Nous sommes proche d'une mutation sans précédent de l'humanité.
Lintelligence artificielle est en train de diffuser partout.
Elle va bientôt rentrer aussi dans nos cervaux, sous forme de puces ou nano technologies, ce qui va développer de façon colossale nos capacités.
Il va être bientôt possible de prolonger nos vies et même de rêver d'immortalité par transferts.
Ce n'est plus de la science fiction, c'est dans un avenir proche et même très proche car certains progrès vont devenir exponentiels avec ces capacités humaines augmentées.
Un autre monde est là très proche de nous et je le trouve vraiment fantastique. Il n'est pas si loin le temps des cavernes et des outils en pierres taillées.
Alors le bdsm avec cela ?
Les robots vont très vite apprendre, ils seront de plus en plus performants. Ce n'est pas un problème.
Ce que je trouve intéressant c'est d'imaginer par exemple une domina dont les capacités intellectuelles et de conscience seront multipliée par 1000. Les scientifique parlent de 5000 avant 2050. Cela dépasse notre imagination actuelle. Ce n'est pas un souci , nous allons une fois de plus nous adapter.
Les pratiques vont elles devenir mille fois plus complexes, intelligentes et raffinées ?
De toute façon nous n'avons pas le choix. Cette mutation va se faire et elle a déjà commencé.
#esclave
24/12/15
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Les deux jolis mamelons aux larges auréoles framboise jaillissant hors de leur prison firent sourire Ambre qui entrepris ensuite de réclamer à sa propriétaire de petits mouvements de la tête, des mains et des jambes.
Totalement rassurée par cet examen rapide, elle dit à voix haute qu'il n'y avait plus là matière à inquiétude et qu'après une bonne nuit de sommeil tout serait oublié, mises à part quelques ecchymoses et courbatures. Et elle proposa même à la jeune femme, en tournant les talons, de les soulager dans les jours à venir par quelques uns de ses massages magiques.
Un peu plus loin dans le fossé, un grand panier d'osier laissait dépasser la tête d'un jard splendide. Mais le volatile ne bougeait plus et sa tête faisait un angle bien étrange avec le reste de son corps. Il n'avait pas eu la même chance que sa maîtresse !
Un peu troublée par ce joli corps féminin entraperçu, et fatiguée aussi par sa journée de travail, Ambre installa dans sa cour un grand baquet d'eau fraîche et n'eut pas la patience d'attendre longtemps qu'elle réchauffe au soleil pour se mettre nue et y plonger toute entière.
Une lourde chaine entre les jambes
Ses ablutions furent vite expédiées et elle s'allongea bientôt avec délice sur sa confortable fourrure de massage devant l'âtre où crépitait un feu vif, avide d'un sommeil réparateur et pressée aussi de retrouver en songe les bras puissants de son forgeron préféré.
Mais à l'instant même où il se décidait enfin à l'entreprendre en la prenant aux hanches pour une pénétration qui s'annonçait bien vigoureuse, il lui sembla vaguement qu'on toquait à la porte. Un moment, elle crut avoir mal entendu, mais le heurtoir reprit du service et elle se leva en maugréant.
Passant une pelisse de renard sur ses épaules nues, elle entrouvrit prudemment la porte. Là, se tenait un homme, manifestement confus de la réveiller à cette heure tardive. Vêtu d'une longue cape de laine et portant bâton de marche, il dissimulait sous un chapeau de feutre un visage marqué par la fatigue.
Totalement immobile mais nullement menaçant, il semblait attendre qu'elle décide pour lui. Accepterait-elle de l'héberger pour la nuit ou bien le repousserait elle dans la solitude du soir ! En fait, il s'en remettait totalement à son esprit de décision et aussi à sa bonne étoile.
Elle sourit intérieurement à cette vue et se dit que décidément ses amies les étoiles avaient bon goût et lui envoyaient justement l'aide qu'elle espérait.
Sans mot dire, elle s'effaça pour le laisser entrer et le fit asseoir. Remarquant au passage de discrets cliquetis métalliques, elle ne fit aucune remarque et lui proposa un morceau de fromage, un quignon de pain et un gobelet de vin rouge.
Le regardant attentivement pendant qu'il mastiquait avec lenteur ce dîner bienvenu, elle remarqua qu'il gardait sa grande cape ostensiblement fermée, malgré la chaleur régnant dans la pièce. Instinctivement, son tempérament de maîtresse femme lui commanda d'en savoir plus.
S'approchant de lui, elle écarta doucement les pans de laine et découvrit un homme arborant une tenue paysanne, mais partiellement nu, une lourde chaîne pendant entre ses jambes. A ses poignets, des marques profondes témoignaient clairement d'une mise aux fers sévère et prolongée.
Poursuivant avec calme ses investigations, Ambre s'agenouilla devant son visiteur du soir et examina avec attention la chaîne qui lui battait les chevilles. Le dernier maillon était difforme, tordu, manifestement cassé par des efforts musculaires frénétiques et répétés. L'autre extrémité avait été forgée de façon à venir enserrer les testicules du prisonnier.
Elle frissonna en imaginant le terrible coup de marteau qui avait aplati la pièce métallique pour la maintenir définitivement en place, sans toutefois causer le moindre dommage aux parties génitales du prisonnier. Manifestement il y avait là un vrai savoir faire de la part d'un bourreau très habile !
En ces temps reculés, les châtiments pratiqués par les celtes étaient laissés à la discrétion des offensés et pouvaient s'avérer d'une rare cruauté, à l'égal des terribles pratiques chinoises. En outre, le lien entre faute et châtiment était souvent direct et l'on était souvent puni par où on avait pêché.
Quelques siècles plus tard, la promulgation de la première version de la loi salique (IVe ap JC) imposera une modification de ces pratiques en portant dans la sphère publique la prononciation des peines par un représentant du roi. Et cela sur la base d'un inventaire précis de tous les dommages pouvant être causé (meurtre, mutilation, vol…). Exit donc les fantaisies terrifiantes de certains notables locaux et toutes ces règles particulières établies par chaque conseil d'anciens.
Mais pour l'heure, c'est encore Elcmar, seigneur de Rohan et époux de la sublime Dana, qui prononce chaque jeudi (jour de la semaine destiné à traiter les affaires juridiques chez les celtes) les sentences à venir.
Obscure et sombre couleur prune
Petit et malingre, cet homme méchant au visage ingrat et à la voix de fausset s'est rapidement fait connaître dans toute la contrée pour la férocité implacable de ses jugements.
Avec lui, le bourreau ne chôme pas, faisant même preuve d'une grande inventivité dans les supplices pratiqués, suivant en cela, disent les mauvaises langues, les conseils avisés et un tantinet sadiques de la belle Dana.
Et Ambre de reconnaître la signature de celle-ci dans cette façon récente et tout à fait particulière d'enchaîner les condamnés de sexe masculin. Elle sait aussi les attirances anales de la redoutable Dame et n'a guère de doute sur ce qu'a pu subir son visiteur du soir, côté pile.
Prévenante, c'est après avoir plongé la main dans le petit pot d'onguent opiacé disposé près de la cheminée, qu'elle va tenter d'apaiser le feu qui lui dévore l'anus, malmené très récemment en prévision probable d'une exécution par empalement.
Ignorant la composition exacte de la médecine qu'elle se procure en forêt chez une vieille rebouteuse, elle l'applique cependant avec conviction et douceur, en connaissant l'efficacité rapide, et aussi certains de ses effets secondaires tout à fait intéressants quand on aime les plaisirs de la chair.
C'est bien connu, l'intimité d'une femme, c'est l'origine du monde. Celle d'un homme, c'est au contraire une porte fermée, tendre et délicate, mais d'une obscure et sombre couleur prune, à laquelle la plupart des civilisations n'ont accordé qu'un rôle strictement fonctionnel.
Ambre sait pourtant qu'il en est tout autrement, et qu'avec un sésame approprié on peut s'y glisser toute entière, ou presque. Elle aime sentir cette chair palpitante, qui s'échauffe encore davantage lorsqu'elle saisit brusquement l'un ou l'autre des tétons disponibles du mâle qu'elle soumet.
Lorsqu'elle mène ainsi bataille, arrachant victoires sur victoires au point d'y mettre la main entière, elle sent aussi monter du côté de son ventre à elle de fortes envies de visite. Elle résiste tant qu'elle peut, poursuivant parfois son avantage jusqu'à doter son entrejambe d'un gigantesque fac similé.
L'esthétique de l'ustensile lui déplaît souverainement mais la sensation quand elle pénètre l'homme n'est pas du tout déplaisante. Le retournement de situation est complet et c'est avec grand plaisir qu'elle laboure avec vigueur le sillon masculin, attentive aux gémissements de contentement qui lui parviennent bientôt aux oreilles.
Toute à ses pensées frivoles, elle frissonne soudain et réalise que le feu dans la cheminée a bien baissé.
Allongeant le bras vers le haut du bahut, elle en ramène un collier de cuir, des bracelets munis d'un gros anneau ainsi qu'une laisse de corde tressée.
- « je ne veux rien savoir de ton passé » dit elle « ni d'où tu viens ni pourquoi tu portes cette chaine ».
- « je te propose de demeurer ici aussi longtemps que tu voudras, tu y seras à l'abri de ceux qui te poursuivent. Mais tu seras aussi mon esclave. Tu garderas tout au long du jour et de la nuit ce collier et ces bracelets. Et dorénavant c'est moi qui déciderait ce qui est bon pour toi, dans quelque domaine que ce soit.» ajouta t'elle en secouant légèrement la chaine.
Hésitant un court instant, il tendit finalement le cou, puis les chevilles et les poignets, auxquels elle fixa solidement le cuir. A l'anneau du collier, elle accrocha la laisse, puis décida que c'était l'heure de dormir et le guida jusqu'à l'étage.
FIN
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Jeune soumis qui apprécie les mots
Bonjour à Toutes et à tous
Je suis un jeune soumis Gynarchiste d'une vingtaine d'année de région parisienne .
Cela fait plusieurs années que je suis fière de mon statut inférieur en rêvant d'une relation d'appartenance durable basée sur le respect et la complicité.
Paradoxalement à mon rêve de devenir esclave après soumis, je suis quelqu'un de caractère au quotidien bien que je peux aussi être très docile.
Je suis ici principalement pour pouvoir débattre et échanger avec d'autres personnes, Le tout avec courtoisie et respect.
Je n'ai jamais pratiqué, j'estime que je dois avoir qu'une Seule MAÎTRESSE avec l'espoir d'un contrat d'appartenance (ce qui demande du temps), je me préserve donc pour ELLE (c'est une dévotion appréciable) .
Merci de m'avoir lu, aux plaisirs de discuter !
Respectueusement
Soyez la première personne à aimer.
daniela pour vous servir
Créature TRANSGENRE,
libertine promenant ses rondeurs et son ambiguïté
sans gène d'aucune sorte,
écolo militante farouchement engagée
dans tout les combats défendant ces richesses mésestimées
car jugées si communes et pourtant si précieuses,
portant les noms de Liberté
(comment prétendre être libre sans liberté sexuelle?),
de Diversité
(aussi bien biologique que philosophique)
et de Respect
(pour soi même autant que pour tous et tout ce qui nous entoure).
Pour en savoir plus à mon sujet,
certains me croient futile,
inculte, analphabète,
paresseuse, dégénérée,
bref, sans aucun intérêt.
Donnant une trop mauvaise image
de la femme et des Trans
car beaucoup trop libérée,
pas assez discrète ni assez effacée,
vivant mes fantaisies au grand jour,
sans aucun voile, ni la moindre pudeur.
D'autres ayant osé explorer
quelques pans de mes jardins secrets,
me disent complexe mais pas du tout complexée,
appréciant mon indécrottable franchise,
mon insatiable curiosité,
mon aptitude à rester,
sereine en toute circonstance,
aussi intarissable intellectuellement,
que difficile à combler sexuellement ;-)
et toutes ces autres particularités,
ces défauts parfaitement assumés,
faisant que toute sirène aspirant à s'élever,
est à la fois haïe et jalousée,
trahie et admirée,
pour de la lumière de la connaissance
avoir tenté de se rapprocher.
Telle Icare,
Tantale ou Prométhée
et surtout l'éblouissante Hypatie d'Alexandrie,
brillant un temps soit peu bien malgré elle
quand sur ses ailes déployées,
de ce maudit pétrole engluées,
où les reflets irisés
de Midas et de Phoebus se sont posés,
de diamant brut, d'ambre et d'écume entremêlés.
Jamais assez haut hélas,
pour échapper, à la corruption de ce monde
de cupides imbéciles obscurantistes et fanatisés,
ni aux caillasses et quolibets
des médiocres envieux et des frustrés.
Passionnée par mille sujets
que je ne pourrais ici développer,
j'explore depuis mon adolescence
tout ce qui touche à cette notion
à la fois si abstraite et bafouée,
de ce mot Liberté
pour lequel tant ont été
si inutilement sacrifiés,
alors que leurs héritiers
sont si empressés de la brader
ou d'en priver
ceux ne possédant rien d'autre qu'elle.
Aussi quitte à devoir l'abandonner
ou me la faire confisquer
comme tant d'autres,
je préférerais avoir au moins
le luxe de pouvoir choisir
celle ou celui qui deviendra ma geôlière ;-)
Quêtant depuis des années,
le bel esprit, la perle rare lubrique et raffinée,
joueuse joyeusement perverse,
qui sera à nouveau capable,
de faire de moi la complice
de ses passe-temps les plus inavouables,
de sa chienne dilatée,
par tous ses orifices possédée,
à sa camériste attentionnée,
en passant par sa coquine habilleuse,
sa souriante maquilleuse,
son espiègle masseuse,
sa chatouilleuse pédicure,
ou sa salope insatiable
punie pour sa lubricité,
à être constamment enchaînée, bâillonnée,
de latex parfumée, engodée,
de foutre et d'urine ruisselante,
exhibée, bondagée.
Capable de m'offrir à nouveau
cette troublante sensation,
cette exquise jouissance,
de ressentir sur moi les regards se coller,
outrés, amusés, fascinés.
Désirant faire de moi sa soubrette humiliée,
de plaisirs vicieux assoiffée;
de vinyle, satin et dentelles costumée,
de cuir vernis, cuissardée, corsetée.
Tentée de m'offrir à de sévères Démones
pour en devenir le jouet,
à fin d'être par leurs désirs oh combien pervers,
par leur jus toute entière souillée.
Ou bien,
offerte en bukkake à tout(e)s vos invité(e)s,
par leur foutre être maculée
telle une poupée de latex
par tout ses orifices inondée.
Pour vous je me veux femelle soumise et offerte.
Oserez-vous me faire ressentir
au plus profond de mon être,
de la cravache la délicieuse morsure,
de ma honte la suave blessure,
par vos membres enveloppée, possédée?
Ou d'une divine Marquise devenir l'objet;
O de sexes assoiffée,
à vos jouissances asservie
et par votre désir dominée.
L'esclave de ses précieuses chaînes amoureuse,
souhaitant de Maîtresses perverses
devenir la servante vicieuse.
Garage à bites, godemichés,
gorge profonde par votre vit déformée.
Offerte à tous les plaisirs charnels,
ces joutes innocentes, sexuelles,
l'anus explosé lors de "gang-bang" sensuels,
pourvue qu'il n'y ai là rien de cruel.
Tout cela n'étant pour moi
que profondes explorations existentielles.
L'incomparable sensation d'avoir avec l'unité
de ces corps entremêlés,
pressés de juter sur le même sujet,
retrouvé le "big-bang" originel,
pour de tout préjugés être enfin débarrassée,
à travers ces actes soit disant insensés
que les moralisateurs font mine
de farouchement condamner...
pour mieux s'y adonner eu même
une fois les dos tournés.
A fin qu'au terme d'une vie de plaisirs débridés,
sans autres contraintes que celles que j'ai moi même enfilé,
pourvoir affirmer sans mentir,
y avoir été initiée à toutes ou presque,
sans jamais avoir à en rougir.
De tout cela,
qu'avez vous pensé?
Futilité...?
Ou bien, devenir mon Maître, ma Maîtresse,
faire rougir mes fesses,
de plaisirs,
trembloter mes reins sous d'ardentes caresses,
des soupirs,
êtes-vous tentées?
Vos fantasmes les plus osés,
sur votre catin, voulez vous réaliser?
De votre plume excitante, j'attends la réponse enflammée.
Votre soumise haletante, de jouissances assoiffée.
Ou pour résumer
Soumise Transgenre BDSM plutôt atypique,
très enrobée,
plutôt cultivée et passionnée,
en particulier par le sexe insolite et hors normes mais exclusivement protégé.
Si vous désirez réellement me séduire,
votre physique et la taille de votre pénis importe peu.
Au mieux cela ne représente pour moi,
que de petits plus fort appréciables mais en rien, d'irrésistibles appâts.
Seules ont des chances de m'emballer,
au propre comme au figuré,
vos capacités à briller par votre esprit,
à assumer qui vous êtes et ce que vous aimez
pour être capable de vous afficher
sans honte à mes cotés,
cravache à la main et laisse attachée
au collier de votre chienne joliment ligotée,
dégoulinante de foutre,
exposée entravée au pilori,
en kinbaku lors de soirées enjouées
devant un publique averti,
bouche et anus encombrés
de fémindoms débordant de jus,
fesses rougies,
mon visage décoré de capotes usagées,
ma longue chevelure poisseuse
de foutre et d'urine mélangés,
et surtout, à m'enthousiasmer
par vos scenarii détaillées
et vos propositions les plus surprenantes,
si possible imagées et humiliantes.
N'hésitant pas à faire de moi
votre esclave sexuelle permanente, de latex cagoulée,
votre salope à gang bang constamment bondagée,
entre deux tournantes toujours bâillonnée et engodée,
à régulièrement faire tourner,
que ce soit en donjon encagée,
mes orifices mise à disposition
24/24 pour être abondamment lubrifiés,
en camionnette livrée
solidement emballée,
pour servir de glory hole menottée
dans les toilettes des bars montants et des cinés (pornos)
ou des baraques de chantier
mais toujours étroitement surveillée
et uniquement devant de multiples cameras
pour diffusion en sex-shop ou sur la toile,
et surtout éviter toute MST,
débordements et brutalités.
Attention cependant,
car fortement allergique au tabac tout comme aux personnes autoritaires,
sans franchise, ni esprit, ni humour, ni imagination,...
j'ai le black listage facile et définitif,
à la plus petite marque d'irrespect,
au moindre écart de langage,
trahissant de malsaines intentions,
faisant l'erreur de confondre
soumises et kleenex.
Merci donc à la gente masculine,
en particulier hommes (et femmes) marié(e)s,
(c'est à dire déjà engagé(e)s
dans cette institution sacrée,
ce privilège refusé
aux couples s'aimant d'un amour vrai,
sous le stupide prétexte
qu'ils sont de même sexe),
ainsi qu'aux timorés,
aux indécis,
aux machos,
aux maîtres de pacotilles,
aux apprentis dictateurs,
aux maquereaux des bacs à sable,
aux suceurs de clopes,
aux alcoolos,
aux religieux de toutes pilosités,
en particulier aux curés,
aux poulets,
aux moralisateurs,
aux donneurs de leçons,
aux redresseurs de tordues,
aux cyber-branleurs...
...aux adeptes de la violence,
du BareBacking,
des SMS et des MST,
des rapports non protégés,
de la pénombre,
des situations glauques,
des relations passagères ou épisodiques,
de l'anonymat,
des sexualités refoulées et culpabilisatrices
et autres glands sur pattes
incapables de lire plus loin que la ligne du titre
(quand ils savent lire) et pour qui les mots:
'courtoisie, respect, humour, politesse,
convivialité, patience et séduction' font trop "tarlouzes".
Sans oublier tous ceux
(et ils sont hélas fort nombreux),
que l'idée d'apprendre à se présenter convenablement,
en affichant son visage et non son gland,
ne semble même pas effleurer l'esprit,
de bien vouloir zapper mon profil
pour tenter leur chance
auprès d'une personne sachant s'accommoder
de leurs pitoyables habitudes
et de leur arrogante médiocrité.
Aux autres,
je dis tout simplement,
épatez moi et je me ferais
un plaisir de vous laisser m'enlever
pour vivre captive à vos cotés.
De mon asservissement
totalement ravie et comblée.
Au plaisir de vous lire,
daniela pour vous servir.
Soyez la première personne à aimer.