Léa
Trav transgenre soumise passive féminine très salope pute esclave sexuelle
Souhaite être offerte en abattage gang band tournante à de nombreux hommes
Et être violée à la chaîne sans capote avec éjaculation interne
Avoir des doubles pénétrations anales
Être fessée et fouettée cul nu
Ouverte à toutes propositions même les plus extrêmes
Très exhibe on peut tout me faire devant du public
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bonsoir à toutes et à tous,
ça va bientôt faire un mois que je zone sur ce site, et j'ai déjà rencontré et discuté avec quelques personnes intéressantes (entre quelques prises de bec, mais il faut croire que j'aime ça quand même...) mais globalement, même si en toile de fond il y a "le BDSM", en fait, les gens avec qui je parle, les discussions que l'on a, a quelques détails près, il n'y a rien de très croustillant. Et j'aime bien, faire des rencontres d'abord et surtout, échanger.
si je traîne par ici, en fait, c'est avant tout parce que je cherche quelque chose que ma vie de couple vanille et ma vie sexuelle ne m'ont jamais apporté jusque là. alors je me lance, je me livre, sans filets. c'est un peu dur, un peu exhibitionniste comme démarche, mais il faut bien se mettre en danger parfois...
J'ai 38 ans, je sais que je vais devoir divorcer mais j'ai du mal à sauter le pas, et je sens que d'une façon ou d'une autre, j'ai fait fausse route durant toute ma vie, affectivement et sexuellement.
première réflexion : mais tu dois t'être trompé d'orientation sexuelle mon bon monsieur. oui mais, j'ai beau être ouvert d'esprit, je n'éprouve pas d'excitation à la vue d'un corps d'homme
deuxième réflexion : tu es peut-être un soumis qui s'ignore mon bon monsieur. oui, mais autant la vue d'une femme forte m'excite, autant je ne me vois pas à la place de son objet sexuel ; j'aurais plutôt envie de la dresser, cette femme forte, pour mon plaisir, et pour flatter mon ego
troisième réflexion : alors tu dois être un homme dominateur, frustré de n'avoir jamais pleinement pu laisser s'exprimer ta nature dominante mon bon monsieur. Oui, mais ça ne colle pas bien avec ma personnalité en dehors de toute considération sexuelle, je n'aime pas me mettre en avant (je vous assure), je ne cherche jamais à marcher sur la tête de qui que ce soit pour paraître plus grand que je ne suis
alors quoi ? je me suis trompé de site ? peut-être, mais quand je vois une belle femme habillée en cuir, une paire de menottes ou un collier et une laisse, je me sens excité au delà de ce que la vue d'un corps féminin hors de ces marqueurs symboliques provoque en moi.
et puis quand je vois une femme dominer, humilier un homme, ça me plait, même si j'ai du mal à me mettre à la place de l'homme en question, je me vois bien un cran au dessus, à commander madame qui tourmente monsieur.
ne suis-je au fond qu'un voyeur un peu plus pervers que la moyenne ? que pourrais-je porter comme conclusions quant à mon orientation sexuelle et mon rôle naturel au milieu d'un univers de domination / soumission ? devrais-je simplement continuer à observer ce qui se passe en moi à mesure que mon couple vanille avance sur le chemin de la séparation ?
est-ce qu'on en a quoi que ce soit à foutre de mes questionnements, est-ce que ce n'est que de la masturbation intellectuelle ? est-ce que je ferais mieux de rentrer chez moi et consommer du porno et des chips jusqu'à ce que je n'ai plus faim, jusqu'à ce que je sois vieux et gras et seul, et probablement fou ? est-ce que je suis au bon endroit pour m'exposer ainsi, est-ce que je fais bien de cliquer sur "envoyer" après avoir écrit ça ?
Robots humanoïdes et poupées gonflables connectées comme assistants sexuels. Qu'en pensez-vous ?
Un robot c'est de la mécanique, des capteurs, de l'énergie, une apparence humaine de plus en plus ressemblante et un cerveau performant grâce à l'IA. Blade runner approche.
Les prix sont encore de l'ordre de plusieurs milliers d'€...
L'IA permet des performances et des temps de réponse immédiats.
En revanche, pas de vie, pas de sentiments ( ...des algorithmes!) mais des imitations.
Si le chien robot de compagnie est apparu au Japon, il ne vous étonnera pas que certains hommes japonais ( peu nombreux!) vivent avec une poupée : une love doll, non comme seule assistante sexuelle mais plus encore par misanthropie... et un rejet de la femme.( cf article d'Agnes Giard . France Culture "Les gens qui achètent une poupée le font car ils ne veulent pas de femme, ce sont des « otaku »".)
otaku : Personne qui se consacre de façon obsessionnelle à un loisir d’intérieur (littéralement, un loisir pratiqué dans sa maison), tel que les mangas, les animes et les jeux vidéo en général, mais pas limités à ceux-ci pour autant.
- Que signifie « otaku » ? demanda Lola.
- « Celui qui s’abrite à la maison ». Un otaku est un jeune homme qui refuse de devenir adulte. Il s’enferme chez lui, oublie le réel et ne vit que pour sa passion.
- Quel genre ?
- Modélisme, collection de montres, petites culottes de lycéennes, vidéos pornos et ainsi de suite.
Là où ça se complique, c'est la déviance que certaines de ces poupées et que l'IA porno permet. Les IA grand public sont paramétrées, paraît-il !, pour bloquer les demandes pornographiques. Quid de demandes bizarres ou illégales en réel?
La Corée du sud a fini par interdire les poupées gonflables représentant des enfants . ( Cf « La Corée du Sud autorise l’importation de poupées gonflables ». Lematin.ch ).
A l'inverse, il existe un modèle de poupée gonflable qui nécessite d'être courtisé pour espérer avoir une relation sexuelle . ( cf « Pour arriver à ses fins avec cette poupée gonflable intelligente, il va falloir la séduire » Huffpost ).Là on se rapproche du problème soulevé dans Blade runner avec les relations entre humains et clones ( ou robots) , et en arrière-fond cette question :
- Peut-on éprouver des sentiments ( et pas forcément amoureux mais aussi d/s par exemple ) pour un objet technologique ?
- Ce parasitage de l'humain par du non-humain ne va-t-il pas fausser nos comportements ? nous apaisera-t-il ou sera-t-il plus source de frustration au final ?
- Et jusqu'à quand l'humain arrivera-t-il à différencier humain et robots ?
Et autres questions
-:Vaut-il mieux que des individus réalisent virtuellement leurs « fantasmes inavouables, illégaux » ( Attention on parle là de pédophilie, viol, scatologie extrême, nécrophilie,...) OU ce passage à l'acte virtuel facilité par l'IA porno procède-t-elle à l'inverse comme excitant et désinhibant ?
- Et même questionnement quant à l'absence total de consentement et la possibilité de violences non consenties envers une/un partenaire, soit un viol virtuel !.
- Une prostitution avec humanoïdes serait-elle un progrès ou non ?
-ET dernier point et non des moindres >>> Accepteriez-vous d'être dominé(e) par un(e) humanoïde dominant? Accepteriez-vous de dominer un(e) soumis(e) humanoïde ?
- Iriez-vous voir une domina pro mais humanoïde?
Et avec l'IA prédictive ( et qui apprend au fur et mesure ) , la d/s va sérieusement se corser car l'humanoïde aura alors la possibilité de raffiner la domination ou la soumission en sachant ce qui va le plus porter.
- La d/s peut-elle se passer de ce lien entre humains. Ca me semble difiicilement envisageable pour moi mais il faut imaginer que l'on va vers des humanoïdes de plus en plus confondants... jusqu'à ne plus savoir ???
( Serais-je un peu chiant avec mes questions ! ? Un p'tit côté sadique ? Gasp, moi qui a toujours été maso....)
Bonjour,
Je ne sais pas si cela a sa place ici et si c'est susceptible d'intéresser quelques personnes, mais certains amis d'ici m'ont incitée à écrire ce "tutoriel" et "retour d'expérience". Vous excuserez la mise en page catastrophique: j'ignore comment faire les retours à la ligne.
Le point de départ est une punition: mon Maître m'a ordonné de fabriquer un cilice, puis de le porter. La fabrication faisait partie de la punition, et à vrai dire s'est révélée presque plus pénible que le port... N'étant pas très bricoleuse, c'était pour moi une réelle difficulté, même si étant de formation scientifique je suis très à l'aise avec les chiffres, les mesures, les structures tridimensionnelles et les assemblages. Si j'ai pu le faire, j'imagine que c'est un jeu d'enfant pour un bricoleur ( ou une bricoleuse :smile: ).
Je précise que de par la nature de la relation que j'ai avec mon Maître, les punitions sont très rares (on ne joue pas), je fais tout mon possible pour lui donner satisfaction et justement pour éviter qu'il soit contraint de me punir. Mais parfois la bonne volonté ne suffit pas...
Un cilice (photo) est un assemblage métallique comportant de multiples pointes et se portant autour de la cuisse, sous la jupe. Initialement d'origine religieuse, il est aussi utilisé comme instrument de "torture/punition" en bdsm. Le port prolongé pendant quelques heures se révèle en effet très pénible. Attention: le mot a d'autres acceptions, ce qui peut prêter à confusion.
Le cilice est formé d'un assemblage d'éléments de base:
En ce qui me concerne, mon Maître m'en a imposé le port uniquement pour le travail et parfois pour l'accompagner à l'extérieur. Comme je télétravaille partiellement, il s'agit au maximum de quelques demi-journées par semaine, ce qui est déjà très pénible. Assez étrangement, les pointes ne marquent pas de manière exagérée, sauf à quelques endroits, mais par contre la peau est très rouge sur toute la zone et la sensation douloureuse persiste jusqu'à une bonne demi-heure après le retrait de l'objet. Mon Maître m'autorise à alterner entre les 2 cuisses d'un jour à l'autre.
Ce type de punition n'est pas adapté à un couple qui fonctionne sur la base du jeu, car il est très facile de retirer le cilice: il suffit de dénouer le lien. Dans mon cas, ce n'est pas un problème, car je respecte scrupuleusement les ordres de mon Maître: tricher ferait perdre tout sens à la relation telle que je la conçois. Le Maître peut vérifier que les consignes ont été respectées, en examinant l'état de la peau lors du retrait, mais cette vérification n'est que partielle et ne garantit pas que le cilice n'a pas été retiré pendant une partie de la demi-journée.
Tant que l'on ne bouge pas, le cilice se fait sentir mais est supportable. Par contre lors de la marche, ou lors de certains mouvements (s'assoir sur la chaise de bureau, se relever, appuyer sur les pédales pour conduire la voiture, ...) il se révèle extrêmement douloureux et j'avoue que j'ai dû redoubler d'efforts pour ne pas crier par moments.
Pour la fabrication, le matériau de base est le fil d'aluminium. On peut acheter du fil d'aluminium dans un magasin de loisirs créatifs pour quelques euros la bobine de 5 m. J'ai eu besoin d'environ 6 ou 7 m, donc il faut prévoir deux bobines.
Ici j'ai utilisé du fil de diamètre 2 mm. Il est possible que du 1.5 mm fasse également l'affaire, mais par contre mieux vaut éviter de dépasser 2 mm car pour ce diamètre le fil est déjà difficile à plier.
La première étape consiste à découper des brins de longueur 85 mm. Cela nécessite une pince coupante. Il faut orienter la pince à 45 degrés par rapport à l'axe du fil (photo) afin d'obtenir des extrémités bien piquantes ;-)
J'ai eu besoin d'environ 80 brins. Mieux vaut les découper au fur et à mesure du besoin pour éviter la perte.
Ensuite, il faut plier chaque brin pour former un élément de base. Pour cela, un guide est nécessaire:
Comme support, j'ai utilisé une caisse de vin mais n'importe quel support en bois fait l'affaire. Quelques pointes, vis et écrous suffisent pour construire le guide (prévoir également une perceuse avec une mèche de 4mm). La photo indique les dimensions. Ne pas oublier de marquer les repères, surtout celui à 18 mm qui est très important. Pour former le demi-cercle de diamètre 13mm, utiliser 4 ou 5 pointes (photo).
Les photos suivantes montrent le processus de pliage pour former l'élément de base.
Ensuite, il faut assembler ces éléments (photo). Prévoir une pince à bouts fins pour fermer les liens (par écrasement) car c'est difficile d'y accéder dans enchevêtrement. Je ne sais pas si le processus d'assemblage est suffisamment clair sur la photo: il faut repérer le motif périodique de 3 éléments pour comprendre la structure.
Lorsque l'on écrase les liens pour fermer les connexions, les pointes partent parfois un peu dans toutes les directions. Avec une pince, on peut facilement les redresser, si on le souhaite. Mon Maître a préféré que je les laisse ainsi car les irrégularités et le fait que la peau est "attaquée" sous différents angles amplifie la douleur causée par l'objet.
L'ensemble est assez solide: même si vous n'avez pas parfaitement écrasé les connexions, il faudrait plusieurs connexions ouvertes pour que cela se démantèle. Et encore, ce n'est même pas sûr.
Pour terminer l'autre extrémité, couper un brin d'environ 10cm (extrémités non acérées cette fois, donc pince coupante orthogonale à l'axe du fil) et le plier et fixer comme représenté sur la photo.
Je me suis inspirée d'un tutoriel qui m'a été indiqué par mon Maître, que vous trouverez facilement en tapant cilice bob creations sur Gogol. Ce tutoriel est nettement mieux fait que ce que j'écris ici, mais le but de ma contribution est surtout de montrer que c'est faisable par quelqu'un qui n'a aucune capacité spéciale en bricolage, et aussi de montrer qu'il n'est pas indispensable de respecter exactement les consignes du tutoriel "professionnel". Par exemple, pour la réalisation du guide, j'ai fait différemment, avec ce que j'avais sous la main, et cela marche très bien.
En principe, le pliage nécessite une pince, car tordre le fil avec les doigts est difficile. En ce qui me concerne, mon Maître m'a interdit l'utilisation de la pince pendant une partie du processus (je rappelle que c'était une punition, pas un moment de bricolage ludique...), ce qui explique les défauts visibles sur le cilice: au bout d'un moment j'avais les doigts tellement "en compote" que j'ai dû m'adapter en créant des éléments plus grands (plus c'est grand, plus c'est facile à plier). Par chance j'ai les ongles courts. A déconseiller fortement à celles qui ont les ongles longs, sauf si vous tenez absolument à vous retourner un ongle. Constatant que c'était vraiment trop dur, mon Maître m'a réautorisé l'utilisation de la pince, ce qui explique le retour à la normale en termes de dimensions des éléments.
Je termine par quelques précautions à prendre. Les pointes sont réellement très dures et acérées. De par l'expérience que j'en ai, jusqu'à présent la peau n'a jamais été transpercée (cela est dû à la densité de pointes et au fait que je fais attention à ne pas faire de mouvements trop brusques), mais je déconseillerais formellement des utilisations détournées (en collier autour du cou, par exemple, ce qui pourrait se révéler extrêmement dangereux), ou le port lors d'activités sportives, y compris la marche.
J'ai utilisé un lien légèrement élastique pour la fixation, ce qui peut constituer un élément de sécurité en cas de mouvement trop brutal.
Voilà... Si cette modeste contribution peut intéresser au moins une personne, son objectif sera atteint. Sinon, désolée :-(