Ce n'est pas la première fois que j'observe une nette différence de communication entre les différents statuts sur le site.
Ce qui me vaut cette interrogation : les deux publications sur le forum concernant le contrat du côté Dominant et du côté soumis. (Échanges que je qualifierais moi de très tranchés côté D, Échanges plus nuances selon moi côté S)
Relevez-vous aussi une/des différence/s de manière générale ?
Si oui, d'où cela vient selon vous ?
Si non, je ne suis pas du même avis donc je serai curieuse de lire vos avis.
Je n'en dis volontairement pas plus pour ne pas influencer les réponses.
Je suis aussi intéressée par les échanges entre D-S sans qu'ils soient en Lien. Notez-vous aussi une différence quand une personne Dominante s'adresse à une autre personne selon son statut. Les Dominants s'adressent-ils différemment à une personne soumise et autrement à une personne Dominante selon vous ?
(Est-ce une différence, si elle existe pour vous, qui vient directement des statuts (D/S) ou des genres-sexes (H/F...) ? Les soumis hommes ont-ils le même sens du dialogue que les personnes soumises femmes ? ... ... )
Merci d'avance si l'envie vous vient de participer. :)
Derniers sujets du forum
Petite information amusante, en cherchant dans les tréfonds de Google, nous sommes tombés sur le top 10 des régions où se trouvent les utilisateurs qui tapent "bdsm" dans Google ... Le résultat est assez surprenant :
1. Limousin 2. Alsace 3. Lorraine 4. Auvergne 5. Burgundy 6. Centre 7. Rhône-Alpes 8. Champagne-Ardenne 9. Poitou-Charentes 10. Aquitaine
Bonjour,
Je pense que tout le monde sait ce qu'est une MST mais au cas où l'acronyme échapperait à quelqu'un : Maladie Sexuellement Transmissible.
Né au début des années 90 (les "années Sida"), j'ai été sensibilisé aux risques de MST en classe de collège suite aux mesures de prévention du VIH instaurées par l'état.
Une excellente initiative.
Mais ajoutez à cela des parents particulièrement anxieux sur la question et vous obtenez un morveux finissant par croire qu'il a tout choppé alors qu'il n'a encore jamais eu de copine.
Le temps passe. Je rencontre une fille qui n'a jamais eu de relation non plus mais que je convaincs de faire des analyses de MST malgré tout, par précaution.
La séparation est inévitable car les séances de facesitting sadique apaisent mon coeur mais serrent le sien, et les séances de gorge profonde soulagent son âme mais tordent la mienne.
Deux soumis ne vont pas bien ensemble.
Notre flippé de la MST (moi) arrive donc sur le marché des applications de rencontre pour la première fois, comme un taureau entrerait dans l'arène : pas bien certain que ses interlocuteurs ne cachent pas quelque mauvaise surprise derrière le tissu rouge du mensonge.
Il fait donc du tri, beaucoup. Il élimine d'office les profils dont les photos sont absentes ou suggestives et les intentions légères ou incertaines. Il oriente les discussions pour s'assurer du sérieux des femmes qui lui portent de l'intérêt.
La stratégie est autant payante que frustrante : il parvient à avoir quelques relations avec des personnes fiables dont les analyses de MST sont rassurantes (la séparation avec ces personnes ne tenant quasiment toujours que de leur caractère soumis), mais au prix d'un temps fou passé à discuter avec des femmes qui :
Finissent par être incohérentes lorsqu'elles évoquent leur passé amoureux
Finissent par lui avouer que leur dernier rapport sexuel remonte à 2 ou 3 semaines. Pas très rassurant en soi, mais ce qui repousse surtout les analyses de 9 ou 10 semaines si l'on tient (et il y tient) à respecter le délai de sûreté de 12 semaines entre le dernier rapport intime et les tests, et ce qui augure une sexualité protégée et terne (pléonasme) durant cette période
Finissent par lui révéler qu'elles se sont amusées par le passé
Or, il se méfie au plus haut point des coups d'un soir, des sex friends et des relations libres ou inclusives, qui sont pour lui le berceau des infections.
On lui dira alors, comme à un supposé enfant, que les préservatifs existent et il répondra, comme à un supposé adulte, que presque personne ne prend la précaution d'en porter lors des préliminaires car personne ne veut sucer ou lécher un bout de latex et car tout le monde préfère ressentir la douceur et l'humidité d'une langue sur son sexe.
Il paraît d'ailleurs que les cas de MST ont explosé ces dernières années et notre flippé ne peut donc s'empêcher de penser à celles et ceux qui ont connu de nombreux partenaires, et qui poursuivent le marathon charnel.
Il les envie de s'autoriser à vivre, insouciants et heureux, autant qu'il les déteste de propager leurs infections, égoïstes et irresponsables.
Il en vient finalement à croire que Mère Nature est une sacrée pute cynique, à créer des virus voués à occuper les muqueuses génitales d'êtres conditionnés à la reproduction.
Ces mêmes êtres tiraillés alors entre leur besoin de sexualité et leur crainte de chopper une immondice qui ne les lâchera plus de toute leur existence.
Mais cette pensée ne l'aide pas vraiment alors il crée ce post pour tenter de trouver un peu de soutien (ou pas) :
Suis-je le seul à avoir si peur des MST, au point de saboter la plupart des opportunités de rencontre qui s'offrent à soi ?
Serait-ce un problème générationnel, découlant peut-être d'une campagne de prévention trop rigoriste du VIH ?
Bonsoir à tous, je souhaiterais avoir des témoignages de personnes pratiquant le knife play, c’est une pratique que je ne connais que de très loin, je ne m’y suis jamais intéressée car pour moi qui dit couteau dit sang, je me trompe peut être et ma curiosité et mon envie de découvrir me titille un peu.
Merci d’avance à ceux qui veulent bien m’en dire plus.
Belle soirée ✨️