
Maîtresse Luna
Le Piège Innocent
Sofia, une jeune étudiante de 19 ans au charisme audacieux et à la beauté éclatante, connaissait bien les couloirs de l'école qu’elle fréquentait depuis des années. Elle avait remarqué Marco, le concierge de 26 ans, un homme discret mais qui ne manquait pas de susciter un certain intérêt chez elle, notamment pour son fétichisme des pieds qu'elle avait découvert par hasard lors d'une conversation entendue derrière les portes de la salle des professeurs.
Un jour d'automne, alors que les couloirs étaient presque vides et que le soleil lançait ses derniers rayons à travers les fenêtres hautes, Sofia mit son plan en action. Elle portait des sandales qui laissaient apparaître ses pieds parfaitement manucurés, accentuant la couleur rouge vif de son vernis. Prétextant avoir besoin d’aide pour retrouver un objet perdu sous un meuble dans une salle isolée, elle aborda Marco avec un sourire engageant.
« Marco, pourrais-tu m’aider à chercher quelque chose ? Je crois que j’ai laissé tomber mon bracelet sous le bureau de la salle 103. » Sa voix était douce, presque chantante, difficile à refuser.
Marco, naturellement serviable et inconscient du piège qui se refermait, acquiesça et la suivit dans la salle. Une fois à l'intérieur, Sofia s'assit sur une chaise, laissant "accidentellement" tomber son bracelet plus loin sous le bureau. « Oh non, il est vraiment trop loin pour moi, peux-tu voir si tu arrives à l’atteindre ? » demanda-t-elle en pointant du doigt l'espace confiné sous le bureau.
Alors que Marco s'agenouillait pour récupérer le bracelet, Sofia déplaça discrètement ses pieds près de ses mains. Le décor était posé, le piège de Sofia prêt à se refermer sur le pauvre Marco qui n’avait encore rien vu venir.
Partie 2: La Découverte
Marco, concentré sur sa tâche, étendit la main sous le bureau pour récupérer le bracelet scintillant. Alors qu'il s'étirait plus loin, ses doigts effleurèrent sans le vouloir la peau douce des pieds de Sofia. Surpris, il se raidit un instant, mais un regard rapide en direction de Sofia le rassura lorsqu'il vit qu'elle ne semblait pas avoir remarqué. Il saisit le bracelet mais, au moment de se redresser, Sofia, avec un murmure presque inaudible, le stoppa.
« Attends, Marco, depuis que tu es là, pourrais-tu me rendre un petit service ? Mes pieds me font terriblement souffrir aujourd'hui... » Sa voix était teintée d'une innocence feinte, et elle jouait avec ses cheveux d'une manière distrayante. « Pourrais-tu juste appuyer là, s'il te plaît ? Ça m’aiderait beaucoup. »
Marco, bien que légèrement confus par la tournure des événements, acquiesça. Après tout, il était là pour aider, et il ne voulait pas paraître impoli en refusant une requête si simple. Il posa donc ses mains sur les pieds de Sofia, massant doucement, guidé par ses indications précises.
« Un peu plus à gauche... oui, juste là. Oh, ça fait tellement de bien, merci, Marco, » soupira Sofia, fermant les yeux pour mieux savourer le moment. Marco, de son côté, commençait à ressentir une étrange excitation en réalisant qu'il était en train de caresser les pieds, cette partie du corps qu'il avait toujours secrètement admirée. Il continuait son massage, devenant de plus en plus consciencieux dans ses mouvements, chaque pression délibérée sur la plante et les orteils de Sofia le rapprochant dangereusement de ses propres limites.
La situation prenait une tournure inattendue pour Marco, qui se trouvait désormais entraîné dans un jeu qu'il n'avait pas vu venir mais auquel il ne pouvait plus se soustraire. Sofia, observant avec satisfaction la transformation de son concierge, souriait intérieurement, sachant que le piège qu'elle avait soigneusement préparé était en train de se refermer parfaitement.
Partie 3: L'Intensification
Tandis que Marco continuait de masser les pieds de Sofia, il remarqua comment elle commençait à se tortiller légèrement sur sa chaise, un signe de satisfaction qu'il ne pouvait ignorer. Ses mains, initialement timides, devenaient plus audacieuses, explorant chaque courbe et chaque contour de ses pieds avec une précision croissante.
« Tu es vraiment doué pour ça, Marco... Ça fait longtemps que quelqu'un n'a pas pris soin de moi de cette façon, » murmura Sofia, ses yeux mi-clos reflétant un mélange de plaisir et de malice. Elle écarta légèrement les jambes, offrant à Marco une vue plus provocante, bien que subtile. « Pourrais-tu masser un peu plus haut ? Mes chevilles sont aussi assez tendues. »
Marco, son pouls s'accélérant à chaque nouvelle demande, obéit sans hésitation. Ses doigts glissèrent vers les chevilles de Sofia, effleurant la limite de ses bas. Chaque contact avec la peau légèrement plus douce au-dessus de ses pieds semblait électrifier l'atmosphère entre eux.
« Oh, oui, juste là... Tu aimes toucher mes pieds, Marco ? » demanda-t-elle, un sourire en coin trahissant son jeu. Marco, pris au piège de ses propres désirs, ne pouvait que hocher la tête, incapable de formuler une réponse cohérente.
« Bien, parce que j'aime vraiment quand tu le fais. Peut-être pourrais-tu... Hmm... Utiliser un peu plus de pression ? » Sa voix était devenue un souffle, chaque mot chargé d'une promesse non dite. Marco, encouragé par ses paroles, appuya plus fermement, ses pouces dessinant des cercles méthodiques sur ses chevilles, remontant progressivement vers les mollets.
Sofia, à cet instant, décida de pousser le jeu un peu plus loin. « Marco, je me sens tellement détendue grâce à toi. Tu ne voudrais pas sentir mes pieds ? Ils sont si doux, tu ne trouves pas ? » Avant même qu'il puisse répondre, elle avait glissé un pied vers son visage, la pointe de son orteil frôlant doucement ses lèvres.
Marco, submergé par l'odeur légère et sucrée du parfum de Sofia, se laissa aller à un moment de faiblesse. Il ouvrit la bouche, laissant l'orteil de Sofia s'y introduire doucement. Sa langue, presque par réflexe, commença à jouer avec, goûtant la peau douce et la courbe délicate de son orteil.
« Ça te plaît, Marco ? Tu aimes le goût de mes pieds ? » chuchota Sofia, un frisson de plaisir parcourant son échine alors qu'elle observait Marco succomber à ses caprices.
Leurs yeux se rencontrèrent, et dans le regard de Marco, il y avait un mélange de désir, de confusion, et d'un consentement muet à continuer ce jeu érotique. Sofia savait qu'elle avait maintenant le contrôle total, et elle comptait bien utiliser chaque seconde de ce pouvoir pour mener ce jeu à son paroxysme.
Partie 4: Le Jeu de Pouvoir
Avec Marco à genoux, étreignant les pieds de Sofia comme s’il découvrait un nouveau sanctuaire de plaisir, la jeune femme prit un malin plaisir à accentuer son contrôle sur lui. Ses orteils jouaient maintenant librement sur le visage de Marco, explorant ses lèvres, sa langue, et même se risquant parfois à frôler ses joues, laissant derrière eux une trace humide qui témoignait de leur passage.
« Tu sembles vraiment apprécier ça, Marco. Je me demande... » commença-t-elle, sa voix traînante et chargée d'une promesse indéfinie, « combien tu serais prêt à aller loin pour moi ? » Son pied gauche, toujours engagé dans cette danse séduisante avec la bouche de Marco, pressa un peu plus fort, tandis que son autre pied se glissait sous le menton de Marco, le forçant à lever les yeux vers elle.
Marco, dont le visage était maintenant rougi par l'excitation et une pointe de honte, fixait Sofia, cherchant une trace de remords ou d’hésitation. Mais il ne trouvait que détermination et amusement dans ses yeux. « Tout ce que tu veux, Sofia... » murmura-t-il, sa voix presque brisée par le désir.
Sofia sourit, satisfaite de sa réponse. « Bien, alors prouvons-le. » Avec une agilité surprenante, elle se leva de sa chaise, se plaçant debout juste devant Marco, dominant la scène. « Embrasse mes pieds, Marco. Montre-moi à quel point tu les apprécies. »
Marco, sans hésitation, embrassa d'abord le dessus de son pied droit, puis le gauche, ses lèvres déposant des baisers humides et bruyants sur chaque orteil, chaque coup de langue illustrant sa dévotion et sa soumission croissantes à ses désirs. Les soupirs de Sofia se mélangeaient aux bruits de ses baisers, créant une symphonie érotique qui résonnait dans la salle isolée.
« Ça te plaît d'être à ma merci, n'est-ce pas ? » taquina-t-elle, tandis que ses mains jouaient avec ses propres cheveux, tirant légèrement sur les mèches pour accentuer chaque sensation. « Oui, Sofia... beaucoup, » répondit Marco, son esprit embrumé par le parfum et le goût de ses pieds.
Profitant de cet avantage, Sofia dirigea alors Marco dans une danse encore plus intime. « Lèche mes chevilles, remonte le long de mes jambes. Je veux sentir ta langue partout... » ordonna-t-elle, chaque mot prononcé avec une autorité croissante.
Marco obéit, sa langue traçant un chemin humide le long de ses chevilles jusqu'à ses mollets, explorant chaque parcelle de peau offerte avec une ardeur renouvelée. Les gémissements de plaisir de Sofia servaient d'encouragement, poussant Marco à se dépasser dans son rôle de serviteur dévoué à ses pieds.
Sofia, debout au-dessus de lui, savourait chaque instant de ce pouvoir qu’elle exerçait, chaque soupir de Marco ajoutant à son excitation.
Partie 5: L'Escalade du Désir
Alors que Marco continuait d'explorer avec sa langue les jambes de Sofia, celle-ci, debout et dominatrice, commença à diriger ses mouvements avec plus de précision. Elle guidait sa tête d'une main ferme, accentuant la pression de ses doigts dans ses cheveux chaque fois qu'elle désirait une attention plus poussée sur une zone particulière.
« Plus haut, Marco... ne t'arrête pas là, » commanda Sofia, sa voix tremblante de désir. Marco obéissait, sa langue lascive et obéissante glissant sur ses genoux, puis s'aventurant audacieusement vers l'intérieur de ses cuisses, là où la chaleur et le parfum de Sofia devenaient plus intenses.
Sofia gémissait ouvertement maintenant, ses hanches ondulant légèrement pour rencontrer chaque coup de langue, chaque souffle chaud que Marco envoyait contre sa peau. Elle sentait l'excitation monter en elle, une vague de plaisir qui menaçait de la submerger à tout instant.
« Tu aimes ça, n'est-ce pas ? Sentir comment tu me rends folle ? » lança-t-elle entre deux halètements. Marco, complètement emporté par le moment, ne pouvait que gémir en réponse, sa dévotion et son désir pour elle évidents dans chaque mouvement désespéré de sa langue.
Sofia, alors, décida de prendre les choses encore plus en main. Elle se recula légèrement, poussant Marco à se mettre à quatre pattes, et dirigea son visage vers l'endroit où ses pieds avaient été il y a seulement quelques instants. « Maintenant, montre-moi à quel point tu adores chaque partie de moi. Commence par mes pieds, encore une fois. »
Marco s'exécuta, embrassant et léchant ses pieds avec une ferveur renouvelée. Il remonta le long de ses jambes, chaque baiser laissé sur sa peau semblait brûler un message clair de soumission et de désir. Sofia, se sentant puissante et presque déifiée par l'attention que Marco lui portait, dirigea ses mains vers son propre corps, ses doigts jouant avec les bords de sa jupe.
« Je veux que tu goûtes chaque partie de moi, Marco... ne me déçois pas, » souffla-t-elle, ses yeux brillant d'une lueur sauvage et contrôlante. Marco, guidé par les mots et les mains de Sofia, continua son exploration érotique, chaque mouvement de sa langue et de ses lèvres un hommage à la femme qui le dominait complètement.
Alors qu'ils atteignaient un point de non-retour, Sofia murmura, « C’est juste le début, Marco... Je veux plus, beaucoup plus. »
Partie 6: Nouveaux Horizons
Sofia, avec un sourire malicieux et une étincelle de désir dans les yeux, guida Marco vers une vieille chaise en bois qui se trouvait au fond de la classe. « Assieds-toi ici, » ordonna-t-elle, pointant du doigt la chaise qui semblait presque témoigner de nombreux secrets inavoués. Marco s'exécuta sans hésiter, son cœur battant à tout rompre alors qu'il prenait place, son regard fixé sur Sofia qui semblait incarner à cet instant une déesse de la séduction.
Sofia se dirigea vers le bureau du professeur, fouillant dans les tiroirs jusqu'à ce qu'elle trouve ce qu'elle cherchait : une règle en bois longue et robuste. Avec un sourire qui ne présageait rien de bon pour Marco, elle retourna vers lui, la règle à la main. « Cela nous sera utile pour mesurer à quel point tu es dévoué, » dit-elle en faisant claquer doucement la règle contre sa paume.
Elle s'approcha ensuite de Marco, plaçant un pied sur ses genoux, lui offrant une vue imprenable sur ses pieds parfaitement soignés. « Je veux que tu me montres à quel point tu peux être bon pour moi, Marco. Je veux que tu fasses quelque chose de spécial avec ces pieds que tu aimes tant. »
Marco, excité et en même temps nerveux par cette tournure de plus en plus audacieuse, acquiesça. Sofia positionna alors ses pieds sur le bassin de Marco, ses orteils jouant taquineusement avec la ceinture de son pantalon. Elle commença lentement à déplacer ses pieds, ses orteils agiles pinçant et tirant le tissu, créant une tension insoutenable pour Marco.
Puis, avec une précision et un contrôle exquis, Sofia commença à donner à Marco un footjob. Ses pieds glissaient sur le tissu, pressant et caressant à travers le matériau, chaque mouvement calculé pour le mener au bord de la folie. Les orteils de Sofia manipulaient habilement la forme qui se dessinait sous ses pieds, pressant à intervalles réguliers pour maximiser l'effet de chaque toucher.
Marco, submergé par le mélange de douleur et de plaisir, gémissait à chaque mouvement des pieds de Sofia, son corps tendu comme une corde prête à lâcher. Sofia, observant avec délice l'effet de ses actions, augmentait l'intensité de ses mouvements, sa cheville tournant et ses pieds frottant avec une précision qui ne laissait aucun doute sur son expertise.
« Regarde-moi, Marco. Je veux que tu voies ce que tu aimes tant en action, » dit-elle, sa voix douce mais ferme. Marco levait les yeux, son regard capturé par l'image de Sofia dominante, contrôlant chaque aspect de son plaisir avec rien de plus que ses pieds habiles et cette règle en bois qui tapotait à chaque mouvement sur le sol, rythmant l'expérience comme un métronome de désir.
Partie 7: La Domination Exquise
Sofia, tout en maintenant ses pieds en action, saisit fermement la règle en bois, la faisant légèrement onduler dans l'air avant de la laisser retomber avec précision sur les cuisses de Marco. Le claquement sec de la règle contre sa peau se mélangeait aux gémissements de plaisir et de douleur qui s'échappaient des lèvres de Marco, créant un tableau de sensations mêlées.
« Aime ça, Marco ? » demanda Sofia d'une voix suave, tout en administrant une autre petite gifle avec la règle. Elle ajusta son pied, le plaçant avec plus de force sur le bassin de Marco, pressant et frottant avec une intensité mesurée.
« Oui, Sofia, s'il te plaît, continue... je t'en supplie, » répondit Marco, sa voix tremblante sous l'effet de l'intense plaisir mêlé à la douleur douce que lui infligeaient les pieds et la règle de Sofia.
Les pieds de Sofia dansaient maintenant une valse experte sur le membre de Marco, encore caché sous ses vêtements mais clairement dessiné par les mouvements précis et méthodiques de ses orteils. Elle utilisait le gros orteil pour exercer une pression rythmée sur le dessus, tandis que les autres orteils jouaient autour, alternant pression et caresse, chaque mouvement calculé pour tirer le maximum de réactions de Marco.
« Regarde comment tes pieds, ceux que tu aimes tant, te dominent complètement, Marco. Est-ce que ça te plaît d'être à ma merci ? » Elle accentua ses paroles avec un autre coup de règle, cette fois légèrement plus bas, frôlant l'espace où le plaisir se concentrait le plus intensément.
« Oui, oui, Sofia... c'est incroyable. Je veux... je veux... » Marco luttait pour former des phrases complètes, sa concentration brisée par les vagues de plaisir qui déferlaient sur lui.
« Tu veux quoi, Marco ? Dis-le moi. Dis-moi ce que tu veux que je fasse, » insistait Sofia, tout en continuant son traitement dual de plaisir et de douleur. Ses pieds accéléraient leur rythme, son gros orteil appuyant et tournant de manière presque torturante.
« Je veux... je veux éjaculer, Sofia, s'il te plaît, laisse-moi... » supplia Marco, son corps tendu au point de rupture sous la pression croissante et les sensations presque insupportables que Sofia lui administrait.
Sofia sourit, satisfaite de l'effet qu'elle avait sur Marco, et décida d'intensifier encore ses actions. « Peut-être... mais seulement si tu continues à être un bon garçon et à faire exactement ce que je dis. » Elle augmenta la pression avec ses pieds, ses orteils serrant et glissant avec une précision exquise, tout en continuant à donner de petites tapes avec la règle pour maintenir Marco sur le fil du rasoir entre douleur et plaisir.
Partie 9: L'Apogée et la Soumission Ultime
Sofia, maintenant pleinement en contrôle de la situation, observa Marco avec une satisfaction mêlée d'un désir impérieux. « Marco, déboutonne ton pantalon, » ordonna-t-elle, sa voix ferme et dénuée de toute hésitation. Marco, obéissant et dévoré par le besoin impérieux de se libérer des contraintes de son vêtement, s'exécuta rapidement, ses mains tremblantes alors qu'il libérait son membre tendu et prêt.
Sofia intensifia ses actions, ses pieds travaillant avec une efficacité accrue. Elle positionna son pied droit de manière à ce que son gros orteil et le ballon de son pied pressent fermement contre lui, créant une friction exquise. Son pied gauche caressait et tapotait le bas de son abdomen, ajoutant une couche supplémentaire de sensations.
Marco gémissait à chaque mouvement, chaque pression de Sofia. Il était au bord de l'abîme, chaque seconde le rapprochant du point de non-retour. « Sofia... je... je vais... » bégaya-t-il, incapable de compléter sa phrase tant l'intensité de ses sensations l'overwhelmait.
« Fais-le, Marco. Fais-le maintenant, » commanda Sofia, son ton de voix trahissant une pointe d'urgence. Marco ne put résister davantage; avec un cri étouffé, il atteignit l'apogée, son corps secoué par des spasmes alors que l'éjaculation le libérait de la tension accumulée. Les gouttes de sperme s'éparpillèrent, certaines atterrissant sur la règle en bois que Sofia tenait toujours.
Sofia, avec un sourire triomphant, ramassa une partie du sperme de Marco avec la règle, observant la texture et la brillance du liquide avec une curiosité presque scientifique. Puis, sans un mot, elle donna une gifle cinglante à Marco avec la règle enduite, marquant sa joue avec un mélange de douleur et de plaisir.
« Voilà ce que signifie être à ma merci, Marco. Chaque fois que tu verras cette règle, tu te souviendras de ce moment, de la domination et du plaisir. Tu te souviendras de ton appartenance, » dit-elle doucement, presque avec affection, tandis que Marco, encore haletant, acquiesçait, une trace rouge sur sa joue et un regard de soumission absolue dans ses yeux.
Sofia replaça ses pieds sur le sol, se redressa et ajusta sa tenue comme si de rien n'était. Marco, toujours assis, regardait Sofia avec une admiration mêlée de crainte, sachant bien que rien ne serait plus jamais pareil entre eux.
Ceci conclut votre histoire érotique en neuf parties. Si vous souhaitez une autre narration ou explorer un autre scénario, n'hésitez pas à le demander.
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Gorparis
Aucun rapport avec le bdsm art de vivre.
Je suis perplexe…
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Il y a 8 heure(s)
Suite partie 1: Le cours de géographie de Sofia battait son plein dans une salle baignée de lumière naturelle. Assise à côté de la fenêtre, elle feignait une attention partielle, jetant occasionnellement des réponses à demi-sourire aux questions du professeur. Le vrai sujet de son intérêt n'était pourtant pas les plateaux et les vallées dont parlait le prof, mais plutôt les dynamiques plus personnelles et secrètes qu'elle entretenait.
Un de ses camarades, Thomas, leva la main et posa une question complexe sur les impacts économiques du changement climatique sur les régions méditerranéennes. Pendant que le professeur se lançait dans une explication détaillée, Sofia profita de l'occasion pour se perdre dans ses pensées, revenant à leur dernière rencontre clandestine avec Marco.
Sofia songea à tout ce qui s’était produit. Elle avait tendu un piège à Marco, ce dernier était tombé dedans comme un bleu. Elle se souvenait progressivement de tout ce qui s’était passé ce jour-là dans la salle 103. Elle avait dominé Marco, et ce dernier qui semblait en apparence si sûr de lui, était en fait séduit à l’idée qu’elle recommence. Elle se souvenait de la langue de Marco effleurant son gros orteil. Elle se souvenait de l’éjaculation de Marco, de la latte et… de la violente gifle que Sofia lui avait assénée.
Il faut dire que Sofia était habituée à la violence. D’origine maghrébine, elle avait l’habitude de voir des bagarres dans sa rue étant jeune. Pour elle, une gifle c’était quelque chose d'insignifiant. Pourtant ce jour-là, la claque qu’elle avait assénée à Marco avait une signification profonde pour elle. Cette jeune étudiante dominant un homme. Sofia avait toujours prôné le féminisme, et cette gifle, le souvenir de cette gifle, réveillait en elle une excitation profonde.
Tandis que Thomas continuait à dialoguer avec le professeur à propos des conséquences du changement climatique, Sofia regardait par la fenêtre le soleil embrasser la cour. Quand soudain…
Son attention fut soudainement capturée par la silhouette de Marco qui traversait la cour visible à travers la grande fenêtre de la classe. Elle le vit pousser un chariot rempli d'outils et se diriger vers le bâtiment principal. Observant son allure décidée, elle sentit une vague de souvenir et d'anticipation monter en elle. La dernière fois qu'ils s'étaient vus, il avait été question de confidences murmurées et de contacts furtifs dans une salle déserte, une rencontre qui avait laissé des traces indélébiles dans son esprit.
Petit à petit, Sofia se mit à fantasmer sur des rencontres fictives avec Marco. Elle prenait beaucoup de plaisir à projeter tout ce qu’elle pourrait faire si l’occasion lui en était donnée d’avoir de nouveau Marco sous son joug.
Cessant de rêvasser et se rappelant soudainement que Marco était en train de se diriger vers les toilettes pour une réparation, elle concocta rapidement un plan pour le rejoindre. Ainsi, quand le professeur marqua une pause, Sofia saisit sa chance.
— Excusez-moi, Monsieur, je me sens un peu mal. Pourrais-je aller aux toilettes ? Sa voix, teintée d'un léger tremblement pour plus de crédibilité, fit son effet.
Avec un signe de tête, le professeur lui accorda la permission de sortir.
Sofia se leva avec empressement, ajustant discrètement ses Converses basses et tirant sur ses chaussettes noires. Elle sortit de la salle, son cœur battant à la perspective de ce qui pourrait suivre. Dans le couloir calme, elle accéléra le pas, se dirigeant vers les toilettes des filles où elle espérait trouver Marco. Son entrée fut silencieuse, les bruits des outils masquant son approche. Elle le trouva là, penché sous l'évier, concentré sur son travail.
À ce moment précis, Sofia avait le regard d’un renard qui venait de mettre la patte sur un poulailler à découvert. Elle était rusée de nature et comptait bien se jouer de sa proie.
Se glissant discrètement derrière lui, elle attendit le moment parfait pour annoncer sa présence. Lorsque Marco ajusta sa position, son reflet apparut dans le miroir, et Sofia en profita.
— Marco, comment vas-tu aujourd'hui ? dit-elle, sa voix drapée d'un ton doucereux et chargé d'intentions.
Marco sursauta visiblement, son visage reflétant une surprise totale mélangée à une pointe de rougeur, rappelant leur dernier échange plus intime et la dominance qu'elle avait exercée sur lui. Le jeu venait de recommencer, plus lentement, plus intentionnellement. Le renard est dans l’enclos…
Partie 2 : Le renard pourchasse sa proie…
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Marco, encore sous le choc de la soudaine apparition de Sofia dans les toilettes, mit quelques secondes à récupérer ses esprits. Son visage, rougi par la surprise et peut-être par le souvenir de leur précédente rencontre, s'illumina d'un sourire nerveux.
— Sofia... tu m'as fait peur, dit-il enfin, une main sur le cœur, essayant de masquer son trouble.
— Je vais bien, merci. Et toi, tout va bien ? Sa voix était légèrement tremblante, trahissant son agitation intérieure.
Sofia s'avança d'un pas, réduisant l'espace entre eux, son expression pleine de malice. Marco se contrôlait pour ne pas laisser ses yeux distraits trahir son appréhension.
— Oh, je n'ai jamais été mieux, répondit-elle doucement, son regard fixé sur lui, scrutant chaque réaction.
— Mais dis-moi, Marco, te souviens-tu de notre dernier petit jeu ? Sa voix baissa, chargée d'une promesse implicite, tandis qu'elle jouait distraitement avec une mèche de ses cheveux noirs.
Marco n’en revenait pas. Elle avait brisé ce tabou d’une traite, lui qui espérait qu’elle passerait l’affaire sous silence. D’un autre côté, le parfum de Sofia emplissait la pièce, un parfum agréable et fruité. Sa robe noire contrastait avec sa peau dorée, Marco sans s’en rendre compte, était de nouveau en train de se faire piéger.
Marco avala difficilement sa salive, ses yeux ne pouvant s'empêcher de glisser sur la silhouette de Sofia. La robe moulante noire qu'elle portait accentuait ses courbes, et malgré les chaussettes noires, ses pieds semblaient inviter au toucher.
— Je... oui, je m'en souviens très bien, admit-il, son regard un peu trop fixé sur les pieds de Sofia avant de remonter vers son visage.
Profitant de son trouble évident, Sofia prit une démarche plus audacieuse. Elle se rapprocha encore, jusqu'à ce qu'ils soient presque nez à nez.
— Et n'as-tu pas honte, Marco, de te laisser ainsi dominer par une simple étudiante !? Sa question, teintée d'un défi ouvert, fit rougir Marco encore plus profondément.
Avant que Marco puisse formuler une réponse, Sofia se pencha vers le chariot d'outils à côté d'eux et en sortit un rouleau de scotch.
— Je crois que nous devons ajouter un peu plus de piquant à notre jeu, murmura-t-elle.
— Que comptes-tu faire avec ce scotch Sofia ? Remets-le où tu l’as trouvé ! balança Marco.
Sofia, semblant indifférente à ces remarques, commença à lui ligoter les mains avec une expertise qui indiquait qu'elle avait bien réfléchi à ce moment. Elle répliqua aussitôt.
— Marco, si tu ne veux pas que je révèle ce qu'il s'est passé la dernière fois, et que tu perdes ton travail, tu ferais mieux d'obéir, murmura Sofia tout près de son oreille, laissant le ruban adhésif s'enrouler avec précision autour de ses poignets.
Son ton était doux mais ferme, son regard fixe transmettant la gravité de sa menace. Toute envie de se débattre quitta Marco, tant ce dernier était choqué par la phrase qu’il venait d’entendre. Perdre son travail ? Sofia était-elle réellement en train de lui faire du chantage ?!
Marco, les mains maintenant solidement attachées, sentit son cœur battre à tout rompre. La situation lui échappait complètement, et l'excitation mêlée de peur le faisait frissonner.
Il eut à peine le temps de digérer la nouvelle, que des idées sales lui traversaient l’esprit. Pour qui se prenait-elle cette gamine capricieuse au teint doré ? Malgré son indignation, Marco savait qu’au fond de lui son excitation n’allait pas tarder à exploser. Tel un rat dans laboratoire, il tenta tout de même de protester, refoulant les désirs de son inconscient.
— Sofia, pour qui tu te prends ?!
Sofia saisit l’occasion, elle saisit Marco par le menton avec sa main gauche, tandis que sa main droite lui offrit la plus belle des claques.
— Tu tiens vraiment à ce que toute l’école soit au courant que le concierge s’est laissé masturber par une étudiante ?
Les yeux de Marco trahirent sa résignation. De toute façon, n’était-ce pas ce qu’il voulait ? Au fond de lui, ne désirait-il pas exactement cette réaction ? Ne cherchait-il pas à exciter son bourreau, afin que ce dernier puisse mieux le servir, c’est-à-dire le punir ?
— D'accord, Sofia, je ferai ce que tu veux, dit-il, sa voix étranglée par une tension palpable.
Il savait qu'il n'avait pas vraiment le choix, capturé non seulement par les liens physiques mais aussi par le jeu psychologique que Sofia menait avec une habileté déconcertante.
Sofia sourit, satisfaite de sa soumission. Elle se recula pour mieux l'observer, ses yeux parcourant le visage de Marco, cherchant des signes de rébellion ou de résignation. Trouvant ce qu'elle désirait, elle continua :
— Maintenant, Marco, tu vas montrer ta dévotion à ta reine.
Lentement, elle se pencha et retira ses Convers, exposant ses chaussettes noires trempées de sueur de la marche rapide et de la tension du moment.
— Sniffe-les, ordonna-t-elle en pointant les Convers vers Marco.
Hésitant mais finalement résigné, Marco obéit, son visage se tordant en une grimace à la senteur aigre-douce. Sofia plaqua le fond de sa chaussure contre le nez de Marco.
— C'est bien, Marco, tu apprends vite, ricana-t-elle, puis continua : Maintenant, lèche-les. Montre-moi à quel point tu peux être une petite salope pour moi.
Marco, poussé par un mélange de peur et d'excitation, fit ce qui lui était demandé. Il parcourut de sa langue les semelles humides des Converses. Cela l’excitait. De loin, on aurait cru voir un gamin dévorant une glace en plein été.
Alors qu'il obéissait, Sofia se pencha pour saisir les clés qui pendaient à sa ceinture. Avec un cliquetis métallique, elle les décrocha et se dirigea vers la porte des toilettes, verrouillant soigneusement derrière eux.
En entendant le bruit de la porte verrouillée, Marco redescendit sur Terre. Il avait les mains ligotées dans le dos, était en train de lécher les baskets d’une élève, qui venait tout juste de les enfermer dans les toilettes des filles. Avec le soleil qui laissait une empreinte brûlante sur la pièce, à travers les fenêtres, et qui rendait l’air de la pièce irrespirable, Marco s’interrogeait : était-il en enfer, et Lilith venait-elle pour le punir d’avoir péché ?
— Maintenant, ces toilettes deviennent notre petit sanctuaire, dit Sofia en se tournant vers Marco avec un sourire rempli de promesses.
Partie 3 : Féminisme et domination
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Marco n’en revenait pas. Il y a 20 minutes, il venait réparer les toilettes des filles. Il y a 5 minutes, Sofia s’introduisait dans la pièce, le surprenant devant le miroir. Comment la situation avait-elle pu lui échapper à une telle vitesse ?
Avec les toilettes désormais verrouillées, transformant l'espace en leur arène privée, Sofia regarda Marco, ses yeux pétillant d'une excitation cruelle. Elle s'approcha de lui, ses pas résonnant sur le carrelage froid.
— Tu sais, Marco, j'apprécie vraiment ton obéissance. Ça me fait réfléchir à toutes les possibilités, dit-elle, sa voix douce trahissant la menace sous-jacente.
Marco, toujours les mains liées et maintenant visiblement anxieux quant à ce que Sofia pourrait exiger ensuite, la suivait des yeux, captivé malgré lui.
— Que... que veux-tu de moi, Sofia ? demanda-t-il, sa voix ébranlée par une nervosité évidente.
— Oh, beaucoup de choses, Marco. Mais pour l'instant, jouons à un petit jeu, proposa Sofia, en s'asseyant sur le comptoir à côté de l'évier.
Elle croisa les jambes, laissant intentionnellement sa jupe remonter légèrement pour révéler plus de ses cuisses. Ces cuisses d’une teinte dorée, ces cuisses si jeunes, ces cuisses si appétissantes, Marco allait-il pouvoir y goûter un jour ?
— Je veux que tu me dises exactement ce que tu ressens maintenant, sans mentir. Pense à ce que pourrait coûter une fausse réponse, ajouta-t-elle, un sourire malicieux éclairant son visage.
Marco avala sa salive, son regard fixé sur Sofia.
— Je me sens... impuissant. Pourquoi fais-tu cela ? Te rends-tu compte à quel point ce que tu fais est immoral, Sofia ?
Sofia était très en colère. Les paroles que Marco venait de prononcer… pour elle se résumaient à de l’hypocrisie totale. Cet homme avait apprécié lui obéir au doigt et à l’œil, et maintenant il voudrait lui faire croire que ce qu’elle fait est immoral ?
Restant de marbre face à ce plaidoyer court et peu crédible, elle répliqua :
— Marco, le mensonge est un luxe que tu ne peux pas te permettre, dit Sofia en posant son pied avec une légère pression sur l’entrejambe de Marco.
— Tu as raison… tout ceci m’excite au plus haut point, admit-il, les yeux fuyant de gêne.
— Très bien, Marco. Honnêteté et vulnérabilité peuvent être si séduisantes, répondit Sofia, descendant du comptoir.
Elle s'approcha de lui, et doucement, elle effleura sa joue avec le dos de sa main.
— Je vais augmenter un peu les enjeux maintenant. Chaque fois que tu répondras correctement à mes attentes, tu seras récompensé. Et si tu ne le fais pas... Sa voix s'estompait, laissant la menace suspendue dans l'air.
Sofia fit le tour de Marco, inspectant ses liens pour s'assurer qu'ils étaient sécurisés. Puis, s'arrêtant derrière lui, elle se pencha et murmura à son oreille :
— Tu n'es pas prêt à savoir ce que c'est de vraiment perdre le contrôle... pas encore. Mais si tu continues à bien jouer, peut-être que je te montrerai.
Elle se recula, le laissant absorbé par ses paroles et clairement troublé par la promesse de plus d'intensité à venir.
Marco resta là, les émotions se bousculant dans son esprit, tandis que Sofia, satisfaite de l'impact de ses mots, se préparait pour la prochaine étape de leur jeu. Elle avait clairement établi les règles, et maintenant, le vrai test de leur dynamique allait commencer.
Sofia attacha ses cheveux grâce à l’élastique qu’elle portait au poignet. Debout devant Marco, telle une Valkyrie devant sa proie.
Partie 4 : Tout ou rien
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La tension dans les toilettes montait à mesure que Sofia se préparait à pousser leur jeu de domination à un nouveau niveau. Elle observa Marco, les mains toujours solidement attachées, son visage reflétant un mélange de peur et d'anticipation.
— Tu sais, Marco, j'ai longtemps réfléchi à la dynamique de pouvoir entre les hommes et les femmes, commença Sofia, sa voix calme mais ferme. Pour moi, le vrai féminisme, c'est prendre le contrôle, montrer que nous, les femmes, pouvons dominer. C'est exactement ce que je fais avec toi maintenant.
Marco, troublé par ses paroles, tenta de protester.
— Sofia, je... je ne suis pas sûr que ce soit vraiment du féminisme, dit-il, cherchant à contester sa logique. Les hommes ont toujours…
Sofia, sans hésiter, s'approcha et lui asséna une gifle retentissante.
— Ça, c'est pour remettre en question mes convictions. Je te montre la force d'une femme, Marco. Et tu vas apprendre à l'apprécier, à l'adorer même, répliqua-t-elle, son regard dur ne tolérant aucune rébellion.
Marco, la joue encore rougie par la gifle, baissa les yeux, son expression mêlant douleur et confusion.
— Les fenêtres sont ouvertes, si tu continues Sofia quelqu’un va finir par… tenta de murmurer Marco, interrompu par une nouvelle gifle de la part de sa maîtresse.
— Je... Je comprends, Sofia. Montre-moi, je t'en prie, murmura-t-il, sa résistance semblant s'effriter sous l'intensité de son autorité.
— Voilà qui est mieux, sourit Sofia.
Elle s'approcha encore, inclinant la tête de Marco en arrière pour le regarder dans les yeux.
— Dis-moi que tu aimes être ma petite salope, Marco. Dis-le ! exigea-t-elle, sa voix douce contrastant avec la dureté de ses mots.
Marco, ses yeux plongés dans ceux de Sofia, respira profondément avant de répondre avec une hésitation qui s'estompait rapidement.
— J'aime être ta petite salope, Sofia, avoua-t-il, chaque mot le libérant d'une partie de son fardeau traditionnel de masculinité.
Satisfaite de son aveu, Sofia se recula, son visage s'éclairant d'un sourire triomphant.
— Parfait, Marco. Maintenant que tu acceptes ta place, nous pouvons vraiment commencer à nous amuser.
Elle fit le tour de lui, le frôlant légèrement, lui faisant sentir la proximité de son corps, la promesse de ce qui pourrait encore survenir.
Elle continua de le manipuler avec une assurance croissante, chaque interaction les enfonçant plus profondément dans leur dynamique de pouvoir renversée. Marco, maintenant immergé dans son rôle de soumis, commençait à trouver un plaisir étrange dans sa soumission, découvrant des aspects de lui-même qu'il n'avait jamais confrontés auparavant.
Partie 5 : Dans l’enclos …
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La tension dans l'air était palpable alors que Sofia continuait à explorer les limites de leur jeu de domination. Marco, visiblement à la fois terrifié et captivé, fixait Sofia alors qu'elle se penchait pour enlever lentement une de ses chaussettes noires.
— Tu aimes mes pieds, Marco ? demanda-t-elle en agitant la chaussette devant lui. Tu vas apprendre à adorer les pieds de ta reine.
Sa voix était douce mais impérieuse, un sourire malicieux jouant sur ses lèvres.
Marco hocha la tête, sa gorge sèche à la vue de la chaussette de Sofia. Il regarda, fasciné, alors qu'elle se rapprochait, faisant danser la chaussette devant ses yeux avant de la laisser effleurer doucement son visage. L'arôme légèrement acide mais indéniablement intime de ses pieds emplissait ses narines, augmentant son excitation malgré le contexte de leur interaction.
Soudain, sans avertissement, Sofia prit l’initiative. Dans un mouvement rapide, elle leva la main et frappa Marco durement dans les testicules. La douleur fulgurante le fit se courber, un cri étouffé s'échappant de ses lèvres tandis qu'il luttait pour reprendre son souffle.
— C'est pour te rappeler qui est en charge, dit-elle froidement, observant Marco se tordre de douleur.
Alors que Marco se remettait, respirant lourdement, Sofia s'agenouilla devant lui.
— Ouvre la bouche, ordonna-t-elle.
Marco, encore sous le choc, obéit sans hésiter. Sofia cracha alors dans sa bouche, affirmant sa domination de la manière la plus brutale et intime possible. Sans lui laisser le temps de réagir, elle enfonça la chaussette dans sa bouche, le forçant à goûter et respirer l'essence même de sa domination.
— Tu kiffes hein Marco ? Avoir les chaussettes d’une étudiante de 19 piges dans la bouche, t’aimes ça hein ? Elles sont bien sales en plus, savoure petite salope que tu es.
Marco, les yeux larmoyants mais étrangement en érection, acquiesça à son sort, sa résistance brisée par la cascade d'humiliations et de plaisirs contradictoires. Sofia, satisfaite de l'effet de ses actions, se redressa, son regard parcourant le corps secoué de Marco.
— C'est juste le début, mon soumis, murmura-t-elle.
Elle avait clairement des plans pour lui, des idées qui poussaient les frontières de leur entente toujours plus loin. Le cou du coq était maintenant coincé entre les mâchoires du renard.
Cette conclusion intense laissait présager une suite encore plus provocante, où les limites seraient repoussées et où les rôles de pouvoir pourraient être explorés avec encore plus de profondeur.
Si vous avez aimé cette histoire, n’hésitez pas à liker ! Je suis friande de vos feedbacks afin de vous satisfaire avec la suite. Je mettrai peut-être les deux scénarios auxquels j’ai pensé pour la suite en commentaire, vous êtes libres de me dire ce que vous en pensez ! J’espère sincèrement que vous avez apprécié.
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Reine sévère, raffinée et exigeante pour soumis authentique, confirmé ou débutant, mais enthousiaste a vivre sa soumission dans la passion et la dévotion .:.
Bonjour à vous tous , voilà quelques jours que je suis ici et je n’ai toujours pas trouver de maîtresse ou de femme qui pourraient m’être soumise, j’aime beaucoup être switch et donc m’adapter au deux , un peu déçu de ne rien trouver j’espère trouver ici.
Merci
Soyez la première personne à aimer.
bonjour,
Miss Masago, dominatrice par plaisir et certitudes.
je viens ici pour faire un choix, et non pour "trouver"... .:.
Wendy a 43 ans. Elle est très séduisante, maquillée avec soin et ne porte que des vêtements de marque très chers. Son mari est riche, il travaille dans la finance. Ils possèdent un grand manoir avec une vue superbe sur un lac.
Wendy n'a pas besoin de travailler et elle fait ce qu'elle veut. Son mari étant souvent en déplacement, elle passe ses journées à faire du shopping, déjeuner avec ses amies, puis refaire du shopping et aller au salon de beauté et chez le coiffeur.
Elle aime l'art et fréquente souvent les galeries avec ses amies, achetant parfois des œuvres pour les exposer dans son manoir. Le prix n'est jamais un problème pour elle et elle achète ce qu'elle veut. Elle est riche, séduisante et obtient toujours ce qu'elle veut. Pour certains, ses manières brusques dénotent un caractère hautain et grossier.
Toutefois, elle charme tous les hommes qu'elle rencontre. Ceux-ci remarquent toujours ses gros seins avant le reste. Elle sait que sa sexualité peut lui apporter tout ce qu'elle veut. Après tout, elle l'avait bien utilisée pour épouser son mari riche bien plus âgé. Le vieux fou. Elle a eu de nombreuses liaisons discrètes pendant les cinq ans de leur mariage. Elle aime tout ce qui est cher dans la vie.
Nous sommes mardi et Wendy a son rendez-vous habituel chez son coiffeur. Elle conduit son cabriolet Mercedes jusqu'au parking client puis elle entre dans le salon. Elle remarque qu'il y a une nouvelle personne qui y travaille.
- Qu'est-il arrivé à Linda? Demande-t-elle à la propriétaire, Mme Krueger.
- Elle a dû retourner dans son pays, car sa mère est malade, donc nous avons un nouvel employé dans l'équipe. Il s'appelle Antonio, il est italien. Il est charmant et il a beaucoup d'expérience. Il va vous coiffer aujourd'hui si ça vous va?
Wendy regarde Antonio de haut en bas. Il est grand, bien foutu, avec de larges épaules et un incroyable sourire. Wendy estime qu'il a juste un peu plus de vingt ans. Il y a une vraie aura sexuelle autour de lui. Des pensées vicieuses traversent l'esprit de la femme riche. Elle aime fantasmer sur l'idée d'être infidèle à son mari. Mais ce jeune homme n'a pas d'argent ni de position sociale. Elle ne baise que des hommes riches. Son mari n'a jamais de temps pour elle, il est toujours occupé par son travail et ses voyages d'affaires à l'étranger. Elle est prête pour une nouvelle aventure, mais pas avec Antonio. Toutefois elle dit : « un peu de flirt ne fait jamais de mal ». Elle aime exciter les hommes. Finalement elle répond à la propriétaire du salon de coiffure :
- Oui bien sûr, Antonio peut me coiffer, ça sera parfait, merci!
Le jeune coiffeur a déjà été informé que Wendy et l'une des meilleures clientes fortunées et qu'elle doit faire l'objet de toutes les attentions. Elle s'assoit sur la chaise et se présente à Antonio. Celui-ci répond avec un accent sexy :
- Appelez-moi Tony.
Il passe ses doigts dans ses cheveux et commence à lui masser le cuir chevelu. C'est agréable et elle s'enfonce un peu plus dans le fauteuil. Elle lui demande où il loge. Il lui dit qu'il a loué un appartement pendant six mois, non loin du salon. Il le partage avec quelques amis qui sont venus en Australie avec lui.
- Mme Krueger m'a dit que vous aimiez l'art? Je suis un peu artiste en Italie, mais je commence. Dit Antonio.
Wendy est intéressée. Alors il poursuit :
- Je n'ai pas d'œuvres d'art ici, mais j'ai quelques photos si vous voulez les voir? Peut-être pourrions-nous prendre un café ensemble un jour et je les apporterai pour vous les montrer?
Wendy a-t-elle bien entendu? Cet homme l'invite-t-elle à prendre un café? Ils viennent juste de se rencontrer, mais il est assez séduisant alors elle se dit « Pourquoi pas? »
- Merci Tony, ça sera agréable. Mais vous devrez me laisser payer.
Ils prennent rendez-vous pour le lendemain dans un endroit qu'elle ne fréquente pas souvent, mais qui est idéal pour passer un moment agréable dans des petits box qui offrent une certaine intimité aux clients.
Le lendemain elle est excitée à l'idée de son rendez-vous avec Antonio. Elle est la quintessence de la femme fatale, alors elle s'habille en conséquence. Elle met une jupe très courte, mais élégante, un chemisier moulant, des chaussures et un sac à main assortie. La tenue vaut plus que ce qu'Antonio gagnera en trois mois à coiffer des riches femmes. En dessous de tout ça, elle porte un soutien-gorge et une culotte noirs.
Au moment de partir, elle a une idée géniale. Elle s'arrête, remonte sa jupe et enlève sa culotte qu'elle laisse derrière elle en se disant : « Peut-être que Tony aimera avoir un aperçu de ce qu'il ne peut pas avoir »
Elle retrouve le jeune garçon qui est à l'heure. C'est bien, elle aime la ponctualité. Elle le surprend à regarder ses jambes et ses seins, alors elle a une montée d'adrénaline . Elle adore manipuler les hommes. « Continue de regarder Tony! Tu ne pourras jamais me baiser, alors continue de rêver, pauvre petit rital coupeur de cheveux ».
Ils s'assoient à la table qu'elle a réservée et le serveur prend leur commande. Elle croise les jambes et s'assure que Tony puisse bien voir le haut de ses cuisses. Elle est dans son élément. Ils commandent tous les deux du vin rouge et en boivent un verre avant que le repas arrive et qu'elle feuillette l'album photo des œuvres d'art du jeune homme. Au bout d'un moment Wendy s'excuse pour aller aux toilettes.
Tony en profite pour remplir les verres de vin et il ajoute discrètement un liquide transparent dans le verre de la femme. Wendy revient, s'assoit et dit :
- Je ne peux boire qu'un dernier verre de vin , Tony. Je conduis.
Le repas arrive et ils parlent de choses et d'autres. Wendy flirte avec lui en faisant ressortir ses seins et en croisant et décroisant ses jambes. Elle laisse discrètement sa jupe remonter assez haut pour qu'il puisse voir sa chatte. Elle a l'habitude de jouer comme ça avec les hommes. Au bout d'une vingtaine de minutes, elle commence à avoir la tête qui tourne, comme si elle avait bu deux bouteilles de vin plutôt que deux verres. Elle dit :
- Je ne comprends pas. Deux verres ne me font jamais ça.
Tony lui propose alors de la raccompagner chez elle, car il ne veut pas qu'elle conduise. Elle paie l'addition et donne les clés de la Mercedes à Tony. Il lui prend le bras et l'accompagne jusqu'à la voiture. Il la fait asseoir sur le siège passager. Lorsqu'elle entre dans l'auto, sa jupe courte se retrousse presque à la taille. Antonio peut voir sa chatte sans problème, il voit qu'elle est soigneusement taillée et ses lèvres sont gonflées. Wendy ne se rend pas compte que sa jupe est complètement remontée, elle ne bouge plus.
Tony prend la place du conducteur et démarre. Mais il ne la ramène pas chez elle. Il l'emmène à son appartement. A l'arrivée, il l'aide à sortir de la voiture. La drogue a bien fait son effet et elle est presque endormie. Cette drogue est conçue pour cela et rendre coopérative la personne. Il ouvre la porte de son appartement et il aide Wendy à aller dans la chambre où elle s'assoit sur le bord du lit.
Elle sait qu'elle n'est pas chez elle, mais elle ne s'en soucie pas. Elle se sent vraiment bien et c'est tout ce qui compte pour elle à ce moment. Elle s'allonge sur le lit et perd connaissance.
Quand elle se réveille, elle constate qu'il fait nuit dehors. Elle réfléchit qu'elle a bien dû dormir au moins six heures. Sa tête est embrumée, mais elle se sent bien. Puis elle a un choc. Il y a quatre personnes dans la pièce ainsi que de l'équipement vidéo et des caméras. C'est alors qu'elle se rend compte qu'elle est complètement nue.
- Qu'est-ce qui se passe, bon sang? Demande-t-elle.
C'est Tony qui répond :
- Relaxe, salope! On t'a juste bien baisée et on a fait un film. Laisse-moi te présenter à mes amis, Mike, Sal et Théo.
Les trois hommes lui font un signe de tête.
- Les autres hommes qui t'ont baisée sont juste des gars que j'ai trouvés dans la rue. Ils t'ont baisée pour rien. Ça ne m'a pas coûté un centime.
Wendy est en état de choc. Elle a été droguée et baisée comme une pute. c'est alors qu'elle se rend compte que sa chatte et son cul sont légèrement douloureux et que l'odeur inimitable du sperme couvre son corps.
- Mon Dieu, vous m'avez tous violée! Je vais appeler la police!
Elle se lève et se dirige vers le téléphone.
- Doucement, sale pute! Tu veux peut-être regarder la vidéo avant. Je sais que ton mari aimerait la voir.
Tony appuie sur un bouton et la vidéo commence sur la télévision. Wendy est debout et regarde se faire baiser et enculer par au moins douze hommes. Elle se voit sucer leur bite et elle a l'air d'aimer ça. Pour quiconque qui verrait ce film, il aurait l'impression qu'elle participe de son plein gré à ce gang-bang.
- Tu as apprécié nos bites, salope. Bon sang, je pense que tu n'avais même pas besoin d'être droguée, tu nous aurais baisés quand même. Tu n'avais pas de culotte sous ta jupe de marque, donc je pense que tu voulais baiser le vieux Tony. Maintenant, parlons affaires!
Wendy ne sait pas que faire. Si son mari met la main sur ce film, elle perdra tout y compris son train de vie luxueux. Mon Dieu, comment peut-elle être si stupide? Elle n'a pas d'autre choix que de coopérer.
Tony Romano est un petit criminel à deux balles qui gagne de l'argent dans la prostitution, les paris illégaux, le chantage et la drogue. Ce n'est pas un gros bonnet, mais il connaît bien la rue ainsi que certaines personnes.
Tony présente le contrat à Wendy. Elle doit déposer de l'argent chaque mois sur un compte bancaire, mais pas trop sinon son mari va avoir des soupçons. Elle doit juste déposer assez pour permettre à Tony et ses amis de vivre un peu mieux pendant un certain temps.
- D'accord, je vous donnerai votre argent. Maintenant, rendez-moi mes vêtements pour que je puisse m'en aller.
- Pas si vite salope! Tu dois faire quelque chose d'autre pour nous.
- Quoi? Vous allez avoir votre argent!
- Non, espèce de salope blanche stupide riche et coincée, tu vas vendre ta chatte et ton cul pour gagner de l'argent tous les jours. Les gars et moi ne sommes pas avares alors nous avons besoin de plus d'argent que tu pourras mettre en banque. Et tu as intérêt à être bonne ou nous ferons en sorte que ton mari ait une copie de la vidéo. Nous en enverrons aussi à tous tes amis riches et nous la vendrons sur internet. Tu comprends, sale pute?
Wendy est piégée, elle ne voit pas d'échappatoire. Elle peut leur dire d'aller se faire foutre, partir et risquer de divorcer et tout perdre. Elle perdait même sa réputation et serait connue comme une vulgaire pute par tous ses amis riches. Mais devenir une prostituée? Non, elle doit jouer le jeu.
- Tu peux commencer par nous baiser à nouveau tout de suite. Et ça a intérêt à être bien. Allume la caméra, Mike.
Celui-ci obéit et les quatre hommes entourent Wendy, leur bite devant son visage.
- Obéis salope! Suce nos putains de bite! Crie Tony.
Elle prend la bite de Sal dans sa bouche et commence à la sucer. La queue est bientôt dure comme de la pierre et elle a du mal à la faire entrer dans sa bouche.
- Fous-toi à quatre pattes maintenant qu'on puisse t'enculer! Dit Tony.
Lentement elle obéit. Tony passe derrière elle et enfonce vicieusement sa bite dans le cul de la salope riche. Elle proteste bruyamment et reçoit immédiatement une claque sur son visage.
- Ferme ta gueule, sale pute!
La bite de vingt centimètres est entrée dans son cul jusqu'au bout. Tony commence à la retirer et l'enfoncer à nouveau violemment tout en claquant durement son cul. Wendy commence rapidement à pousser ses hanches en arrière pour répondre aux coups de boutoir de Tony.
Commence-t-elle à aimer ça? Est-ce possible?
Sal éjacule dans sa bouche et elle s'étouffe avec le sperme pendant un moment avant que Théo n'enfonce sa bite. Mike vérifie la caméra puis prend sa part. Il s'allonge sous elle et enfonce sa bite dans sa chatte de bourgeoise. Elle est baisée en double alors qu'elle doit sucer deux bites. La caméra continue de tourner. Tony la regarde et dit aux autres :
- Les gars, je pense que nous avons une petite esclave soumise ici.
Wendy se déhanche maintenant et suce goulûment les bites dures qui lui tombent sous la main comme une prostituée. Elle n'a plus besoin d'être obligée, elle en profite pleinement et tout est filmé.
Les hommes continuent de l'utiliser comme une pute pendant encore une heure avant de s'effondrer d'épuisement. A ce moment-là il est 22 heures. Tony dit alors à Wendy :
- Ton premier service va commencer, salope! Mets ça!
Il lui jette une minuscule mini-jupe et un haut transparent. La jupe est si courte que l'on peut voir sa chatte et son trou du cul si elle se penche légèrement. Ses gros seins sont bien visibles à travers le tissu fragile de son haut.
Elle ressemble vraiment à une prostituée et c'est exactement ce qu'ils ont prévu pour elle à l'avenir. Qu'elle soit une riche salope blanche hautaine, obligée de sucer des bites pour 5 dollars et de se faire enculer pour 10 dollars, ce sont les instructions spécifiques que Tony a reçues de son « client » inconnu, mais qui paye bien. Tony avait été engagé pour organiser tout ça, il s'était dit qu'elle avait dû vraiment déplaire à quelqu'un.
Tony ordonne à Wendy de sortir de l'appartement et de marcher sur le trottoir pour le plaisir des hommes, sa jupe remontant et montrant sa chatte et son cul, l'intérieur des cuisses mouillé du sperme qui suinte de ses orifices bien baisés.
Puis elle est poussée sur le siège arrière de sa voiture entre Sal et Mike. Tony se dirige vers le quartier le plus chaud où Wendy rencontrera ses premiers clients pour la nuit. Il y en aura d'innombrables autres.
Tony arrête la voiture à un feu rouge et crie vers une bande de 15 libanais . Il leur fait signe de s'approcher.
- Les gars, vous voulez une pute pour la nuit? Une salope blanche? Elle aime se faire enculer. Vous aimez les salopes blanches, n'est-ce pas?
Les jeunes jettent un coup d'œil à l'arrière de la voiture et examinent Wendy.
- Elle a de beaux nichons. Combien tu demandes?
- Vous pouvez tous la baiser pour 50 dollars!
Wendy remue sur le siège arrière de la voiture. Elle a déjà été bien baisée et elle est sur le point d'être vendue à cette bande de voyous étrangers pour 50 dollars. Mais sa chatte est inondée de jus, elle ne peut l'empêcher. « Qu'est-ce qui m'arrive? » Pense-t-elle, « Je suis vraiment une pute bon marché ».
L'un des gars donne 50 dollars à Tony et Wendy doit sortir de la voiture. Sal l'escorte jusqu'à une chambre d'un motel minable qu'ils ont réservé pour la nuit. Il ordonne à Wendy de se déshabiller et de commencer à sucer des bites. Elle obéit avec diligence en faisant des bruits de succion avec sa bouche tout en branlant les gars qui attendent.
Très vite, tous les gars ont sorti leur bite en attendant leur tour pour baiser cette pute blanche. D'énormes quantités de sperme éclaboussent le visage et les seins de Wendy alors que les bites se succèdent. On lui ordonne de présenter son cul et elle est rapidement sodomisée par les gars. Sal prend des photos. Il fait même la queue pour avoir une fellation et il l'encule une nouvelle fois. Il aime tant son cul serré.
Après deux heures environ, la bande de jeunes, épuisée, se rhabille et part.
- C'est une putain assoiffée de bites! Dit l'un d'eux à Sal en partant.
La nuit de Wendy n'est pas encore terminée. Sal appelle Tony sur son portable, et, cinq minutes plus tard, la Mercedes s'arrête près du trottoir.
- Je viens d'organiser d'autres réjouissances pour toi, salope!
Tony vient de s'arranger pour que Wendy fasse un strip-tease dans une boite louche et ensuite elle doit se faire baiser par le public. Pour quel prix? Tony a vendu Wendy pour 40 dollars. Pour quel public? Pour une centaine de clients excités de pouvoir la baiser à fond.
Le cœur de Wendy bat la chamade, sa chatte et son cul bien baisés palpitent. Elle pue le foutre et ses cheveux sont emmêlés avec du sperme séché. Mais Tony ne la laisse pas se nettoyer. Elle ne pense qu'à ce que ces hommes vont lui faire. Quelle quantité de sperme va-t-elle être obligée d'avaler?
La boite est un repaire dégoûtant et délabré où les petits délinquants vendent de la drogue et où de vieilles putes se prostituent. C'est le genre d'endroit que Wendy n'a vu que dans des films. Jamais elle n'aurait pensé qu'elle serait obligée d'y travailler en suçant des bites et en se faisant enculer.
Mon Dieu, comment son monde à changer en moins de 24 heures. De la riche femme mondaine et hautaine avec du style, elle est devenue une pute bon marché qui suce la racaille dans les rues et qui se fait baiser comme une chienne.
Elle est fatiguée, sale et tout ce qu'elle veut, c'est pouvoir rentrer chez elle, dans sa belle maison. Mais Tony a d'autres plans.
- Tu vas monter sur scène, danser et enlever ces putains de chiffons. Sois sexy pour que le public ait envie de te baiser. Compris Salope? Rugit Tony.
Wendy acquiesce alors qu'il la pousse vers la scène. Elle peut entendre la foule bruyante. Elle sait qu'elle va être baisée comme jamais elle ne l'a été auparavant. Sa chatte commence à mouiller et son jus commence à couler. C'est comme si son sexe avait sa propre conscience et qu'il voulait toutes ses bites, que le cerveau de Wendy le veuille ou non.
Une musique retentit et le rideau se lève. Tony lui met dans les mains deux godes vibrants géants en forme de bite et il lui dit :
- Utilise ça dans ton cul et ta chatte, salope!
Il la pousse sur scène et elle tombe à la renverse. Une voix crie :
- Lève-toi sale pute! Et enlève tes putains de vêtements!
Elle obéit, se lève et commence à se déhancher. Elle regarde le public. Il y a tous les pervers et dégénérés qui aiment se branler en regardant ce genre de choses.
Elle pose les godes et enlève son petit haut. Ses gros seins nus sont accueillis pars des hurlements d'approbation. Elle se tourne et remue son cul en enlevant sa jupe. Elle l'écarte d'un pied et un homme s'en saisit comme souvenir.
- Montre-nous ta chatte! Crie un sale bâtard.
Elle obéit en se mettant à quatre pattes en en montrant son sexe et son cul au public. Les sifflements et les applaudissements sont presque assourdissants.
Wendy peut voir Tony, hors de la scène, faire des gestes vers les godes. Elle prend l'un d'eux et commence à l'enfoncer dans sa chatte. Elle le fait vibrer à pleine vitesse et s'assoit dessus pour qu'il entre entièrement. Elle remue son bassin et il glisse plus profondément. Elle sent arrivé un orgasme puissant.
A ce moment-là, Tony apparaît sur scène. Il prend l'autre énorme gode, verse du lubrifiant dessus et commence à l'enfoncer dans le trou du cul de Wendy. Celle-ci commence à protester, mais Tony crie :
- Ferme ta gueule!
Impitoyablement il enfonce le gode dans son cul jusqu'à ce qu'il y en ait deux tiers. Le gode est presque aussi gros qu'une canette de coca. Le cul de Wendy est distendu à l'extrême. Et c'est là qu'elle a un orgasme puissant, son corps convulsant comme un épileptique.
- Tu aimes ça, n'est-ce pas?
Puis il se lève et crie à la foule :
- Elle est prête pour vous tous maintenant!
Les hommes hurlent leur approbation et commence à se diriger vers la scène. Un agent de sécurité leur fait former deux queues à peu près égales, une au niveau du cul, une au niveau de la tête. Tony établit les règles :
- Par-devant, vous avez droit à une pipe. Par-derrière vous la baiser dans son cul ou sa chatte. Ensuite, soit vous retournez faire la queue, soit vous rentrez chez vous!
Tony retire les deux godes. Wendy regarde les hommes. Elle estime qu'il y a au moins 50 gars par queue. Une première bite est poussée dans sa bouche.
- Suce salope! Demande son propriétaire.
Une autre bite pénètre son cul. Elle sait que la plupart des gars vont vouloir l'enculer. Mais avec un peu de chance, ils ne mettront pas trop de temps à jouir.
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Aucun rapport avec le Bdsm. Il s agit de drogue, de chantage, de viol et de proxénétisme
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MaîtreDesLiens , dominant mature de 50 ans, entre Metz et Luxembourg, en quête d'une véritable soumise désireuse de s'abandonner pleinement à une relation D/s authentique.
Je recherche une femme entre 25 et 40 ans , féminine, prête à explorer le chemin de la soumission totale , avec curiosité, respect et engagement. Débutante ou expérimentée, tant que le désir de découvrir, d'apprendre et de mériter chaque récompense brûle en toi, je saurai te guider.
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Si tu sens cet appel à t'abandonner sous la main ferme d'un Maître capable de te révéler à toi-même, alors n'attends pas. Ose me contacter et franchir le premier pas vers une expérience transformatrice.
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Cherche maîtresse ou maître qui fait du enligne pour la salope que je suis
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L’expérience de la soumission
Il a commencé par me déshabiller rapidement, en me couvrant de baisers. J’ai senti qu’il était impatient de nous faire du bien, c’était incroyablement excitant. Il m’a attachée avec les menottes au cadre de notre lit. Déjà, l’excitation coulait en moi.
J’étais allongée sur le ventre, les bras devant moi, la position n’était pas particulièrement confortable, mais cela ajoutait à l’excitation du moment. Sans prévenir, il a commencé à me fouetter, pas très fort, mais avec une conviction palpable. Au premier coup de martinet sur mes fesses, j’ai senti tous mes sens s’évanouir.
Je n’avais jamais connu une telle excitation, c’était comme si je perdais le contrôle de moi-même. Sous ses coups de martinet, qui se succédaient, j’en perdais mon souffle, et à chacun de ses mouvements, je criais un peu plus fort, non pas de douleur, mais de désir. Il a continué ainsi pendant quelques instants, puis m’a retournée sur le lit. J’étais maintenant allongée face à lui, les bras toujours attachés au-dessus de ma tête. J’étais à sa merci.
L’extase du désir
Il a recommencé à m’embrasser partout, à me caresser, à me dire que j’étais belle et que je l’excitais. Il était très tendre, mais gardait dans sa main ce martinet que je ne pouvais pas quitter des yeux. Il a commencé à le faire glisser sur mon buste, doucement, à caresser mes seins avec les lanières, d’abord l’un, puis l’autre.
Puis, il est descendu vers mon sexe. Sans crier gare, il a recommencé à me fouetter, au niveau du ventre et des hanches. C’était reparti ! Ce mélange de tendresse et de fermeté était extrêmement excitant. Il a fini par me pénétrer d’un coup, et nous avons joui tous les deux très rapidement. Nous avions été tellement excités par ces préliminaires BDSM soft.
La suite de l’aventure
Depuis, on ressort régulièrement ce martinet et ces menottes, parfois ensemble, parfois l’un ou l’autre. On trouve ça très excitant. Je me suis révélée dans ce nouveau genre de sexualité, le BDSM soft fait tomber des barrières chez moi, c’est incroyable ce que je peux ressentir lorsqu’on le pratique.
La perspective d’explorer davantage
Mon mari adore ça aussi, bien sûr. Il est très à l’aise dans le rôle de dominant, même s’il n’a pas du tout ce tempérament dans le reste de nos vies. J’ai envie d’aller un peu plus loin, de tester un peu plus nos limit
es, peut-être en expérimentant le bondage, ou en proposant à une de nos connaissances libertines de nous rejoindre… Qui sait ?
Je vous tiendrai au courant de nos progrès et de nos découvertes, si mes aventures vous intéressent ! Mais à discuter avec vous régulièrement sur les forums, je vois bien que ce genre d’expériences vous intrigue autant que moi.
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Très excitant, ça m'arrive avec ma femme, elle aime, mais reste discrète là dessus. Elle aime que je l'attache
Comme elle suce bien ! Elle s'est presentée en voulant être soumise, elle m'avait dit, "j'ai une surprise", je suis venu fou, elle a insister pour que je finisse dans sa gorge en premier. Ça n'a pas durer longtemps, j'ai éjaculer avec des gros spasme dans gorge profonde en l'insultant.
"Comme ça tu va durer plus longtemps dans mon anus de chienne" a t'elle dit. En effet, je l'ai sodomisée comme une chienne pendant 2 heures et encore une fois remplis son fion de salope!
Biensûr ca n'est pas vrai! Mais j'imagine et c'est déjà ça. Qu'en penses-tu?
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Le bondage est une pratique érotique ou sexuelle, qui consiste à attacher son ou sa partenaire avec des cordes, des chaînes, des bâillons... Il s'agit d'une pratique sadomasochiste et fétichiste.
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je suis une dominatrice qui recherche une autre dominatrice afin d'échanger sur nos pratiques respectives tout en humiliant mon soumis Discuter sur la façon de vivre notre domination chaque jours
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Bonjour, je me présente, je suis tout nouveau sur ce site et dans ce milieu varié.. je recherche une femme ou un couple ou juste des expériences à plusieurs, je suis totalement novice.. et j'aimerais expérimenté pas mal de choses pour connaître vraiment mon orientation 🙈
donc je sais pas çi vous pouvez m'aider un peu a rentré dans votre monde... ce serai super, n'hésitez pas à me contacter, je me trouve dans le 84 ' Vaucluse '
Soyez la première personne à aimer.
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honoré ca maitresse de cette façon est pour moi un engagement ,une preuve de dévotion
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25/01/24
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une domina meme trav ,n'as pas de rapport sexuel avec son soumis ,sauf si elle le décide ! le soumis n'a rien a dire !
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25/01/24
j'imagine ,mais c'est rarement le cas ! elle adore la frustration de son soumis !
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25/01/24
tu parle uniquement en ton nom ,ca n'a aucune valeur ! reste a ta place !
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25/01/24
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En attente de votre soumis, derrière votre carcan, Maîtresse Frédérique....
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09/04/24
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