Bonjour a toutes et tous,
[Attention, post long et contenu explicite sur mes pratiques... Ce n'est peut-être pas le bon forum pour tout ça, si c'est le cas, veuillez m'excuser.]
Voilà, comme expliqué dans mon profil, je suis actuellement Marié depuis fin 2010, et j'ai 2 enfants.
La vie de famille est actuellement peu agréable / stimulante, avec des enfants très (trop ...) présents, une épouse en burn-out qui n'arrive pas a gérer le foyer seule pendant que je suis au boulot et une santé de m** qui me cloue au lit souvent quand je ne travaille pas...
Niveau sexuel c'est les abysses , le néant... Les enfants pouvant débarquer dans notre chambre a n'importe quel moment, le matin ou en journée, quand de rares fois je lui rappelle (en prenant son bras, ou en mimant...) que j'ai quelque chose entre les jambes qui aimerait être caressé, ce n'est pas possible. Le soir, une fois que les enfants dorment, elle aussi....😴 Et vous mettez ça en boucle depuis quelques années....
De plus, j'ai souvent des soucis d'érection et elle n'aime pas caresser un pénis flasque... Il existe des techniques qui fonctionnent souvent bien comme des anneaux, ou des baisers avec la langue qui pour moi font un garde a vous quasi direct 😅... Mais elle est contre tous les jouets (notamment de peur que les enfants les trouvent, ce que je peux un peu comprendre) et profondeur dégoûtée par la salive et les fluides corporels.....
Pourtant au début elle me caressait, me suçait, on se suçait mutuellement la langue, et même une ou deux fois au tout début de notre rencontre elle m'avait inséré un gode dans l'anus, avant de bazarder cette pratique aux oubliettes avec un panneau sens interdit lumineux clignotant.... Si vous voyez de quoi je veux parler...
Elle est aide soignante, mais tout ce qui touche à l'intimité c'est tabou. Impossible de discuter. Quand j'ai eu un souci d'occlusion de l'urètre et que j'ai du me sonder, bah je me suis débrouillé seul en cachette. Ça a fait naître des envies et un besoin de sondage et de dilatation réguliers (j'en suis a 13mm et j'arrive de plus en plus a passer 14...). Je me suis débrouillé seul pour ma meatotomie qui était le seul remède contre l'occlusion. Pareil, c'est tabou.
Puis quand j'ai commencé à "avoir des hémorroïdes" (ou plutôt, c'est un prolapsus des hémorroïdes internes, ça me fait des "lèvre anales" comme on voit sur certaines vidéos porno...), impossible d'en parler. De mon côté, je dois les rentrer avec mes doigts mais c'est incroyablement douloureux. La technique qui marche le mieux c'est de dilater, d'abord 2, 3, 4 doigts, puis jusqu'au creux du pouce. En d'assouplissant, la douleur disparaît (presque entièrement) au profit d'une envie de remplissage... Donc j'ai quelques godes et plugs, bien cachés.
J'ai beaucoup de soucis intestinaux avec maux de ventre, ce qui oblige souvent a rester assis au wc et donc hop, ça sort... Et je ne peux en parler a -personne- dans mon entourage 😔
Je pratique seul a la salle d'eau, après en avoir "bavé" sur les toilettes... Désolé c'est pas très glamour... Je ne ments qu'à moitié a mon épouse quand je lui dis que j'ai eu mal tout ce temps... 🙄
Mon but ultime ? Réussir a passer la main... Inatteignable a priori car tous les essais précédents, ça semble buter dur contre mon bassin, des 2 côtés...
Cet été, je suis arrivé à un moment a rentrer ma main jusqu'aux dernières phalanges, mais ça butte toujours, impossible de progresser... Ça semble inatteignable...
L'année passée et ces derniers mois, j'ai pu rentrer un plug ovoïde de 6,5 cm, d'abord avec préparation, puis maintenant il passe tout seul après avoir assoupli avec 4 doigts 😊. J'ai un gros gode de 7,5 cm de diamètre pour 30cm de long, progressif jusqu'aux 2/3 environ. Je l'ai essayé quelques fois et j'arrivais justement a ces 2/3. L'entree de l'anus s'ouvrait bien a 7,5, mais pas la suite...
A force de "travailler" avec le plug de 6,5cl, il y a 2 semaines, j'ai pu le faire entrer et sortir avec 3 doigts a l'intérieur ! Du coup, j'essaie de nouveau avec ma main, et après une contorsion de dingue, a genoux en écartant le plus possible, l'impensable s'est produit 😲 j'ai réussi a passer le point sur lequel je butais depuis si longtemps. J'ai continué, ça progressait millimètre par millimètre, jusqu'au moment ou d'un coup, ma main a été comme aspirée et j'ai senti mon anus se refermer sur le bras, juste avant le poignet ! 😳 Incroyable, victoire, c'est passé, j'ai ma main a l'intérieur de moi ! La sensation fut grandiose.
Ma main est ressortie avec un peu de sang, je pense que c'est le frottement contre le bassin.. en y allant de nouveau avec quelques doigts pour vérifier, plus de sang.
Bon après ça j'avais les jambes et le dos foutu, mais c'était pour la bonne cause !
J'ai réitéré quelques jours plus tard sur le lit alors que j'étais seul (mon épouse et les enfants étaient partis alors que moi j'avais des douleurs au ventre... Quand ça s'est calmé, et après un passage aux wc, forcément j'ai eu envie...
Ma main est de nouveau rentrée, j'ai pu rentrer et sortir plusieurs fois. Toujours une contorsion de dingue, encore un peu de sang au début puis plus rien.
Ces derniers jours, j'ai pu réessayer, debout dans la salle d'eau, en mettant mon bras en appui sur le bord de la vasque, et hop, après une petite dilatation, c'est de nouveau rentré. Moins de sang au début puis plus rien. J'ai même réussi à sortir puis rentrer poing fermé ! 😯. Et une fois, a rentrer sans l'aide d'un appui. Incroyable. Un cap est franchi ! Et là, seul le dos trinque... Puis un jour après, c'est passé comme une lettre a la poste (avec l'appui) mais plus de sang.
Je pense que ma ma main se comprime au passage, car un verre qui a un diamètre un peu inférieur au poing fermé ne passe pas.
Voilà, sinon je suis foncièrement hétéro, dans le sens que je ne me verrai pas faire de baiser a un mec (voir un trans homme, soit une femme devenue homme mais qui a gardé sa chatte) ni ressentir le moindre amour.
Mais je suis curieux de pouvoir faire, un jour, une fellation a un mec et qu'il me pénètre l'anus. Le top selon moi serait de rencontrer une trans femme qui a conservé sa bite. On en voit un certain nombre sur les sites porno, mais je ne pense pas que ça courre les rues...
Et je suis contre toute forme de domination/soumission. J'ai un profond respect pour les femmes et leur corps et n'infligerai jamais aucun châtiment corporel, quel qu'il soit.
Est-ce que d'autres hommes/papas sont dans une situation similaire ?
#BMOM
Je suis nue, comme toujours dans nos tête-à-tête. Madame aime exacerber mes sens, alors un de mes bas sert de bandeau. De toute façon je ferme les yeux, concentrée sur sa voix, ses mouvements, son parfum.
Je suis contrainte par cette corde rouge que je connais si bien, la position de mes bras est inconfortable, mes jambes liées sont écartées pour me maintenir disponible. Une chaîne relie mon téton le plus sensible à mon piercing intime, un plug est planté dans mon sexe. L'amplitude de mes mouvements est très limitée. Madame joue avec moi comme un fauve avec sa proie. Elle se sert, elle m'utilise, elle dispose à sa guise. Je vis chaque sensation et chaque douleur avec cet indicible plaisir de me soumettre et de m'offrir à cette femme dont je connais aussi bien la douceur que le sadisme. Je suis en nage et inondée de désir. J'entends le petit "pop" du capuchon du feutre. Madame écrit sur ma peau.
Je m'abandonne sans réserve. Je suis sa propriété, sa chose, sa chienne. Le temps s’écoule au rythme de ses pulsions et de ses caresses, mon cerveau sécrète en alternance de la dopamine et des endorphines, mes terminaisons nerveuses sont à vif, mon ventre est en feu.
Madame finit par enlever le bandeau et délie la corde. La chaine et le plug restent en place. Je lis ses mots sur mon corps. *M's precious slut*. Le rouge de l'émotion me monte aux joues, violent.
Madame me fait face et s'allonge à moitié. "Ne bouge plus". Je suis à genoux. Immobile. Le silence envahit la pièce.
Elle me regarde. Longtemps. Il y a beaucoup, dans ce regard.
#BMOM
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Lily
C'est parce que tu nous connais Alter Ego? Merci 
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17/04/18

Lily
Merci Linsoumise
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1
17/04/18

Alter Ego
Oui Lily assurément....... :smile:
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1
17/04/18

Lily
Faeryl Oui, tu as vu juste, un moment intime et privilégié, en effet 
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03/06/18

calas
Merci pour ce témoignage ,si intense et pourtant empreint de douceur et de fierté
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04/06/18

Okka
Toujours aussi bien retranscrit.. Félicitations Dame Lily
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04/06/18

Lily
calas Merci ma grande, tu me touches...
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06/06/18

Lily
Okka Merci okka, mais je n'ai fait que suivre le rythme de Madame.
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06/06/18
15/11/17
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"Tu porteras un serre-taille et un shorty. C’est parfait pour ce que j’ai en tête". Comme toujours, Madame a donné sa consigne pour ma tenue. Inutile de poser la moindre question, je sais que je n’aurai aucune explication. Bien Madame est la seule réponse possible -et admise. Le moment venu, je me prépare avec soin, longue douche brûlante, maquillage un peu plus appuyé qu’en journée mais, c’est l’usage, pas de rouge à lèvres. Madame n’ayant pas précisé la couleur du serre-taille, j’en mets trois dans un sac. Je choisis aussi plusieurs shortys, j’ajoute deux paires de bas identiques et des bottines pointues à fin talon. En attendant, j’enfile une petite robe noire près du corps et des bottes montantes. Un chèche, un fin blouson en cuir ajusté, je suis prête.
A l’heure prévue, je passe chercher Madame. Son sac -*le* sac- est particulièrement lourd, cette fois. Il nous reste un peu de route à faire, moment pendant lequel s’installe une ambiance joyeuse. Je n’oublie jamais que la femme assise à côté de moi est une Domina sévère et exigeante, qu’elle a mon profond respect et que je lui appartiens, mais nos conversations en voiture ne sont pas très codifiées. Nous nous connaissons bien et j’ai le privilège, dans l’intimité, d’avoir une grande liberté de ton. La brat en moi fait surface, je plaisante, le tête-à-tête est léger. Madame est détendue, elle plaisante aussi, son rire est cristallin. Je trouve cette connexion parfaite.
Nous y sommes. Je prends ma place derrière Madame pour entrer. Soixante-dix personnes sont là, le cadre a été aménagé pour jouer dans toutes les pièces. Rapidement, nous allons nous changer. Madame désigne pour moi un serre-taille rouge et noir et un shorty en dentelle noire qui m’arrive à mi fesses. La tenue qu’elle a choisie pour elle-même me laisse sans voix. Son corset en cuir met ses épaules et son décolleté follement en valeur, sa jupe ample en voile laisse entrevoir juste ce qu’il faut de ses courbes, ses jambes sont impeccablement gainées dans des bottes à talons hauts. Je la trouve magnifique.
Le temps de déposer nos affaires au cellier transformé en vestiaire et je rejoins Madame. Elle croise amis et connaissances. Je suis le mouvement, à ses côtés mais toujours en retrait. Madame discute ici et là, embrasse des Dominants, salue des soumis. Je reconnais du monde et je découvre avec plaisir des personnes croisées uniquement en virtuel jusqu'à présent. Nous plaisantons un moment avec deux soumises de nos "dîners de filles" lyonnais, qui accompagnent leur Maître.
L’ambiance générale est agréable et respectueuse. Dans cette maison aménagée en donjon, la température monte doucement. Les soumis des deux sexes prennent leurs consignes pour le dîner de leurs Dominants. Madame s’installe dans un canapé. Je propose d’aller lui chercher une assiette au buffet. Inutile de demander ce qui lui ferait plaisir, je connais ses goûts. A mon retour, un regard bienveillant, un léger sourire : "Merci Lily, tu peux aller te servir". Je souris aussi, merci Madame. Comme d’habitude y compris lorsque nous sommes seules, je m’assois à ses pieds, position naturelle, évidente. Madame veille toujours à ce que j’ai suffisamment de place. Tandis qu’elle discute avec ses voisins, sa main se pose sur ma tête et joue avec mes cheveux. Un de ses gestes ordinaires de propriétaire.
Le dîner s'achève. Les soumis débarrassent et font circuler les cafés, puis les invités se répartissent dans toutes les pièces de la maison, aux lumières tamisées. Très vite, les premières frappes des martinets se font entendre, des mains claquent sur des peaux nues, des fouets se mettent à siffler. Des gémissements leur font écho.
Je surprends quelques regards qui m’amusent. Il est vrai que Madame passe rarement inaperçue, avec sa peau sombre et douce aux reflets satinés, son profil délicat et son autorité naturelle. Sa main glisse dans mon dos. La caresse devient griffure. Ses ongles, manucurés mais naturels ce soir, s’enfoncent dans ma peau. J’ai un hoquet de surprise. La pression s’accentue, elle s’étend à mes épaules et à ma nuque. La main de Madame se fait douce à nouveau et caresse mes seins nus, soulignés par mon serre-taille. Puis elle griffe encore, de plus en plus lentement mais aussi de plus en plus profondément, tandis qu’elle empoigne mes cheveux dans un ordre silencieux de ne pas bouger. La douleur naissante fait monter le plaisir, je m’entends gémir doucement à ses pieds. Madame laboure ma peau. Elle pince mes tétons, pince encore, de plus en plus fort. Son autre main se referme sur ma gorge. Elle serre, dans ce geste de Domination dont je raffole. Je ferme les yeux et je respire son parfum. Son souffle s’accélère dans mon cou.
Madame fait une pause, désigne le sac et se lève. "Suis-moi". Nous passons dans la pièce voisine. Un banc. J’y dépose le sac et j’attends. Le bruit de la fermeture éclair me fait frissonner, comme à chaque fois. "Penche-toi. Tes mains sur le banc". J’entends un petit rire, puis deux claques s’abattent sur mes fesses. Suivent deux autres, plus fortes. Encore deux, intenses. Les deux dernières sont magistrales. Ça fait mal mais j’aime. Quelques personnes passent discrètement dans la pièce. Moi, je ne vois rien à part ma Domina.
Madame plonge la main dans le sac et je comprends que cette petite fessée n’avait pour but que de sensibiliser ma peau, de la préparer pour la suite. Du coin de l’œil, j’aperçois ce qui m’attend. Je grimace et je me crispe. Non, pas lui. J’expire bruyamment. "Tu sais pourquoi". Oui Madame. "Je n’ai toujours pas mon dû". Mes comptes-rendus. Je suis horriblement en retard dans leur rédaction. La punition, je l’ai sous le nez : un paddle de cuir rouge garni de têtes de métal. Ce terrible paddle. Mieux vaut le chat, mieux vaut le fouet que le paddle. Je le déteste et je le dis. Madame s’esclaffe. "Mais lui, il t’aime beaucoup. C’est ton ami. En position". Résignée, je m'exécute.
En rythme, le paddle vient rougir mes fesses. J’essaie de retenir mes gémissements. La punition s'achève enfin et je sens la caresse d’une main douce et fraîche. Je bredouille merci Madame. "Ce n’est pas moi que tu dois remercier. Dis merci à ton ami". Je ne réponds pas. Son corps se plaque derrière le mien, sa voix chuchote à mon oreille, sadique et autoritaire. "Lily. Dis merci à ton ami". Je murmure, merci mon ami. Madame me retourne, me tient dans ses bras et me fait un sourire éclatant. Mon regard se verrouille au sien, je me détends. Comment ne pas sourire en retour ? Mes fesses cuisent mais je sais que la douleur s’estompera rapidement. Du moins jusqu’à ce que je m’assoie.
Avec soulagement, je vois Madame remettre le maudit paddle dans son sac. J’entends tinter. Des chaînes. Madame m’a enchaînée pour la première fois il y a quelques mois, bousculant mes certitudes, effaçant des années de crainte. Sans doute n’avais-je jamais été suffisamment en confiance pour repousser cette limite. J’ai eu mal. Mais j’ai aussi été dévorée par un plaisir cérébral autant que physique. Chaque fois que Madame sort ses chaînes, les sensations sont différentes, mais toujours intenses.
Ce soir, je trouve les chaînes particulièrement froides. Je frissonne tandis qu’elles s’enroulent autour de moi, un peu à la manière d’un karada, et passent entre mes jambes, compressant déjà mon sexe. Madame me fait légèrement pencher en avant puis sur les côtés pour donner du jeu et accrocher les mousquetons. Dès que je me redresse, les chaînes se tendent et je sens les maillons appuyer sur mes flancs, mes clavicules, dans la zone du sacrum et du coccyx. Me tenir droite -point sur lequel Madame ne transige pas- va rapidement devenir douloureux, je le sais. Des bracelets de cuir rouge se referment sur mes poignets et sont reliés par des mousquetons à la chaîne qui passe autour de mon bassin. Je ne vais plus pouvoir faire grand-chose de mes bras.
Madame recule et me détaille, comme elle le fait souvent. Les yeux plissés, elle semble satisfaite et prend quelques photos. Du monde continue à passer, on admire et on complimente respectueusement. Madame apprécie et remercie. Puis elle finit d'accentuer la tension en reliant deux maillons au-dessus de mon plexus par l'attache d’une laisse. Un coup sec sur la laisse et je suis à quelques centimètres, partiellement entravée, de cette femme à qui j’appartiens. Je pose ma tête dans son cou, je respire son odeur, j’embrasse sa peau. Madame me parle doucement à l’oreille. Je sens poindre une douleur sourde, surtout sur mes épaules, accompagnée d’une chaleur diffuse qui monte dans mon sexe pourtant écrasé.
Madame s’assoit sur le banc et m'enjoint de m’allonger sur le dos à ses côtés, ma tête sur ses genoux. Je repose sur les chaînes et mes fesses sont loin d'avoir récupéré de ma punition. Une main ferme mes yeux et j'entends le bruit d'un briquet. L'heure de la cire. Mais je n’imaginais pas que les premières gouttes allaient être pour mon front. C'est une bougie de massage, je sens une délicate odeur d’agrumes. La cire tombe et coule, sensation surprenante mais pas franchement douloureuse. Madame l’étale et masse mon visage. Je me sens glisser dans un bien-être à forte connotation érotique, les chaines scient mon corps, mes fesses font mal mais mon intimité palpite franchement. Comme pour me rappeler à l’ordre, Madame me griffe à nouveau, les bras, la gorge, les seins. J’entends son plaisir, qui décuple le mien. Elle malmène, elle tire, elle tord mes tétons et je gémis de douleur autant que d’excitation.
J’ai toujours les yeux fermés. Alors je sens couler une autre cire, cuisante cette fois. Des filets brûlants se répandent sur le haut de mon corps. Mes seins griffés et mes tétons, pincés à vif, sont peu à peu recouverts. Je peine à retenir mes cris, Madame exulte. J’ai l’impression que les maillons des chaînes sont incrustés dans mes os et que ma peau va bouillir. Le parfum de Madame me transporte, je suis trempée de désir. Écartant les chaînes, Madame glisse enfin une main dans mon shorty...
#BMOM
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Praedyth : j'espère que Lily pourra vous rencontrer ... elle gagne à être connue 
Myrina,
Non du tout... ma phrase est plutot mal tournée. En resumé, j'aurai aussi aimer voir une photo de face.
Bref ce n etait pas une critique mais je precisais simplement que pour avoir une vision complete voir le devant aurait ete pas mal.
Mais je sais ce que c est! L objet n est pas toujours de prendre tout en photo et sous tous les angles. Il faut avant tout vivre la relation, les sensations presentes.
Bon week end et bonne annee a vous et Lilylily si je ne l ai pas deja fait!
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06/01/18




