Sur la page blanche
Doucement nait le désir
Des mots nus s'enlacent
Sur l'ardoise noire
Lentement l'oubli s'installe
Mots gris qui s'effacent
Sur le granit froid
Les mots d'or des épitaphes
Peu à peu s'effritent
Ce poème n'est pas de moi, je l'ai découvert lors d'un prêt dans une bibiothèque je ne connais pas l'auteur.
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