DES MOTS ET DES MAUX

Bonjour tout le monde! Lundi grisaille dans mon esprit encore embrumé, retour dans un quotidien qui semble si fade, après un été à taquiner mon Monsieur... Ce texte que j'avais publié en juin redevient donc une partie de mon quotidien.... ============== L'écran de mes nuits blanches Sur l'écran de mes nuits blanches Il y a ses yeux sombres dans mes favoris Je netflix et chill sur son profil Je scroll le mur à sa recherche Et je le stalke sur BDSM.fr Je flood ses dms Pour gratter ses mps Je download son vocal Et je upload mon selfie sage Je bingewatch les bisous qu'il m'envoie Je like sa dernière berceuse Je swipe sur ses mains fines Je zoom sur ses fesses dodues Je screen son membre en rougissant Je commente son dernier ordre Il me ping sur messagerie Et me fouette de ses hashtags Je suis docile sans aucun lag On s'amourache sur whatsapp On s'aime déjà en visio Sur l'écran de mes nuits blanches..... Pour Monsieur Le Sombre🖤💚❤️ =============

"Un Voyage" Il y a eu des mots... qui se sont dit, pendant des nuits, 3 heures durant, ou l'on ne voyait pas le temps. C'était des confidences, ou l'on s'est parlé de soi, de toi, de nos expériences, créant chaque jours un peu plus de confiance. On a rit aussi, avec des questions a la con, des qu'en dira-t-on, jouant avec notre imagination, mais attention ! Avec modération ! Puis il y a eu une opportunité.. de donner vie à la réalité, comme un imprévu qui s'est invité, ou peut-être que nous l'avons légèrement provoqué ; qu'importe, il fallait se décider. C'est la que tu as su, subtiliser mes doutes, ce qui m'a fait prendre la route. Puis il y a eu des actes... ou nous n'étions plus des pseudo caché dans l'ombre, ni des photos de couleurs sombres, c'était pleins de mouvements, de couleurs, d'odeurs... parfois de douceur, parfois de doux leurres. C'était un voyage d'essences, ou nous avons partager de la jouissance, avec des jeux d'impacts, d'excitations, parfois de légères frustrations, mais toujours dans la confiance. J'ai aimé tes sens, ton authenticité, ton humour décalé, parfois provocatrice, parfois révélatrice. Et je n'irai pas dans les détails sur ce que nous avons fait, cela nous appartient et restera notre secret, mais peut-être que cet écrit donnera envie, à certain(e)s de passer le mur du virtuel tel que nous l'avons décidé, car il n'y a pas mieux que la Réalité. C.O

Sur le chemin de la découverte, une page s'est ouverte... elle était blanche, il y avait tout à écrire... Alors j'ai pris ma plume, avec tous ces mots qui s'excitaient, qui voulaient se poser, s'imposer, mais je n'ai pas cédé. D'abord, il faut le temps, de t'écouter, t'apprivoiser, avant d'écrire, te dire... c'est ne pas se laisser aveugler par le désir, c'est se maitriser, se controler, ne pas faillir. Et dieu sait que ce n'est pas facile, car la tentation peut nous faire perdre la raison. Mais derrière, c'est une si grande satisfaction, lorsqu'on a su être dans la retenue, qu'on a laisser le temps au temps, ne fonçant pas au tout venant. Aujourd'hui nous construisons des fondations, pour que ces prochains mots soient vivants, qu'on écrira ensemble en souriant, que dire ! En rigolant ! Car ils ne feront pas semblants ni ne s'envoleront au premier vent ! C.O

C'était une soirée comme toutes les autres, ou l'alcool coulait à flot, ou les mots se noyaient dans l'eau, avec ces histoires a dormir debout. Pourtant j'étais venu, invité par l'hôte, restant discret, me fondant avec les autres. J'étais observateur, amusé par ce coté révélateur, lorsque désinhibés les contes et comptines jouaient de fausses notes. Ils y avaient des princes charmants, habillés de blancs, des princesses qui déhanchaient des fesses et tout ce beau monde discutaient de tous, mais surtout de rien. Au fond de la salle, tu étais la, un peu isolée, assise sur le canapé. La, nos yeux se sont croisés et ne se sont plus lâchés. Nos sourires se sont dessinés, c'était notre façon a nous de se parler. Tu étais comme moi, observatrice. Je me souviens de cette sensation étrange, quand d'un coup la salle est devenue vide, comme si tout le monde sauf toi avait disparu. Même le bruit, bien qu'encore présent, était étouffé par notre silence. Nous étions dans une autre dimension, remplie de notre imagination. Je me suis demandé un instant si tu étais réelle, puis je n'ai pas voulu savoir, après tout, c'était notre histoire, qu'importe le monde, dans lequel je plonge, c'était un joli songe. Instinctivement, on s'est rapproché, dans une sorte de synchronicité, et nous n'avions pas envie de parler, simplement se laisser porter. Corps a corps, dans cet accord, comme une danse, ton parfum léger venait se mélanger au mien. C'était une valse des mots, peau contre peau, tes expressions calmes et apaisées, le visage tendre et affirmé, caressait mon esprit, serein. Et quand tu t'es posée contre moi, en fermant les yeux, j'entendais ta respiration et tes vibrations qui me faisait sentir vivant. Je sais, je m'égare dans cette romance, pourtant ce lien était une évidence que j'ai voulu l'embellir dans ces vieux souvenirs. C.O

Hannn... J'ai tant de question, à en perdre la raison, que parfois j'aimerais être con, pour lâcher un peu la pression. Aujourd'hui j'ai envie de toi, mais bien sur, ca ce dit pas, sinon c'est mal, on va me traiter encore d'animal. Pourtant, ne le sommes nous pas un peu, au regard des dieux ? Oups ! Comment oserais-je te dire, que j'ai envie de te dévêtir, pour mater tes seins, ton cul, tes reins, avec une furieuse envie d'y glisser mes mains. Chuuuttt !! Il ne faut pas que tu saches !! Arrête de lire, ca va faire des taches !! Non tu ne saura pas, que j'aimerais effleurer ton bouton d'or, pour qu'il gonfle encore, et si t'es sage, tu pourras lire sur mon visage ce délice que j'éprouve, a fouiller avec ma langue ce jardin secret que tu m'ouvres. Hannn... Mais ?! C'est pas Do, mi, Nan ?! Si tu savais... j'adore ce contrôle, ou mes mouvements sont des vagues, qu'a ce moment tu divagues... ahhhh l'âme. C'est t'observer, t'écouter, te guider dans ce plaisir singulier. Mais qu'est ce qui m'arrive ?! Je suis en manque ?! Oui, de toi, de tes cris, de ta joie, quand je sens ton volcan déborder... Et la je m'arrete !! (ouais je sais, je suis un enfoiré, mais faut que je joue au michant, sinon je suis plus crédible !!!) Bon, j'vais aller m'prendre une douche froide, ca va m'calmer. C.O

J'ai vu un rêve, tu y étais, Et tu m'as mis la main sur toi-même Manille, Et le regard que tu m'as appelé, Là où je n'étais pas encore, et c'est beau là-bas? Je t'ai suivi., Pour te rattraper, Et je n'ai vu que la trace, et l'apparence au loin, Tu m'appelles, tu ne me laisses pas partir.. Je marchais le sentier, la forêt épineuse, Et un champ au bord de la terre, J'ai attrapé ton regard et tu n'es pas là, Nous sommes si proches et lointains.. J'ai fait un rêve.. et je pensais juste que je ne me réveillerais pas, Je voulais te rattraper. , J'ai couru et je pensais que je ne trébucherais pas, Dans l'espoir .. ils vont juste te toucher.. Et tu es partie avec le brouillard., Disparu comme une rosée précoce , Et seulement dans un rêve dans les rêves, Je le voulais.. mais je ne t'ai pas rattrapé..

J'ai vu un rêve, tu y étais, Et tu m'as mis la main sur toi-même Manille, Et le regard que tu m'as appelé, Là où je n'étais pas encore, et c'est beau là-bas? Je t'ai suivi., Pour te rattraper, Et je n'ai vu que la trace, et l'apparence au loin, Tu m'appelles, tu ne me laisses pas partir.. Je marchais le sentier, la forêt épineuse, Et un champ au bord de la terre, J'ai attrapé ton regard et tu n'es pas là, Nous sommes si proches et lointains.. J'ai fait un rêve.. et je pensais juste que je ne me réveillerais pas, Je voulais te rattraper. , J'ai couru et je pensais que je ne trébucherais pas, Dans l'espoir .. ils vont juste te toucher.. Et tu es partie avec le brouillard., Disparu comme une rosée précoce , Et seulement dans un rêve dans les rêves, Je le voulais.. mais je ne t'ai pas rattrapé..

Pas plus de lumière et le rayon de soleil se réchauffera, Pas plus de vie qu'elle a laissé derrière, Le courant me transporte tellement quelque part, Et qu'y a-t-il ensuite sur le bord de la terre?. Pas plus de sens, tout était si vain, Et ces années de vie et d'amour , Le bonheur s'est évaporé quelque part, Ou peut-être que ce n'était pas le sien, mais seulement l'illusion d'un rêve.. Pas plus de joie que la tristesse est restée, Et avec elle maintenant, je suis juste sur le chemin, Je partirai juste au coucher du soleil pour rester, Comme un reflet dans l'eau des profondeurs..

Le destin du colibri qui porta la lumière jusque vers les étoiles C'est la carte du tendre avec la corde au cou Qui me fait chavirer dans tes bras d'âmerthume Soleil dieu prince et roi je parjure et j'exhume Ce qui fera que moi je t'aime comme un fou Je n'ai plus de parents quand sur mes deux genoux Je suis enfant de toi comme un mort-né posthume J'ai mon âme qui vole en volutes qui fument Et je pleure des cris dont ta queue a le goût Mon sang coagula en un sonnet bancal Et tu fis tout tomber sur ma peau qui l'accepte Amour je n'ai pas froid quand tu me fais du mal La censure du cœur fit mes veines violettes Et de ces jeux malsains le pervers est adepte Mais j'ai comme un oiseau la force des ascètes

Mes mains te touchent, te dévoile telle une esquisse, Dans ce monde imaginaire, ou tu deviens une oeuvre d'art, Tes formes s'adaptent à la pression de mes doigts agiles, Lorsqu'ils s'appuient sur ta peau d'argile, C'est t'écrire, nu de tout superflu. C'est un jardin secret, ou je peux être indiscret, Admirant jusqu'à ton intimité, où tu aimes me dévoyer, Pour me pervertir, dans mes plus profonds désirs, Que je puisse décrire, ces marques de plaisirs. C.O

Je voyage... entre ces mots... entre ces rêves, de glisser sur ta peau... pour que mes mains mémorisent ceux des seins de ces courbes, de ces muscles vivants qui attirent les sens, le regard, le touché, les caresses dessinées... Je voyage... je lie ces paysages... lorsque mes mains touchent la matière première, ce lien avec la terre... pour recréer une émotion, une vision, de l'anatomie féminine, que je sculpte en mouvement, la ou pour moi le corps est le plus vivant. Je voyage... j'apprends, m'enrichis de l'existence, de l'expérience en donnant vie a tous mes sens... C.O

Bonjour Le Mur.. Souviens-toi de moi comme j'étais Le moment où tu m'as reconnu Quand tu me regardais dans les yeux Puis le printemps s'est épanoui en eux Souviens-toi de la tendresse avec laquelle j'ai aimé Le matin où tu étais là. Et ces baisers quand touché Rappelez-vous le goût qui était sur vos lèvres Les mains se souviennent des doigts Quand je te tenais la main Plus fort étreindre la passion désir Et un léger tremblement nous a portés avec toi Souviens-toi de moi combien j'ai aimé Embrasser le souffle passionnément vous Et tout à coup arrêté Quand j'ai chuchoté.. je t'aime Et je me souviendrai de ce moment Comment la vie a balayé en un Instant Et le plus pur que j'ai vu Te toucher comme un destin.. R.condor..