Bonsoir à tous toutes et tous.
N'ayant pas trouvé la réponse à ma question malgré mes recherches, je me tourne vers vous.
Voilà mon problème. Sur le murG, je vois les post des uns et des autres dans l'ordre d'arrivée. Du plus récent au plus ancien. Hors je sais qu'un réglage existe qui permet de faire remonter un post "populaire". (Ce qui vaut parfois des...... Quiproquo 🙄😬)
Mais je ne sais pas où se trouve ce réglage a faire dans les réglages de compte.
Si quelqu'un pouvait m'aider. Merci d'avance
#Don
C'est pour donner des exemples de gros projets que tout le monde utilise ou connaît.
2 personnes aiment ça.
Je respecte cet avis (mais je pense quand même qu'il faut arrêter de parler d'OpenOffice)
#Don'tfeet
Soyez la première personne à aimer.
05/07/16
615 vues
Un fauteuil. Le genre carré, large, accoudoirs fins, rectangulaires. Il trône. Elle est installée dessus, après me l'avoir proposé, un peu vautrée, en confiance, détendue. Elle me parle, en fumant, sa tasse de café à la main, une jambe par dessus un accoudoir. Je ne l'écoute pas. Enfin, plus. Elle a réveillé le fauve, elle ne s'en est pas aperçue. Elle n'a pas vu les yeux se plisser légèrement, la fixité du regard. Si j'avais une queue, elle battrait au rythme de mon excitation, comme celle d'un félin.
Je lui demande si elle a finit son café. Regard rapide dans la tasse "Non". Puis retour à la discussion. Je tente d'écouter, c'est difficile, le fauve s'agace un peu, le désir monte. "Tu as fini ton café ?" "Toujours pas. Mais si tu veux, je le pose" "Oui".
Je sors mes cordes. Lui ai-je demandé si je pouvais la prendre dans ma toile ? Je ne me souviens plus. Mais l'envie est là, irrépressible. Je prends une main, premier noeud. Sur l'épaule. Puis le fauteuil. Alternance. Corps, meuble. Je la regarde peu, je la sens, par toutes les fibres de mon être. On est reliées, branchées, unies. Elle se laisse faire, les yeux clos, un soupir parfois. A un moment donné, le pied, pris, cerné, les orteils contraints, son bonheur dans un petit hoquet. Je voudrais faire du beau, y mettre de l'esthétisme, peine perdue. Nous sommes dans un moment d'intensité très fort, pas de place pour la fioriture, le superflu. On vit, on vibre, on existe, à 200% dans l'instant.
J'ai fini. Je la regarde enfin. Je l'envisage, je la mesure, je me laisse emplir de ce qu'elle me renvoie. Toujours les yeux fermés, elle attend, sereine. Je lui enlève son étole rouge. Je commence à lui caresser le visage avec, le cou, les bras. Je fouette légèrement la peau découverte. Ma bouche effleure. Ca réagit, fort, puissamment. Diantre, une ferrari ! Modèle grand luxe de la sensualité. Miam ! Ma bouche repart à l'assaut. Je mord, l'animal est toujours là, quoi qu'il arrive, surtout si, en face, la proie est consentante. Elle gémit, se tord, de plaisir bien plus que de douleur. Je pince, je griffe. Je fais claquer les cordes sur la peau. L'oeuvre se déploie, la partition est en place, l'officiante est en pleine création, l'instrument est en osmose, vibre, jouit du moment, des sensations. Elle ploie, elle sursaute, elle réagit à tout, mais continue à tout donner. Je prends tout. Ses seins m'attirent, je glisse jusqu'à eux. Petit avertissement, point sensible, pas grave, je voulais juste titiller, sans violence.
Puis je soulève son petit pull noir. Et j'attaque le ventre, je griffe, je prends à pleine main, j'empoigne sans ménagement. Une envie folle de rentrer en elle, de force, sans ménagement. Plusieurs fois, je reviens à la charge, je m'enfonce, j'empoigne, je tire. Je la veux, dans son entièreté.
La tempête s'apaise. Elle n'a pas ouvert les yeux pendant tout le temps. Je l'ai regardée, tout le temps. Elle était belle, un léger sourire aux lèvres, madone maso au calme olympien, sans une once de peur, libre, légère, et pourtant tellement présente, tellement là, avec moi. Son corps à ployé, s'est balancé au rythme de mon désir, de ma passion, elle ne m'a pas lâché un seul moment, liée à moi, par plus que mes cordes. Elle m'avait demandé si elle devait retiré ses vêtements, avant de commencer, j'avais répondu par la négative. Heureusement. Sinon, je crois que je l'aurais prise encore plus. Elle regrette la barrière du tissus, moi, pas vraiment. Pour un premier jeu, c'était déjà tellement fort.
Merci à toi, tu m'as offert un de mes plus beaux moments de cordes, tu étais sublime, si belle. Tu donnes sans compter, c'est précieux.
Tu m'as trouvé un nom. Dévoreuse.
Je te mangerai encore.
1 personne aime(nt) ça.
Ma, tou lé vaux bien, Wonder ! Tu sais, les personnes que je désire ne sont pas si nombreuses, c'est une alchimie. Et Dieu sait qu'elle était bien présente, à ce moment-là. Tu es une belle âme, généreuse, et je ne parle même pas de la flamboyance de ta presque cinquantaine. J'ai rencontré une femme comme on en voit peu, forte, douce, énergique, attentive, en totale acceptation d'elle et des autres.<br /> <br />En tout cas, cette rencontre n'a fait qu'ancrer dans le réel une amitié déjà présente. J'ai trouvé mes soeurs sorcières, je ne les lâcherai pas de sitôt <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" /><br /><br />Je t'aime aussi, ma Wonder <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />
Mouarf, la prochaine fois, Wonder, tu m'appelles Maîîîîîîtresse, dis ? Hein ? Allez ? <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/happy.png" alt="Happy" title="Happy" title="v_middle" /><br /><br />Plus sérieusement, je suis profondément égalitaire dans mes rapports avec autrui en général, et mes partenaires en particulier. Le respect n'est pas dans des termes ronflants. Et "La Dévoreuse", c'est chouette, comme surnom, je trouve ça flatteur. En tout cas, bien digne du magnifique moment que nous avons vécu ensemble <img src="http://www.bdsm.fr/file/pic/emoticon/default/smile.png" alt="Smile" title="Smile" title="v_middle" />