L'Urolagnie (Uro) dans le BDSM

L’urolagnie, dans le cadre du BDSM, désigne les pratiques érotiques construites autour de l’urine. Que ce soit à travers l’acte de recevoir, de donner, ou simplement de jouer avec, l’uro invite les partenaires à explorer un domaine où les notions de contrôle, de soumission, de plaisir et parfois de honte s’entremêlent. Si cette pratique reste un tabou pour beaucoup, elle représente une expérience unique d’abandon et de connexion pour d'autres.

L'uro comme moyen d'exploration du contrôle et de la soumission

Pour le partenaire dominant, l’acte de "donner" l’urine peut symboliser un contrôle total sur le corps et l’espace de l’autre. C’est une manière d’affirmer une supériorité ou une autorité sur le soumis, renforçant ainsi le lien de pouvoir qui unit les deux partenaires.

Pour le ou la soumis(e), accepter ou recevoir ce type d’interaction peut être un acte d’abandon profond. Cela implique souvent de dépasser les barrières psychologiques liées à la honte ou au dégoût, et de se livrer entièrement au dominant. Cet abandon peut générer un sentiment puissant de libération, une mise à nu émotionnelle qui renforce l’intensité de l’expérience.

Cependant, il est essentiel de souligner que cette pratique, comme toutes celles qui se pratiquent dans le BDSM, repose sur un principe fondamental : le consentement mutuel. Rien ne peut se faire sans une discussion ouverte et honnête entre partenaires pour s’assurer que chacun est à l’aise et en accord avec les limites posées.

L'uro, une pratique emprunte de symbolisme

L’uro peut aussi être vu comme une manière de jouer avec les tabous sociaux. Dans de nombreuses cultures, l’urine est perçue comme sale ou impure, ce qui confère à cette pratique une dimension subversive. Participer à des jeux uro, c’est parfois choisir de défier ces conventions, de redéfinir les normes de ce qui est acceptable dans l’intimité et d’embrasser des aspects souvent négligés ou rejetés du corps humain.

L’uro peut même devenir un rituel sensuel ou sacré, où l’urine est considérée comme une extension intime du corps. Le fait qu’elle soit chaude, humide, et qu’elle provienne directement de l’intérieur du partenaire la rend intensément personnelle et organique. Ces caractéristiques peuvent intensifier le sentiment de proximité physique et émotionnelle entre les participants.

Dépasser le jugement : entre liberté et respect

Comme pour toutes les pratiques sexuelles, l’uro divise. On peut aussi y voir une forme d’expression sexuelle enrichissante, tandis que d’autres ne parviennent pas à dépasser leur dégoût ou leur incompréhension. Ce contraste illustre parfaitement la richesse et la diversité des expériences humaines.

Actons que la sexualité est un territoire profondément personnel. Ce qui est tabou pour l’un peut être source de plaisir pour l’autre, et l’important est de respecter ces différences. Personne ne devrait jamais être jugé pour les pratiques qu’il ou elle choisit d’explorer, à condition que celles-ci soient menées dans un cadre sain, consensuel, et informé.

Pour celles et ceux qui envisage de pratiquer l’uro, il est crucial de se documenter et de communiquer ouvertement avec ses partenaires. Les discussions autour des limites, des attentes et des règles d’hygiène sont indispensables pour garantir une expérience sûre et épanouissante. Dans le cadre de cette pratique, comme dans toute relation BDSM, la confiance mutuelle est la clé.

L'urolagnie est une invitation à l’ouverture d’esprit

L’urolagnie dans le BDSM n’est pas une pratique qui convient à tout le monde, et c’est parfaitement acceptable. Cependant, son existence nous rappelle que la sexualité humaine est infiniment complexe et que les frontières du désir sont souvent plus floues que ce que l’on croit. Plutôt que de condamner ou de rejeter, il est peut-être plus enrichissant de chercher à comprendre les motivations et les plaisirs qui se cachent derrière de telles pratiques.


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A propos du groupe
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Créateur
psyshow
a partagé une photo
Attention à la noyade
xminoux
En lisant vos récits, je me suis laissé aller ma culotte est toute mouillee et ça coule sur mes cuisses le top, je n'avais pas mis de couche, mais c'est mieux de se sentir mouillé ! Je préfère ainsi
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SwitchLoicbidu59
bonjour xminoux, ce qui vraiment agréable, c'est d'être emmener dans un bac à douche , être mis assis nu dedans, ensuite ton dominant sort sa virilité et t'urine dessus. La tu sais vraiment qui tu es et ou est ta place
J'aime 13/03/25
reformatoryspank
c'est bon de se faire pipi dans la culotte, moi je pratique souvent !
J'aime 13/03/25
Soum46
Bonjour Maîtresse Xminoux c avec un grand que j aurais bu et lécher et nettoyer votre liqueur
J'aime 13/03/25
xminoux
oui switchl j'aimerais bien sur comme vous décrivez a genou dans la douche se faire pisser dessus de la tete au pied un vrai bonheur
J'aime 15/03/25
Recherche couple libertin : Domination et soumission Je suis à la recherche d’un couple désireux d’explorer des dynamiques de domination et de soumission. L’homme sera dans un rôle de cocu, soumis à mon autorité et prêt à vivre des moments d’humiliation sous ma direction. La femme, quant à elle, sera ma soumise amoureuse, partageant et observant les expériences de son partenaire. Ensemble, nous pourrons vivre des instants intenses de liberté et de passion.
Soyez la première personne à aimer.
MasterParis11
A Paris, donneur mature uro expérimenté, intense et abondant, cherche receveuse âge indifférent, débutante acceptée, j'adore initier.
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xminoux
Dommage que vous soyez à Paris
J'aime 12/03/25
xminoux
Moi suis sur Dijon, aime ♥️ recevoir sur tout le corps votre pisse, c'est un réel plaisir et bonheur de sentir ce divin nectar
philou24
Bonjour à tous Je recherche un groupe sur Périgueux et environs pour délire uro et scato aussi Je suis une vraie chiotte Donneur aussi....
Collin35
J adore l uro, boire ,en duche , sur moi, j ai un harnais de tete avec entonnoir et aussi jeux en cocuhes bien trempée recoit dpt 35 en campagne
reformatoryspank
j'aime faire pipi à la culotte, même dans la rue devant des passants
Collin35
Moi accro a la pisse de mecs, , recoit en bouche , dans cul ou en douche aux choix dpt35/53
soumis001964
qui pour me forcer a boire sur skype ou devant pusieur personnes
###PROFIL BANNI###Alma
n’étant pas totalement inculte, je me doutais bien que mon petit trou du cul serait visité pour ne pas dire nettoyé mais je ne m’attendais pas à tant de perversité ! Dès notre première rencontre elle m’a déstabilisé en me mettant un penilex, sorte de préservatif équipé d’un tuyau puis d’une poche à urine qu’elle a attaché à ma jambe avant de la relier au tuyau du pénilex. A la suite de quoi, elle m’a demandé de me rhabiller puis de lui servir de chauffeur pour ses courses. J’ai donc compris pourquoi elle m’avait donné rendez-vous à 14 heures. Maîtresse n’aime pas conduire. Comme beaucoup de femme, elle aime le shoping, nous avons donc visité l’intégralité des boutiques ou presque des galeries marchandes de plan de campagne… Je devais marcher derrière elle à environ deux mètres et porter ses paquets, ce qui amusa ceux qui ont repéré son manège. Lorsque j’ai éprouvé une envie de faire pipi, j’ai bien essayé de négocier un passage aux toilettes qui m’a été refusé puisque j’étais « équipé » et valu une punition pour le soir même. Par contre elle a fait plusieurs pauses pipi en me narguant de ses sourires charmeurs mais aussi sadiques ! Au bout d’un moment je n’en pouvais plus, pendant que nous faisions quelques courses au supermarché, j’ai craqué et, la peur au ventre, fini par uriner dans le penilex qui a fait son office. J’avais peur qu’il y ait des fuites et de me pisser dessus en plein supermarché à l’heure de pointe. Si le penilex a fait son office, marcher avec une poche à urine pleine attachée à la jambe génère aussi une gêne et des inquiétudes car j’avais peur que la fixation cède. OUF elle a aussi résisté mais comme expérience au milieu de la foule c’est chaud chaud ! ! ! Arrivés à son logis, ma maîtresse a fait décharger la voiture et ranger certaines choses avant de m’envoyer à la douche pour « décrasser le cochon » même si j’avais pris une douche avant notre premier rendez-vous. Mon réflexe a été de fermer la porte puis de retirer la poche et le penilex. Elle est arrivée comme une furie en m’indiquant qu’un soumis n’a pas à se cacher et n’a en aucun cas droit à la pudeur avec sa Maîtresse. En guise de punition elle m’a fait m’étendre dans sa baignoire avant de vider la poche à urine que j’avais mise de côté sur mon visage. Sans même me laisser me rincer, elle m’a forcé à me mettre à quatre pattes pour m’enfiler dans le cul le tube d’une poire à lavement en me promettant les pires punitions si j’avais une fuite dans sa baignoire. J’étais blême ! Avec un demi litre d’eau dans les fesses, prendre ma douche devant une furie ne se privant pas de commentaires sur ma façon de me laver, fut une étape difficile. Et là, elle m’ordonna d’aller me vider le « croupion » aux toilettes sans fermer la porte. Faire devant une Maîtresse qui vous regarde avec un sourire amusé fut assez hard pour moi, surtout pour le bruitage….. Comme Maîtresse n’aime pas la « merde » elle m’a fait remonter dans sa baignoire et collé deux poires à lavement l’une après l’autre avec les même menaces que précédemment de punition en cas de fuite. Re belotte et dix de der, (sauf que le dix de der était loin…) j’ai été accompagné aux toilettes pour la vidange. J’ai cru qu’elle était satisfaite du résultat lorsqu’elle m’a ordonné de finir de me doucher et de nettoyer la salle de bain et les toilettes. Ce qu’il faut savoir, c’est qu’après les lavements, même si l’on a rejeté il y a encore des « restes » et donc encore envie de retourner aux toilettes. Je me suis fait attraper juste au moment où j’allais m’asseoir sur le trône et incendier. - Si tu n’es pas étanche du cul, on peut éventuellement te mettre des couches du con, d’abord tu ne m’as pas demandé la permission d’aller aux toilettes et en prime, tu t’y rends sans avoir terminé le ménage des lieux que tu as salis. Tu cherches les punitions ou quoi ? C’est donc avec les fesses serrées que j’ai terminé le ménage de la salle da bain et des toilettes avant de demander la permission de m’y rendre et là, elle a tenu à inspecter les lieux comme un contremaître méfiant cherchant la faute quitte à la fabriquer pour avoir le plaisir de punir. Penché en avant sur la baignoire, mes fesses nues ont goûté à la canne anglaise ! Le sifflement annonciateur de douleur ne ment pas, cela fait mal ! Les 10 coups reçus ont laissé une dizaine de marques dont une sur la cuisse qui y est restée au moins dix jours ! ! ! UN APERO PARTICULIER Madame s’est faite servir le champagne que j’avais apporté sans pour autant m’en proposer une coupe. Elle m’a imposé de me mettre à genoux devant son canapé avant de poser ses jolis pieds sur mon dos pour siroter son champagne en téléphonant à une amie. A la suite de quoi, une demi-heure plus tard, elle m’a abandonné un instant en m’intimant l’ordre de ne pas bouger. A son retour, Maîtresse a posé une gamelle devant moi avec du champagne puis a posé derrière moi une bouteille dont dépassait un Clyster Ball, sorte de pompe à main permettant d’injecter dans les fesses un liquide pompée dans un récipient via un tuyau. La bouteille d’eau pour un lavement d’un litre et demi m’inquiétait fortement ! L’ordre est tombé de laper comme un chien le champagne dans la gamelle pendant qu’elle m’introduisait la canule dans les fesses. Le champagne avait un drôle de goût, je dirai même un goût sérieusement douteux ! ! ! Elle s’est resservi une coupe puis s’est à nouveau installé dans son canapé en posant les pieds sur mon dos. A chaque fois qu’elle trempait ses lèvres dans sa coupe, j’avais droit à une rasade d’eau dans les fesses via le Clyster Ball ! Autant dire que j’avais peur d’avoir des fuites et que je serrais les fesses comme un malade. Ma maîtresse s’est soudain levée pour aller chercher la bouteille de champagne et là, ma surprise fut de taille. Elle s’est accroupie devant moi en dévoilant sa tendre intimité avant de pisser dans ma gamelle ! Elle n’a pas vidé totalement sa vessie car elle est allée terminer aux toilettes. En revenant elle a complété la gamelle avec du champagne avant de trinquer avec moi. Cette grande sadique d’une beauté à vous couper le souffle a remué le contenu de ma gamelle avec son index avant de me le donner à lécher. Lorsque je lui ai indiqué que mon colon se révoltait et que malgré mes efforts nous allions à la catastrophe, sa réponse fut très particulière. - Finit ton apéro avant d’aller aux toilettes ! Dire que ce fut difficile est peu dire mais je l’ai fait ce qui m’a valu des félicitations puis un coup de chaleur dans le cœur et la tête ! Une fois être allé me vider aux toilettes, je pensais être tranquille de ce côté-là de mon anatomie, il n’en fut rien. « Aimerais-tu lécher le minou de ta Maîtresse » ? Me demanda t’elle en s’agenouillant devant moi jambes écartées ? A la vue de sa vallée intime aussi délicieuse que la totalité de son anatomie, ma réponse a été positive sauf qu’elle m’imposa un deal sans me laisser savoir ce qu’il contenait. - Ok, alors je vais encore m’amuser avec toi et tu vas tout accepter sans rouspéter et, si tu es méritant, je te laisserais me lécher ce qui sera un honneur pour toi car je ne l’accorde quasiment jamais aux soumis. Maîtresse m’a planté à nouveau la canule de son Clyster Ball avant de m’injecter une nouvelle bouteille d’eau. Le pire fut après quand elle a sortie une couche pour adulte et m’a demandé de m’étendre sur le dos pour me la mettre. Mort de honte je m’apprêtait à refuser quand elle m’a rappelé notre deal en précisant que si je n’avais pas de parole, c’était la porte immédiatement. Mûrissant des envies de la revoir, abdiquer était mon seul choix, l’âme en peine je me suis donc laissé faire tout en la maudissant. La couche posée, elle m’a enjambé en restant debout au dessus de mon visage. Ne portant pas de culotte, la vue me fit oublier la couche un instant, ses cuisses fuselées admirablement dessinées par la mère nature donnèrent un sacré coup de pied à mon échine même si elle était pleine. Mon sexe replié dans sa couche l’aurait bien déchirée mais il était comme muselé. Quand elle s’est baissée et mise à genoux sur mon visage, un doux parfum de féminité enivra mes neurones. De la pointe de la langue je me suis aventuré entre ses délicates lèvres intimes, elle ondula aussitôt puis se replaça pour mieux profiter de l’instant. Dans un réflexe câlin, mes mains se sont mises à la caresser, je planais sur un nuage quand un coup de poing dans mon ventre explosa net mon rêve de par ce qui est soudain sorti sans crier « gare » dans ma couche. Vider ainsi mes entrailles dans une couche castra net la magie et mon érection. J’étais mort de honte pendant qu’elle cherchait ma langue s’étant mise en pause au moment du tsunami du bas. Ses pinces digitales sur mes pauvres tétons innocents accompagnèrent un ordre clair net et précis : « lèche-moi » ! Si en d’autres temps j’ai rêvé d’un facesitting avec une Maîtresse, là je n’avais qu’une envie, foncer à la salle de bain ! L’ordre est tombé d’ouvrir la bouche et de boire sans en perdre une goutte, sous peine de représailles. J’ai donc pour la première fois bu du champagne doré à la source de la vie. Il était un peu salé mais entre ses mains, j’aurai léché un paquet de sel entier pour qu’elle continue de me laisser savourer ses trésors féminins. Maîtresse a mis un terme à mes délices pour m’envoyer me laver en m’accordant 10 minutes douche et ménage de la salle de bain compris. Tel un gros bébé tout merdeux dans sa couche, la queue basse et les joues blêmes, je suis donc allé à la salle de bain où j’ai découvert avec surprise que la couche était propre, seulement mouillée de l’eau de mon lavement. Cette dominatrice si perverse m’a ensuite rapidement raccompagné vers la sortie en m’indiquant que je semblais être un bon soumis et qu’elle me rappellerait sûrement pour d’autres moments plus chauds si j’avais envie de revenir. Il va de soit que j’ai répondu positivement malgré les gigantesques moments d’humiliation qu’elle m’avait fait subir
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gayscat36
J'aurais tellement aimé ....
J'aime 14/02/25
Soum46
Très belle humiliation j adore
J'aime 15/02/25
Maitrsoumis
Adepte de l'avalage "force" (je précise forcé pour le ressenti mais cela s'avère consenti), comment vous assurez vous de l'étanchéité parfaite de la bouche? En effet, il est plaisant de sentir sa bouche se remplir irrémédiablement... Soulageant la pression d'une gorgée et se retrouver contrainte de tout avaler. Cependant, malgré la tentative d'utilisation d'un bâillon tuyau gonflable... Avec cellophane... L'étanchéité est loin d'être idéale. Or, avec le recours à un penilex cela s'avère gênant. Du coup, j'ai tenté en cellophanant avant de mettre un baillon anneau, puis le bâillon gonflable avec tuyau et cellophane... Mais la bouche perle quand ce n'est pas le tuyau. Aussi, certains ou certaines ont-ils une technique particulière?
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Le mieux c'est d'avaler au fur et à mesure
J'aime 08/01/25
Passoun
Le gag uro...
J'aime 09/01/25
Maitrsoumis
Le gag uro?? C'est a dire
J'aime 11/01/25
Passoun
Sur mon profil, l’image du cochon, c’est ça, genre entonnoir mais attaché pour que le soumis puis pas le retirer
J'aime 11/01/25
Maitrsoumis
Alors il ne peut certes pas le retirer mais c'est loin d'être étanche... D'où ma question
J'aime 14/01/25
JMH06
Il faut enfoncer la queue bien profond et on avale c’est genia
J'aime 14/02/25
Painslutfr
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Voilà le mien (photo perso)
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Laurent
J'adore cette appareil, il est pas facile à trouver sur internet, Si un jour je rencontre une maîtresse qu'il là, je serai le plus heureux des soumis.
J'aime 09/02/25
gayscat36
a partagé une photo
J'aime boire direct au robinet, c'est chaud,, c'est bon, j'adore mais j'ai des fantasmes de "salope" ... servir d'urinoir dans des toilettes publiques à la vue de tous , me faire pisser sur moi tout habillé par plein de mecs, me déshabiller dans un urinoir publique, etc .... quelqu'un pourrait m'aider à satisfaire ces envies, ces fantasmes ??? (région Hautes-Alpes et/ou parisienne) Merci pour vos propositions
Maîtresse Luna
Je suis réveillé par le bruit de la porte qui s’ouvre. J’ouvre les yeux et me redresse lentement. C’est Marc qui entre dans la pièce. Je sens ma femme bouger à côté de moi, elle se redresse. « Alors, les amoureux, bien dormi ? » Marc vient s’asseoir sur le lit, à côté de ma femme. Il pose la main sur sa hanche, à travers le drap. Et sans attendre notre réponse : « Bon, maintenant que vous êtes bien reposés, il va falloir satisfaire vos Maîtres, ce week-end. » Nous échangeons un bref regard. Nous sourions. « Nous sommes à votre disposition. » Il sourit à son tour, satisfait de la réponse. « Je vais prendre ma fellation du matin… Sophie, fais-moi plaisir. Et pendant que tu me suces, ton mari va pouvoir nous préparer le petit-déjeuner. » Ma femme acquiesce, s’assied sur le lit, dégage le drap. Elle porte une nuisette noire, qui dévoile une grande partie de ses seins et s’arrête tout en haut de ses cuisses. Marc fait tomber son pantalon à ses chevilles, il ne porte aucun sous-vêtement, il s’installe sur le lit, attrape la tête de Sophie et la presse contre sa bite. « Montre-moi que tu n’as pas perdu tes talents de bonne salope. » Sophie, encore un peu endormie, attrape son pénis au repos et le met en bouche. Marc lui impose immédiatement son rythme. Je vois sa bite se raidir rapidement. « Va préparer le petit-déj, toi, ce n’est pas ton tour », m’ordonne Jules. « Marc est sorti faire une course, mais il ne devrait pas tarder. » Je me lève, attrape un short, et me dirige vers la cuisine. J’entends Jules émettre un petit grognement de satisfaction. Sophie est une bonne suceuse. Je commence à installer le petit-déjeuner. Quelques minutes plus tard, je les entends me rejoindre. Jules tient Sophie par les cheveux, elle se traîne derrière lui à quatre pattes. Elle ne porte plus sa nuisette. Ses deux gros seins se balancent au rythme de son déhanché. Elle a son regard lubrique des grands jours. « Je vais prendre la gorge de ta femme sous tes yeux. Elle est en pleine forme cette chienne. » Je m’empresse de lui répondre : « Merci, Maître. » La cuisine est ouverte sur le salon. Il s’affale sur le canapé, lui tire la tête à nouveau vers sa bite. Sophie prend une rapide inspiration tandis qu’il fourre brutalement sa bite au fond de sa bouche, en s’imposant parfois jusque dans sa gorge. Il lui impose des allers-retours rapide. Elle commence à étouffer. Il continue. Il s’arrête un instant au fond de sa gorge en pressant sa tête contre son corps. Elle ne peut plus respirer. Il finit par desserrer son étreinte et retirer son pénis. Elle tousse, un filet de bave s’échappe de sa bouche. Mais il ne lui laisse pas le temps de reprendre son souffle, lui impose de reprendre sa bite en bouche et retourne à ses allers-retours. La tête de Sophie devient toute rouge. Il faut dire que Jules a une belle bite, assez longue. Finalement, il sort de sa bouche et lui laisse un instant de répit. Il lui colle alors une petite gifle. « Tu as un perdu un peu le rythme, ressaisis-toi. » Elle parvient à articuler : « Pardon, Maître. » Il se relève, et la fait grimper sur le canapé. « Tiens, je vais t’aider, tu y arriveras mieux comme ça. » Il l’installe à l’envers, avec la tête en arrière, dépassant du canapé. Elle comprend tout de suite où il veut en venir. Il plie ses jambes musclées et présente sa bite devant sa bouche. Elle l’ouvre en grand et tire la langue pour le laisser entrer le plus profondément possible. Il commence son va-et-vient. Sophie me lance un regard. Je vois dans ses yeux la satisfaction d’être ainsi soumise à un homme devant son mari. Ma bite est entièrement dressée et forme une bosse sous mon short. Jules commence à doigter ma femme, offerte à lui, les jambes écartées. « Mais elle est complètement trempée cette salope ! » J’entends le bruit de sa bite qui tape contre la gorge de ma femme. C’est à ce moment-là que la porte d’entrée s’ouvre. Marc entre. « Ben alors ! Enfin debout, ces petites salopes ! Et toi Jules, tu ne m’attends même pas ?! » Jules sort de la bouche de ma femme, et se tourne vers son ami. « Désolé, Marc, je préparais juste un peu la gorge de cette salope pour qu’elle soit prête pour toi. Mais tu arrives pile au bon moment ! J’allais m’attaquer à notre petit soumis. » Je souris. Il me tardait de participer aux festivités. Jules et Marc s’esclaffent, complices. Marc dépose un sac de courses sur la table. Il s’approche de ma femme, qui était toujours à l’envers, nue, dans cette position particulièrement avilissante. « Alors, ma petite salope ? Tu as hâte de la bite de ton Maître favori ? » Jules et Marc, nos Maîtres, tous deux dominateurs et amis depuis longtemps, ont l’habitude de se chambrer. Cette fois, Jules ne réagit même pas à cette petite provocation. Ma femme répond, en se redressant : « Bonjour Maître. Je suis à votre disposition. » Jules quant à lui, la bite toujours dressée, se tourne vers moi. « Alors, ma soumise, tu te dépêches ? » Je me précipite vers lui, me mets à genoux à ses pieds, et prends le relais de ma femme. Je commence à le sucer en même temps que je le branle avec ma main. Il grogne de contentement. Il met sa main derrière ma tête et commence à pousser sa bite de plus en plus profondément dans ma bouche. Je réprime un haut-le-cœur lorsqu’il essaie de pénétrer ma gorge, mais je poursuis mon travail. Pendant ce temps, j’entends ma femme s’occuper de Marc. Elle s’est mise à genoux, et lui bouffe la bite avec enthousiasme. Quelques instants plus tard, Jules m’arrête. Il s’éloigne puis revient avec du lubrifiant. « Bon, il est temps de passer aux choses sérieuse. » Marc se tourne vers nous, en souriant. « Tu as raison. » Jules tend le lubrifiant à ma femme. « Tiens, prépare-moi le cul de ton mari. » Je retire mon short. Je bande comme un âne. Sophie lâche la bite de Marc. Je me mets à quatre pattes. Jules s’assied sur le canapé, face à moi, la bite dressée, et je la remets en bouche. Ma femme étale du lubrifiant sur sa main, et me l’applique sur l’anus en me caressant. « T’as hâte de te faire prendre, toi, petit coquin. » Je hoche la tête. Elle sait que j’aime beaucoup me faire sodomiser, et je sais qu’elle apprécie beaucoup me voir me faire enculer par un homme. Elle me glisse un doigt dans le cul, puis deux. Marc lui met un coup de bite sur le visage. « Tu peux bien faire deux choses à la fois. » Elle attrape sa bite et commence à le branler en même temps qu’elle fourre ses doigts dans mon conduit. Au bout d’un moment, Jules, estimant que je suis prêt, se relève et se positionne derrière moi. Je suis parterre, à quatre pattes, face au canapé. Au même moment, Marc arrête ma femme et la positionne à quatre pattes devant moi, contre le canapé. Je sens la bite de Jules se frotter contre mon cul, puis presser l’entrée pour se glisser en moi. Et je vois Marc commencer à baiser ma femme. Sa chatte est probablement déjà trempée, il attaque brutalement ses mouvements de va-et-vient. Elle commence à crier de plaisir. Probablement inspiré par la scène, Jules m’attrape les hanches et donne un à-coup plus brusque pour m’enfiler plus profondément. Je pousse un râle. Jules commence à me défoncer le cul. Devant moi, Marc se repositionne. Il met ses pieds des deux côtés des genoux serrés de ma femme, à quatre pattes. Il plie les jambes, se penche en avant, pose ses mains sur les épaules de Sophie et replace son sexe dans sa chatte pour recommencer à la baiser. J’ai une vue imprenable sur sa bite qui défonce la chatte de ma femme, sur ses couilles, et sur son cul. Il reprend un bon rythme, et cogne dans le vagin de Sophie, qui pousse de petits cris. « Viens me bouffer le cul pendant que je baise ta salope de femme, soumis. » Jules me lâche un instant, sors de mon cul, et je m’avance à quatre pattes vers Marc. Je sors ma langue et commence à lui lécher le cul au rythme de ses va-et-vient dans la chatte de Sophie. Jules se réinstalle derrière moi, et me défonce le cul de plus belle. Nous sommes ainsi en file indienne. Tandis que Jules m’encule, je bouffe le cul de Marc qui déglingue ma femme. Je tremble de plaisir, je sens la bite de Jules au plus profond de moi. Un filet de liquide pré-séminal coule lentement de ma bite. J’entends ma femme jouir sous les coups de bite de Marc. Elle crie longuement. Jules sort finalement de mon cul, et s’assied sur le dossier du canapé pour se positionner devant ma femme. Marc accélère encore ses allers-retours. Il grogne de plaisir. Mes coups de langue ont l’air de lui plaire. Maintenant que Jules ne m’impose plus sa cadence, je peux me consacrer pleinement à lui. Il m’attrape la tête pour presser mon visage contre son cul. Je lui attrape les hanches et lui bouffe l’anus en m’efforçant de suivre le rythme de ses va-et-vient dans la chatte de Sophie. Pendant ce temps, Sophie a repris Jules en bouche. Il est sur le point de venir. « Je vais gicler dans ta bouche. N’en perds pas une goutte. » Marc n’est pas loin du terme non plus. Ses fesses se contractent, il pousse un long râle, et je sens son sperme se déverser en plusieurs spasmes dans la chatte de ma femme. Je continue quelques instants de parcourir son cul avec ma langue. Puis il repousse ma tête et se décale lentement. J’ai seulement le temps d’apercevoir Jules agripper le visage de Sophie, grimacer de plaisir, et se répandre dans sa bouche dans un cri rauque. Aussitôt, Marc me fourre la tête dans la chatte de ma femme, d’où s’échappe son sperme. « Nettoie bien cette petite chatte, petit cocu. » Je me mets à lécher goulument. Sophie, après s’être efforcée d’avaler toute la semence de Jules, se retourne pour s’allonger sur le dos et me donner un meilleur accès à sa chatte. Son clitoris est bien gonflé, je sens qu’elle peut jouir à nouveau. Je m’applique et la lèche du mieux que je peux. Sa chatte a un goût délicieux, mélange de sperme et de cyprine. Sa respiration s’accélère, elle halète, et jouit bientôt. Jules et Marc se sont réunis autour de la table de la cuisine. Ils boivent chacun une gorgée du thé que j’avais servi, et qui a eu largement le temps de refroidir. Sophie se redresse, et nous nous tournons vers eux. Ils ne nous accordent plus d’attention. Je suis à genoux, la bite dressée, prête à exploser. Je lance un regard suppliant à ma femme. Elle s’apprête à m’offrir une finition, mais avant même de pouvoir s’exécuter, Marc s’exclame, dans notre direction : « Oh, mais il faut que j’aille pisser, moi ! » Nous savons où il veut en venir. Sophie est une grande amatrice de douches dorées. « Sophie, viens avec moi. » Ils se dirigent vers la salle de bain. Sophie me lance, sur le chemin : « Si tu veux que je te fasse venir, c’est maintenant. » J’écarquille les yeux. Je comprends immédiatement qu’elle veut me faire venir sous la pisse de Marc. Je me suis déjà fait pisser dessus, mais je n’y prends pas le plaisir qu’elle y trouve, et elle le sait très bien. Mais j’ai tellement envie d’un orgasme que je décide de la suivre, poussé par l’excitation. Marc nous installe côte-à-côte, accroupis par terre, dans la douche à l’italienne. Il attrape sa bite, qui est maintenant au repos. Sophie prend ma bite en main, et commence à me branler fermement, tandis qu’elle ouvre la bouche en direction de la bite de Marc. Un premier filet de pisse s’échappe de sa bite et éclabousse le visage de Sophie. Puis Marc se met à pisser abondamment. Il vise la bouche de Sophie, qui se remplit rapidement, puis il s’oriente vers moi et m’arrose tout le visage et le torse tandis qu’elle avale sa première gorgée. Elle rouvre la bouche, et Marc revient la remplir. Elle essaie d’avaler au fur et à mesure. Il vise ensuite son cou, ses seins, revient sur son visage, l’asperge sans interruption. Elle est pleine de pisse, même ses cheveux sont trempés. Marc finit de se vider la vessie et secoue sa bite contre la langue de Sophie pour lui donner les dernières gouttes dont elle se délecte. « T’es vraiment une bonne salope. » Elle sourit. Satisfait, Marc fait demi-tour en nous laissant là. Nous baignons dans la pisse. Sophie a toujours ma bite en main, mais dans le feu de l’action, elle a oublié de s’en occuper. Se souvenant de sa promesse, elle se retourne vers moi, me lance un regard plein de perversion, et vient m’embrasser longuement, la bouche encore pleine d’urine. Elle se penche finalement vers mon pénis. Je ne suis pas fan de pisse, mais cette situation humiliante m’a maintenu dans une grande excitation. Ma bite est dressée comme jamais. Sophie commence à me pomper énergiquement. Je ne tarde pas à pousser des grognements de plaisir. Je suis vite au bord de l’orgasme. Sophie s’arrête. « Tu sais bien que je ne peux pas te laisser venir dans ma bouche. » Ce privilège est réservé à nos Maîtres. J’acquiesce, mais lui demande de continuer un peu. « Tu m’arrêtes avant. » « Oui, promis. » Elle recommence à aller et venir avec sa bouche le long de ma queue, en me tenant fermement la base du pénis avec la main. Elle fait tourner sa langue autour de mon gland, pour ralentir le rythme, puis m’aspire à nouveau la bite et reprend son va-et-vient, en me surveillant du regard. Aussitôt, je l’arrête. « Je vais venir. » À ce moment, Jules surgit à la porte et me lance : « Attention, pas de bêtise, tu nettoies bien tout. » Sophie met sa main devant ma bite pour recueillir mon sperme. Je commence à me branler. Sauf que Sophie change d’avis et choisit de se replacer. Elle se retourne, se met sur ses genoux, et me présente son cul plein de pisse. « Viens sur mes pieds. » Elle me tend ses plantes de pieds, elles aussi pleines de pisse. Je suis saisis par l’orgasme. Je n’ai pas le temps de réfléchir. Je pousse un cri et je gicle plusieurs jets sur les pieds de ma femme, sous le regard approbateur de Jules. Sophie sourit. Après m’être copieusement répandu sur ses plantes de pied, je frotte quelques instants ma bite contre elles. Quelques gouttes de sperme mal dirigées sont tombées sur le sol, dans la flaque de pisse. Je me penche pour lécher. Maintenant que je suis venu, j’apprécie moins le goût de mon sperme mélangé à la pisse, mais je sens le regard de Jules. Sophie, elle, se retourne pour s’allonger sur le dos, en veillant à conserver mon jus sur ses pieds. Lorsque je me redresse, elle me plaque ses pieds contre le visage, et je commence à nettoyer avec ma langue la voûte plantaire de ses pieds. « En voilà un bon cocu », marmonne Jules, l’air satisfait. Je me dépêche de nettoyer toute ma semence à grands coups de langue. Jules vient contrôler qu’il n’en reste plus. « Et bien voilà, un bon petit-déj pour un bon soumis ! » Sophie a l’air aussi contente de moi. Sur ces bonnes choses, nous retournons tous trois à la cuisine, rejoindre Marc qui s’est rhabillé, a terminé son petit-déjeuner, et lit un magazine d’un air distrait.
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Jules
voici un début de journée qui commence bien !!
J'aime 17/01/25
Ondiniste77
merci beaucoup pour cette petite histoire intéressante !! ^^
J'aime 17/01/25
Sophie_Dissidente
Très joli scénario à réaliser avec quelques petits plus à y ajouter
J'aime 17/01/25
Soum46
Superbe récit et magnifique Scénarios je vous Envie
J'aime 18/01/25
Jules
Bonjour Je suis un homme sympa, viril, très joueur, je recherche une relation avec une femme très perverse et raffinée. J'aime être utilisé comme wc, recevoir son caviar sur mon sexe dréssé, directement dans ma bouche, nettoyer son anus avec ma langue.... Le tout arrosé de champagne bien sûr !! Je recherche de la complicité et de la délicatesse Bonne année Bises Jules
1 personne aime(nt) ça.
gayscat36
C'est le Plaisir suprême ..en effet, je partage la recherche de Jules
J'aime 12/01/25
Passoun
A vos clavier, quelles punitions ou pratiques infliger/imposer à un soumis ?
2 personnes aiment ça.
Aroso76
Une soirée complète ou journée"toilette", bouche ouverte a demandé, et gargariser/ avaler surtout si le/la soumis(e) affectionne peu cela...
J'aime 20/12/24
peterhigh
Lors d'une sortie au bar ou restaurant, déguster un bon apéro alors que le ou la soumis-e récupère un verre de "liqueur" quand son maître où sa maitresse reviens des toilettes.
J'aime 21/12/24
Passoun
J’imagine bien une journée à servir d’urinoir et matiné de sperme et crachat à discrétion du domi
J'aime 21/12/24
Picardick
Une punition ? Je suis choqué xD Selon moi, en tant que soumis fétichiste, le fait de se faire asperger d'urine féminine et à plus forte raison le fait d'avoir le privilège d'en boire (à la source ou non) serait la punition la plus inefficace qui soit vu que pour moi c'est une des récompenses les plus agréables qu'un Dominatrice peut faire à son soumis à mes yeux.
J'aime 27/12/24
Laurent
Je suis tout à fait d'accord avec vous Picardick pour dire que c'est une récompense des plus agréable, qu'une Dominatrice peut faire à un ou une soumis (e) mais ça ne doit pas être un privilège non plus, car certains soumis comme moi son fait uniquement pour servir de toilette humaine et de nettoyage (pour dominatrices et soumises femmes et Trans uniquement, C mon orientation en tant que soumis.) Donc pas plus choqué que ça.
J'aime 28/12/24 Edité
Laurent
(j'ai d'autres pratiques aussi, mais la toilette humaine et nettoyage reste ma principale activité.) tout dépend de la façon de la pratiquer, car plusieurs façons sont possibles et de les faires.
J'aime 28/12/24 Edité
Passoun
Pour moi c’est une façon de montrer une certaine domination, humiliation dégradation envers le soumis. Être réduit à un rôle dégradant d’urinaire. Mais je peux comprendre que certains prennent cela pour une récompense.
J'aime 28/12/24
Aroso76
Tout dépend de l'aversion ou au contraire de l'affection de cette pratique du soumis, et de la connaissance de cet état par la Maîtresse... Le meilleur étant que cela fasse partie de ses limites actuelles, en les dépassements petit a petit, selon la réaction du soumis...
J'aime 28/12/24
xminoux
Suis sur Dijon receveur à votre disposition
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MasterParis11
Bonjour, Donneur expérimenté et abondant à Paris cherche rencontre avec femme receveuse, buveuse ou non, expérimentée ou novice. Peux recevoir et me déplacer.
soumis001964
Bonjour je suis soumis de 60 ans cherche plan cam
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