
Maîtresse Luna
Quand nos hormones commencent a nous chatouiller il faut bien répondre a l’appel. C’est ce que j’ai fait il y a longtemps maintenant. J’arrivais à l’âge ou de toute façon il fallait que je fasse l’expérience du sexe solitaire. Tout est fait pour solliciter nos instincts les plus primaires. Que ce soit les clips de musique, les pubs ou les films il y a toujours des moments ou l’on vous plonge dans une tension sexuelle évidente. Naturellement j’avais entendu mes parents quand la porte de leur chambre était fermée. Et les gémissements de maman et les grognements de mon père avaient un effet indéniable sur ma libido naissante. Grande consommatrice de vidéo pornos, j’avais de bonnes idées pour me donner quelques frissons.
Je tenais à rester vierge, pour éviter les remontrances et les ennuis. Déjà suffisamment rebelle, j’accumulais les diverses brimades sur le suivi de mes études, qui pourtant se passaient a merveille.
J’étais rentrée tôt et la maison était vide, bonne aubaine. Je fouinais dans la chambre des parents à la recherche de je ne sais quoi mais je le saurais en le voyant.
Je dénichais plusieurs vibromasseurs et godemiché au fond des tiroirs. Ils me tentaient bien, mais j’imaginais où ils avaient été quand les parents s’en servaient. D’ailleurs je les prenais délicatement entre le pouce et l’index par leur base, mois susceptible d’avoir été enfouie là ou je l’imaginais. Cette fois là je tombais sur un paquer de photos instantanées avec Papa et Maman. Amoureuse de son père c’est un peu toutes les filles qui ont ce sentiment confus. Mais chez moi c’était une obsession maladive je voulais coucher avec lui.
Ces photos étaient particulièrement excitantes et me donnait une idée de leurs façons de faire l’amour. Et c’était édifiant, imagination et tabous brisés semblaient leur aller.
Consultant ces images, ma main était déjà dans ma culotte ou ma fente peu velue semblait déjà humide.
Je rangeais tout et me précipitais dans ma chambre, fermant la porte a clef. En moins d’une minute j’étais nue sur mon lit, à genoux. Je me regardais dans la glace, je ne me trouvais aucun atout qui pourrait attirer les hommes, pas de gros seins, pas de gros cul un visage passable et mes cheveux roux que je déteste. Mais le pire c’est ma toison enfin l’horrible plantation de poils roux sur mon bas ventre qui donne l’impression que je suis sale ou rouillée.
Mais je suis excitée, mes mains parcourent mes seins, remontent vers mes tétons que je pince et tords assez fort pour me faire pousser un petit cri. Je commence a me caresser les doigts vont et viennent dans mon sexe. Je ne peux pas entrer vraiment dedans, je suis bloquée. Mais mon imagination débordante et mes séances de porno ont donné des idées à la petite salope que je suis. Un orifice n’est pas interdit physiquement. Et je me suis mise a pratiquer la sodomie et j’y prends toujours plaisir. Pour pratiquer il me fallait le bon outil je n’ai trouvé dans la bouteille de Corona au long col. Je sors de sa cachette mon olisbos improvisé et un préservatif. Précaution ? Oui mais surtout suite a ma première utilisation je me suis rendue vite compte que le goulot creux avait tendance a ramener des choses beurkk. Alors un préservatif évitait çà et c’était plus doux.
Je m’étais rapidement rendue compte que les pénétrations anales me donnaient de bonnes et intenses sensations. Et je conjuguais masturbation et sodomie ce qui me donnait de charmants frissons. Je me caressais et commençais à pousser le goulot de la canette contre mon petit trou qui maintenant habitué s’ouvrait facilement, me faisant frissonner et gémir. Tout le col de la bouteille entrait. Je n’avais pas encore osé aller plus loin car c’était bien plus gros. Ce jour-là plus que d’habitude apprès ma découverte des photos des parents. Allongée sur me côté une main sur ma chatte frottant mon clito et l’autre essayant de guider le goulot de la bouteille vers mn petit trou. Enervée mes mouvements se firent brusques. Le goulot encapuchonné par le préservatif ; glissa en avant et comme j’étais bien mouillée et que j’avais appuyé un peu fort le goulot entra dans ma petite chatte. Je poussais un cri, le goulot était entré et totalement. La douleur était un peu forte mais supportable. Je compris tout de suite que ma virginité venait de me quitter sans autre formalité. Ce qui est fait est fait, je poussais donc la bouteille qui coulissait en moi facilement. Le goulot, et le corps de la bouteille écartant mon vagin pénétrais et des frissons inconnus jusqu'alors me parcouraient C’était nouveau et puissant. Je ressortais la bouteille, en effet un peu de sang sur la capote confirmait que je n’étais plus vierge. Je repris la bouteille dans mon sexe humide. Le bruit humide qu’elle faisait était amusant et excitant. J’alternais un coup dans mon anus un coup dans ma chatte. Je me disais qu’il fallait que je trouve une autre bouteille. Une derrière un autre devant voilà une idée qui me plaisait.
Mes gémissements étaient plus fort, et dans mon ventre une sensation plus forte que ce que j’avais ressenti jusqu’à maintenant. Mes doigts trempés avaient du mal à tenir mon gode improvisé j’essuyais ceux-ci sur le lit laissant une belle trace un peu rouge que j’allais devoir cacher.
Mon clito était bien plus sensible et plus gonflé que ces derniers temps. Je me demandais si mon dépucelage accidentel était la cause de ces changements. Mes seins étaient tendus, je me défonçais la chatte avec ma bouteille et montais en moi un orage que je n’avais jamais ressenti.
Et c’est arrivé, brutalement, je n’ai pas pu m’empêcher de crier, alors que j’étais secouée par des spasmes que jamais je n’avais connu avant. A mon humble avis cette fois fut mon premier orgasme véritable. J’avais eu des bons moments mais jamais çà...
Je me jurais que ce n’étais pas fini et ça dure encore heureusement.
20 personnes aiment ça.
hochsoho
hochso
jolie récit !!! 

J'aime
1
17/03/25
Toufou6To
Toufou6
Belle histoire
J'aime
1
17/03/25

Birdlocked
Premiers frissons si joliment racontés, merci Madame.
J'aime
1
18/03/25

Lola6942
Hum ,c'est un récit qui est bien excitant !
J'aime
1
18/03/25

masque_gris
Un partage "d'expérience" joliment détaillé...! Vous avez dû réveiller de délicieux souvenirs, malgré la douleur parfois, de bien des femmes assumant leur goût totalement justifié pour l'auto stimulation...? La masturbation est la meilleure pratique pour connaître son corps et ne doit pas être tabou. Bien à vous toutes...et tous.
J'aime
1
18/03/25

Sim67
Joli partage d'un moment inoubliable et bien excitant pour nous....merci
J'aime
1
28/03/25

Obscure Claire


J'aime
1
Il y a 12 heure(s)
Je vis seule avec Vesna, 22ans, que j'ai eue d'un amant d'une nuit que je n'ai jamais revu, elle est apprentie-esthéticienne à mon salon. Nous sommes toutes les deux très « fusionnelles ». Ma relation avec Vesna est à la fois très belle et très émouvante. C'est une relation « totale » aussi bien affective que physique. Cette relation mère/fille doit être pour nous deux une vraie source de bonheur. J'ai Patrice, 51 ans, mari de la voisine d'en face sur le palier. Il passe le matin pour prendre un café/croissant avec nous, je lui fais une fellation (environ deux minutes) ou bien il me saute dans la cuisine debout contre l'évier. C'est en fait un « sexfriend », plutôt qu'un amant. Vesna s'occupe de la table du petit déjeuner.
Aujourd'hui, Richard doit venir me rendre visite. Chaque fois que je sors de chez moi, je croise Richard, un adolescent d'environ 18, dans l'escalier comme « par hasard ». De temps en temps ça devenait gênant même. En se croisant, il simule une bousculade au prétexte que le passage est étroit. C'est vrai que l'espace n'est pas très grand mais il en rajoute un peu quand même. En cet instant, sa main traîne sur moi, en particulier il s'arrange toujours pour être placé de sorte qu'elle se trouve sur mon cul et donc il peut caresser mes fesses. Ce qui est gênant surtout c'est que les voisines et autres femmes de l'immeuble s'en sont aperçues. Toute la gente féminine est au courant et fait des remarques sur ce garçon. Il sonne à notre porte. C'est Vesna qui va lui ouvrir et le faire entrer. L'effet qu'elle procure, seins nus, petit tablier et talons hauts est dévastateur. Je viens rejoindre Richard dans l'entrée pour un baiser « pleine bouche » avec mélange de nos langues sans lui demander son avis. Dans l'entrée exigüe, je m'arrange pour laisser traîner me main sur sa braguette. Je sens la sienne frôler mes fesses à travers mon short en cuir. J'aime beaucoup ces caresses. Alors que je lui propose de venir en cuisine, il me fait part d'une forte envie d'uriner auparavant. Il sait où sont les toilettes dont la porte est un rideau plastifié translucide (sorte e rideau de douche) comme toutes les portes et cloisons chez nous. Dans nos toilettes, il y a un petit lavabo, sorte de lave-mains, ainsi qu'une tringle horizontale montée sur roulettes. Sur la tringle, sont pendues des porte-manteaux où sont accrochées mes culottes. De plus, un perroquet est là pour pendre mes tabliers, des tabliers modèle « La Redoute » des années soixante, c'est-à-dire le tablier à bavette en toile cirée souple, uni, lisse. Mon goût pour les culottes date de mes 18 ans environ, lorsque j'ai trouvé une culotte rose de ma mère dans le panier à linge sale de la buanderie alors que j'y jetais mon slip. Là, juste au-dessus, il y avait une culotte rose. Ce n'était pas la première fois que je voyais une culotte de ma mère, mais c'était la première fois que l'une d'elles éveillait en moi un trouble intérêt. Je l'ai portée à mon nez, l'ai longuement humé et j'ai commencé à m'exciter, voir même à me branler. L'entrejambe en était encore humide. J'ai pris en main ma chatte palpitante et me suis masturbée avec volupté jusqu'à l'orgasme. A ce moment, ma mère a frappé à la porte et m'a dit de me dépêcher, le dîner était prêt. En toute hâte, j'ai remis la culotte dans le panier, me suis rajustée et suis montée. Le lendemain, j'ai regardé s'il y avait d'autres culottes dans le panier, mais il était vide et la machine à laver tournait. J'allais devoir attendre un jour ou deux. Quelques jours plus tard en effet, il y en avait deux nouvelles. Je me suis masturbée dans l'une pendant que je portais l'autre à mes narines. J'ai recommencé ainsi toute la semaine. Quand je suis rentrée du lycée, un soir, ma mère était assise sur le canapé en train de lire un livre. J'ai remarqué le titre « Fétiches et adolescentes ». Je me suis retournée pour aller dans ma chambre et ma mère m'a demandé de revenir lui parler dès que j'aurais rangé mes affaires. De quoi traitait ce livre ? me demandais-je. Je n'avais aucune idée de ce qu'était le fétichisme. Quand je suis revenue dans le salon, ma mère a posé le livre et m'a demandé comment s'était passée ma journée. Nous avons discuté pendant un moment puis elle m'a demandé si je savais ce qu'elle lisait. J'ai répondu que non, mais je me doutais que si elle avait besoin de lire des articles sur les adolescents, c'était à mon sujet.
Après avoir raconté tout ceci à Richard, je lui demande « Sais-tu ce qu'est un fétiche ? ». Il me répond qu'il n'en a aucune idée. Je lui explique qu'il s'agit d'un attachement sexuel, généralement à un vêtement porté par une autre personne, le plus souvent du sexe opposé. Je lui révèle qu'après son passage dans nos toilettes j'ai une de mes culottes trempée ou encore un de mes tabliers sur lequel un liquide blanchâtre dégouline doucement en restant collé à la toile cirée. Richard rougit. Voilà qu'il apprend que je sais qu'il se masturbe dans mes culottes ou mes tabliers. « tu sembles avoir un fétichisme pour mes culottes, Richard. J'en ai déjà trouvé plusieurs tachées de ton sperme. Aimes-tu te masturber dans mes culottes, mon chéri ? ». Puis, je poursuis : « Est-ce que tu aimes te masturber dans mes culottes ? Oh, je sais que oui. Il n'est pas difficile de le dire quand on les voit toutes collantes de sperme ou sèches et raides. Dis-moi ce que tu aimes chez elles. Nous pouvons en parler ». Richard se tortille, horriblement gêné, « je veux juste savoir. C'est leur odeur ? Une femme a une odeur qui est censée donner envie aux mâles de s'accoupler avec la femelle. C'est le plan biologique pour la continuation de l'espèce. C'est peut-être pour ça que tu aimes te masturber dans ma culotte ? » Richard est assis là, tout excité, sa bite raidie, rien qu'à entendre le mot culotte. Je suis assise en face de lui, mon chemisier grand ouvert laisse apparaître mes seins. Je me penche en avant, mes jambes s'écartent. La pièce est faiblement éclairée par une lumière orangée tamisée de sorte que Richard puisse quand même voir jusqu'à ma culotte, ma culotte rose quasi transparente. Richard est tellement excité qu'il ne peut que fixer ses yeux vers mon entrecuisses. Je le remarque et je dis à Richard « Ce sont tes culottes préférées, les roses, n'est-ce pas ? » Richard murmure, honteux, « Oui ». J'écarte un peu plus les jambes pour que Richard puisse mieux voir et je lui dis « Regarde bien mon chéri... ». Richard est hypnotisé par ce spectacle, incapable même de penser, haletant. Il en arrive à bander sans se toucher, sa respiration s'accélère, son visage vire au cramoisi..... et voilà qu'il gicle, incapable de se retenir. Son sperme se répand dans son short. « Lève-toi et approche-toi, mon coeur » lui dis-je sur le ton d'un ordre à exécuter, puis « fais-moi voir ce qui s'est passé. Tu as joui dans ton short ? ». Cette fois encore, Richard ne peut que murmurer un timide oui. Il se tient devant moi, tremblant et la tache qui s'étend dans l'entrejambes de son short témoigne de son manque de contrôle... ou d'une preuve du pouvoir que ma culotte a sur lui. Entretemps, j'ai enfilé ma mini-jupe ou plutôt ma micro-jupe tellement elle est courte, une jupe en cuir noire agneau plongé, fermée devant par des boutons pressions qui moule bien mes fesses. « baisse ton short, Richard, ton caleçon aussi. Maintenant » en passant mes mains par dessous ma jupette. Je la relève jusqu'à la fourche. Richard n'en croit pas ses yeux ! Le souffle coupé, il me voit pincer ma culotte de chaque côté pour la faire descendre le long de mes cuisses et mes jambes, ensuite la porter sous son nez pour qu'il la renifle. Pour la première fois, Richard voit ma chatte complètement lisse, telle un savon, entre mes cuisses écartées. Me voici assise les cuisses et les jambes bien écartées avec ma culotte sur mes chevilles. C'en est trop ! Sa queue se dresse à nouveau, impérieuse, pendant qu'il enlève son short.
« Maintenant, je voudrais te voir te masturber... je veux te voir te masturber... montre-moi comment tu fais avec ma culotte ». Richard n'est plus en état de dire quoi que ce soit et c'est sans un mot qu'il enroule soigneusement l'entrejambe humide de ma culotte sur sa bite turgescente et commence à se branler, les yeux rivés sur mon con maternel. Il respire de plus en plus rapidement, ses jambes s'affaiblissent et c'est les yeux exorbités qu'il se met à gicler, nu comme au premier jour devant moi qui sourit... A partir de ce jour, la scène que Richard venait de vivre devant moi devint un rituel auquel il devait s'astreindre à son corps défendant chaque fois qu'il passe chez nous. Après ses cours terminés au lycée, il devait passer à la maison. Voilà qu'il devint incapable de résister à mes volontés. Pendant que je m'installe confortablement dans mon fauteuil, Richard doit se mettre nu. Debout nu devant moi, il doit attendre que je retire ma culotte et lui tende, ce que je ne fais que lorsque, excité par anticipation, il vienne à exhiber en rougissant son sexe dressé. Dès que je juge Richard suffisamment humilié par ce petit jeu, je retrousse ma jupe en souriant et en le traitant de « petit vicieux ». Alors il a droit au spectacle de mes cuisses plantureuses que j'écarte ou resserre au gré de mon envie pour mieux le faire bander. Malgré sa honte, il ne peut détacher ses yeux de mon sexe lisse, qu'il devine doux, dans l'attente avide du moment où, dévoilant ma fente, j'écarte les lèvres de ma chatte en ne quittant pas des yeux son regard hypnotisé. Je lui dis, d'une voix moqueuse : « tu aimes ça, hein, petit pervers, regarder d'où tu es venu... ». Et, haletant et la gorge sèche, Richard ne peut que balbutier en se branlant frénétiquement, mortifié par ma raillerie : « Oh oui, oh oui Madame ! ». Ce scénario comporte de nombreuses variantes mais j'en reviens toujours aux mêmes propos en exhibant ma grotte rose brillante de ma mouille. Quand, n'en pouvant plus devant cette vue et ces paroles, Richard finit par gicler dans ma culotte en gémissant, je le traite une dernière fois de sale petit vicieux avant de tendre vers lui une main impérieuse. Je n'ai pas besoin de dire quoi que ce soit. Je dois alors lui remettre ma culotte toute humide et chaude de son jus encore chaud. Je lui remets alors en prenant mon temps et en prenant soin de bien l'ajuster en la lissant sur ma chatte, avec sur mes lèvres le même sourire ironique.... « Tu penses à quoi toujours, hein, cochon ? ». Lorsque le bruit de la porte d'entrée se faisait entendre à cause de l'arrivée de Vesna, Richard a juste le temps de se rhabiller et de se précipiter dans la cuisine, où il fait semblant de s'occuper à des tâches anodines.
13 personnes aiment ça.
Merci pour l'invitation et des femmes Picardes sont t'elle présente
Soyez la première personne à aimer.
Merci pour l'invitation des femmes Picardes sont t'elle présente
Soyez la première personne à aimer.
Est-ce que quelqu'un.e a déjà fait ou subit une longue séance de masturbation / edging en étant attaché.e? ☺️ j'aimerai des retours d'expérience pour me préparer, ici ou en privé. 😉
4 personnes aiment ça.
Une fellation qui a duré deux heures, avec uniquement le bout des lèvres et la langue d’une soumise, alors que j’étais attaché, regardant mon épouse et Maîtresse se faire mettre par deux soumis puis lécher par le mari de ma fellatrice, te semble-t-il être dans le cadre de ta question ?
11 personnes aiment ça.
8 personnes aiment ça.
3 personnes aiment ça.
Tellement envie de me faire branler par une inconnue
1 personne aime(nt) ça.
Évidemment mais de temps en temps ça fait du bien de faire marcher sa libido 

J'aime
11/03/25
4 personnes aiment ça.
Merci Candy Daddy d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Bonjour je suis marié ma cocu , je ne fais que très rarement l'amour à ma femme, ses amants le font beaucoup mieux que moi. Depuis je suis devenu acro à la branlette, je cherche des hommes ou des femmes pour bon moment virtuel
3 personnes aiment ça.
12 personnes aiment ça.
12 personnes aiment ça.
Bonjour, nouveau et débutant, j'aimerais être la salope d'un Maitre du Nord
2 personnes aiment ça.
je sélectionne un nouveau soumis à tourmenter dans une relation longue durée ; j'aime exercer mon pouvoir sur un soumis déterminé, un peu bratt pour avoir d'autant plus de plaisir à le faire plier .:.
Oui, toujours et encore ce sujet sexuel, ce thème sexe de dominats et de dominés. Oui, toujours en références de quelques passages de mon existence, depuis tout jeune garçon ado, à l'époque de mes premières masturbations, mes premiers fantasmes. De savoir si mes fantasmes d'homme soumis, ou d'homme dominé, en priorité par des femmes, ne tiennent pas à quelques faits, plus par des femmes, que de l'autre sexe, où, tout jeune, dés même les classes de primaires, me trouvant plutôt garçon asse timide, n'osant pas répliquer aux moqueries, aux méchancetés, tant d'élèves garçons, que filles, plus encore quand j'avais à faire à des filles très forte de caractère, de personnalité, qui n'hésitaient pas à se moquer de garçons qu'elles pensaient être des nullités, des ânes ou des cancres, plus encore, si ce genre de garçons, se trouvaient, oui, réservés, timides, ne sachant se battre, se défendre, pire encore si ces garçons ne suivaient pas les modes de l'époque, tant leur habillements, leur coiffure, style donc de tees shirts, chemises, pantalons, culottes courtes, nom d'appellation de ce vêtement à ces époques 60, 70 environ, les tennis, baskets ou chaussures, plus encore s'ils portaient des lunettes moches, à gros carreaux qui les ridiculisaient devant les autres, les rendaient vraiment moche et qui en faisait la risée ou permettaient jurons, moqueries, insultes, propos abaissants, dégradants, humiliants jusqu'à sentire monter de la forte honte. J'ai toujours en mémoire, une femme, alors maîtresse de classe en primaire, une maîtresse que je craignait tellement sévère, très autoritaire surtout en vers les garçons, plus que vis à vis des filles, plus en vers les garçons réservés, timides, moches, à lunettes à loupes ne plus, mal fagoté, démodés, considérés comme des cas sociaux, des bobos, des infirmes mentaux presque. Cette femme qui donc était ma maîtresse de classe, de cours généraux, un jour m'avait demandé de venir me présenter à elle, devant son bureau, en lui présentant mon cahier d'études, et de devoirs. Lui ayant remis alors mon cahier tel qu'elle me l'avait demandé, tournait les pages, semblait observer mes devoirs, écritures, calcules, réponses à problèmes de math, d'histoires de géographies, poésies, qu'elle me faisait réciter pour voir si je faisais bien mes devoirs comme il faut, mes fautes, mes oublies, mes ratures, possiblement aussi, des tâches d'encre, des bavures, tout ce qui lui permettait la facilité de trouver des raisons de me gronder, de me parler mal, sèchement aussi. Ma maîtresse alors, me demanda ce jour, d'enlever mes grosses lunettes aux verres loupes, de les poser sur son bureau, de mettre mes mains au dos, et de lever la tête en la regardant dans les yeux. Je n'avait pas intérêt de la regarder méchamment , de grimacer, de répliquer à ce qu'elle me traitait et aller me faire subir. Je devais me taire, et me laisser faire. Bref, comme si j'était un chien à dresser. Ma maîtresse alors, me flanqua une forte gifle devant les élèves, toujours devant les élèves, demanda sèchement, vertement, de remettre mes lunettes, qui jeta violemment mon mon cahier au sol, loin de son bureau, me congédiant en m'ordonnant de retourner à mon pupitre d'écolier, sans un dire un mot, sans me retourner, ni de la regarder. Oui, comme pour son chien, devant retourner à sa niche balle dans sa gueule et pas intérêt d'aboyer. Un fait transformé en fantasme de soumission à une femme, à des filles, fantasme par des femmes supérieurs à moi, de dressage, de punitions, d'humiliations dégradantes, soumission sexuelle, j'entends. De ce fait, quand je repenses à cette femme, qui se nommait madame redouté, que je craignait asse fortement, sous son autorité, sa sévérité forte et puissante, devant qui je me voyais petit, tout petit et tout penaud, vulnérable, n'osant pas répondre, agir, rétorquer un seul mot. Cela lui plaisait t il que je sois devant elle ? A savoir, mais fantasme sexuellement que cela aurait bien pu être le cas, même pour les filles de la classe qui semblaient pour la plus part d'entre elles, moqueuses, méchantes, qui devient peut être penser être sur moi, comme la maitresse, une femme de caractère fort sur ce garçon que j'était. De ses filles d'ailleurs, l'une d'elle, pour preuve, un jour m'a demandé de venir à elle, je ne savait ni la raison, ni son désir, envie de me dire, de me faire aussi, son intention. Cette fille se prénommait Marie Claude, pas vraiment intelligente, ni jolie fille, et peu de le dire, une fille vulgaire en plus. Elle me demanda ce jour, de lui passer un crayon, ou lui prêter un de mes stylos billes, ce que je fis. Elle me demanda de me dépêcher, de me bouger les fesses un peu, de façon discrète mais assurée. La fille m'a comme arraché mon stylo de la mains, et saisissant mon inattention, ma naïveté infantile et immature, m'avait introduit le stylo dans ma braguette qui était abaissé, mais que je n'avais pas remarqué. Vicelardise étant, en se moquant de moi méchamment, me pressa le tube du stylo sur mon sexe en appuyant fortement sur mon pénis, qu'elle tournait, en faisant des vas et des viens. Cela, me le faisais sous la table, cette table en plus, ou je devais être assis à côté d'elle, le comble. J'ai malgré moi, sentit quand même des pulsions me saisir, qui me lançaient gravement fort, une forte chaleur dans mon bas ventre, jusqu'à ressentir même, des pulsions agissant jusqu'à mon périnée, et mon anus aussi, en plus de sentir mes testicules s'agiter, ainsi que mon zizi, plus encore, quand la fille, pointait le stylo sur le gland de ma verge. Marie Claude, ado et très précoce en fait pour savoir comment bien échauder, exciter, mener un garçon ne lui donnant des ordres, le soumettre à elle, et ses envies de sexe, en plus, devait elle bien connaitre l'anatomie physique d'un garçon, de ses parties génitales, urinaires, peut être même plus encore, testicules, anus, périnée, aspect fesses, cuisses, ventre et poitrine, comment tout ça est fait, conçu, tout de sexuel, de formation du corps masculin, que sais je encore. L'éducation sexuel à l'école devait l'informer des choses, de la constitution physique et des différences entre femmes, filles, hommes, et garçons, la reproductions, les zones sensibles ou dites érogènes, tant de telle parties du corps, de sexe, que du pourquoi, des raisons, et dans quels buts, simple envies de sexe, le plaisir, la masturbation, la reproduction pour faire et avoir des enfants, que sais je encore. Mais, avec Marie Claude, ce jour, semblait toujours, avoir des envies, et prendre plaisir à tanter des choses sur moi, devinant que je n'oserais rien faire, dire contre elle qui l'aurait fâché grave. J'avoue avoir, malgré tout, aimé, me faire mener aussi par elle, aimé me voir être, en fait, vraiment dominé, maté, tout comme me faisant vraiment dresser pr cette fille, comme par ma maîtresse de classe. Je ne me souviens pas si j'ai manqué éjaculé, si vraiment j'aurais éjaculer dans mon slip, si j'aurais manquer jouir, car quelque part, la fille était en train de m'exciter pour obtenir que je me trouve, oui, fortement excité, lui laissant deviner des erections, cette fille qui en fait, avec le stylo, ne le frottant en vas et viens, en tournant, en me le pressant sur la verge et surtout le gland, me masturbait. Mouillait elle dans sa petite culotte, ses vulves, son clitoris se dilataient bien, clito, se trouvait il dur, ses seins, ses mamelles, était ils pointé par l'excitation sexuelle qui peut être pouvait aussi la saisir, la faire tramper, vibrer, fantasmer à bloc ? A savoir.
11 personnes aiment ça.
Ho oui ... je vois mes sexfriends surtout du vendredi au dimanche, donc, les 4 jours qu'il reste c'est minimum 1 fois et quand je suis là aussi !
17 personnes aiment ça.