A propos du groupe
Désiré
Créateur

Ici, j'aimeraispermettre à des soumis d'échanger sur leurs aspirations et à des dominants d'y répondre. 

gayscat36
a partagé quelques photos
Je suis un homme "soumis" qui cherche à progresser ... je ressent beaucoup de plaisir à obéïr, à me faire humilier, me faire fouetter et exhiber. Je recherche à progresser sans tabous ... Je vis entre Paris et les Hautes-Alpes, contacter moi ..
Soyez la première personne à aimer.
Alexa69
Et voilà c'est enfin arrivé ma première séance en temps que soumis au mâle alpha à eu lieu hier . Ayant mis longtemps à m'avouer mes tendances gay et après 2 ou 3 rencontres avec des hommes, j'ai eu la chance d'enfin rencontrer un maître dominant . À peine arrivé chez lui je me suis retrouvé à genoux dans la chambre seulement vêtu d'un jockstrap les mains attachées dans le dos il prit son temps pour se déshabiller me laissant là à attendre son bon vouloir . Il commence par me demander de lui lécher le sexe à travers son boxer pour le faire durcir ce qui ne lui prends pas longtemps. Et c'est seulement la qu'il se déshabille et que j'ai le droit de le prendre en bouche, très excité par la situation je me jette sur sa queue pour le sucer . Une fois qu'il m'ait bien baiser la bouche il me fait mettre en appui sur le lit toujours à genoux et la commence une séance de fessée, après les mains il se sert d'un espèce de Martinet avec une large lanière en cuir pour me fouetter les fesses je gémit autant de douleurs que de plaisir mon excitation est a son comble et a se moment là je deviens une véritable lopette qui n'attend que sa punition. Et quand il m'a pénétré j'ai ressenti un plaisir unique que je ne connaissais pas . Ensuite il a alterné cul et bouche plusieurs fois j'étais au comble de l'excitation , je me sentais devenir de plus en plus salope , avide de sa queue et de ses coups sur les fesses à tel point que j'ai eu le bonheur de connaître la jouissance anal. Quand il a eu joui en moi il m'a fallu un bon quart d'heure pour reprendre mes esprits. J'étais sur mon petit nuage. En tout cas une chose est certaine je suis bien une lopette très soumise accro à la queue du mâle en rut . Vivement la prochaine séance avec lui j'en rêve déjà .
9 personnes aiment ça.
Badbubby
Vous dites qu'il a éjaculé en vous ? Après avoir alterné entre votre cul et votre bouche plusieurs fois ? Donc j'imagine que tout a été réalisé sans préservatif ? Et cela avec un homme que vous rencontrez pour la première fois ? Moi qui pensais être sans trop de limite, je peux voir que même sa propre vie n'est pas une limite pour certains.
J'aime Hier, 15:03:47
Alexa69
Pas du tout je le connaissais déjà et ont à fait chacun un test de dépistage avant et sans relations entre le test et la rencontre
J'aime Hier, 15:06:31
Bonjour sa alaire génial la chance
J'aime Hier, 16:01:52
Passoun
C’est sur, un fois les test MST fait, les soumis n’ont plus excusent... ça donne envie...
J'aime Hier, 17:02:52
Envi d’avoir la même expérience
J'aime Il y a 22 heure(s)
Alexa69
Jete le souhaite tom
J'aime Il y a 22 heure(s)
Alexa69
Jete le souhaite tom
J'aime Il y a 22 heure(s)
DANDY83
Voilà une belle "entrée en matière"!...
J'aime Il y a 20 heure(s)
azure6075
Quelle chance j'adorerais se style de scéance
J'aime Il y a 11 heure(s)
Fesséemoi18
Superbement bien écrit, chapeau l'Artiste !
J'aime Il y a 33 minutes
merci de m'avoir accepté dans ce groupe ,si je peux faire quoi que se soit pour aider
PACHA
Bonjour, Je débute dans le BDSM, j'aimerai etre initié par un maitre pour devenir maitre à mon tour. Contacter moi directement merci
1 personne aime(nt) ça.
soumyvbi
Intéressante proposition1f609.png1f607.png
J'aime 19/02/25
PACHA
Bonjour, Je débute dans le BDSM, j'aimerai etre initié par un maitre pour devenir maitre à mon tour. Contacter moi directement merci
maitrepascal
Homme dominant en recherche d un esclave gay sans tabous et prêt à vivre définitivement avec moi chez lui définitivement tu devra habiter Rennes ou alentours travestie esclave bienvenue tu devra être libre et me servir définitivement avec une vie commune et mis en cage de chasteté définitivement le vouvoiement est de rigueur à vos clavier
8 personnes aiment ça.
Beaucoup de conditions ! Pas évident.
J'aime 13/02/25
Giel17
C'est le moins qu'on puisse dire ! 😁
J'aime 13/02/25 Edité
Sub4hardtop
C'est très tentant, chasteté permanente, remettre sa vie au Maître, vivre sans tabou sous lui...
J'aime 13/02/25
bonjour je suis disponible
J'aime 13/02/25 Edité
soumis54
Interessant, mais je suis sidéré que l'auteur de l'annonce demande le vouvoiement, ca tombe pas sous le sens?
J'aime 13/02/25
soumyvbi
Ca le mérite d'être très clair 1f601.png,AAAh si j'avais quelques années de moins , je pense que j'aurai sauté le pas , 2665.png
J'aime 14/02/25
je suis pret maître
J'aime 16/02/25
maitrepascal
A tout les esclave gay à vous de voir si vous voulez vivre cette vie commune
J'aime 17/02/25
soumyvbi
Je suis trop vieux désormais , Monsieur maitrepascal ...helas 1f622.png
J'aime 18/02/25
Alexa69
Bonjour aux membres de ce groupe. Soumis novice malgré mon âge recherche maître pour m'initier
2 personnes aiment ça.
soumyvbi
Bienvenue Alexa
J'aime 14/02/25
Alexa69
Merci ☺️
J'aime 15/02/25
Bonjour, Soumis, 73 ans, vis à Nice, cherche Maitre dominant pour dressage et parfaire mon éducation. Tous sévices, no tabou sauf crade, en mode crescendo, dans un rapport de confiance mutuelle. En quête de l'oiseau rare,
4 personnes aiment ça.
soumyvbi
Novice ??1f609.png
J'aime 15/02/25
Domina très directive, sachant ce qu'elle veut. Je recherche une relation suivie, durable, basée sur la confiance et sur l'obéissance. Adepte de la frustration, l'osmose d'une rencontre se fait avant tout par l'intellect. De ce fait, Messieurs, sachez me convaincre. Je ne tolère aucun tutoiement. J’aime les hommes réellement soumis, pas simplement ceux qui veulent assouvir le temps d'un soir leurs pulsions .:.
Bleshnel Francine
Servir une femme Domina est l’un des plus grands plaisirs qu’un homme soumis puisse trouver. Être capable de répondre à ses besoins, de gagner sa confiance, de vénérer sa grâce féminine et de recevoir des ordres de sa part apporte aux hommes soumis une joie et un épanouissement qu’aucune autre relation ne pourra jamais leur procurer. Chaque relation entre Dom et soumis est complètement différente, et les règles et exigences sont basées sur chaque couple individuel. Cependant, il existe toujours des normes que les personnes impliquées dans ce type de relations s’attendent à suivre.
4 personnes aiment ça.
Lopetsoumis33
Erreur de groupe semble t-il
J'aime 14/02/25
soumyvbi
Et oui ,on dirait Lopetsoumis 1f609.png1f601.png
J'aime 14/02/25
emend69
soumyvbi: Oh pour moi "qu'importe le flacon pourvu qu'on ait l'ivresse " 1f607.png
J'aime 14/02/25
soumyvbi
emend69 1f609.png, t'es comme moi toi 1f61b.png1f601.png
J'aime 15/02/25
Bleshnel Francine
Servir une femme Domina est l’un des plus grands plaisirs qu’un homme soumis puisse trouver. Être capable de répondre à ses besoins, de gagner sa confiance, de vénérer sa grâce féminine et de recevoir des ordres de sa part apporte aux hommes soumis une joie et un épanouissement qu’aucune autre relation ne pourra jamais leur procurer. Chaque relation entre Dom et soumis est complètement différente, et les règles et exigences sont basées sur chaque couple individuel. Cependant, il existe toujours des normes que les personnes impliquées dans ce type de relations s’attendent à suivre.
7 personnes aiment ça.
Lopetsoumis33
Que penser d'une domina qui ne sait pas lire?
J'aime 14/02/25
Un peu de respect, elle t'est supérieure même si effectivement, elle n'a rien à faire dans ce groupe.
J'aime 14/02/25
Rox
Alors ça voudrait dire que en tant que soumis ont a pas le droit a la parole ????
J'aime 14/02/25
C’est pas faux, comme on dit mais l’intellectualisation exagérée est vite pédante et factice (cf. le dial général ici où ça pérore en permanence dans une vacuité hors norme, salut les trolls !), d’autant plus qu’elle dénote souvent des prétentions cérébrales que la personne en excipant est en fait incapable d’assurer... Maintenant, ce que j’en disais... lol.
J'aime 14/02/25
maitrepascal
Homme dominant en recherche d un esclave gay sans tabous et lisse partout et libre pour une union commune et vivant en bretagne île et vilaine
7 personnes aiment ça.
JMH06
Ça aurait été avec un grand plaisir de me soumettre mais je n’habite pas la reg
J'aime 14/02/25
Je clique sur l'inscription, ça ne fonctionne pas
4 personnes aiment ça.
soumyvbi
Coucou Pitra , Mais oui , ça a marché , regarde tu en fais partie dorénavant . Regarde dans membres1f618.png
J'aime 29/01/25
Lilou
Si si, c'est bon, tu figures dans les membres
J'aime 29/01/25
Merc
J'aime 14/02/25
Merci
J'aime 14/02/25
Bleshnel Francine
On ne peut vivre qu'en dominant ses peurs, pas en refusant le risque d'avoir peur. Le caractère dominant de la barbarie, c'est l'indépendance de l'individu, la prédominance de l'individualité. “L'architecture ne sera plus l'art social, l'art collectif, l'art dominant.
6 personnes aiment ça.
Lopetsoumis33
Bonjour, vous seriez-vous trompée de groupe ?
J'aime 20/01/25
soumyvbi
Bleshnel Francine : On peut en parler ,si Vous voulez ?! Bonne journée Madame
J'aime 20/01/25
soumyvbi
je vais attendre un peu, mais il me semble que ce profil soit muet...
J'aime 14/02/25
Painslutfr
Chien soumis ch maltraitance et collier serré
3 personnes aiment ça.
Soumis pour être traité en tant que tel
J'aime 09/02/25
Soumis disponible
J'aime 12/02/25
Yan Dom
Prêté Samy avait trouvé mon dispositif de chasteté terriblement excitant la première fois qu'il l'avait vu. Quand on s'était rencontré je ne l'avais pas prévenu tout de suite, on avait bien sûr discuté avant de baiser, on n'est pas des sauvage … Je savais qu'il était actif et lui savait que j'étais passif, et tout ça semblait nous convenir. Il était bien bâti, le corps large et épais, il avait le teint mat, était bien proportionné et secrètement j’espérais que son anatomie intime soit comme le reste du bonhomme pendant qu'il se déshabillait. Je me demandais aussi comment il allait réagir en voyant mon dispositif. Sa chemise tombait, la mienne suivait, il était câlin et ne se pressait pas. On se prenait dans les bras, on se caressait en prenant bien notre temps d'apprécier la douceur de la peau de l'autre. Je sentais quelque chose de très gros et de très dur dans son pantalon. Il me souriais et me laissais lui ouvrir sa ceinture. Je m'accroupissais et baissais son pantalon. Je dois dire que je n'était pas déçu. Son pénis était encore mieux que ce que j'espérais, large, épais, et long. Il se redressais à l'horizontale légèrement incliné vers le haut. Je ,n'hésitais pas une seconde avant de me le prendre dans la bouche et ma langue lui caressais le gland. Il n'était pas circoncis, ça, c'est relativement rare dans mon pays mais il décalottait parfaitement et son prépuce ne ressemblait pas une grosse chaussette comme chez certains. Il avait une bite magnifique, j'en avait rêvé et là, j'en avait une comme ça dans la bouche. Enfin quand je dis dans la bouche, elle ne pouvait pas entrer entièrement mais ce n'était pas bien grave. Je la sentais s'enfoncer dans ma gorge, je la sentais glisser sur ma langue, c'était une merveille. Je me la prenais le plus profond possibles et quand je me retirais je le masturbais doucement. Il ne s'agissait pas de le faire jouir trop vite. Je voulais profiter de ce moment le plus longtemps possible. Il ne semblait pas s'en plaindre et je l'entendais pousser des petits gémissements de plaisir. Il me caressait la tête, me la tirait vers lui, il poussait sa queue dans ma gorge sans trop forcer, il savait que là il pouvait m'étouffer. Je faisait tout mon possible pour le satisfaire. J'adorais cette queue, je lui caressais les couilles. Là aussi il avait tout ce qu'il faut là ou il faut. Je lui caressais le ventre le haut des cuisses, et en même temps je sentais ses couilles qui pendaient lourdement. Je me disait que tout était décidément parfaitement proportionné, au repos, sa queue devait elle aussi pendouiller lourdement et l'ensemble, bite queue, constituait un bel organe, comme je les aime. Il dégageait ses pieds de son pantalon qui maintenant reposait sur ses chevilles et c'est entièrement nu qu'il se retrouvais sous mes caresses. Je me relevais. J'avais encore mon pantalon. Il me faisait un large sourire de satisfaction en me l'ouvrant, puis le laissait tomber sur mes pieds. Il me regardait dans les yeux et ne remarquait rien. Je n'avais pas de sous vêtements pourtant. Enfin si j'en avais un mais un tout petit et un rigide qui fermait avec une clé. Il me prenait dans ses bras, me caressait le corps en commençant par les épaules, m'embrassait avec passion, ses mains parcouraient mon corps et descendaient vers sa partie la plus intime. C'est là qu'il a remarqué le défaut, je l'ai vu sursauter, il s'écartait pour voir ce que sa main découvrait, mes couilles et ma cage. – Alors là, c'est une première ! S'exclamait-il. – Et tu en penses quoi ? – Il n'y a pas de doute, tu es passif ! – Bein oui ! Il s'attardait alors à me tripoter les couilles, il gardait un large sourire puis se relevait. – Suce ! M'ordonnait-il. C'est sans faire de difficultés que je m'exécutais. De nouveau je m'accroupissais devant lui, de nouveau je lui caressais la queue, de nouveau je la lui suçais goulûment. Je lui caressais les fesses en insistant sur son trou de balle, sans tenter d'y glisser un doigt. – Je vais t'enculer ! Me dit-il. Il me relevais alors en passant ses mains sous mes bras, un dernier baiser très tendre et il me retournait. Nous étions chez lui et je me penchais sur ce que je trouvais, d'un geste du pied il m'écartait les jambes et s'appuyait sur moi. Sa queue glissait entre mes jambes et me soulevais les couilles, elle était longue. Elle était aussi très large et un petit moment je ressentais cette panique du premier soir avec un partenaire très bien monté. Il allait me défoncer le cul, il avait tout ce qu'il fallait pour le faire, et un instant je me demandais si je pourrais vraiment encaisser. Il sortait un tube de gel, m'en enduisait généreusement le cul et sans plus attendre y glissait un doigt puis deux. Il les agitait alors contre ma prostate et je ne vous dis pas mais à cet instant j'ai oublié toute mes craintes, toutes mes résistances. Le plaisir était total. Je respirais fort et je gémissais. Je le laissais faire, c'était tellement bon. Il passait un bras autour de mon cou et me tirait en arrière. Lentement, il glissait sa queue entre mes cuisses, et à chaque mouvement me soulevait les couilles. De nouveau je paniquais. Il prenait du recul, il avait retiré ses doigts de mon cul et je le sentais prendre position. Je sentais son gland s'appuyer sur mon anus. Il se lubrifiait également la queue très généreusement. Je respirais fort, il poussait lentement son gland contre mon cul, là, je ne respirais plus. Je sentais mon cul se dilater, s'ouvrir, et je sentais une masse énorme se frayer un passage. C'était intense, ce n'était pas violent mais j'ai bien cru que ça ne passerait pas. Je me retenais fermement à ce que j'avais trouvé, ce devait être le dossier d'un fauteuil et je faisais ce qui devait être une horrible grimace. Je me retrouvais accroché à un support que je ne voulais pas lâcher, tiré en arrière par un bras puissant autour de mon cou et le cul défoncé par une énorme queue qui n'était pas encore entrée totalement. Je sentais le souffle de mon partenaire dans mon oreille, il respirait fort et me mordillait l'oreille. Lentement, toujours en prenant bien son temps il continuait à s'enfoncer en moi. Il devait arriver au niveau du nombril, plus haut peut être même. Il explorait des parties de mon corps don je ne connaissais pas l'existence. Ce n'était pas douloureux mais inquiétant, il atteignait l'estomac ou les poumons. En fait je savait parfaitement que ce n'était qu'une sensation mais elle était intense. Son ventre finissait par s'écraser contre mes fesses. Je ne savais plus ou il en était mais c'était rentré et ça glissait bien. Il faut bien se dire qu'il avait mis la dose de gel. Je respirais fort et je râlais. Je tournais la tête dans sa direction et nous nous embrassions . J'avais par moment l'impression que j'allais exploser ou pire, déchirer. Il se redressait et sa queue dans mon cul glissait encore plus profond, un instant j'ai bien cru qu'elle allait ressortir par la bouche. Mais je pense que ce n'était qu'une impression. Il poussait fort contre moi, comme s'il voulait me soulever et je me mettais sur la pointe des pieds. Il me tenais toujours contre lui, en me serrant par le cou. Puis il me lâchait et me poussait en avant. Je me penchais, plié en deux. C'est alors qu'il se retirait rapidement. Là, à cet instant le plaisir est devenu intense. Un plaisir inquiétant, qui menaçait de se terminer en drame, par une déchirure violente mais c'était un immense plaisir. Je râlais. Il ne ressortait pas totalement de mon cul et revenait à la charge avant de ressortir et de commencer à me limer le cul avec force. De plus en plus de force. Par étape il accélérait . Ses mains maintenant me caressaient le torse puis descendaient vers mon sexe, qu'il avait négligé jusque là. Il s'amusait à me tripoter les couilles, il jouait avec ma cage tout en me mordillant le haut du dos. Il s'enfonçait brusquement avec force et violence bien à fond. Je sentais son ventre s'écraser contre mes fesses. – J'adore ton truc, sur ta bite ! Me dit-il. Il continuait à me tripoter les couilles. – Tu peux le garder combien de temps ? – En théorie il n'y a pas de limite . Répondais-je avec une voix haché et essoufflée. – Alors je te veux toujours comme ça ! La situation sera claire. Je suis le mâle, tu fera la femelle. – D'accord, tout ce que tu veux. Il appuyait alors avec le plat de la main dur le haut de mon dos, avec l'autre main il me retenais par l'épaule et pendant un petit moment il me limait le cul avec force et très rapidement. Là encore je prenais mon pied. Je n'avais plus peur que ça déchire. C'était intense mais c'était bon. Son ventre claquait sur mes fesses et je manquais d'air, je gémissais, mais c'était surtout du plaisir. Pendant un long moment, il changeait de vitesse, il faisait des pauses et reprenait plus fort, plus rapide, avec plus de douceur ou plus de violence. C'était le pied. Puis les coups devenaient plus lents, plus amples, plus intense, il se retirait et revenait bien à fond d'un mouvement sec et violent. Il finissait par éjaculer en moi. Je l'ai deviné à son râle de plaisir qui indiquait qu'il jouissait. Il me retenait contre lui sans bouger. Je sentais sa queue qui se contractait encore, sinon il ne bougeait plus. Il m'embrassait, j'étais en sueur, je tremblais mais je me sentais bien. Il finissait par se retirer et un long filet de liquide blanc, coulait de mon cul. Le calme revenait après ce moment de fièvre . Je me retrouvais amorphe. On est passé sous la douche. C'est lui qui m'a lavé, il voulait continuer à me tripoter les couilles et la cage. Je le laissais faire, je me laissais faire. Rapidement je prenais des initiatives et c'est moi qui lui passais le gel douche, je voulais continuer à m'amuser avec sa grosse queue qui était redevenue toute molle mais qui gardait un gros volume. C'était un plaisir de malaxer cette grosse bite. Ensuite on s'est sécher l'un l'autre avant de nous retrouver allongés sur son lit. Il continuait à ma caresser, sa main descendait régulièrement sur mon sexe et il gardait un sourire satisfait. – j'aimerais que tu deviennes mon vide couille. Tu gardera ton dispositif en permanence et tu seras à ma disposition. Pour toute réponse je lui donnais un baiser. – Donne les clés ! Rajoutait-il. – La prochaine fois qu'on se reverra, là je ne les ais pas sur moi. On est restés un long moment à ne rien faire sinon profiter de la douceur du corps de l'autre. Sa grosse bite restait volumineuse et s'étalait sur sa cuisse. Régulièrement j'y passais la main presque incrédule à l'idée que c'était ce truc que je m'étais pris dans le cul et que nous allions recommencer. – Il faudra que je te présente à des amis. – Avec plaisir. – Avec plaisir ? Vraiment ? Je te préviens il sont bien montés aussi. Là encore pour toute réponse je lui donnais un baiser. – Alors je t'adopte comme mon vide couille officiel. Attention tu es maintenant à ma disposition. Je peux te baiser quand je veux, comme je veux … je lui souriais,mon cœur battait très fort. – Je me réserve le droit, si je veux de te prêter ! A suivre
19 personnes aiment ça.
Douxreveur
Voilà une bonne histoire qui part pour de bonnes façons de faire une nouvelle façon de vivre sa mise à disposition !
J'aime 10/02/25
Giel17
@Douxreveur : ???
J'aime 10/02/25
soumyvbi
oui , bon, ben ceci est un très beau rêve .1f609.png
J'aime 11/02/25
GrosSoumis
beau récit, mais l'auteur qui est dominant, qui se met à la place du soumis, c'est rare et c'est bizarre, non ? mais c'est vrai que ça donne envie d'être à la place du soumis.
J'aime 11/02/25
soumyvbi
Je suis de ton avis GrosSoumis .On aimerait bien ,que Yan Dom , nous donne quelques explications
J'aime 12/02/25
Giel17
Son texte est si juste dans le ressenti, qu'il est probablement soumis et non dominant, ou alors : switch. C'est même ce qui semble le plus vraisemblable... Mon Dieu, quel suspense insoutenable !
J'aime 12/02/25 Edité
Yan Dom
Erin soupire alors que la lumière du soleil se déverse sur sin visage. L'hiver semble toujours durer trop longtemps. L'automne est sa saison préférée, mais ce n'est rien comparé aux premiers rayons chaudes du printemps. Le bruit sourd de la porte d'entrée qui se ferme la tire de son état rêveur. - Hé maman, je suis rentré! Crie la voix familière de Jacob. - Je suis dans la cuisine. Le visage juvénile de Jacob passe par la porte reliant la salle à manger à la cuisine. - Euhhh, pourquoi tu es en retard? Demande Erin. - C'est de ma faute Mme Sinclair, excusez-moi! Dit James qui vient d'apparaître. -Vous n'êtes que tous les deux? Demande-t-elle. - Oui maman! Erin s'était inquiétée lorsque cette amitié improbable avait débuté. Son jeune fils passait du temps avec un gars de cinq ans son aîné et ça lui paraissait étrange. Pourquoi un adolescent juste majeur choisirait-il de sortir avec un enfant de treize ans. A cet âge, elle aurait pensé que son fils ne se fasse des amis que dans sa classe. Bien sûr, dans le quartier, il n'y avait pas d'enfants de l'âge de son fils, mais qu'il soit plus proche de ses camarades de classe aurait été plus logique. Elle s'était alors poliment renseignée dans son quartier. James avait l'habitude de tondre la pelouse de Ruth Rosewater en été et il pelletait le trottoir après les tempêtes de neige. Les seules formes de paiement qu'il acceptait étaient des tranches de gâteau ou de tarte. La seule plainte qu'elle avait entendue sur lui venait de M. Ott. Il avait dit : - Ce garçon conduit trop vite sa stupide voiture étrangère et la musique est toujours trop forte. Un mois après le début de l'amitié entre son fils Jacob et James, deux autres adolescents de 18 ans , Shawn et Trevor sont apparus. Le duo inséparable devint un quatuor. Voulant apaiser ses inquiétudes, Erin invita les autres mères à prendre un café dans un pub local. Les bavardages rassurèrent Erin. La mère de James, Ellen, fut très élogieuse concernant les manières de Jacob et elle assura à Erin qu'elle veillerait sur Jacob comme s'il était son fils. Chaque mère assura que son enfant n'était pas un mauvais garçon. Le lendemain , tout en se mordillant la lèvre inférieure, Erin paya quinze dollars à un site internet pour faire des recherches et des vérifications des antécédents de James, Trevor et Shawn. Les résultats furent très rassurants. - Pouvons-nous aller jouer à des jeux vidéo? Demande Jacob. Erin sourit : - Bien sûr, le repas est dans le four et devrait être prêt dans trente minutes. Les garçons disparaissent rapidement. Peu de temps après, des sons de coups de feu et explosions montent de la pièce de jeu. Assise dans la salle à manger, les yeux d'Erin parcourent le plafond alors qu'elle se perd dans ses pensées. Jacob a toujours été un garçon assez timide, et l'amitié avec James l'avait sorti de sa coquille. Un jour, alors qu'elle était dans sa cuisine, Jacob a fait irruption et lui a décrit avec animation la partie de frisbee dans un parc voisin. Il avait marqué un point et avait ainsi fait remporter la victoire à son équipe et celle de James. Le sourire radieux sur le visage de Jacob avait dissipé ses inquiétudes . Un peu à contrecœur, elle dut admettre que cette amitié inhabituelle comblait un vide dans la vie de son fils qu'elle ne pouvait combler elle-même. Avec un soupir vexé, Erin remarque qu'une ampoule est grillée dans les lampes encastrées dans le plafond. Elle se lève de sa chaise, va prendre le petit escabeau et une ampoule de rechange. Sur le bout des orteils, elle tord frénétiquement son poignet pour mettre la nouvelle ampoule en place avant que son bras ne fatigue. Elle jure alors que ses semelles glissent sur la marche de l'escabeau. Une main agrippe sa taille alors qu'une autre se pose sous ses fesses. - Faites attention Mme Sinclair! Dit James Alors qu'elle descend de l'escabeau, la main sur sa hanche glisse vers le haut et palpe sa poitrine. Puis James s'éloigne en disant : - Heureusement que je suis venu prendre un verre d'eau. Erin est abasourdie. Ça avait été rapide. Était-ce un accident? James avait-il eu l'intention de toucher ses seins? Les minutes passent alors qu'elle réfléchit à l'incident. La sonnerie du four la ramène au présent. Quelques instants après son appel, les garçons remontent du sous-sol. Le comportement de James n'est pas différent de d'habitude. - Tu es le bienvenu si tu veux manger avec nous, James! Propose Erin. - Merci, mais je mange trop souvent ici, ma mère devient jalouse. Je crois que je dois rentrer à la maison et me faire pardonner. Erin le raccompagne à la porte et le regarde monter dans sa Toyota toute blanche. Le moteur rugit alors qu'il s'éloigne du trottoir et accélère dans la rue. M. Ott, assis sous son porche, secoue le poing vers la voiture lorsqu'elle passe à toute vitesse. Les semaines passent vite, le printemps s'écoule rapidement. Il n'y a plus de tripotage bien que James ait pris l'habitude de la toucher : Une main sur son épaule, une caresse sur le bras pour attirer son attention ou une paume dans le dos pour lui faire savoir qu'il est là. Ce ne sont jamais des gestes déplacés et le contact ne dure pas longtemps. Alors Erin ne dit rien et s'habitue à ce qu'il la touche brièvement. Après avoir dû négocier à plusieurs reprises avec son fils Jacob, Erin cède et autorise une soirée cinéma et jeu vidéo. Elle s'assied à la table de la salle à manger pendant que sa maison est remplie de conversations frénétiques d'adolescents. Des cartons de pizza vides et des bouteilles de soda s'alignent sur la table de la cuisine. Erin est légèrement effarée par la quantité de nourriture que ces jeunes garçons peuvent consommer sans être rassasiés. - Prêt pour que je vous mette une branlée? Demande Jacob - Allons-y petit gars! Répond Shawn. Les garçons bondissent de leur chaise. Avant de quitter la pièce, James s'arrête et se retourne. - Merci pour le dîner, Mme Sinclair! Dit-il avant de suivre ses amis. Erin s'occupe alors de nettoyer la table et de faire un peu de ménage dans la maison. Par deux fois, elle doit demander au garçon de baisser le volume de leur jeu. Tandis que la nuit avance, elle enfile des vêtements plus confortables, allume la télé, prend un verre de vin et s'installe sur le canapé. Au début du troisième film, la maison est devenue sombre et le sous-sol silencieux. Alors que sur l'écran, le protagoniste admet finalement son amour à contrecœur, James se glisse sur le canapé. Dans la douce lumière de la télévision, son visage paraît jeune et sans expression. - Jacob, Shawn et Trevor sont endormis. Mais moi je ne peux pas dormir. Oh, je vais le remplir pour vous. Avant qu'elle ne puisse refuser, James attrape son verre de vin et disparaît dans l'obscurité. Il revient avec son verre et un grand verre rempli de soda et glaçon pour lui. Alors que la tension monte entre les deux amants sur l'écran, le verre d'Erin est rempli plusieurs fois. James s'installe sur le canapé et dépose soigneusement un nouveau verre plein sur un dessous de verre. La climatisation a finalement refroidi l'air chaud de la journée. Alors que le métabolisme de son corps ralentit et se prépare au sommeil, l'air frais fait naître la chair de poule sur la peau d'Erin. Avec l'adolescent assis si près que leurs hanches se touchent, Erin devient consciente que ses mamelons durcissent. - Vous avez froid? Demande James. En réponse à son bref hochement de tête, il glisse son bras gauche sur son épaule et la tire vers lui. Erin tente poliment de le repousser, mais n'arrive qu'à se presser contre lui. Sa main se pose sur son épaule et ses doigts jouent doucement avec la fine bretelle de son débardeur. La lumière de la télévision brille dans ses yeux bleus pendant qu'il sirote paresseusement son soda. Tandis que les amants sur l'écran partagent un premier baiser, Erin sent que les doigts font glisser la bretelle de son épaule et font tomber le tissu sous ses seins. - James, attends... Ohhh! Dit-elle alors que sa bouche se referme sur son mamelon droit et qu'une langue froide le caresse et envoie un frisson le long de sa colonne vertébrale. Des doigts chauds et calleux suivent la courbe de son épaule, effleurant sa nuque et s'enchevêtrant dans ses cheveux. Avec une pression douce, mais constante, sa tête est tirée en arrière jusqu'à ce qu'elle regarde le plafond. Erin sursaute alors que des dents mordent sa peau sensible. James change de position tandis que son autre main descend entre ses cuisses et la caresse à travers son short. Pour se défendre, elle ferme ses jambes du mieux qu'elle le peut, mais cela ne fait que piéger la main déjà en place. La salive laissée par la bouche se refroidit et fait durcir davantage son mamelon ce qui lui fait délicieusement mal. Toutes les protestations qui se forment dans son cerveau entraînent des sons sans mots qui s'échappent de sa bouche alors que l'adolescent blond l'agresse. Elle lutte, mais avec sa tête tenue, son amplitude de mouvement est limitée. A chaque fois, James ajuste sa position pour réaffirmer son contrôle. Des petites étincelles de plaisir roulent le long de son corps et s'installent sous son nombril alors que James se concentre sur ses mamelons. Erin perd laz notion du temps alors que les lèvres, la langue et les dents du jeune garçon taquinent ses seins et que la main entre ses jambes continue de presser et caresser son intimité. Après qu'un gémissement particulièrement fort se soit échappé de ses lèvres, la main quitte ses cheveux, la bouche s'éloigne de ses mamelons et son haut est remis en place. Après une tape sur sa tête, James part. En deux battements de cœur, Erin bondit du canapé, monte les escaliers en trébuchant et s'enferme dans la salle de bain. Haletante, la bouche ouverte, elle regarde son reflet dans le miroir. Ses joues sont rouges et ses yeux ont l'air vides et choqués. La salive de James a rendu transparent certaines parties de son haut blanc, si bien que le sombre de ses mamelons est clairement visible. Elle s'effondre au sol, se penche en avant et pose sa joue contre le bord de la baignoire. Les carreaux froids lui font du bien contre ses genoux. Le meilleur ami de son fils vient de la tripoter dans sa maison. Ses sous-vêtements serrés contre son corps trahissent son niveau d'excitation. Elle mouille. Des larmes de honte coulent sur ses joues alors que ses mamelons douloureux implorent son attention. Quand elle se force de sortir de son lit le lendemain matin, et qu'elle descend les escaliers, James et les autres garçons sont déjà partis. Une semaine s'écoule sans que James revienne chez elle. Petit à petit son sentiment de culpabilité et de honte s'estompe alors que le souvenir s'éloigne. La journée de travail d'Erin a été éreintante. Il y a des jours comme ça où rien ne va et complique les tâches les plus simples. En rentrant chez elle, elle laisse son esprit vagabonder. Il y a quatre mois, elle avait été surprise de voir Jacob comme un adolescent. Les enfants poussent comme les mauvaises herbes, par à-coups. Puis peu de temps après, Jacob lui avait demandé de l'argent pour qu'il puisse aller s'acheter des baskets seul. Elle avait retenu ses larmes en lui donnant l'argent et en l'attendant. Quelques semaines plus tard, elle l'a surpris en train de se regarder dans le miroir de la salle de bain tout en jouant avec un poil sur sa poitrine. Son petit garçon disparaissait peu à peu. Bien la minceur de son corps s'épaissirait dans la musculature de la virilité. Elle frissonna, il ne faudra pas longtemps avant qu'elle soit obligée de discuter de sa conduite envers les filles. Oh mon Dieu, il faudra lui parler de sexualité. Alors Erin se jure de s'amuser avec lui un dernier été avant la puberté qui va lui voler son Jacob. Elle passe les prochains jours à tout préparer. Le mois suivant, elle et son fils auront tout le temps qu'ils veulent ensemble. Un arrêt rapide au magasin lui permet d'acheter tous les articles nécessaires pour une soirée Tacos en famille. Des sacs remplis lui occupent les bras alors qu'elle ouvre doucement la porte d'entrée. Personne ne répond à ses appels. Ses talons claquent sur le sol alors qu'elle dépose soigneusement les sacs sur le plan de travail de la cuisine. Ces maudites tomates essaient constamment de s'échapper. Les clés claquent contre le granit alors qu'Erin regarde par la fenêtre de derrière. Shawn est dans le jardin en train de lancer une balle de baseball. La fenêtre est petite et lui empêche de voir tout le jardin, mais son inquiétude à l'idée que la maison soit vide s'apaise. Erin se met à ranger les courses alors que la porte du patio s'ouvre puis se ferme. Une main se pose sur son dos alors qu'elle est penchée à la taille pour ranger des casseroles et des poêles sous le comptoir tout en cherchant une cocotte. Elle se raidit de surprise. Alors qu'elle reste immobile, choquée, un pied se glisse entre les siens et les écarte tandis que des mains fortes la tiennent en place. - Maintenant Mme Sinclair, ne bougez pas! Murmure James à son oreille. Son bras gauche glisse sous ses coudes dans son dos. Lorsqu'il saisit fermement son coude droit, elle se rend compte que ses bras sont coincés. L'autre main de James trouve la fermeture éclair de sa jupe et la tire lentement vers le bas. Le bruit du zip tonne à ses oreilles. Le tissu de couleur kaki lui effleure les jambes en tombant au sol. Erin essaie de lutter du mieux qu'elle peut contre le jeune homme alors qu'il pousse le haut de son corps vers l'avant. - James... James... Dit-elle d'une voix effrayée et suppliante. La main du garçon prend ses fesses en coupe et glisse lentement entre ses jambes. Les doigts frottent en cercles serrés le coton qui protège son intimité. Erin serre les dents. Malgré sa colère et son embarras, elle sent son corps réagir. Elle essaie de donner un coup de pied en arrière, mais James dévie sa jambe avec son genou. Erin essaie de réfléchir. Elle pourrait crier. Mais avec la fenêtre et les portes fermées, elle n'est pas sûre d'être entendue. Et si elle l'était, ça ne ferait qu'alerter Shawn et son fils qui viendraient assister à la scène. Shawn, plus âgé et plus développé physiquement que son fils serait capable d'empêcher Jacob de l'aider. Sa colère se transforme en rage et frustration, mais le contact de l'adolescent lui envoie des décharges électriques. Les muscles sous son nombril se contactent et sursautent à chaque caresse. Sa culotte colle à sa chatte tandis que James continue son exaspérante caresse en cercle. Peu de temps après les doigts vicieux se glissent sous le fin tissu de coton. Erin jure en sentant la chair de ses doigts alors qu'il la caresse. Elle gémit alors qu'un doigt s'enfonce dans sa fente et cherche l'ouverture. Une fois sa cible trouvée, James fait tourner son doigt dans un geste lent avant de l'enfoncer en elle. - Tu te souviens de la nuit où j'ai sucé tes seins? Demande-t-il. Un autre gémissement s'échappe de sa bouche alors que le doigt s'enfonce complètement en elle. - Tu veux savoir ce que j'ai trouve de vraiment bien cette nuit-là? Erin halète quand un deuxième doigt rejoint le premier, étirant sa chatte. - Tu n'as jamais dit « non »! Elle sent sa chatte se contacter et serrer les doigts qui l'envahissent alors que la réalité de cette révélation s'impose à elle. Les doigts se retirent lentement, puis la pénètrent de nouveau. Erin sent ses mamelons durcirent contre le tissu de son soutien-gorge. Alors que James continue de la doigter lentement, elle se mord la lèvre jusqu'à avoir mal. Le copain de son fils la doigte sans son consentement, et pourtant elle gémit de plaisir. Elle devrait voir rouge et crier au viol, mais la pensée qui domine son esprit est l'espoir d'avoir un orgasme avant qu'il ait fini. Erin sent que sa chatte a une autre contraction et reste serrée sur les doigts pendant plusieurs battements de cœur avant de les relâcher. - Juste deux. c'est bien! Roucoule James à son oreille. Les doigts sondent son intimité à fond. Ils glissent lentement de haut en bas en essayant de la toucher sous tous les angles. Lorsque James trouve un endroit qui fait bouger ses hanches involontairement, il continue de la stimuler à plusieurs reprises, riant à chaque fois à sa réaction. Les larmes montent aux yeux d'Erin alors que de l'humidité coule sur sa cuisse droite. Elle réprime un sanglot. Elle est en colère, mais elle ne veut pas qu'il s'arrête. Avec un son humide, James retire ses doigts. Il remet la culotte en place et lui tapote les fesses. Erin peut sentir l'humidité de ses doigts contre l'arrière de sa cuisse droite. - Bonne fille! Murmure James alors qu'il l'embrasse sur la nuque. Quand Erin entend la porte du patio se fermer, elle attrape sa jupe et s'enfuit s'enfermer dans la salle de bain. Recroquevillée sur le sol, elle pleure. Des traînées de larmes de colère et d'humiliation refroidissent sur ses joues et sont remplacées par des larmes de frustration. Sa colère s'estompe peu à peu, mais la chaleur entre ses jambes continue à faire rage. La soirée Tacos se passe au calme et sans joie particulière. Shawn et James sont partis après son agression. Jacob doit sentir que son humeur est au plus bas. Alors il ne proteste pas quand l'heure du coucher est arrivée. Après l'avoir bordé, Erin s'assoit sur le coin de son lit et enfile un pyjama. Alors qu'elle se dirige vers la cuisine pour prendre une boisson fraîche avant de se coucher, un coup est frappé à la porte. Le visage de James apparaît quand elle entrebâille la porte. - Que veux-tu? Demande-t-elle. - J'ai oublié mon gant de baseball ici et j'en ai besoin demain. Erin lui claque la porte au nez. Rapidement elle fouille la cuisine et le salon. Le choc de voir le visage de James avait fait durcir ses mamelons. C'est une réaction de son corps qu'elle déteste. Avec un grognement de colère, elle retourne à la porte d'entrée. - Il n'est pas ici! Dit-elle à l'adolescent. - S'il vous plaît, laissez-moi regarder! J'en ai vraiment besoin demain et c'est le seul que j'ai. A contrecœur, elle ouvre la porte en grand et lui fait signe d'entrer. Il passe devant elle alors que sa tête oscille de colère. - Je te dis qu'il n'est pas ici! Répète-t-elle. James ouvre la porte-fenêtre donnant sur le jardin et s'agenouille sur la marche en béton. Il tend la main et avec un grand sourire il lève son gant. - Très bien, il est temps que tu partes! Dit Erin. Alors qu'elle veut ouvrir la porte d'entrée, une main agrippe la ceinture de sa robe de chambre. En un clin d'œil, l'autre main défait rapidement le nœud et la robe de chambre est arrachée. - James, non! Proteste-t-elle en essayant de repousser le garçon. Mais celui-ci accroche son pied et elle tombe en arrière sur le grand pouf en cuir. Erin frappe ses mains, mais les doigts agiles déboutonnent son haut de pyjama en satin. La bouche du garçon se pose sur son mamelon droit. Elle a le souffle coupé et elle cambre le dos. Alors qu'elle essaie de se relever, James accroche un doigt au bas du pyjama et le tire sur ses jambes avec sa culotte. Le besoin de se défendre est contredit par le désir de se laisser aller. La tête pendante au bord du pouf, les cheveux dansant autour de son visage, elle se tord sous la bouche et les doigts de l'adolescent. Les mains agrippent sa taille et la tire au centre du pouf. Le satin du pyjama lui permet de glisser facilement sur le cuir du pouf. Erin se sent impuissante alors que James s'agenouille entre ses jambes écartées. Avec ses poings fermés, elle martèle les épaules de l'adolescent, mais il ne fait pas cas de ces coups. Sa bouche s'active sur ses mamelons et le corps d'Erin se cambre si bien que seul l'arrière de sa tête et ses hanches sont au contact du cuir souple. Le garçon la pénètre sans résistance et sans besoin de lubrification artificielle.
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Génial
J'aime 17/11/24
soumyvbi
Je ne sais , ci cela est de vous cher Yan Dom , mais si c'est le cas , vous devriez écrire des livres , Vous avez beaucoup de talent
J'aime 12/02/25
TheDuc
Créateur de tenue en latex Nous organisons cette année des après midi « Pool Latex Party » dans le beaujolais Port de latex obligatoire Plus d’info en mp Recherche soumis Recherche dom
4 personnes aiment ça.
SwitchLoicbidu59
planning parfait surtout le samedi mais je suis du 59 donc trop loin. bravo cette iniative
J'aime 10/02/25
TheDuc
Des logements sont disponibles sous reserva
J'aime 10/02/25 Edité
Lilou
Bonjour, vous avez un site pour voir vos créations et pourquoi pas acheter ? Merci
J'aime 10/02/25
TheDuc
Instagr
J'aime 10/02/25
Lilou
Merci
J'aime 10/02/25
TheDuc
Créateur de tenue en latex Nous organisons cette année des après midi « Pool Latex Party » dans le beaujolais Port de latex obligatoire Plus d’info en mp Recherche soumis Recherche dom
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Merci Langue au Chat d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
proxeyslave
Bonjour, ici pour être pris en main par homme(s)... Très peu de tabou, j'aime être humilié de façon extrême, dominé, éduqué, puni, exhibé, utilisé... N'hésitez pas à me solliciter, je suis du 33 et me déplace souvent dans le 65 :)
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Intéressant
J'aime 09/02/25
Passe en MP
J'aime 09/02/25
emend69
a partagé une photo
Avec les encouragements de Maitre JD, piercing des tétons fait. Encore un peu "sensible" 24 h après.
7 personnes aiment ça.
Giel17
Aïe.
J'aime 07/02/25
Bravo,,belle marque de soumission!! Et cela presage de bons moments de stimulations!!
J'aime 08/02/25
emend69
Giel17, oui aïe
J'aime 08/02/25
Joli téton pointé et percé
J'aime 09/02/25
emend69
Maitre Dom. Merci
J'aime 09/02/25 Edité
Giel17
Tétons de traînée, qui appellent la punition.
J'aime 09/02/25
emend69
Giel17 .Un soumis SM, c'est fait pour ça non ? plutôt qu'une punition, je dirais un usage "normal"
J'aime 09/02/25
Giel17
@emend69 Une punition normalisée.
J'aime 09/02/25
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