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La dernière nuit de Rolla
Henri Gervex (1852-1929) peint en 1878 "La dernière nuit de Rolla" (d'après un poème d'Alfred de Musset de 1833) qui, ruiné par le jeu, s'empoisonna. Mais voulu avant de mourir honorer l'une des plus belles et des plus chères prostituées de l'époque, Marion...
Le tableau fit scandale !
Le modèle de ce tableau ainsi que de l'étude est Ellen Andrée (1857-1925) actrice et modèle qui posa aussi pour Renoir, Degas et Manet.
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si je peux continuer votre post """
je trouve cela étrangement beau,
"""je reste ainsi sans parler """.
Il s’est inspiré, pour peindre sa toile, d’un poème composé par Alfred de Musset en 1833 : celui de l’histoire tragique d’un jeune bourgeois, Jacques Rolla, épris de Marion, une prostituée issue de la misère. L’homme, ruiné, pense en finir et contemple la femme avec laquelle il vient de passer la nuit :
Rolla considérait d’un œil mélancolique
La belle Marion dormant dans son grand lit ;
Je ne sais quoi d’horrible et presque diabolique
Le faisait jusqu’aux os frissonner malgré lui.
Marion coûtait cher. – Pour lui payer sa nuit
Il avait dépensé sa dernière pistole.
Ses amis le savaient. Lui-même, en arrivant,
Il s’était pris la main et donné sa parole
Que personne, au grand jour, ne le verrait vivant.
[...]
Quand Rolla sur les toits vit le soleil paraître,
Il alla s’appuyer au bord de la fenêtre.
De pesants chariots commençaient à rouler.
Il courba son front pâle, et resta sans parler.
"Rolla considérait d’un œil mélancolique
La belle Marion dormant dans son grand lit ;
Je ne sais quoi d’horrible et presque diabolique
Le faisait jusqu’aux os frissonner malgré lui.
Marion coûtait cher. – Pour lui payer sa nuit
Il avait dépensé sa dernière pistole.
Ses amis le savaient. Lui-même, en arrivant,
Il s’était pris la main et donné sa parole
Que personne, au grand jour, ne le verrait vivant"....
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Bonjour, je suis un homme de 56 ans, encore bien conservé.. En même temps c'est pas si vieux.. Lol.
J'aimerais rencontrer une femme, sympathique, qui aurait comme envie, fantasme.. De dilater et s'occuper d'un petit cul... Le mien. Avec gode, objets, main, di elle n'est pas trop grande hein... Lol.
Jusqu'ou ira votre imagination... ?!
Sans tabous, ouvert à toutes sortes de pratiques, on peut tout envisager... Uro, voir même s... O si vous avez une envie pressante... Lol.. Jamais fait mais pourquoi pas.
N'hésitez pas à me contacter si vous en avez envie.
Cordialement.
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07/01/24
"Une bonne pensionnaire, cela devient plus rare qu'une femme de ménage" (Les tontons flingueurs)
https://youtu.be/AEv9VLQegvY
"Bonjour Mademoiselle au revoir Madame" les tontons flingueurs
Les Tontons flingueurs comédie franco-germano-italienne réalisée par Georges Lautner en 1963, sur un scénario d'Albert Simonin et des dialogues de Michel Audiard
avec comme acteurs principa
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Merci maurice93100 d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
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Je t'en prie Manon. Madame et moi serons heureux de lire tes commentaires. Nous pouvons également échanger par mail sur ce sujet si tu le souhaites. Nous avons la faiblesse de penser que nous le connaissons bien... Monsieur
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22/04/23
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Dans son "manuel de civilité à l'usage des petites filles à l'usage des maisons d'éducation" Pierre Louys nous informe du prix d'une tribade en 1919 (date de la parution). "N'entrez jamais dans un bordel pour demander une tribade quand vous n'avez pas 20 francs sur vous."
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Abbesse :
Dès le XVIIIème siècle, la littérature libertine a usé, par convenance mais aussi amusement, d’une langue riche pour parler de prostitution. Au point de s’emparer de l’un des langages les plus chastes : celui de la religion. Au quotidien, une abbesse est la mère supérieure d’un monastère. Si on transpose cette définition dans le cadre de la prostitution, cela signifie naturellement que l’abbesse est la mère supérieure de toutes les sœurs prostituées… En d’autres termes, la tenancière d’une maison close.
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