Le BDSM au Japon, dans le cadre du monde contemporain, est une culture riche, complexe et subtilement différente de celle observée dans d'autres parties du monde. Il se développe dans une société profondément influencée par des traditions millénaires, tout en étant en constante évolution face à la modernité et aux influences extérieures. Pour mieux comprendre la place du BDSM dans le Japon contemporain, il est important d'explorer à la fois ses racines historiques, son expression culturelle actuelle, et son contexte social.
1. Racines historiques et culturelles :
Le BDSM au Japon trouve certaines de ses racines dans des pratiques traditionnelles, notamment le Kinbaku (aussi appelé Shibari), l’art du bondage japonais. Le Kinbaku, pratiqué depuis l'époque Edo (1603-1868), a été inspiré par l’art martial du Hojojutsu, utilisé pour attacher les prisonniers. Avec le temps, ces techniques de cordes sont devenues un moyen d’explorer l’esthétique, l’érotisme et la soumission dans les relations sexuelles.
Le Kinbaku est aujourd’hui l’une des expressions les plus reconnaissables du BDSM japonais, apprécié pour la beauté visuelle des cordes et la profondeur des émotions qu'il suscite. Cette pratique met l’accent sur la connexion émotionnelle, la confiance mutuelle, et l’équilibre entre le contrôle du Maître et la vulnérabilité de la personne attachée.
2. Le BDSM dans le Japon contemporain :
Le BDSM moderne au Japon se développe dans un environnement paradoxal où la société est à la fois conservatrice et marquée par une culture populaire très sexualisée. Voici quelques aspects clés de cette dynamique :
Culture populaire et médias : Le Japon est connu pour son exploration ouverte de la sexualité dans divers médias tels que les mangas, les films, et la littérature. Des genres comme le <a href="https://www.bdsm.fr/hentai/">hentai</A>, les manga yaoi (relations homosexuelles entre hommes) ou yuri (relations entre femmes) et les œuvres ero-guro (un mélange d’érotisme et de grotesque) intègrent souvent des thèmes de domination, de soumission, de bondage et de sadomasochisme. Cependant, cette représentation médiatique, souvent exagérée ou fantasmée, contraste parfois avec les pratiques réelles et les dynamiques de pouvoir en jeu dans les relations BDSM japonaises.
Clubs BDSM et culture underground : Dans les grandes villes comme Tokyo, Osaka ou Kyoto, il existe une scène BDSM underground active avec des clubs spécialisés, des événements, et des ateliers de formation, notamment sur l’art du Shibari. Les soirées BDSM japonaises, tout comme ailleurs, sont souvent des espaces où les participants peuvent explorer leurs désirs dans un cadre sécurisé et consensuel. Ces clubs sont parfois plus discrets qu’en Occident, mais offrent des plateformes pour des performances artistiques, des rencontres et des échanges.
Esthétique et discipline : Dans la culture BDSM japonaise, il y a une forte importance accordée à l’esthétique, à la précision, et à la discipline. Cela se manifeste à travers la pratique du Shibari, mais aussi dans des rituels formels de domination et soumission où le symbolisme, la beauté et l’harmonie occupent une place centrale. La pratique du BDSM, dans ce contexte, peut être perçue comme une forme d'art, une recherche de la perfection dans les gestes, les mouvements, et l’énergie partagée entre les partenaires.
3. Stigmatisation et discrétion sociale :
Bien que le Japon ait une culture populaire ouverte sur la sexualité, la société dans son ensemble reste conservatrice sur les questions liées aux relations sexuelles non conventionnelles. Les pratiques BDSM, bien que présentes, sont souvent vécues dans la discrétion, loin de la sphère publique. Les relations D/s et les pratiques sadomasochistes peuvent être perçues comme taboues, et il est rare que ces sujets soient abordés ouvertement en dehors des cercles spécialisés.
Cette discrétion est également visible dans la manière dont la sexualité est vécue au Japon en général. Malgré l’omniprésence de la culture érotique dans les médias, beaucoup de Japonais gardent leur vie intime très privée. Les adeptes du BDSM doivent souvent naviguer entre ces contradictions, en pratiquant leurs désirs dans des espaces dédiés tout en évitant de les exposer dans la société traditionnelle.
4. Modernité et acceptation :
Avec la montée de l’influence occidentale et l’évolution des mentalités au Japon, la pratique du BDSM connaît une certaine acceptation croissante, notamment chez les jeunes générations. Le dialogue autour des relations consensuelles, de l’érotisme et de la diversité des sexualités s’est progressivement ouvert, notamment via les réseaux sociaux et des blogs spécialisés. Des ateliers et des conférences sur les relations BDSM et le consentement éclairé sont désormais plus accessibles, permettant à davantage de Japonais d’explorer ces pratiques dans un cadre respectueux et informé.
Conclusion : Le BDSM au Japon est une culture fascinante, influencée à la fois par les traditions esthétiques et disciplinaires du pays, et par les courants modernes de la sexualité mondiale. Le Kinbaku incarne l’essence même de cette dualité, combinant art visuel et dynamique de soumission. Cependant, malgré l'essor de la scène BDSM et la reconnaissance croissante de la diversité sexuelle, ces pratiques restent souvent confinées à des cercles fermés et underground, en raison des normes sociales conservatrices.
Ainsi, le BDSM au Japon continue de se développer avec subtilité et profondeur, ancré dans une esthétique particulière, tout en s'adaptant aux réalités de la modernité et de la mondialisation.
#1
Marie Thémis
photo #1 : Sans culotte
photo #2 : L'élégance
photo #3 : Taquine....ou provocatrice
photo #4 : Joueuse
photo #5 : Calme et intériorité
Quel plaisir de découvrir quelques facettes de la personnalité et des habitudes de Dame Thémis
Ce noir et blanc si chic! évocateur, parfois drôle, toujours empli de sensualité...la grande classe!
Et pour la photo #6, avez vous une idée de la délicieuse surprise qui nous est réservée?
Merci chère Thémis. Notre semaine est sans doute pour beaucoup assez terre à terre,. Pas forcément évidente, y compris pour vous. Cependant, vous avez su lui donner du rythme, y apporter un rayon de soleil.
4 personnes aiment ça.
Voir les autres publications
8/37
Casper
Bas résille alors 🤔🤣
J'aime
1
09/11/23
Casper
Oups désolé Madame Marie.. vous voyez c est pas possible de discuter..... c'est pas ma faute 😝😇😇😇
J'aime
1
09/11/23
Thémis
Oui c est Casper !!!
J'aime
1
09/11/23
Casper
Mais non.... moi je n oserai jamais 😁
J'aime
09/11/23
Marie
Ma chère Thémis, je vous ai connu sortir la pelle pour moins que ca. Sans doute, ce fil de com' vous permet il de vous détendre en ce jeudi soir d'une semaine peu évidente. Et tant mieux car...j'aime ca!
J'aime
1
09/11/23
Casper
Pourquoi la pelle ??🙄
J'aime
09/11/23
Thémis
Oui ...j ai besoin de rire en effet ...
Semaine sérieuse , peu de rire..
La légèreté fait du bien ...
Merci pour ce joli post Marie , ça fait du bien ..
J'aime
2
09/11/23
Casper
Je vais donc vous laisser vous detendreuuuu 😁🌹
J'aime
2
09/11/23
photo #1 : Sans culotte
photo #2 : L'élégance
photo #3 : Taquine....ou provocatrice
photo #4 : Joueuse
photo #5 : Calme et intériorité
Quel plaisir de découvrir quelques facettes de la personnalité et des habitudes de Dame Thémis
Ce noir et blanc si chic! évocateur, parfois drôle, toujours empli de sensualité...la grande classe!
Et pour la photo #6, avez vous une idée de la délicieuse surprise qui nous est réservée?
Merci chère Thémis. Notre semaine est sans doute pour beaucoup assez terre à terre,. Pas forcément évidente, y compris pour vous. Cependant, vous avez su lui donner du rythme, y apporter un rayon de soleil.
4 personnes aiment ça.
photo #1 : Sans culotte
photo #2 : L'élégance
photo #3 : Taquine....ou provocatrice
photo #4 : Joueuse
photo #5 : Calme et intériorité
Quel plaisir de découvrir quelques facettes de la personnalité et des habitudes de Dame Thémis
Ce noir et blanc si chic! évocateur, parfois drôle, toujours empli de sensualité...la grande classe!
Et pour la photo #6, avez vous une idée de la délicieuse surprise qui nous est réservée?
Merci chère Thémis. Notre semaine est sans doute pour beaucoup assez terre à terre,. Pas forcément évidente, y compris pour vous. Cependant, vous avez su lui donner du rythme, y apporter un rayon de soleil.
4 personnes aiment ça.
photo #1 : Sans culotte
photo #2 : L'élégance
photo #3 : Taquine....ou provocatrice
photo #4 : Joueuse
photo #5 : Calme et intériorité
Quel plaisir de découvrir quelques facettes de la personnalité et des habitudes de Dame Thémis
Ce noir et blanc si chic! évocateur, parfois drôle, toujours empli de sensualité...la grande classe!
Et pour la photo #6, avez vous une idée de la délicieuse surprise qui nous est réservée?
Merci chère Thémis. Notre semaine est sans doute pour beaucoup assez terre à terre,. Pas forcément évidente, y compris pour vous. Cependant, vous avez su lui donner du rythme, y apporter un rayon de soleil.
4 personnes aiment ça.
#
#1
Vous écrivez ne pas être bi sexuel. votre Maîtresse souhaite vous offrir à des hommes. Est-ce que vous acceptez uniquement pour lui faire plaisir ou aussi parce que vous avez envie de découvrir d'autres pratiques ? Ma question est loin d'être anodine. .On peut ne pas être bi sexuel et accepter de découvrir, ce n'est pas incompatible bien entendu. Vous êtes trans switch, vous préférez vous faire sucer et sodomiser un homme ou l'inverse ?
1 personne aime(nt) ça.
j'éduque avec élégance et sévérité, sans déviances ni pratiques extrêmes, j'attends un sujet respectueux des règles et usages, sérieux et raffiné .:.
29/04/23
310 vues
[Il prit alors le telephone lui meme et dit à l'homme "veuillez pardonner ma servante, elle ne connait pas les convenances des grands hotels, montez tout ca vous meme, elle saura vous remercier pour vos efforts, a bientôt", et il raccrocha sur un dernier coup de rein. Il s'arrêta alors et prenant la jeune femme encore enchaînée, la porta devant la porte, entrouvrit la porte et dit "ouvre grand la bouche et accueille comme il se doit le maitre d'hotel darling"]
La jeune femme était désormais devant la porte, entièrement nue et enchainée, la bouche grande ouverte. Toute personne pouvait passer dans le couloir. Elle savait parfaitement ce qu'elle devrait faire lorsque le groom de l'hotel arriverait, mais ce qui l'inquiétait dans l'immédiat était que n'importe quelle autre personne passe devant la chambre. Il pouvait y avoir des enfants, elle était terrorisée à cette idée. Elle attendit comme cela 10 minutes avant que la porte de l'ascenseur fasse un bruit aigue "ting". Quelqu'un venait. Elle n'avait aucun conscience du temps qu'elle était restée ici. Se pouvait-il que le repas soit déjà préparé? Elle prépara sa bouche à accueillir le sexe du maitre d'hotel qui se fera certainement un plaisir de la pénétrer.
Des rires dans le couloir, c'était un couple et non pas le personnel de l'hotel, s'ils la voyaient ainsi ils riront, ou seront terrifiés, ou pire. Elle commence a paniquer.
Ouf, ils s'arrêtèrent quelques portes plus tot dans le long couloir. Le soulagement aussitôt passé que la sonnerie l'ascenseur retentit de nouveau, un bruit de chariot, ca y est, cette fois ci c'était lui, il arrivait. Les roues grinçaient gentillement et s'apporchait, les idées se succédaient, la panique. Elle avait envie de s'enfuir mais les chaine l'en empêchait. Il n'était plus qu'à quelques maitre. Ca y est, il voyait les pied de la personne devant elle. Relevant doucement les yeux, surprise, elle vit une jupe.
Ce n'était pas un homme mais une femme. Elle s'était préparée à sucer, qu'allait elle faire maintenant? Elle ne savait pas donner de cunnilingus, elle n'avait jamais fait...
Elle dit alors à voix basse "madame, puis-je vous satisfaire en guise de pourboire?". Ses yeux fixait un point sur la moquette.
La maitresse d'hotel ne sembla pas déconcertée et dit d'une voix confiante: "Que c'est mignon, je suppose que quelqu'un est à l'intérieur?"
"Ou-oui" dit la femme agenouillée en begaillant.
La maitresse d'hotel enjamba alors la soumise et entra dans la chambre et dit "cher monsieur, voici votre commande, c'était ma dernière commande, accepteriez vous que je prenne mon pourboire dans cette chambre avec vous?"
L'homme ne fut pas plus déconcerté que cela et dit: "bien sur, faisons un petit jeu, ma chienne va vous faire un cunnilingus et vous allez lui en faire un ensuite, la personne qui arrive a faire jouir l'autre la plus vite partage mon repas, l'autre fera le divertissement à ma façon..."
La jeune femme accepta et se mit sur le lit en enlevant sa culotte sous sa jupe de service. D'un geste de la main, l'homme fit venir sa chienne qui savait quoi faire. Elle s'attaqua a la chatte déjà trempée de la femme et ne sachant comment s'y prendre bredouilla au début. Rapidement elle trouva le clitoris et s'y attela rapidement, puis doucement, essayant d'imaginer ce qu'elle aimerait. 11 minutes plus tard, une contraction, puis une deuxième, la femme jouissait enfin. Elle essuya alors son vagin sur le visage de la soumise et les deux échangèrent de role.
L'inverse fut plus aisée, l'experience aidant, en a peine quelques coup de langues, la femme enchaînée était au bord de la jouissance.
L'homme, jusque là spectateur intervint: "Stop" dit il fermement, "vous avez gagné mais je ne veux pas qu'elle jouisse, j'ai encore beaucoup pour elle. Venez donc partager mon repas"
Cependant la jeune femme hésita, regarda autour d'elle et vit une chaine qui trainait, elle la passa autour de son coup, la verrouilla avec un cadenas, se mit à quatre pattes et glissa la clé dans le caleçon de l'homme en disant "je pense que vous passerez un meilleur repas avec deux chiennes...
--------------
Partie 5 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 6
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/
5 personnes aiment ça.
Son regard était désormais entièrement dans le sien. Son regard? Pas seulement, son visage, mais également le reste de son corps était plongé dans ses grands yeux marrons. Seule sa main, qui tenait ses cheveux la retenait de sombrer en lui comme un navire en perdition dans les eaux de l'océan. Elle n'était plus, elle était sienne. Après une longue minute, il approcha sa main de la joue de la jeune femme, effleura sa mâchoire et s'empara de son menton. Soudain, la frustration revint, c'est la premiere fois qu'elle recut autant de plaisir sans pouvoir lui donner toute sa substance. Ses yeux quittèrent alors les orbites chauds de l'homme et descendirent vers la partie qui ne demandait qu'a etre a nouveau utilisée. "Oh tu en veux encore" dit-il, ce a quoi elle répondit par un mouvement de tete maladroit. Il ne répondit pas et se déplaça vers le téléphone, laissant la jeune femme perdue, il décrocha le combiné, l'approcha de celle qui désormais lui appartenait et lui dit "il se trouve que je risque d'avoir faim, et tu vas commander pour moi un menu complet pour le diner, une bouteille de sauvignon". La jeune femme attendait un "et prend toi ce que tu veux" mais ce qu'elle reçu en retour la figea, "et ajoute de l'eau dans une gamelle et de la purée également dans une gamelle". Elle bredouilla quelque chose d'incompréhensible avant qu'il lance un "fais le" en composant le numéro de l'accueil. Alors que la musique d'attente débutait, elle sentit a nouveau une présence derriere elle, il allait reprendre sa pénétration. "Oh non" se dit elle. Elle sentit a nouveau un premier coup empli de plaisir et de douleur, puis un deuxième avant d'entendre un "Accueil de l'hotel, j'écoute", ce a quoi elle répondit un grognement sans nom, avant de réaliser ce qu'il venait de se passer. Elle tenta de reprendre ses esprit et chercha ce que l'homme lui avait dit de commender. Au bout de quelques secondes et la repetition du maitre d'hotel, elle se souvint "Un menu complet et une bouteille de sauvignon s'il vous plaiiiignt", le dernier coup la fit tressaillir. La voix métallique du telephone ne réagit pas et ajouta un "ca sera tout madame?". Elle se souvint alors que ca n'était pas tout et commença le reste. L'homme lui précisa que les chiens étaient interdit dans l'hotel. Elle fit prise de panique et dit qu'elle était allergique a la vaisselle. Cette réponse idiote lui valut un mot de l'homme qui la pénétrait a son oreille "tu es également allergique aux chaises puisque je ne pense pas que tu vas manger assise". Il prit alors le telephone lui meme et dit à l'homme "veuillez pardonner ma servante, elle ne connait pas les convenances des grands hotels, montez tout ca vous meme, elle saura vous remercier pour vos efforts, a bientôt", et il raccrocha sur un dernier coup de rein. Il s'arrêta alors et prenant la jeune femme encore enchaînée, la porta devant la porte, entrouvrit la porte et dit "ouvre grand la bouche et accueille comme il se doit le maitre d'hotel darling"
--------------
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
Partie 5: https://www.bdsm.fr/blog/8576/La-chambre-d'hotel-#5/
5 personnes aiment ça.
26/12/21
444 vues
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse" Il retira alors son pied puis saisit d'une poigne le collier sur le cou de celle quui gisait à ses pieds. D'un coup, il serra ses muscles saillants et releva l'avant bras, portant par cela la jeune femme quiu se trouvait devant lui. Il l'emmena alors sur le lit, serrant le cou d'une main et entourant son entrejambe de l'autre. Il remarquat alors l'abondante humidité se dégaeant de la partie basse. Il jeta alors la jeune fille sur le lit qui, toujours enchainer, ne put s'empecher de s'ecraser sur le matelas. Il s'approcha alors et il posa sa main sur le haut de ses fesses, il remonta alors le long de la colonne vertebrale, décrochant des tremblements qui firent chavirer aussi bien le coeur que le corps de la créature. Etait elle encore humaine ou n'était elle qu'un objet qu'elle avait elle meme offert à cet homme? Toujours est il qu'elle murmura à travers le baillon qui lui serrait la bouche: "baiser moi s'il vous plait". Il s'approcha, retira le baillon et dit: "Je n'ai pas bien compris" Génée, elle repeta "Pouvez vous me baiser, s'il vous plait" Il se mit alors à rire, accentuant la gène de la jeune femme avant de lancer un "Tu es directe toi". Il enleva alors sa braguette et se positiona legerement à l'arrière, posant sa main sur la croupe... Il saisit alors la croupe qui se positiona devant lui et se mit à la pénétrer comme jamais elle n'avait été penetrée. Elle mouillait tellement que chaque mouvement faisiat virer un jet de cyprine sur le matelat. D'un coup de main, il lanca depuis son téléphone la VIIe symphonie de Bethoven. Les premieres notes retentierent et soudain, elle s'appercu que les coups de reins se synchronisèrent avec la mélodie. Son plaisir montait malgré l'inconfort de la position. Soudain, tout s'arreta, il sorti et d'un coup applatit la paume de sa main sur les fesses qui rougirent d'un coup, puis un deuxieme puis un troisieme. Il defit alors les entraves de la pauvres femmes et d'un coup se saisit de ses cheveux et plongeat son regard dans le sien...
--------------
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
Parties 5: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#5/
3 personnes aiment ça.
soumis réel et dévoué en recherche de son collier, vous êtes bienvenu pour un contact étant moi même en sélection .:.
Immobilisée au sol, dans une position non confortable et qui plus est n'était pas celle demandée. Voila sa situation. Pourtant, elle avait essayé de se relever, toujours sans succès.
La porte battait toujours legerment au rythme des courants d'air provoqués par l'ascenseur du couloir alors que le lampadaire clignotait parfois, brisant le fin rayon de lumière qui pénétrait dans la chambre.
C'était stressant oui, mais jamais elle n'avait été autant excitée. Ce n'était pas de l'excitation cela lui arrivait sans cesse lorsqu'elle voyait un homme attirant ou qu'elle s'apprêtait à s'élancer dans des ébats. Non, c'était autre chose, une excitation interdite, presque mystique. Elle n'arrivait à penser à rien d'autre qu'à la réaction de l'homme qui allait rentrer par cette porte et à si ca serait bien l'homme auquel elle pensait et non un parfait inconnu. Et pourtant, elle savait au fond d'elle meme que rien ne pouvait lui faire regretter d'être venue. Elle mouillait, évidemment, plus qu'elle n'avait jamais mouillée, mais son excitation ne venait pas de ses parties intimes, elle venait de sa tête, de ses poignés menottés, du collier qui à chaque instant serrait un peu plus son cou. Elle venait de cette boule au milieu du ventre qui lui disait fuit, elle venait de la chaine qui la reliait au sol qui lui répondait que c'était impossible de fuir. Elle lui venait de cette porte qui a tout moment pouvait s'ouvrir.
Le temps passa, elle aurait pu s'endormir si l'inconfort de la position ne lui avait pas ôté toute envie. Elle entendait l'heure tiquer, elle sentait la lune continuer dans le ciel derriere elle, la vie continuait et elle était coincée dans cette chambre, à la merci d'une porte capricieuse.
40 minutes passèrent, 50? Elle n'en savait rien. Toujours est il qu'a un moment donné des bruits de pas se firent entendre. Des pas lourds mais délicats, étouffés par la moquette de l'hotel. Soudain, les bruits s'arrêtèrent devant la porte. L'ephemere moment sembla durer une heure, comme suspendu à une seconde d'insouciance, à une minute de questionnement. Alors la porte s'ouvrit. La curiosité s'emballait, elle voulait voir qui était là, si c'était celui qu'elle attendait. Cela faisait des heures qu'elle n'attendait qu'une chose, voir le visage qui passerait cette porte. Et pourtant, ses yeux ne lui obéissait plus, pas plus que son cou ou que ses muscles. Son regard se figea dans un trait du motif de la moquette rouge et elle ne pouvait lever sa tete. Elle le voulait, mais c'est comme si son corps disait inconsciemment de regarder le sol afin de ne pas défier du regard celui auquel elle avait déjà désobéis. Les pas reprirent et le regard demeura figé jusqu'à ce qu'elle sente le froid d'une semelle se poser sur son cou, à moitié sur son collier et à moitié sur sa peau frère et refroidi par l'atmosphère hivernal. Elle n'était plus rien et elle était tout. Son collier l'avait transformer. Elle ne craignait plus la punition, elle voulait garder son visage figé dans ce trait noir désiré sur la moquette rouge pour l'éternité, dans le simple but de LUI offrir sa personne.
Il dit alors "Il y'a eu un petit problème de position si je ne m'abuse"
--------------
Partie 2 du texte, faites moi un retour et dites moi si vous voulez une partie 3
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
13 personnes aiment ça.
J'aime beaucoup La partie 1 m'avait déjà emballée, celle là remplit aussi ses promesses. J'ai hâte de savoir ce qui va arriver à cette petite maladroite
08/12/21
628 vues
Voila le jour tant attendu. Elle est maintenant devant la grande facade blanche de l'hotel parisien. Elle hésite une dernière fois et se décide à rentrer. Elle se dirige vers l'accueil et demande la carte de la chambre 112.
L'homme en uniforme lui donne d'un geste de la main en professant un "bon séjour parmi nous".
Sans un mot, elle prend la carte et se dirige vers l'escalier en granite et le monte deux marches à la fois en prenant soin à ce que personne ne remarque ce qu'elle porte sous son grand manteau noir qui volète sur les cotés.
Elle arrive devant la porte. Elle toque inutilement. Pas de réponse, elle le savait.
La jeune femme insère alors la carte dans l'encoche et pénètre dans la chambre. La porte se referma timidement derrière elle et la chambre est désormais plongée dans le noir, à l'exception de la lumière diffuse que le réverbère fais rentrer à travers les voiles. Elle insère la carte afin d'activer l'éclairage. Elle découvre alors trônant au centre de la piece le materiel dont lui avait parlé l'Homme, celui qui lui avait donné rendez vous ici, celui qui lui avait donné la liste de consigne qu'elle avait mémorisée, celui qui l'avait introduit à la domination et qui aujourd'hui commencerait son dressage.
Elle prit le collier posé à terre et le passa autour de son cou. A l'avant, un cadenas le verrouillait. Elle chercha la clef des yeux avant de les poser sur les autres objets. Aucun n'avait de clé. Une fois qu'elle avait fermé les cadenas, seul LUI pouvait la libérer. Elle hésitat avant d'appuyer sur le cadenas et se rappela ce qu'IL lui avait dit "tu hésiteras, mais la mouille coulant de ton vagin te rappellera pourquoi tu es là". Il avait dit vrai. Elle n'avait pas besoin de vérifier pour sentir son entrejambe mouiller plus qu'elle ne l'avait jamais été.
Elle ferma donc le cadenas. Enleva son grand manteau, relevant au miroir, seul autre occupant de la chambre libre sa tenue. Porte Jaretelle et corset, tel qu'IL l'avait demandé. Elle se posa sur les yeux le bandeau présent à sa disposition et place ses mains dans des menottes attachées à une barre à même le sol, l'immobilisant désormais complètement.
Quelques minutes passèrent et soudain, aveuglée et immobilisée, une révélation lui vient. Elle n'avait pas entendu la porte claquer. Etait elle fermée? Elle ne le pensait soudain plus. Elle s'était refermée, c'était certain mais était elle complètement fermée, elle n'en savait plus rien. Elle se tourna alors dans tous les sens pour arriver à enlever le bandeau. Après 10 minutes de combat avec les menottes elle tomba à la renverse et était dans l'impossibilité de se relever. Elle finit cependant à réussir à retirer le bandeau pour s'apercevoir avec horreur que la porte n'était pas fermée... Une ouverture s'agradissait et se rétrécissait aux mesures des courants d'airs.
Alors elle réalisa que la situation était plus déséspérée encore. Non seulement n'importe qui pouvait entrer désormais mais quand IL arriverait, s'il arrive, il la trouvera sans bandeau et pas dans la position demandée...
Elle allait commencer son dressage par une punition...
_____
La suite:
Partie 1: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#1/
Partie 2: https://www.bdsm.fr/blog/7305/La-chambre-d'hotel-#2/
Partie 3: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#3/
Partie 4: https://www.bdsm.fr/blog/7371/La-chambre-d'hotel-#4/
11 personnes aiment ça.
Cahiers dans miroir (sur mon bureau) #1 !
Soyez la première personne à aimer.
Cahiers dans miroir (sur mon bureau) #1 !
Soyez la première personne à aimer.
Cahiers dans miroir (sur mon bureau) #1 !
Soyez la première personne à aimer.