ce pas? », répond-il en plaçant sa main sur la chatte trempée de sa femme. « C'est vrai », confirme Nathalie, « c'est même moi qui lui ai retiré sa petite culotte sous sa robe, alors que ce n'était pas vraiment indispensable. C'était pour toi, mon chéri. Ça nous excite tous les deux, mais il n'est pas question d'aller plus loin sur ce terrain dangereux. Si cela reste un fantasme, nous pouvons le partager. » Lorsque son mari lui écarte largement les cuisses et lui fouille la chatte de sa langue, Nathalie s'écrie : « Oh, papa, ça n'est pas bien ce que tu fais là. » « Oui, mais je sens que tu aimes ça. Tu es déjà trempée, comme une vraie cochonne », répond-il. De l'autre côté de la cloison, Manon ne peut comprendre ce que ses parents disent, mais elle entend très bien les soupirs et cris de plaisir de sa mère. Ce n'est pas la première qu'elle se caresse ainsi en les écoutant faire l'amour, mais, cette fois, elle se sent beaucoup plus excitée. Après les regards et le baiser de son père, elle imagine que c'est elle qui se fait caresser par Eric, son amoureux. Quand Eric se place entre les jambes de sa femme et touche les lèvres de sa chatte avec son gland mouillé, Nathalie continue leur jeu pervers, disant : « Là, oui ! Tu peux même me pénétrer un peu, sans aller trop loin. Je suis encore vierge. Tu ne voudrais pas déflorer ta fille, tout de même ! » Avec un « han » rageur, Eric plante son sexe, d'un coup, tout au fond. « Oh ! Cochon ! Tu l'as fait ! », crie presque Nathalie, « Tu m'a fait mal... mais... ça devient bon, maintenant... très bon même. Oui, continue, vas-y fort ! » Eric se met à baratter le vagin de sa femme, qui l'accompagne en poussant son bassin vers lui, tout en hurlant presque : « Oui, vas-y ! C'est trop bon ! Défonce-moi, défonce ta fille ! » Manon, qui se fouille la chatte frénétiquement, a cru entendre le mot 'fille'. Parlent-ils d'elle en faisant l'amour? Cela lui paraît incroyable. Elle a sûrement mal entendu. Eric a maintenant ralenti le coït, dans des mouvements plus lents mais plus profonds. A chaque fois que son gland touche le col de l'utérus, il s'y arrête un moment, pressant bien, avant de reprendre ses mouvements. Nathalie lui recommande alors la prudence, lui murmurant à l'oreille : « Je n'ai pas de contraception et je suis au milieu de mon cycle. Il faut que tu te retires, tu le sais. » En s'exprimant ainsi, Nathalie a fait tout le contraire, poussant son ventre en avant, frottant le col de son utérus sur le gland qui est resté bien planté au fond. Tout à coup, elle sent une grosse giclée de sperme napper le fond de son vagin, alors que son mari hurle : « Là, je jouis en toi, je t'inonde de mon sperme, salope ! Je t'engrosse, Manon ! » Dans sa chambre, Manon a cru distinguer quelques mots comme 'sperme' et 'engrosse', sans être sûre qu'il s'agit bien de cela. Ce dont elle est certaine c'est qu'elle a entendu clairement son père crier son prénom, suivi d'un râle qui ne pouvait être que de jouissance. Comment mon père a-t-il pu m'associer à son orgasme, surtout en présence de ma mère? C'est ce qui l'intrigue et lui procure en même temps une excitation inconnue. Dans l'autre chambre, Eric et Nathalie récupèrent dans un tendre câlin amoureux. Leurs échanges ne sont cette fois que murmures. « C'était merveilleux. Ce fantasme nous a mené à des sommets, n'est-ce pas? », dit Nathalie, qui entend son mari répondre : « Oui, il faudra recommencer bientôt. » Nathalie trouve utile de préciser : « S'il n'y avait pas eu ce préalable avec Manon, peut-être aurait-ce été moins bon. Qu'en penses-tu? » « Oui, tu as raison », répond Eric, « si nous refaisons à peu près la même chose, ce sera moins excitant, c'est certain. Ne pourrions-nous pas envisager ... comment dire ... une certaine escalade? » Nathalie ne peut que réagir vivement : « Oh, cochon ! J'ai honte de me sentir excitée en t'entendant dire ça. » Elle ajoute après un moment : « Bon, nous verrons. En attendant, je vais lui proposer d'aller consulter pour se faire prescrire la pilule. Je ne voudrais pas qu'elle tombe enceinte si jeune, si elle rencontre un garçon de son âge ... ou ... quelqu'un d'autre. » « Tu as encore raison », concède Eric, « mais cela rompt un peu le charme. » « Tu es vraiment trop pervers ! », s'énerve Nathalie, ajoutant amoureusement : « Mais c'est pour ça que je t'aime. » Alors qu'ils s'endorment, heureux, Manon est si excitée qu'elle n'a pas trouvé le sommeil. Elle a été proche de la jouissance plusieurs fois en écoutant ses parents. Elle a même eu des mini-orgasmes, mais visiblement rien de comparable à ce qui a fait hurler de plaisir ses parents. Que lui a-t-il manqué? En y repensant, elle se dit que c'est probablement la pénétration par un sexe, gros et long de préférence, comme elle imagine celui de son père. Elle ne va pas se donner à un jeune qui lui gâchera certainement son plaisir. Son père lui conviendrait, mais c'est simplement impensable. Ce serait un tel péché ! Manon, si excitée, n'a pas envie d'attendre. C'est maintenant qu'il lui faut un sexe en elle. C'est le moment, elle le sent. Comme elle a toujours pris plaisir avec ses seuls moyens, Manon pense que quelque chose qui ressemblerait à un sexe bien dur pourrait lui apporter ce plaisir qu'elle attend. Elle a dans sa trousse de toilette une grande brosse à cheveux qui pourrait convenir. Le manche est assez gros et long. Manon s'en empare et en frotte l'extrémité sur sa vulve, passant entre ses lèvres sans difficulté tant elles sont mouillées. D'une main, elle le fait pénétrer un peu dans son vagin, alors que, de l'autre, elle continue d'exciter son clitoris. C'est à son père qu'elle pense en faisant remuer la brosse, aussi dit-elle : « Allez, papa, vas-y, plus loin, plus vite ! » Ces mouvements se font plus profonds et plus rapides, aussi perd-elle le contrôle, perforant douloureusement son hymen. La douleur ne la fait pas ralentir car ses lectures lui ont appris que le plaisir venait vite ensuite. Manon atteint bientôt une forte jouissance qui lui était jusque là inconnue, alors qu'elle crie : « Papa, tu m'as déflorée. Je t'aime. La prochaine fois tu jouira en moi ... pour ... m'engrosser. C'est ça que tu veux, n'est-ce pas? » Heureusement son cri n'a pas été entendu par ses parents qui dorment profondément. Depuis déjà deux mois, Manon s'est installée dans le studio de Rennes avec Clara, qui le partage avec elle. Les études se passent très bien, mais les soirées sont difficiles. Sa colocataire est une vraie nymphomane. Le premier soir, elle a déjà invité un étudiant qu'elle avait rencontré le jour même. Manon s'est sentie obligée de leur laisser le studio et est allée s'installer dans un café voisin, pour ne revenir qu'après la fermeture de l'établissement, et il lui a fallu cependant les interrompre dans leurs 'galipettes'. Cette soirée avait été difficile pour elle, car les clients du café s'étaient tous étonnés de voir une jeune fille comme elle, seule et restant des heures devant son verre. Elle avait été heureuse de voir que personne ne l'avait abordée, mais il n'était pas question qu'elle recommence. Il ne faut pas tenter le diable. Le lendemain, c'est un autre garçon qui s'est présenté. Là, Manon préfère rester, se mettant au lit sous ses draps et tournée vers le mur pour paraître discrète, ce que les deux autres ne sont pas. Manon, les entendant de si près, a du mal à rester indifférente. Elle les accompagne en se touchant sous ses draps. Les nuits se succèdent ainsi sans discontinuer, avec un nouveau partenaire de Clara chaque soir. Manon se demande comment sa cothurne fait pour tenir la distance. Il est vrai que, sur les bans de la faculté, Clara paraît le plus souvent dormir. Manon ne se sent pas beaucoup mieux, car un peu de sommeil lui manque chaque soir. Elle a appris à se faire du bien sans bruit, mais c'est extrêmement frustrant pour elle. Manon ne comprend pas comment on peut passer d'un homme à l'autre comme le fait Clara. Elle aussi aurait besoin d'un sexe en elle, pour faire mieux que le manche de sa brosse, qu'elle n'a même pas pu utiliser ici. Elle se contenterait d'un seul homme, s'habituant à son sexe en elle, appréciant aussi sa compagnie, une présence aimante, attentive à elle, en fait rien qui serait comme ces jeunes crétins dont Clara raffole. Manon se projette vraiment dans une vie future plus que classique, avec un mari et rien d'autre. Elle attendrait pour les enfants car elle se sent bien trop jeune, mais ce n'est qu'une question de temps. Pratiquement, il lui faudra cette contraception pour laquelle sa mère l'a encouragée. Trouver un amoureux, non, plutôt un mari, n'est pas si facile pour elle, puisqu'elle recherche un homme mûr, voire âgé ... en fait comme son père. Ici, elle ne rencontre que des garçons de son âge. Quelle misère ! Aussi a-t-elle commencé à visiter sur Internet des sites de rencontre, mais en tout bien tout honneur. Elle en a sélectionné un, y a mis un profil et une photo très banale, pas le moins du monde provocatrice. Pour l'instant, hormis quelques détraqués sexuels, il y a eu peu de réponse qui en vaillent la peine. Manon a donc mis ça sous silence pour quelque temps. Il est vrai que les vacances de Noël approchent et Manon va apprécier de retrouver ses parents, sa chambre de jeune fille et tout l'environnement de son enfance.
13 personnes aiment ça.
masque_gris
Texte délicieusement pervers et agréablement formulé. Les mots peuvent être des caresses qui , bien agencés, inspirent des envies à satisfaire d'une main...! Une suite s'impose car les vacances de Noël seront sûrement prometteuses...?
J'aime 15/11/24
NestorVenezia
Récit talentueux , qui sent le souffre..J'attends la suite avec fébrilité.
J'aime 15/11/24
Orion  ☀️ ☯️
17 personnes aiment ça.
Quel délice !
J'aime 14/11/24
Yolaine
Ça fait trois semaines que j’ai commencé ce nouveau boulot. En ville, dans une grande boîte, c’est déjà bien assez pour me déstabiliser, moi le gars de la campagne un peu asocial. Heureusement, l’accueil a été sympathique, et je commence à trouver mes marques. Le trajet bien relou en voiture, le costume qui me serre un peu, les e-mails incessants, décidément ce premier « vrai » boulot est plein de nouveautés pour moi. Je viens de finir mes études de comptabilité, et après plusieurs stages dans des petites boîtes près de chez moi, il a fallu que je me décide à prospecter en ville pour trouver un CDI. J’apprends donc, je m’adapte, et je commence même à me plaire dans cette nouvelle vie. Le seul détail qui me perturbe encore tous les jours, c’est une femme qui bosse dans le même immeuble que moi. Je la croise régulièrement dans les couloirs ou dans l’ascenseur. Une petite femme blonde aux yeux verts, la quarantaine, à la silhouette toute en courbes et reliefs, à la coiffure impeccable et aux lunettes qui lui donnent un air strict. Je ne peux m’empêcher de scotcher sur ses tailleurs, d’essayer de glisser un œil dans ses décolletés toujours trop sages pour que je distingue quoi que ce soit… Je ne sais pas pourquoi elle m’obsède autant, mais elle est mon rayon de soleil de la journée. Elle ne m’a jamais remarqué et je ne fais rien pour, car je ne saurais pas quoi lui dire. Je ne sais pas comment elle fait pour me rendre dingue, je n’ai pourtant aucun problème à aborder et à ... ... tenter de séduire les femmes, mais elle m’intimide par son élégance et sa froideur. Me voici donc, comptable à 26 ans, sorti de mon village et de mes potes d’enfance. Heureusement qu’il me reste l’escalade pour me défouler et évacuer tout ce stress citadin. Ce mardi matin, je suis dans l’ascenseur en train de réfléchir à ma prochaine sortie grimpette avec mes potes quand mon petit soleil entre dans l’ascenseur et se tient devant moi, apparition divine. Comme d’habitude je scotche sur ses formes, son fessier est rond, et a l’air ferme dans son pantalon de tailleur gris. Elle porte de jolis sneakers en cuir noir, sur lesquelles un lacet est défait. Elle s’en rend compte, et se baisse pour le renouer. Et là, je manque de m’étouffer car mon regard plonge dans son décolleté, et j’aperçois un très joli soutien-gorge bleu qui emprisonne une poitrine que je devine généreuse, très généreuse même. Immédiatement, je sens mon sexe commencer à se raidir dans mon pantalon. J’ai à peine le temps de le repositionner pour éviter la « tente » bien visible que les portes s’ouvrent, et un groupe rentre dans la petite cabine, nous obligeant à nous serrer un peu. Elle est maintenant juste devant moi, son cul d’enfer à quelques centimètres de mon érection qui continue à se développer. Je dois être tout rouge, j’ai le cœur à 10 000. Lorsque l’ascenseur redémarre, il a un petit à-coup, et elle perd l’équilibre, reculant pour se rattraper. Et c’est ainsi que son cul se retrouve collé à moi, appuyant sur mon sexe. J’ai maintenant une gaule d’enfer, il est impossible qu’elle ne sente pas ce qui se passe dans mon pantalon. Je m’attends à une belle gifle, voire un scandale en public qui pourrait me mettre dans une belle merde avec mon employeur. Je flippe donc, je sens la sueur couler sous ma chemise, je dois être plus rouge qu’une tomate. Mais elle ne bouge pas, même d’un millimètre. Son cul appuie contre mon sexe qui tressaute tellement je suis excité. Tout le reste de mon corps est tétanisé. Puis les portes de la cabine s’ouvrent sur son étage, et elle quitte l’ascenseur sans un regard en arrière. Je recommence à respirer. Avant de rentrer au bureau, je passe aux toilettes pour me passer un peu d’eau sur le visage et souffler le temps que mon érection se calme. La matinée se déroule normalement, et mon collègue Julien me propose de déjeuner au bar à salades en face de notre immeuble. Nous nous installons, et il commence à me raconter son week-end entre potes et la soirée qui lui a permis de finalement conclure avec la femme qu’il convoite depuis des semaines. Je l’écoute de plus en plus discrètement, car j’aperçois mon soleil qui entre dans le restaurant. Elle s’assoit, seule à table, à quelques mètres de nous, presque en face de moi. Je regarde son joli visage, ses lunettes rondes et sa coiffure tirée, son air strict, presque sévère malgré ses lèvres pulpeuses et ses yeux magnifiques. Je me force à reprendre le fil de la discussion et du repas, car après ... ... l’épisode de ce matin je ne veux surtout pas me faire remarquer. Mais lorsque je lève les yeux de mon assiette, je suis pris dans son regard comme un insecte devant une lumière. Elle me fixe, me vrille de ses yeux magnétiques. Je reste encore une fois incapable de réagir, je ne peux que baisser les yeux et faire semblant d’avaler de travers. — Ça va, mec ? T’es tout rouge ! — Non t’inquiète, je me suis étouffé sur ma salade c’est rien. — T’es sûr ? T’as l’air bizarre, ça va aller ? — Oui oui, laisse-moi respirer un peu, c’est tout. Le temps que je me remette de ça, elle s’est plongée sur son smartphone, et je passe le reste du repas à reprendre mes moyens. En sortant, nous passons juste à côté de sa table, mais elle ne lève pas les yeux. Nous retournons à nos tableurs et à nos analyses, lorsque je reçois un message sur mon téléphone, d’un numéro que je ne connais pas. Je recommence à flipper. J’ai dû me faire griller par un des autres occupants de l’ascenseur ce matin, et les conséquences pourraient être graves. Je réponds. — Pardon mais je ne connais pas ce numéro, qui êtes-vous ? Et je ne vois pas de quoi vous voulez parler. — Je suis sûre de ne pas me tromper de numéro, et j’ai bien senti ce que j’ai senti ce matin contre mon dos, donc c’est que j’ai affaire à un lâche. Est-ce que c’est vrai ? Est-ce que c’est elle ? Je recommence à suer, ça pourrait être un piège, et même si c’est bien elle, ça ne change rien au risque. Et si elle voulait une preuve pour me dénoncer ? Je dois faire très attention. Malgré la panique, je sens mon sexe qui recommence à gonfler, décidément je suis débile dès qu’il s’agit de cette femme ! Après quelques minutes sans que j’ose répondre, mon téléphone vibre à nouveau : — Alors on a perdu ses doigts pour répondre ? Tant pis. Je vais devoir en référer à ma hiérarchie. Si elle voulait me faire réagir, elle a parfaitement réussi. Je suis terrorisé. Je reprends mes esprits, et je commence à tapoter mon écran : — D’accord, c’est bien moi qui ai eu une érection incontrôlée ce matin, et j’en suis navré, cela ne se reproduira plus. Toutes mes excuses, — Bon, enfin un peu de courage ! Par contre est-ce que j’ai dit que je voulais que ça cesse ? Je suis déboussolé, mon cœur s’est arrêté quelques secondes avant de repartir beaucoup trop vite. Je ne comprends pas ce qu’elle veut. — Pardon ? — Bon, je vais être très claire : si tu veux que cette conversation continue, tu as 5 minutes pour m’envoyer une photo de ta bite prise dans les toilettes de ta boîte. Sinon j’efface ce numéro à 14 h 56, Mon sexe bondit dans mon caleçon. Moi qui ne suis pas d’un tempérament docile d’habitude, je suis sous l’emprise de cette femme. Je ne connais ni son nom ni sa voix, mais elle m’a ensorcelé en quelques mots écrits sur un écran. Je camoufle tant bien que mal mon érection, et je file dans les toilettes. À 14 h 56, la photo est envoyée. Quelques secondes plus tard, la réponse arrive : — C’était moins une ... ... mais au vu de cette queue, je garde ce numéro. Voici maintenant les règles : — Tu ne m’approches pas dans ce bâtiment, aucun contact, sinon tout s’arrête — Tu ne cherches pas à savoir qui je suis. Si j’apprends que tu as posé des questions sur moi, tout s’arrête. Tu m’appelles Ma Dame et tu me vouvoies. — Tant que tu fais ce que je demande, ça continue. C’est compris ? Je ne sais même plus comment je m’appelle. Si j’accepte, je ne sais absolument pas où je vais, mais mon cerveau bout de désir, et cette situation où je ne suis maître de rien m’excite. Si je refuse, je suis sûr qu’il ne se passera jamais rien avec elle, mais je ne prends aucun risque au niveau de mon boulot. Car au vu de sa requête, je pense que ses prochaines demandes seront plus osées et risquées. Je me lance. — C’est très bien compris Ma Dame. — Parfait, comme preuve de ton acceptation je veux que tu ailles déposer ton sous-vêtement dans les toilettes des femmes du 3e étage, dans le 3e box. Tu as 15 minutes. Je prétexte une pause clope, retourne dans nos toilettes, retire mon caleçon que je fourre au fond de ma poche. Je bande depuis une bonne demi-heure maintenant, et c’est maintenant beaucoup plus compliqué à cacher. J’y arrive néanmoins, et je descends vers les toilettes du 3e. J’attends quelques instants devant pour laisser sortir une éventuelle occupante, puis je rentre le plus discrètement possible et je me dirige vers le 3e box. Au moment où j’y entre, la porte s’ouvre et une voix féminine retentit. J’ai à peine le temps de fermer et de verrouiller la porte. La femme que j’entends est manifestement au téléphone, en mode haut-parleur car je peux écouter toute la conversation avec une autre femme. — Non, ça va, je passe une journée plutôt tranquille. Il fait beaucoup trop chaud, mais je ne finis pas trop tard donc ça ira. — Tu me rejoins tout de suite après le taf ? — Non, je vais repasser chez moi me changer. Je ne rêve que d’une chose, virer ce soutif qui me compresse depuis ce matin, je ne sais même pas pourquoi je l’ai encore celui-ci. — C’est lequel ? — Le bleu, celui qu’on avait acheté chez Aubade, il est très beau mais je crois qu’il est une taille trop petite. — Tu pourras me le donner du coup ! — Hahaha, on verra ça, mais il te conviendrait peut-être ! Par contre, le tanga sera trop grand pour toi ! — Ah parce que tu es toujours en ensemble même au boulot ? Jamais dépareillée ? — Tu me connais, je suis coquette ! Même si aujourd’hui il n’y a plus que le soutif ! — Ah bon ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ? — Rien, j’ai eu envie de me faire un petit frisson… je suis d’humeur coquine aujourd’hui, alors je l’ai retiré ce matin et depuis, c’est le délice des courants d’air ! — Ahahah ! Allez, amuse-toi bien et à tout à l’heure, on t’attend avec les filles. Elle a maintenant raccroché mais elle est toujours dans les toilettes, même s’il n’y a pas de bruit. Je vais devoir patienter un peu. Je me retourne pour m’asseoir le plus discrètement possible ... ... quand mon regard est attiré par… un tanga bleu posé sur la cuvette. Le choc me coupe le souffle. Ma Dame porte un soutif bleu, je l’ai vu ce matin. Elle vient de dire à sa copine qu’elle avait retiré le bas ce matin, ça serait donc elle qui est juste de l’autre côté de la porte ? Est-ce qu’elle a tout planifié ou est-ce qu’elle a profité de l’appel pour me torturer un peu ? Je vais pour sortir du box quand je me souviens de la première règle. Je reste donc immobile, le cœur battant, la queue prête à exploser. Après quelques minutes, je l’entends qui se dirige vers la sortie. Juste avant que la porte s’ouvre, elle parle à nouveau. — C’est bien, tu te souviens des règles, c’est apprécié. Puis elle disparaît. J’aurais au moins entendu sa voix. Je saisis immédiatement le morceau de dentelle bleue. Je ne peux m’empêcher d’y porter mon nez, et je respire une odeur de femme, puissante et agréable. Après une longue hésitation, je me décide et je garde le tanga dans ma poche. Je n’oublie pas de déposer mon caleçon sur la cuvette, puis je repars discrètement vers mon bureau. Par contre, cette aventure m’a fait perdre du temps, et je suis obligé de cravacher pour rattraper mon retard, et Ma Dame sort de ma tête. Pas pour longtemps. Il est 17 h, Je suis en train de ranger mes affaires avant de rentrer chez moi quand mon téléphone vibre. — Dis donc petit voleur, est-ce que tu avais l’autorisation de voler mon tanga ? — Pardon, Ma Dame, mais je n’ai pas pu résister. — Il va falloir que je t’éduque mon petit. Pour la peine, tu seras puni. Ton caleçon est sympa, mais je préfère nettement une bite en slip. Donc ce soir, c’est shopping pour toi ! Et profites-en pour acheter un rasoir et me nettoyer tout ça, tu as peut-être une belle queue mais je déteste les poils. C’est compris ? — Oui Ma Dame. — Très bien. Dernière chose : hors de question que tu ramènes mon tanga chez toi. Tu vas donc le déposer là où tu l’as trouvé. — D’accord Ma Dame. — Et je veux ton sperme dessus. Tu as 15 minutes. Cette femme est redoutable. Je me sens complètement impuissant, mais je crois que je n’ai jamais autant bandé en une journée. Je me précipite donc dans les toilettes du 3e, par chance l’étage semble vide. Une fois dans le 3e box, je sors ma queue et l’enveloppe dans la dentelle bleue. Je me masturbe ensuite furieusement, en pensant à toute cette journée surréaliste. Je jouis en quelques instants une quantité énorme de sperme. Je m’essuie dans le tanga et le dépose sur la cuvette, on ne voit même plus la dentelle par endroit tellement j’ai joui. C’est en repartant que je remarque que le box 1 est verrouillé. Je cours vers la sortie. Mince, j’ai failli me faire griller en pleine masturbation sur mon lieu de travail ! Ce jeu est définitivement dangereux, j’espère que la femme dans les toilettes ne m’a pas reconnu, car j’ai été quelque peu bruyant dans ma jouissance. Je me dirige vers une galerie commerciale. Ma Dame a raison. Mes caleçons unis, larges, ça ... ... fait longtemps qu’il fallait que je les change. Je rentre donc dans une boutique de lingerie, et je demande à voir ce qu’elle propose pour les hommes. Je choisis plusieurs slips blancs et gris, ainsi qu’un boxer ultra-fin noir. Enfin, sans trop réfléchir, j’achète un slip en mailles noir très transparent. Je n’ai jamais porté ça mais je ne veux pas mourir idiot comme on dit. Je continue mon shopping et suis en train de payer le kit de rasage intime (une autre première pour moi) quand je reçois un nouveau message. — Eh bien, il faut croire que tu aimes ça, au vu de la quantité de sperme sur mon tanga — Il faut croire que oui, je dois dire que tout ça est très étrange pour moi. — Tu vas t’y faire, ne t’inquiète pas, et si tu es sage tu ne le regretteras pas, sois-en sûr ! — Je l’espère vraiment. — Bonne soirée, mon petit voleur, attention avec le rasoir ! Sur la route du retour à mon appartement, mon cerveau fait des bulles, je ne comprends pas ce qui m’arrive. Je me laisse complètement manipuler par une femme dont je ne sais presque rien. Et j’adore ça. Rien que de penser à cette journée, je sens mon sexe gonfler dans mon pantalon. Arrivé chez moi, je commence par le rasage. Je prends tout mon temps car je ne l’ai jamais fait, mais je suis plutôt content du résultat. Mon sexe, déjà plutôt imposant, donne l’impression d’être énorme. Il est tout doux, et je pense que je vais garder cette habitude. Je me décide à lui envoyer un message. — Ça y est Ma Dame, je me suis rasé. Et je voulais vous remercier, car j’aime bien cette sensation. — C’est bien, mais par contre, nouvelle règle, ce n’est pas toi qui m’écris, tu n’as que le droit de répondre. D’accord ? — Oui Ma Dame. — Bien. Mais comme tu m’as écrit ce soir, tu n’auras pas de nouvelles demain. Et interdit de te branler d’ici à ce que je t’écrive à nouveau, j’espère que c’est clair. Bonne nuit — Bonne nuit à vous Ma Dame. Je passe la soirée à repenser à tout ça, j’ai besoin de faire le point. Après mûre réflexion, je décide de jouer le jeu à fond, et d’impressionner Ma Dame jusqu’à ce qu’elle craque et m’invite chez elle. Je bande comme un taureau, mais son interdiction est restée dans ma tête, et je me couche sur la béquille. Le lendemain, vêtu d’un slip blanc serré sur mon sexe glabre, je monte dans l’ascenseur vide, les pensées occupées par ma journée de travail. Au moment où les portes se ferment, une main finement manucurée se glisse entre les portes, et Ma Dame se faufile juste devant moi sans me jeter le moindre regard. Je suis pétrifié, je ne sais pas comment réagir. Mon sexe lui bondit dans mon slip, ce qui m’arrache une petite grimace car cela serre beaucoup plus que mes vieux caleçons. Elle me tourne le dos, m’ignorant complètement. Elle descend au 3e, et je continue vers mon étage, déçu, excité, frustré, la queue douloureuse dans mon slip. L’ascenseur émotionnel par excellence. Ma journée se passe normalement, même si j’ai un peu de mal à me concentrer, et ... ... que je ne peux m’empêcher de sourire en allant aux toilettes. Je rentre chez moi, un peu triste de n’avoir pas eu la moindre attention de la journée. Je me couche tôt ce soir-là, toujours sur la béquille… Au réveil le lendemain matin, un message m’attend déjà sur mon téléphone : — Aujourd’hui, tu viendras nu sous ton pantalon au travail. Attends le reste de mes instructions. — Bien Ma Dame. Vers 10 h, juste quand tous les employés commencent à prendre un café et que je remonte de ma pause clope, ma poche vibre : — Je veux une photo de ton pantalon ouvert sur ta bite bien bandée sans que tu bouges de ton bureau — Mais je travaille en open space ! — Tu crois que je ne le sais pas ? Tu as 15 minutes. — Mais comment je vais réussir à bander dans cette situation ? — Regarde dans ton tiroir du bas Je l’ouvre, et je découvre et je découvre une culotte blanche plutôt sage, mais avec une grosse tâche d’humidité sur le devant. Je la prends au creux de mon poing, et alors que des collègues sont autour de moi, je la sens. C’est trempé, et ça sent son odeur. Mon sexe frotte contre mon pantalon immédiatement, je bande à mort. Elle est diabolique ! Elle a réussi, pendant ma pause clope, à déposer une culotte trempée de mouille dans mon tiroir, sans que personne ne s’en rende compte. Mais comment a-t-elle fait pour que sa culotte soit trempée ? Je suis soufflé par les talents de Ma Dame. Je regarde autour de moi, personne ne regarde dans ma direction, ni ne se dirige vers moi. J’ouvre mon pantalon, sors mon sexe au maximum, et je prends une photo le plus vite possible. J’ai à peine le temps de poser mon pull sur ma queue bandée qu’une collègue passe juste devant moi, me saluant avec un sourire. J’arrive tant bien que mal à ranger tout ça, et j’envoie la photo. — J’ai failli attendre… Mais c’est bien, tu as bien obéi mon petit voleur. — Merci Ma Dame. — Tu aimerais pouvoir te branler, j’imagine ? — Oui Ma Dame, j’ai un peu mal aux testicules à force de bander. — Va dans le 3e box te branler dans ma culotte, fais comme la dernière fois. Je descends donc au plus vite vers les toilettes des femmes du 3e. Je rentre dans le box et m’enferme, j’ai bien vérifié, il n’y a personne. Au moment où je suis en train d’envelopper ma queue dans le tissu humide, un nouveau message. C’est une photo. On y voit une chaise de bureau dans un open space, et deux jambes écartées dévoilent une vulve rasée brillante d’excitation, avec une main manucurée qui écarte les grandes lèvres au maximum. — Je dois avouer que ton efficacité m’étonne. Voici pour te féliciter. Maintenant, remplis ma culotte de foutre et laisse là dans les toilettes. Je commence alors à me masturber rapidement, la photo de cette superbe chatte sous les yeux, je m’astique à toute vitesse. Mais alors que je sens ma jouissance monter, j’entends la porte s’ouvrir et plusieurs femmes entrent dans les toilettes. Elles discutent entre elles alors que l’une d’elles entre dans le box à ... ... côté de celui où je me tiens la queue à la main. Et alors que mon excitation retombe et que mon inquiétude augmente car cela fait déjà quelques minutes que je ne suis pas à mon poste, je vois soudain un soutien-gorge glisser par terre provenant des toilettes à côté. Je le prends à la main. Un soutif blanc tout simple, qui complète la culotte que j’ai autour du sexe. Je n’en reviens pas. Elle est là, à discuter avec ses collègues d’un dossier administratif, et elle sait parfaitement que je suis à côté, c’est elle-même qui me l’a ordonné. Je reprends ma masturbation en évitant de faire le moindre bruit. La jouissance remonte très vite, mais je ne sais pas si je dois jouir dans la culotte ou dans le soutif. Trop tard, j’ai juste le temps de poser le bonnet devant mon gland qu’un torrent de sperme s’en échappe. Je réussis à ne pas gémir en me mordant la lèvre. Autour de moi la discussion continue, Ma Dame est toujours dans les toilettes. Je regarde alors la culotte toujours autour de mon sexe, et le bonnet du soutien-gorge qui est complètement maculé de foutre, il y a même une petite flaque de liquide dans le fond. Ce ne sont pas les instructions que j’ai reçues, mais c’est trop tard. Je glisse alors les deux sous-vêtements sous la cloison de séparation. Deux minutes plus tard, j’entends la chasse d’eau, puis les femmes retournent à leur bureau, et je peux enfin retourner bosser, mais avec une certaine appréhension quant à la réaction de Ma Dame.
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Koala13
Encore ❤️🤤😋
J'aime 05/10/24
A quand la suite ?
J'aime 05/10/24
Wowwww !
J'aime 05/10/24
NestorVenezia
Très sympa ce récit. Félicitations
J'aime 11/10/24
minidoc
une belle envie d y passer
J'aime 20/10/24
Koala13
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J'aime 20/10/24
Draagoo
Merci Madame pour ce récit si existant dans tous les sens du terme. Je me suis vite mais dans la peau de ce jeune homme. La suite va être ennivrante.
J'aime 11/11/24
Orion  ☀️ ☯️
Koala13
J’aimerais tant trouver une telle personne à proximité de chez moi !!! 😍
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Koala13
Je recherche une partenaire féminine, mais merci pour la proposition !
J'aime 22/10/24
Maîtresse Elsa
Celui qui veut dispenser la lumière doit connaître les ténèbres qu’il est amené à éclairer.
8 personnes aiment ça.
CYRUS dsl
Jésus revient seulement à partir du 25 décembre
J'aime 21/10/24
Koala13
Délicieuse !!! 😍
J'aime 21/10/24
Une incantation d une maîtresse...
J'aime 21/10/24
Jebru59
Maîtresse Elsa qui est de Cognac a peut-être été allumée par quelques effluves d'alcool locales...qui sont souvent source d'inspiration. Elle veut dire je pense, que la connaissance profonde d'un domaine méconnu, nous apporte une vérité différente et particulière par l'expérience qu'on en fait .
J'aime 22/10/24
Jebru59
Mon commentaire a été fait avec modération, en toute sobriété et sans volonté de déplaire, afin d'éviter un courroux éventuel de Maîtresse Elsa à mon sujet.
J'aime 22/10/24
minidoc
et seuls les fèlés laissent passer leur lumière intérieure
J'aime 22/10/24
Isela
Comme j’aimerais pouvoir BAISER… Oh, comme j’ai envie d’une grosse bite épaisse tout de suite, ou mieux encore, de deux, trois, quatre ou dix bites en érection d’amants habiles pour me baiser dans tous les trous toute la journée… Et une fois de plus… Je veux du sperme chaud et délectable dans ma langue… Détache-moi, et je vais immédiatement aller mordre tout le monde ici, et me précipiter là-bas vers les mâles, tous ceux qui voudraient me baiser, qui voudraient mettre leurs énormes bites dans ma chatte, parce que j’en ai tellement envie. Détachez-moi, détachez-moi ! !! » Marie était transportée dans une institution pour individus exceptionnellement agressifs et obsédés par les idées sexuelles. Elle était attachée dans une camisole de force et bâillonnée. Parfois, des mesures spécifiques sont utilisées pour empêcher ces patients de se blesser ou de blesser les autres. Même si Marie n’est pas très agressive, elle tente tout de même de s’échapper. Le personnel médical qui la sert doit être composé de femmes puisqu’elle tente de séduire les aides-soignants et les médecins. Le véhicule l’a transportée avec ses compagnons jusqu’à l’établissement. Là, ils attendaient déjà son arrivée. Marie, âgée de 23 ans, a une libido robuste et est sexuellement active. Recommandation : elle devrait éviter les hommes. Après avoir terminé l’examen, le jeune médecin l’a mis de côté. Une belle jeune femme aux cheveux noirs bouclés l’observait. Elle avait l’air attirante et suppliante avec des yeux qui juraient de rendre la pareille au libérateur de toutes les manières imaginables et inconcevables. C’est ainsi que les patients fraîchement arrivés à sa pension de famille voient le médecin chevronné. Allez, mon beau, détachez-moi et retirez le bâillon de ma bouche, et je le recouvrirai instantanément de votre sexe. Je le sucerai, avalerai les excréments de ton médecin, puis le sucerai à nouveau… Je veux que vous me baiser dans le cul maintenant, alors s’il vous plaît baiser moi … » Le médecin a regardé les aides-soignants. Il n’y avait qu’une seule dame qui s’occupait des patients dans la pension de famille, et c’était son jour de congé ; bien sûr, personne ne recruterait plus de personnel pour le bien d’un seul patient. « Amenez-la dans la salle d’examen », a ordonné le médecin aux aides-soignants. Alors qu’il prenait instantanément la jeune fille dans ses bras, elle s’est mise à sangloter, comme tout le monde. Elle criait, mais personne ne pouvait ou ne voulait comprendre ce qu’elle disait. Même si elle le voulait, il était difficile de comprendre ce qu’elle disait à cause du bâillon qui couvrait complètement ses lèvres. De toute évidence, elle parlait de sexe et demandait à être baisée immédiatement. Comme elle n’avait pas été touchée par les mains d’un homme depuis des semaines, elle a très probablement ressenti une excitation et un désir intenses à ce moment-là, et elle a peut-être même joui. Dans la salle d’examen, elle a été placée sur une chaise d’où elle ne pouvait pas se lever. Le médecin a salué Marie et a demandé à l’aide-soignante d’ouvrir la bouche de la jeune fille. – « Bonsoir, docteur », a-t-elle résisté en lui accordant des faveurs sexuelles de manière agressive. Marie avait auparavant libéré ses lèvres et attendait maintenant la libération de ses membres et de ses jambes pour s’enfuir. – Quelles sont vos émotions ? Fatiguée par les voyages ? – Bien sûr, docteur, j’aimerais m’allonger maintenant. S’il vous plaît, allongez-vous avec moi ; vous pouvez amener un compagnon. Ces déclarations ont fait que les aides-soignants se sont regardés les uns les autres et ont commencé à grimacer. De toute évidence, ils se rendraient dans la chambre de cette beauté dès que le docteur rentrerait chez lui, ce qui était imminent. L’histoire selon laquelle ils étaient sur le point de mettre au monde une femme atteinte de la rage utérine, qui ne refusait jamais personne, circulait depuis longtemps entre les murs de cet établissement. De telles femmes ne sont pas rares ; néanmoins, Veronica se distingue par sa jeunesse et sa beauté. Une célébrité sur Instagram, comme on dit. Jeune, athlétique et naturellement attirante, elle capte l’intérêt des hommes de tous âges. Dans les fantasmes de tous ceux qui les voient, ses lèvres pleines ornent le haut de son pénis. En général, les dames âgées et les femmes excessivement peu attirantes présentant les symptômes de Marie sont admises, mais les aides-soignants leur rendent visite par désœuvrement. Marie est un cas unique. Aujourd’hui, personne ne passerait devant une telle femme, et tous les hommes du bâtiment entreraient dans sa chambre. – « Oui ? « , dit le médecin, « et qu’allons-nous faire avec le petit lit ? » – Si vous voulez qu’il soit rétréci, je le ferai pour vous, docteur. Vous pouvez me pincer les reins comme bon vous semble. Ou je ferai le contraire et je le resserrerai. Ce sera exactement comme vous le voulez, docteur. En entendant cela, l’enthousiasme de Marie a augmenté. Elle ne pouvait plus s’asseoir droit et se balançait continuellement d’avant en arrière sur le coussin de la chaise avec ses fesses. Son pantalon lui irritait légèrement l’entrejambe et elle était prête à jouir. – Marie, n’as-tu pas simplement envie de dormir, de lire un livre ou de regarder la télévision ? Voudrais-tu mettre de la pornographie pour moi ? Nous pouvons faire pire que dans les films, docteur. Elle désigna les mâles qui salivaient déjà devant cette beauté et dit : « Il est évident que les aides-soignants ne veulent pas examiner la profondeur de mon vagin, alors pourquoi pas vous, docteur ? C’est ce que je demande. Docteur, baiser moi Les aides-soignants se sont regardés avec colère et ont tenté de faire une grimace pour indiquer que la fille mentait, mais il était évident qu’ils étaient tous deux en train de développer des bites à cause de tout ce bavardage. Le médecin a regardé chacun des aides-soignants avant de reporter son attention sur Marie. « S’ils tentent d’avoir des relations sexuelles avec vous ce soir, ils seront licenciés immédiatement. Vous n’êtes pas venue ici pour être affligée, mais pour apprendre à la contrôler. Les portes de la salle seront fermées à clé, et seule Marta en aura la clé, » dit le docteur aux aides-soignants. Qui assumera la responsabilité du service demain matin ? Moi. Et personne, pas même nous deux, ne pourra se faufiler dans votre chambre. Dans quelques mois, vous devriez vous sentir soulagé. Oh, avec Marta, quel que soit son nom… Vous voulez nous baiser toutes les deux simultanément, Docteur. Je n’ai aucune objection, mais je ne veux pas partager votre bite avec Marta. Cependant, je m’en remettrai si je peux avoir votre bite en moi. Docteur, pourquoi est-ce qu’on parle tous ensemble ? Permettez-moi de vous sucer maintenant, de défaire ma braguette et vous, » dit-elle en se tournant vers les aides-soignants, « de me détacher ! Évidemment, personne ne l’a détachée. Ce débat n’a pas duré longtemps, car on a immédiatement injecté à Marie des somnifères et une ceinture spéciale a été placée autour de son minou chaud, empêchant toute possibilité d’activité sexuelle.
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Koala13
J’ad
J'aime 18/10/24
daniela_soumise
a partagé une photo
Souvenir de la MDT.
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Soumise trav
C'est la récompense pour la soumise
J'aime 15/10/24
daniela_soumise
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Travail anal.
J'adore me masturber en cam devant vous mesdames, et je me fais une ejac faciale a la fin! :)
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CocuEnviePassif
Moi aussi j'ai essayé de me faire ejac facial... J'ai pa réussi à vise8. M'en suis mis partout lol
J'aime 19/09/24
CocuEnviePassif
C'est pas moi.. Mais j'ai essayé dans cette position
J'aime 19/09/24
1f604.png question d'entrainement 1f609.png
J'aime 19/09/24
Chocolat
J'arrive avec un regard de femme. Les salopes me demandent en club
J'aime 29/09/24
Soumisxa
a partagé une photo
Je suis devenu ( selon Maîtresse) un excellent masturbateur et donneur d’orgasmes … étant soumis et encagé permanent ( hormis quelques « sorties « autorisées par Maîtresse, au terme de 6ou 8 semaines) , que ce soit de mes doigts , de ma bouche ou à l’aide d’accessoires. Maîtresse attend de moi le maximum….
Candela
Trop de liberté fait peur aux gens, certains s'en débarrassent comme on se décharge d'un poids trop lourd, c'est pourquoi il y a des dominés et des dominants
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La liberté ultime au contraire n'est elle pas dans l'offrande de sa soumission, de choisir le dominant à qui la femme va s'offrir corps et âme? Sans les soumises qui s'offrent, il n'y a aucun dominant...
J'aime 16/09/24
Vos échanges sont trés intéressants. Ce qui fait peur dans la liberté c est que l on se retrouve face à soi même, et l on est obligé d affronter qui l on est, pas de mensonge possible, pas d échappatoire, pas d obligation. La soumission peut dans certains cas être un prétexte pour ne pas s affronter soir même.
J'aime 17/09/24
@ Socrate Effectivement, j'ai connu une soumise qui tentait d'échapper à ses propres fantômes en se lançant dans une énième relation d/s vouée à la échec, puisqu'elle n'était pas stable psychologiquement et émotionnellement. Elle est toujours suivie, et me manque toujours beaucoup. Je ne peux effectivement qu'approuver votre remarque. 🙏
J'aime 17/09/24
Je serai intéressé d avoir des explications sur les motivations d une femme dominatrice? Outre l argent, ou des raisons basiques, si une dominatrice pouvait exprimer ses motivations dans cette suite de message je serai preneur ?
J'aime 18/09/24
###PROFIL BANNI###minahd
bonsoir le monde, je me présente je m’appelle Youssra j’ai 26 ans et je préviens je suis très très dominatrice, ditent pour ce que vous aimez 🫢🫢
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Koala13
Dommage tu habites trop loin !!!
J'aime 12/09/24
###PROFIL EN SOMMEIL###——
Je propose une séance de masturbation en ligne ;)
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novicesoumis
Bonjour Legoat, tu la propose quand cette séance?
J'aime 31/08/24
J'aimerais bien participer aussi
J'aime 08/09/24
👍
J'aime 10/09/24
Orion  ☀️ ☯️
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Mandrin
Sublime cliché
J'aime 05/09/24
Bonjour à toutes et à tous nouveau sur le site, Situé à mi chemin du 54 et 88 j'aime particulièrement la masturbation de ma partenaire soumise à mes désirs, alternant plaisir et frustration de l'orgasme. Jeu finissant par un plaisir intense pour les deux bien évidemment. Si une femme du secteur souhaite se soumettre et partager des moments de plaisir basés sur le respect et les écoute de ses désirs. Au plaisir de vous lire
travestiepourtoi44
bjr a tous si vous voulez je peu vous masturber et méme plus si voulez dans la nature sur NOZAY 44 entre Nantes et rennes
1 personne aime(nt) ça.
CYRUS dsl
bien heureux ceux qui s'adonneront à l'exercice par ces températures encore clémentes
J'aime 27/08/24
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