Bonjour à tous,
Je suis Dragon Rouge, un passionné de BDSM depuis plusieurs années.
J'adore explorer les dynamiques de pouvoir, le bondage, les rituels de domination, faire découvrir de nouveaux plaisirs et sensations, les jeux d'impacts qui embrasent les sens.
À travers ce forum, j'espère partager mes expériences, échanger à propos du bdsm, rencontrer des partenaires partageant les mêmes aspirations.
Que vous soyez novice ou expérimentée, je suis ouvert à toutes les discussions enrichissantes et respectueuses.
N'hésitez pas à me contacter pour échanger ou organiser des sessions.
Au plaisir de vous rencontrer
Âge : 42
Sexe : Masculin
Localisation : toulouse (haute garonne)
Role : Dominant
Niveau de pratique BDSM : confirmé
Ce que je ne pratique pas ❌ : scato, asphyxie, fist, fire play, plaies profondes, edge bdsm (pratiques extreme en général)
Mes préférences BDSM 🤩 ; jeux d'imacts (cane,martinet,pagaie,mini fouet,etc..), bondage (jeux de corde), contrainte (menottes,baillons,etc..), jeux de sensation (griffe d'ours, roulette à pic, cire, sensations de peau,etc..), discipline (imposer des poses de soumission), jeux créatifs (jeux de role,pet play,etc..)
Le temps depuis lequel vous pratiquez : quelques années
loisirs/centres d'intéret :
fitness/musculation, boxe, balades en nature, galeries & expo art,musique classique, mer/montagne, voyages, psychologie humaine, nouvelles technologies, photographie/art fetish, e
Au plaisir d'échanger
☆DragonRouge☆
Derniers sujets du forum
Robots humanoïdes et poupées gonflables connectées comme assistants sexuels. Qu'en pensez-vous ?
Un robot c'est de la mécanique, des capteurs, de l'énergie, une apparence humaine de plus en plus ressemblante et un cerveau performant grâce à l'IA. Blade runner approche.
Les prix sont encore de l'ordre de plusieurs milliers d'€...
L'IA permet des performances et des temps de réponse immédiats.
En revanche, pas de vie, pas de sentiments ( ...des algorithmes!) mais des imitations.
Si le chien robot de compagnie est apparu au Japon, il ne vous étonnera pas que certains hommes japonais ( peu nombreux!) vivent avec une poupée : une love doll, non comme seule assistante sexuelle mais plus encore par misanthropie... et un rejet de la femme.( cf article d'Agnes Giard . France Culture "Les gens qui achètent une poupée le font car ils ne veulent pas de femme, ce sont des « otaku »".)
otaku : Personne qui se consacre de façon obsessionnelle à un loisir d’intérieur (littéralement, un loisir pratiqué dans sa maison), tel que les mangas, les animes et les jeux vidéo en général, mais pas limités à ceux-ci pour autant.
- Que signifie « otaku » ? demanda Lola.
- « Celui qui s’abrite à la maison ». Un otaku est un jeune homme qui refuse de devenir adulte. Il s’enferme chez lui, oublie le réel et ne vit que pour sa passion.
- Quel genre ?
- Modélisme, collection de montres, petites culottes de lycéennes, vidéos pornos et ainsi de suite.
Là où ça se complique, c'est la déviance que certaines de ces poupées et que l'IA porno permet. Les IA grand public sont paramétrées, paraît-il !, pour bloquer les demandes pornographiques. Quid de demandes bizarres ou illégales en réel?
La Corée du sud a fini par interdire les poupées gonflables représentant des enfants . ( Cf « La Corée du Sud autorise l’importation de poupées gonflables ». Lematin.ch ).
A l'inverse, il existe un modèle de poupée gonflable qui nécessite d'être courtisé pour espérer avoir une relation sexuelle . ( cf « Pour arriver à ses fins avec cette poupée gonflable intelligente, il va falloir la séduire » Huffpost ).Là on se rapproche du problème soulevé dans Blade runner avec les relations entre humains et clones ( ou robots) , et en arrière-fond cette question :
- Peut-on éprouver des sentiments ( et pas forcément amoureux mais aussi d/s par exemple ) pour un objet technologique ?
- Ce parasitage de l'humain par du non-humain ne va-t-il pas fausser nos comportements ? nous apaisera-t-il ou sera-t-il plus source de frustration au final ?
- Et jusqu'à quand l'humain arrivera-t-il à différencier humain et robots ?
Et autres questions
-:Vaut-il mieux que des individus réalisent virtuellement leurs « fantasmes inavouables, illégaux » ( Attention on parle là de pédophilie, viol, scatologie extrême, nécrophilie,...) OU ce passage à l'acte virtuel facilité par l'IA porno procède-t-elle à l'inverse comme excitant et désinhibant ?
- Et même questionnement quant à l'absence total de consentement et la possibilité de violences non consenties envers une/un partenaire, soit un viol virtuel !.
- Une prostitution avec humanoïdes serait-elle un progrès ou non ?
-ET dernier point et non des moindres >>> Accepteriez-vous d'être dominé(e) par un(e) humanoïde dominant? Accepteriez-vous de dominer un(e) soumis(e) humanoïde ?
- Iriez-vous voir une domina pro mais humanoïde?
Et avec l'IA prédictive ( et qui apprend au fur et mesure ) , la d/s va sérieusement se corser car l'humanoïde aura alors la possibilité de raffiner la domination ou la soumission en sachant ce qui va le plus porter.
- La d/s peut-elle se passer de ce lien entre humains. Ca me semble difiicilement envisageable pour moi mais il faut imaginer que l'on va vers des humanoïdes de plus en plus confondants... jusqu'à ne plus savoir ???
( Serais-je un peu chiant avec mes questions ! ? Un p'tit côté sadique ? Gasp, moi qui a toujours été maso....)
Bonjour,
Je ne sais si cet endroit est le lieu le plus adéquat à ma réflexion mais je me lance...
Question : pensez-vous qu'on puisse devenir esclave ? Ou bien est-ce un désir profond inné ?
Un cheminement progressif vers cet "état" est-il envisageable ou ce n'est pas concevable qu'on puisse le construire ?
Peux t-on aussi être esclave et avoir en horreur l'humiliation ?
Je serai vraiment curieuse d'avoir des retours d'esclaves ou de personnes qui ont cette sensibilité là...
Merci d'avoir pris le temps de me lire,
Euphoria
La valeur ne se mesure pas à la réussite mais bien à la résilience face aux tentatives infructueuses. La stupidité aussi.
Que le temps passe vite. 2021 je rangeais mes « ustensiles » que je tronquais bien volontiers contre l’amour.
Que vous le croyiez ou non, je me suis levé un jour et j’en ai eu marre. Marre d’être seul, marre de composer avec les autres sans réelle volonté d’achever quoi que ce soit.
Ou plutôt envie. Envie de partager avec quelqu’un sur le long terme. Ou du moins essayer. Tout le monde en parle, cela prend des étagères entières au vidéoclub (oui, j’accuse mon âge), ce n’est pas pour rien. Ça doit être sympa. Alors je veux.
J’ai rencontré quelqu’un 2 semaines plus tard par le détour d’une appli que l’on ne nommera pas mais qui permet de sélectionner ses conquêtes comme on le ferait avec un menu de restaurant ou du bétail (vous connaissez ce film indé où les gens vont au restaurant, deux couples, 1 d’habitués et l’autre tout nouveau ? Ils choisissent ce qu’ils mangent et doivent ensuite aller le tuer pour que le chef cuisine. Je n’ai plus le titre mais si certains se tâtent à devenir Végétarien ou Végétalien, voir nazi enfin végan, c’est un bon moyen de faire pencher la balance.)
explosion lumières, touticouanti. [jackie chan wtf]
Cette femme, parce que c’était une femme, et non un cochon-d’inde et encore moins un cochon-dinde, ce qui n’existe que dans les rêves les plus fous des viandards et petits sorciers. Cette femme était, comment dire, aux antipodes de ce que je cherchais, de ce que je pensais vouloir.
Un personne compliquée, remplie de peurs, ce qui engendra plusieurs situations cocasses mais perturbantes pour mon petit coeur fragile.
Nous commençâmes donc à nous fréquenter. C’était la période COVID et les couvres-feux étaient bien embêtants. Sauf bien sûr quand la dame vient vous voir chez vous et que flûte, il est trop tard, elle ne peut plus rentrer chez elle. C’est bien dommage, je n’ai qu’un lit et le canapé est trop petit. Les fameux gros sabots.
Quand j’y pense c’est drôle car si je fais une rapide analyse de toutes les femmes que j’ai connues, une grosse majorité m’a toujours dit la même chose le premier soir. Ok on dort ensemble mais on ne couchera pas.
Je n’ai jamais aimé la drague. Je trouve l’intérêt de la chose du même ordre d’idée que le hamster qui court dans sa roue. Des amis m’évoquent le frisson de la chasse, le goût du risque, la satisfaction de la victoire…. De mon point de vue, quel intérêt ? Je suis partisan du « on déconne », le courant passe bien, tu me plais, et si c’est réciproque, alors on se drague. Parce que le truc cool dans tout ça, c’est l’échange ! Et rien de mieux qu’une conversation où tout le monde est sur la même longueur d’onde, une soirée déguisée où tout le monde respecte le thème (c’est la soirée des analogies)
Donc quand j’entends « on ne couchera pas ce soir », je comprends, je préfère poser des limites de suite au cas où, comme la majorité de mes expériences passées, tu ne connaisses pas la signification du mot consentement.
Le problème, c’est que j’ai toujours couché le premier soir.
Parce que de 1, je dors nu.
De 2, j’érectionne comme un pubère de 15 ans
De 3, je suis tactile.
Je me sens néanmoins obligé de préciser que je n’ai jamais forcé personne et toujours eu l’accord avant pour les deux ou trois fragiles dans le fond en manque de cheval (en bois) de bataille.
Décidément, je digresse vraiment beaucoup ce soir. Ça doit être parce que ça fait longtemps que je ne m’étais pas plié à l’exercice ou parce que je suis content (heureusement que je ne vomis pas quand je suis content...)
Bref, voilà comment commence notre histoire. Rien de bien croustillant. Mais faut bien placer le contexte avant de faire monter la sauce. Histoire d'accrocher le chalant puis de passer un tunnel de pubs bien rentable avant de conclure sur une révélation en demie-teinte qui souffle le chaud et le froid pour maintenir l'illusion que tout était prévu et qu'une suite est possible. Mais proroger l'agonie du vieux cannasson n'est pas toujours une bonne idée. Est-ce prémonitoire? Est-ce juste la dernière envolée lyrique de la soirée? Vous le saurez dans le prochain épisode (si je ne suis pas annulé après le pilote).