A propos du groupe
Sept sur Sept
Créateur

Freeuse, une manière d'explorer le BDSM

Le freeuse, bien que souvent perçu comme une simple dynamique érotique, peut être profondément enraciné dans les jeux de pouvoir et les relations de Domination/Soumission (D/S). Ce groupe est dédié à tous les couples, qu'ils soient curieux ou déjà adeptes, qui souhaitent explorer cette facette particulière du BDSM.

Qu'est-ce que le Freeuse ?
Le freeuse est une pratique où un partenaire (l'objet) est disponible pour l'autre partenaire (l'utilisateur) à des fins sexuelles à tout moment et en tout lieu. Dans le contexte de la D/S, cela peut signifier une soumission totale de l'objet, renforçant ainsi la dynamique de pouvoir entre les partenaires.

Pourquoi rejoindre ce groupe ?

  • Apprentissage : En apprendre davantage sur la manière d'intégrer la D/S dans votre pratique du freeuse, tout en garantissant sécurité, consentement et respect.
  • Discussion : Partager vos expériences, poser des questions et receuillir des conseils de la part de membres expérimenté(e)s.
  • Rencontres : Peut-être organiserons nous un munch sur le sujet (mais ce n'est pas sur :) ), vous pouvez aussi faire connaissance que vous soyez débutant ou expert en la matière (même si vous n'êtes pas en couple, après tout des couples peuvent se former pour l'occasion afin d'essayer !!!).

À qui s'adresse ce groupe ?
Tous les personnes intéressés par le freeuse, qu'elles soient novices ou expérimentées, sont les bienvenues.

Règles du groupe :

  1. Le respect est primordial. Toutes les discussions doivent être menées de manière respectueuse et consensuelle.
  2. Pas de contenu qui ne soit pas en rapport avec le thème (pour les photos notamment)
  3. Les membres doivent respecter la vie privée des autres. Pas de partage d'informations personnelles sans consentement.
  4. On se réserve le droit de supprimer tout contenu ou exclure tout membre qui ne nous semble pas dans l'esprit du "freeuse"

 

Adevergonder
Bonjour à tous merci pour l'acceptation sur le groupe et très envie de le vivre hummmmmmm...........................
6 personnes aiment ça.
Jolie envie n importe quand n importe ou
J'aime 17/03/25
Adevergonder
c'est pas le but ???? d'y être soumise pervertie ???
J'aime 17/03/25
Oui mais pas toujours accepter
J'aime 17/03/25
Adevergonder
c'est à dire expliquez moi nouvelle sur le mur ....
J'aime 17/03/25
Je pense que certaine doumise ne sont pas open 24h
J'aime 17/03/25
Adevergonder
Moi à devenir soumise et pervertir à
J'aime 17/03/25
Très bien vous êtes bien motiver vous êtes déjà bien éduquer
J'aime 17/03/25
Adevergonder
pas encore mais à devenir mais merci à vous
J'aime 17/03/25
Soumismaso
Quel délicieux fantasme j'aimerais tant connaître ça avec une femme adepte du pegging
J'aime 17/03/25
Adevergonder
désolée pas mon truc
J'aime 17/03/25
Adevergonder
Je préfère répondre honnêtement......
J'aime 17/03/25
Soumismaso
Je vous en veux pas au contraire
J'aime 17/03/25
Adevergonder
Merci à vous
J'aime 17/03/25
Soumismaso
Je viens de vous envoyer un message en privé
J'aime 17/03/25
Soumismaso
Accepter vous ma demande ?
J'aime 17/03/25
Adevergonder
et pourquoi pas
J'aime 17/03/25
Adevergonder
Avant des demandes d'amis qui n'arrive pas avec plaisir d'en parler aussi pour du réelle ???...
J'aime 03/04/25
Nous sommes à la fin du mois de juin, le temps, le soleil et la chaleur commencent déjà leurs effets sur la végétation et la nature, les oiseaux chantent, les fleurs et la verdure prennent le dessus. Quelques semaines auparavant, Marie avait fait appel à la société de jardinage avec laquelle elle travaillait depuis plusieurs années déjà. Elle leur avait demandé de venir tailler les haies et les tailler des arbres autour de sa magnifique ancienne grande bâtisse, située au bord d'une forêt. Marie, 50 ans, aimait s'habiller de manière légère et provocante, elle aimait être observée pour ses seins de beaux volumes qui etaient rarement soutenus par un soutien gorge par rapport au reste de son corps, surtout lorsqu'elle était à la maison. Marie n'était pas très grande, ses fesses ferme légèrement se mariaient avec le reste de son corps bien proportionné, elle avait aussi des cheveux châtains et des yeux noisette. Marie obtint un rendez-vous trois semaines plus tard, et à cette période-là, tombait ou son compagnon devait s'absenter pour plusieurs semaines pour le travail, ce qui ennuyait fortement Marie, qui se retrouverait seule pendant un si long moment sans pouvoir faire l'amour avec lui. Oui, Marie aimait le sexe, mais ce n'était pas réciproque venant de son compagnon. Marie avait même introduit une lactation induite pour pimenter ses activités sexuelles, mais c'était sans succès. Du coup, elle passait son temps libre à se satisfaire en solitude. Trois semaines après sa prise de rendez-vous, le jour où les jardiniers devaient venir s'occuper de sa végétation arriva enfin. Pour Marie, c'était une belle journée qui s'annonçait, elle allait pouvoir admirer et se montrer devant les jardiniers. Il est 8 h 30 du matin, les oiseaux chantent déjà dans le petit bois à côté de la maison de Marie. Elle attendait les jardiniers pour 10 h. Il est 9 h 00. On sonna à sa porte et Marie se précipita pour ouvrir. Elle accueillit alors deux hommes. Ils étaient nouveaux dans la société et Marie ne les avait jamais vue. Le premier, du nom de Serge, avait 39 ans, une barbe d'une semaine et des cheveux foncés, entre le brun et le châtain. Il semblait être musclé sous sa tenue de travail. Le jardinier était accompagné d'un jeune apprenti, Romain, qui avait tout juste 20 ans. Celui-ci était assez fin, portait des lunettes et était blond aux yeux clairs. Ce matin-là, Marie était encore en peignoir, car les deux hommes étaient arrivés beaucoup plus tôt que prévu. Marie s'excusa de se présenter habillée ainsi devant eux. Elle sortit de chez elle et leur montra le travail à effectuer. Les deux hommes suivirent Marie qui marchait lentement. Dans son dos, Marie pouvait sentir les regards des deux hommes posés sur elle. Elle aimait ça être observée, cela l'excitait beaucoup et elle en jouait, replaçant ses seins à l'intérieur de son peignoir rose décoré de cœurs noirs. Elle faisait gonfler sa poitrine pour faire ressortir ses seins généreux rebondissant sous son peignoir. Elle leur demanda de tailler toute la haie autour de chez elle, ainsi que d'élaguer quelques arbres. Les deux hommes se mirent immédiatement au travail. Car il y avait beaucoup de surface à traiter, équipés de leur sécateur, de tronçonneuse et de leur taille-haie. Marie se dépêcha alors de rentrer chez elle, après avoir bien observé et regardé les deux mâles qu'elle trouvait fort appétissants. L'excitation montait en elle. Elle monta dans sa salle de bain ; la fenêtre de la salle donnait sur l'arrière de son grand jardin, où Serge allait commencer à tailler un arbre, tandis que l'autre s'occuperait des haies. Marie ouvrit les fenêtres et les rideaux de sa salle de bain. Perchée en hauteur dans sa salle de bain, Marie avait une vue sur Serge, qui était 4 mètres de sa fenêtre et avait grimpé dans l'arbre et avait commencé à couper ses premières branches. Du haut de son arbre, Serge avait lui aussi une vue sur la salle de bain de Marie. Marie allait pouvoir se mettre en scène et dévoiler son corps tout en courbe et en rondeur; elle enleva son peignoir, qui tomba à terre, à ses pieds. Serge, voyant la femme mature exposée de la sorte, était déconcentré par sa tâche principale. Marie dévoilait sa poitrine toute blanche, bleue par les veines et opulente, ses deux grosses mamelles, légèrement tombantes, rondes, larges, gonflées par le lait et lourdes en même temps, prenaient presque toute la place au milieu de son buste. Au centre de ces deux grosses mamelles se dressaient deux gros tétons et deux larges mamelons foncés. C'est alors que Marie commença son massage quotidien sur ses seins avec de l'huile. Margot répétait ces gestes tous les jours, trois fois par jour ; elle se pliait à ce train-train quotidien pour entretenir sa lactation. À travers sa fenêtre, Marie massait ses larges seins. Elle les malaxait, les étirait dans tous les sens, ainsi que ses tétons qui étaient extensibles et malléables. Marie jouait avec, les tortillant entre ses doigts, jusqu'à presser ses mamelons et faire sortir du lait. Serge, du haut de son arbre, avait arrêté de couper les branches et observait silencieusement la femme s'exhiber devant lui. Ensuite, à deux mains, elle prit l'un de ses seins, le souleva avant de le porter à sa bouche et de sucer son mamelon et son téton. Elle pompait et avalait des gorgées de lait qui en sortaient, qu'elle recrachait sur elle ou avalait aussi en alternance. Le lait coulait le long de son ventre pour se frayer un passage sur sa toison pubienne brune. Elle buvait son lait et procéda de la même manière sur son deuxième sein, avant de se caresser le vagin. Ensuite, Marie entra dans sa cabine de douche et se lava en frottant lentement chaque partie de son corps, elle prenait son temps pour laver ses seins et son vagin. Elle ressortit de sa douche et disparut dans sa chambre pour s'habiller. Serge avait repris sa tronçonneuse et Romain continuait à tailler les haies. Malgré l'heure matinale, le soleil et la chaleur commençaient à déjà à jouer son rôle et rendaient l'atmosphère moite et étouffante. Lorsque l'heure du midi arriva, Serge et Romain décidèrent de prendre leur pause pour manger et boire. Après leurs premières heures de travail, des gouttes de sueur envahissaient leur front et leur visage. Ils décidèrent d'enlever leur tee-shirt. Marie n'était pas très loin pour admirer ces deux mâles par la fenêtre de sa cuisine, qu'elle commençait déjà à imaginer en train de leur faire des choses obscènes. Entre-temps, Marie s'était habillée avec une robe d'été, très légère avec de fines bretelles sur les épaules qui retenaient sa lourde poitrine et légèrement transparente avec des motifs à fleurs, elle avait omis de porter un soutien-gorge et une culotte. Marie, l'œil vif, regardait le torse nu de Serge, qui était bien musclé et recouvert de poils, tandis que Romain, lui, était plus fin et avait le torse d'un jeune homme vierge comme une terre en jachère. Nos deux jardiniers mangeaient et buvaient tranquillement et discutaient justement de Marie et de ses belles formes, des discussions de mâles bien virile. Lorsque Marie arriva, d'un pas décidé, ses seins se balancent à chacun de ses pas. Nos deux hommes étaient hypnotisés par le balancement des seins d'une femme mûre. Ses tétons pointaient à travers le décolleté de sa robe. Elle leur demanda alors si tout allait bien et s'ils désiraient boire une bière bien fraîche, avec la chaleur qui régnait dans son jardin. Les deux hommes acceptèrent volontiers la proposition. Marie leur tendit les bières qui avaient été préalablement ouvertes, mais elle les firent tomber à terre et éclaboussa sa robe et laissait apparaître ses seins à travers le tissu mouillé. Elle s'excusa et se pencha pour les ramasser. En s'abaissant, Marie laissa tomber les bretelles de sa robe, dévoilant ainsi ses seins généreux. À la vue des deux hommes qui étaient estomaqués par ce spectacle, surtout le jeune Romain qui n'en croyait pas ses yeux, Marie avait les seins à l'air. Elle leur dit alors : « Désolée, j'ai renversé vos bières, pour m'excuser j'ai une autre boisson à vous proposer. » Et là, Marie commença à se masser les seins et à pétrir les mamelons, laissant sortir des jets de lait. Nos deux jardiniers se regardèrent dans les yeux, la bouche grande ouverte, ne sachant que penser. Puis Marie ajouta en soulevant sa robe juste au-dessus de son nombril, montrant son vagin recouvert de poil : "Il faudrait aussi que vous vous occupiez de ma pelouse, elle aurait besoin d'être entretenue et labourée." Les deux hommes, tout excités, avancèrent vers Marie sans hésiter ; chacun se mit d'un côté de la femme en chaleur. Serge, le plus âgé, lança les hostilités en embrassant sauvagement Marie. Celle-ci prit la main de Romain pour qu'il lui empoigne et caresse le sein. Marie embrassa également Romain. Marie jonglait entre les deux bouches et les deux langues des jardiniers. Romain enleva alors les bretelles de la robe de Marie, qui tomba à ses pieds. Marie était totalement nue ; un léger coup de vent frais frappa sur les tétons de Marie, qui se mirent à pointer. L'excitation monta d'un cran du côté de Marie. Elle les prit par la main et les emmena un peu plus loin devant les marches de l'escalier de l'entrée de sa maison. Serge et Romain suivaient Marie comme deux pantins contrôlés par la vue des attributs de Marie. Une fois devant les escaliers, nos trois intervenants en chaleur étaient debout et continuèrent ce qu'ils avaient commencé. Chacun des deux hommes avait en main un énorme sein qu'il était en train de pétrir, de sucer et de pomper. Serge, ayant un peu plus d'expérience, suçait plus délicatement le large mamelon de Marie, lui procurant un début de plaisir tant attendu. Romain, jeune, fugueur et moins expérimenté, suçait et pompait le sein avec soif et énergie, tandis que Marie essayait de ralentir sa fougue. "Oui, c'est bon, comme ça, mais doucement quand même mon petit. J'en ai encore assez pour vous deux. " Disait-elle au jeune en rut. Mais à chaque fois que les deux hommes lui pompaient les mamelons avec plus au moins de force, Marie gémissait de plaisir, se faire ainsi vider les seins par deux bouches gourmandes était un régal pour elle. En même temps que Serge mordillait et suçait le téton avec sa langue et ses dents, il s'occupait déjà de la végétation intime de Marie. Il lui caressait les lèvres vaginales, son doigt musclé se logeait dans l'orifice humide et chaud de Marie, voyageant de haut en bas et tournoyant à l'intérieur. Marie commençait à mouiller abondamment, gémissant de plaisir, ses deux mains posées sur les entres jambes des deux hommes. Marie caressait les pénis des deux jardiniers à travers leurs bermudas. Serge et Romain comprenait l'intention de Marie. Ils enlevèrent leur bermuda et leurs boxers, les vêtements aux dessus de leurs pieds. Marie masturba en douceur les deux pénis. Celui de Serge était entouré d'une forêt de poils. Son sexe était large et avait une forme courbée, de grosses testicules pendaient en dessous de son gros membre, celui-ci devenait de plus en dure sous les va et vient de la main experte de la femme d'expérience. Romain, quant à lui, avait un sexe de taille plus modeste, moins large, mais bien plus droit que celui de Serge, et il n'avait pas de poils autour de son pénis, qui, lui aussi, devenait dur sous la masturbation de Marie. Ensuite, elle se mit à genoux aux pieds des deux hommes. Les deux hommes pressaient les mamelons pleins et remplis de lait, les veines sur ses seins en témoignaient. Marie mit ses mains sous les jets de lait pour en récupérer le maximum, puis elle versa le contenu de ses mains sur les deux pénis bien raide. Et là, Marie commença une double fellation en alternant d'un sexe à l'autre. Elle tenait les deux pénis, un dans chaque main. Le soleil tapait fort, les corps étaient en sueur, les gouttes de sueur perlaient le long de leur corps. Marie avait du lait qui coulait le long de ses seins et sur son ventre. Marie suçait avec appétit les glands et les pénis qui lui manquaient tant depuis des semaines, Serge prenant la tête de Marie entre ses mains pour être sucé plus fort. Marie, qui commençait à avoir le vagin en feu et dilaté, voulait recevoir ces grosses queues et se labourer sauvagement par les deux jardiniers. Elle leur demanda: " Je n'en peux plus. Venez me les mettres à l'intérieur, je veux sentir vos manches en moi, sinon je vais me dessécher. " C'est là que Serge prit les devants et, prenant l'initiative de se mettre sur les marches de l'escalier, attrapa Marie par la taille. Marie était face à Serge, elle avait les deux mains sur les épaules de Serge et était à califourchon sur l'escalier en pierre bleue, tout en ayant les pieds sur les cuisses de Serge. Les mamelles de Marie étaient à hauteur du visage de Serge. Marie commençant à lui gifler le visage avec ses seins et le bout de ses gros tétons juteux. Romain était derrière, il avait la vision du fessier ferme de Marie ainsi que la vue globale sur sa vulve. C'est ainsi que Romain écarta en deux les fesses de Marie et lui lécha l'anus et descendit jusqu'à la fente humide de son vagin et il la lécha avec un peu de maladresse. mais cela était suffisant pour Marie qui était en manque d'une présence masculine et viril. Serge se mit alors au travail et avec son sexe en érection et courbé, il commença à pénétrer avec force le vagin humide tout recouvert de poils brune. Marie aussi faisait aller son bassin de haut en bas, les jambes se fléchir à chaque coups de penis de Serge. Romain avait entamé une autre approche et avait introduit un doigt dans l'anus de Marie. Marie commençait déjà à se faire labourer le vagin avec sauvagerie. Elle géminait et regardait avec désir, envie, le visage de Serge, qui comprit qu'il devait lui téter les seins. Il mit ensuite un mamelon en bouche et aspira le mamelon, encore et encore ; le lait, qui était au début translucide, devenait au fil des minutes plus épais et gras. Serge en avait plein le visage, il alternait le sein gauche et le sein droit. Marie dit alors à Romain : "Vas-y, mon petit, montre-moi comment tu te sers de ton outil, défonce moi le derrière. " Romain bien motivé par les paroles de Maris, avait bien stimulé l'anus de Marie, qui était dilaté. C'est là que Marie sentit le bout du gland s'enfoncer dans son anus, le sexe s'enfonça doucement, puis de plus en plus vite et de plus en plus fort, avec brutalité. Serge, en bas, tapait aussi avec violence avec son sexe, dans le vagin bien mouillé de Marie. Cette dernière était en train de se faire retourner des deux côtés en simultané. Elle se mordait les lèvres de plaisir. Ses seins se balançant en rythme avec les coups de pénis qu'elle recevait. À un moment, Serge mordit tellement fort les tétons de la femme en chaleur qu'elle sentit une douleur dans les seins, mais cette douleur était mélangée à une sensation d'intense plaisir et de jouissance. Marie se faisait souiller des deux côtés et elle aimait ça. Romain qui était plus jeune ne réussit pas tenir la cadence, l'anus de Marie était trop serré et douillet pour le sexe de Romain et il éjacula dans l'anus de Marie. Serge donna quelques coups de queue supplémentaires avant de se retirer. Marie avait jouis par ses deux orifices brûlants, juste avant d'avoir sa main sur son clitoris et l'avait fait vibrer en frottant dessus. Serge se releva et éjacula sur le visage et le buste de Marie. Romain les avait rejoints, Marie s'était, elle aussi c'était relevé pour s'asseoir sur l'escalier, puis elle se mit à sucer et lécher les deux sexes encore frétillants, elle lécha et avala le restant de sperme épais et collant sur les pénis et se caressait la poitrine avec le sperme de Serge mélangé à son lait. Elle termina sa jouissance par se téter ses seins et son vagin et son anus déversaient sa mouille avec abondance. Serge et Romain s'étaient rhabillé et ils remerciaient Marie pour cette pause et boisson spéciale et ils retournèrent finir leur travail. Marie resta sur ses escaliers, toute collante de lait et de sperme séché sur le corps. Son cœur battait encore la chamade. Malgré ce long moment de plaisir ardent et charnel, Marie n'était pas encore assez rassasiée de sexe. Elle demanda alors aux deux jardiniers s'ils pouvaient revenir le lendemain pour s'occuper à nouveau de sa végétation.
Merci guillaumemagic d'être membre bienfaiteur de la communauté BDSM.FR et de participer à l'élaboration et l'organisation de la vidéothèque gratuite.
Le BDSM n'est pas seulement une question de douleur, mais de plaisir, de confiance et de connexion.
18 personnes aiment ça.
Knou
Tout a fait 🙂
J'aime 15/03/25
Soum-itch
Vous avez tellement raison. C'est exactement ma conception de la chose madame.
J'aime 15/03/25
Maîtresse Luna
Il ne lui fallut pas beaucoup plus insister pour qu’elle cède ! Que pouvait elle bien faire, de toutes façons ??? Ce type savait et il pouvait tout dire à Bruno… Elle le conduisit dans la chambre, se dévêtit docilement et suça la courte mais grosse bite de ce mec. Très vite, la queue se développa…Pas plus longue que celle de Bruno, mais bien plus grosse ! Il la laissa sucer longuement puis il l’enfila rudement, en levrette. Il se mit à la pistonner en lui claquant le cul et en lui disant qu’elle était une sacrée salope et que son mari faisait un bon cocu. Rosa ne contrôlait plus ses sens. Elle était devenue une femelle avide de jouissance et plus rien ne contait que l’orgasme. Il le lui donna en moins de 5 minutes, retira son sexe de la chatte béante et ordonna qu’elle le suce. Ce fut le premier homme à lui remplir la bouche de foutre et elle du avaler ! Mais elle ne rechigna pas. Non, elle ne refuserait rien et pas seulement par peur d’être dénoncée… Ils recommencèrent trois fois, elle jouit 5 fois et à chaque fois, il lui emplit la bouche de foutre. Vers 3 heures, il partit en lui disant : « Je reviens la semaine prochaine. Comme Jérôme aura ouvert ton petit cul de pute, je ne manquerais pas de le fourrer comme il le mérite… » Bruno se coucha près d’elle comme chaque matin et ne mit pas 5 minutes à s’endormir. Il ne s’aperçut même pas qu’elle était nue (chose rare) et que sa chatte était encore ouverte des coups puissants qu’elle avait subit ! Lorsqu’il se leva il la trouva dans le salon, devant la télé. Elle ne portait que sa culotte et son soutif. Il lui demanda pourquoi cette tenue et elle lui dit qu’il faisait trop chaud pour mettre quoi que ce soit. Il haussa les épaules, alla manger puis il revint et entreprit de la baiser. Une fois de plus, l’acte fut aussi court que décevant et elle simula. Ce soir, là il n’y eut aucune visite. Pas plus le lendemain et Rosa se dit qu’elle devrait attendre le lundi et le Mardi suivants pour être de nouveau baisée comme elle l’aimait dorénavant ! Elle avait prit l’habitude de se promener quasi nue dans la maison et Bruno la baisait tous les après midi. Mais cela la frustrait plus que tout. Jeudi, 20h15. On sonne…Rosa était en string, sans soutif. Elle était sortie de la douche 10 minutes plus tôt. Elle hésita à aller ouvrir. Devait-elle s’habiller ? Serait Jérôme ou Jean qui venait la voir plus tôt que prévu ? Elle finit, après le troisième coup de sonnette, par aller voir, sans autre vêtement que son string noir. « Bonjour, salope ! On irait que tu attendais la visite d’un baiseur. Ca tombe bien, j’aime beaucoup les putes e ton style !!! » L’homme la poussa fermement pour entrer. Il lui dit se nommer Rémy et être le meilleur pote de Jean et Jérôme. Elle s’en doutait et elle lui proposa d’aller dans la chambre. « Ote ton string avant ! Je veux voir ta moule qui est, parait il, très accueillante ! » Elle s’exécuta sans attendre. Il fit une grimace et dit : « Faudra me raser ça ! Un ticket de métro c’est déjà trop pour une chienne bien docile. Parce que, tu vois, c’est ce que tu vas devenir ! » Ils allèrent dans la chambre et elle s’agenouilla pour la sucer. Très longue bite, plutôt fine. Elle avait du mal à l’engloutir complètement, mais il l’y força et elle cru s’étouffer… Rémy imposa un 69 et elle prit son premier orgasme en se faisant bouffer le con. Lui se vida dans sa bouche et ordonna qu’elle continue de le sucer. Il ne mit pas longtemps à rebander. Il décida de la prendre plus profondément qu’elle ne l’avait été à ce jour. Il l’emmena dans la cuisine et la coucha sur la table. Puis, lui relevant les jambes très hautes en les écartant, il s’enfonça tout au fond de son vagin. La sensation déclencha une onde dans le ventre de Rosa… Il la lima plus de 10 minutes et elle jouit à en perdre haleine ! il se vida dans sa chatte puis ils allèrent dans la chambre où il la prit en levrette puis en missionnaire finissant toujours dans sa moule surchauffée… « Il va falloir que je te laisse petite chienne. Tu vas te raser la moule avant mon retour Jeudi prochain. Tâche de le faire pour surprendre Jérôme. Sa salope est rasée depuis que je la tringle et il aime bien ça !!! Et si tu es une bonne pute, comme je le pense, ne te lave pas avant le retour de ton cocu ! Il n’y verra que du feu, ce con… » Bien entendu, elle respecta ce conseil et Bruno, trop fatigué, ne s’en rendit pas compte !!!
10 personnes aiment ça.
Bonjour très jolie récit et très exitant
J'aime 26/02/25
Giel17
Elle sait faire le choix du plaisir à tout prix... Je m'identifierais presque.
J'aime 26/02/25
Douxreveur
Magnifique récit, une bien belle salope ! Elle aime avant tout faire plaisir ! J'adore !
J'aime 26/02/25
DANDY83
j'adore!
J'aime 26/02/25
Un simple copié collé d'histoires écrites en 2015...
J'aime 05/03/25
Maîtresse Luna
C’était il y a presque trente ans. Rosa avait 25 ans et deux enfants de 6 et 3 ans. Mariée à 19 ans avec son premier homme, Bruno, un gentil garçon, bosseur et bien élevé qui était une « victime » toute désignée… Ils venaient de s’installer, 10 mois plus tôt, dans une maison construite à la campagne pour eux. Pour mieux financer celle-ci, Bruno accepta de travailler en nuit. Cinq jours sur sept et parfois le dimanche, de 20h à 6h. Avec le trajet, cela le faisait partir vers 19h15 et revenir vers 5h45… Rosa restant seule. Lorsqu’il était de jour, Bruno s’était attiré le courroux de trois collègues, par son zèle et son avancement rapide. Jean, 50 ans, solide garçon d’origine paysanne. Courtaud et puissant. Rémy, 39 ans, un type roublard et passablement vicieux. Rémy avait une réputation de faiseur de cocus. Plutôt beau mec et célibataire. Jérôme, 28 ans, marié à une salope qu’il aimait offrir aux copains. Jérôme était un grand gaillard, super bien monté, mais très sadique… Dés la fin de la première semaine, Rémy, qui connaissait Rosa pour l’avoir rencontrée avec son mari, proposa aux autres de se la faire ! Bonne idée, que Jean peaufina en suggérant que chacun prenne « son tour » pour qu’elle soit baisée trois nuits par semaines ! Immédiatement, les autres adoptèrent l’idée. Restait à conclure, sachant que Rosa pouvait se montrer rétive. Ce fut Jérôme qui décida qu’il était le mieux qualifié pour entamer l’affaire. Plus jeune et plus mignon, il était, aussi, le plus doué pour la soumission !!! Le lundi suivant, vers 20h30, Jérôme sonnait chez Bruno et Rosa. Elle lui ouvrit, en jupe courte et débardeur à bretelles. « Bonjour, je suis un collègue de Bruno et je viens pour voir la moto qu’il veut vendre. Je sais qu’il bosse, mais il est au courant et il ne voit pas d’inconvénients à ce que je la regarde. Paraît qu’elle a un soucis mécanique et je pense pouvoir y remédier… » Rosa était un peu surprise, car Bruno ne lui avait rien dit. Mais, ils ne se voyaient pas trop dans la journée et il se pouvait qu’il ait oublié de lui signaler qu’un beau mec allait venir voir la moto…« Ben, je ne savais pas, mais suivez moi, je vais vous ouvrir le garage… » Jérôme profita de l’occasion pour reluquer le splendide cul de cette jolie salope en devenir… Une fois dans le garage, il se concentra sur l’engin et fut heureux de constater que rosa se tenait debout, assez près de lui. Il en profita pour s’allonger, sous prétexte de bricoler le pot d’échappement, pour jeter un œil sous la jupe un peu courte. Un petit bout de tissus noir confirma la présence d’une culotte ! Malin et fidèle à son plan, il se salit les mains et lorsqu’il se releva il dit :« Je vois ça avec Bruno, mais il se peu que je la répare pour la lui acheter… Pourrais-je me laver les mains ? »« Bien sûr… Venez dans la salle de bain… » Tu m’étonnes, qu’il va te suivre ! Une fois dans la pièce, il se lava les mains tout en jetant un œil sur les lieux. Une nuisette indiquait que la belle dormait en tenue légère. « Jolie nuisette, pour une bien jolie femme ! » Rosa fut estomaquée par la réflexion. Ce type était du genre direct et mignon en plus… Elle avait constaté qu’il était musclé et elle le trouvait tentant ! Mais elle était mariée et mère de famille !!! Elle le vit, comme dans un rêve, souriant et sûr de lui, s’approcher d’elle et lui mettre la main au cul. « Cà ne doit pas être marrant pour une aussi jolie poupée de passer ses nuits seule au lit ! Je pourrais te tenir compagnie, non ? » La main s’était glissée sous la jupette et posée sur la fin tissu de sa culotte. Elle tremblait et se sentait hypnotisée…« Non, laissez moi…Je suis une honnête femme mariée… » Il se moquait bien de son beau discourt, pas très assuré. Jérôme savait qu’elle ne pouvait pas lui résister. Ses yeux lui criait « Baise-moi » ! Tranquillement, il se pencha et lui roula une pelle qu’elle accepta et partagea. La main avait franchit le rempart de la culotte et un doigt se glissait entre les cuisses de Rosa. Elle se contracta un peu, mais quand il lui demanda de faire tomber sa jupe, elle s’exécuta et la culotte lui fut retirée dans l’instant. La bouche de Jérôme continuait à la rendre muette en lui roulant pelles sur pelles. Lentement, il finit de la déshabiller et, une fois qu’elle fut nue, il lui dit :« Allons dans ta chambre, je vais te donner tout le plaisir que tu mérites… » Moins de 5 minutes plus tard, elle avait les doigts et la langue de cet inconnu dans sa chatte incendiée. Ce type lui faisait des choses qu’elle ignorait possible. Quand il se mit nu et qu’il réclama une pipe, elle se montra assez maladroite mais pleine de bonne volonté. Jérôme avait une magnifique bite, longue et assez épaisse. Elle le fit durcir avant qu’il ne la pénètre d’une longue poussée, jusqu’au plus profond de sa chatte… Les orgasmes s’enchaînèrent et Rosa découvrit qu’elle adorait se faire baiser et obéir à un homme directif. Il se vida trois fois en plus de trois heures, dans la chatte surchauffée de Rosa. Elle apprit à lui nettoyer la queue après ses éjaculations et elle aima le goût de son foutre, elle qui n’avait jamais goûté celui de son mari. A plusieurs reprises, il lui mit un doigt dans son cul inviolé et il lui dit que, bientôt, il l’enculerait comme la bonne salope qu’elle était, le méritait. Quand il parti, elle était une femme adultère et elle ne regrettait rien. Il lui dit qu’il reviendrait le lundi suivant pour la baiser aussi longuement. A son retour, Bruno ne s’aperçu de rien. Elle ne lui parla pas de la visite de Jérôme et quand il voulu la baiser en début d’après midi, elle se laissa faire mais ne se montra pas plus entreprenante ni enjouée que d’habitude. Il se vida dans sa chatte assez rapidement et elle simula un plaisir quasi inexistant…Rosa comprenait qu’elle n’était pas mariée avec un amant remarquable et qu’elle avait beaucoup de plaisir à rattraper ! En ce Mardi soir, il était un peu plus de 20h lorsqu’on sonna à la porte. Rosa sursauta et cru, un instant que Jérôme revenait déjà. Elle alla ouvrir, en robe courte, de jean délavé. A la porte, un type qui devait avoir une cinquantaine d’années. Pas bien grand, trapu et très ordinaire. « Salut, je m’appelle Jean et je suis un copain de Jérôme et collègue de Bruno. Parait que tu es une sacrée petite cochonne et que tu as besoin qu’on s’occupe de toi… Alors, je viens te montrer comme on peut s’éclater avec un vieux paysan ! » Rosa resta un instant pétrifiée. Elle n’avait pas envie de se faire ce type, mais il semblait savoir des choses et elle avait peur qu’il ne parle à Bruno.
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DANDY83
Les plaisirs s'enfilent... vite ma suite!
J'aime 26/02/25
hommemarie5962
Bonjour, nouveau et débutant, j'aimerais être la salope d'un Maitre du Nord
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hommemarie5962
je suis par moment sur st quentin, que chch tu ?
J'aime 16/02/25
Diablotin02
Message en MP
J'aime 17/02/25
Bonjour, J’ai décidé de devenir une soumise free use. Que recommandez -vous pour vivre au mieux cette pratique ?
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MeDo
D'être très disponible 😉😅
J'aime 11/02/25
Monsieur Alex
Et de le faire savoir dans ta région pour être utilisé
J'aime 11/02/25
Monsieurtoff
D ailleur de quel région est tu ?
J'aime 11/02/25
MeDo c’est certain 😂. Pour le reste je ne le suis qu’avec mon maître !
J'aime 11/02/25
laurette_coquine
Avant tout , de le pratiquer avec quelqu’un en qui tu peux avoir confiance ! Attention à ceux ou celles qui veulent juste « profiter « d’une soumise pour du sexe facile sans chercher le plaisir de la partenaire également 1f609.png
J'aime 11/02/25
Laurette_coquine, effectivement je le connais bien puisque c’est mon conjoint depuis quelques années ! 1f642.png
J'aime 11/02/25
DrSad
Du dialogue, et beaucoup de sexe !
J'aime 11/02/25
NicoDiscret
La communication et la confiance avec ton maître, perso pour le Free use j’aime que ma soumise favorise les tenues jupe / robes sans sous-vêtements
J'aime 12/02/25
Gehtro
Totalement d’accord avec Laurette coquine 👍
J'aime 12/02/25
@NicoDiscret Merci pour la réponse, nous envisageons de faire cela effectivement !
J'aime 17/02/25
ElieMaster
Salut comment allez vous, les profil sans photo ne m'intéresse pas j'ai une photo fait en autant, Recherche du moment : une femme ou un trans en 2 étapes pour exhibe devant couple ou trio ou juste duo. 1ere: quelque rencontre avec la femme ou trans afin que je valide 2eme étapes : rencontre avec le couple on vois les 3 scénarios possible 1er scénario : couple regarde exhib de la femme ou trans sans contact physique 2eme scénario : tout simplement un trio madame non bi. 3eme scénario : la femme ou trans sera prise devant madame.
Soyez la première personne à aimer.
Obscure Claire
Bonjour/Bonsoir Décidément, j'en apprends des termes que je ne connaissais pas ! ( et sur moi aussi ) Je ne dis jamais non à mes sex-friends, même dans des situations ou lieux insolites. Est ce que ça fait de moi une " free use " ? Ou suis je juste quelqu'un qui aime trop le sexe ?
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outstore
Bonjour, Alors déjà, juste sur la base, le free use est un arrangement entre deux adultes consentants. L’un des partenaires jouit de la liberté d’initier le rapport sexuel sans demander et sans préliminaires, qu’importe que l’autre partenaire soit occupé, endormi, ou en train de faire complètement autre chose. C'est avant tout, selon moi, une façon de faire plaisir, ainsi que d'en prendre, sans se poser de question, sans prise de tête. Donc, le fait que tu ne dises jamais non, et que tu sembles être toujours consentante, partante, pour avoir des rapports, est bien du free use. Après, pour ton autre question : trop aimer le sexe ? , je te dirais, simplement, trop s'est comme pas assez 😉
J'aime 09/02/25 Edité
Faut il vraiment nous mettre dans des cases? Mais il semblerait que oui ce côté free use te plaise 1f60b.png
J'aime 09/02/25
Jeandom
Je trouve qu hercule et omphale ont raison, si tu es bien comme cela que tu sous freeuse ou pas importe peu non ? Par contre l idée de freeuse peut te stimuler pour être encore plus disponible 1f61b.png
J'aime 10/02/25
Jeandom
Bonjour à tous
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minidoc
bonjour Jeandom
J'aime 26/01/25
Giel17
Salut, Jeandom : ) Jean-Dom inique, ou Jean dom inateur ? Les deux ?
J'aime 26/01/25
Jeandom
sourire, lequel préfères tu ? Les deux j'espère et tu aimerais être utilisé ?
J'aime 27/01/25
Giel17
@Jeandom Ce n'est pas une réponse : ) Mais pour ma part, je réponds Oui à tes deux questions... Mon profil ne peut laisser de doute sur ma nature de soumise impertinente...
J'aime 27/01/25
daniela_soumise
a partagé une photo
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MeDo
Ravissante ! De quand date cette photo ? Est-ce vous ?
J'aime 25/01/25
daniela_soumise
C'est moi en 2004.
J'aime 25/01/25
Gorparis
Dom parisien, je ne connaissais pas ce terme. À priori, une freeuse peut évoluer au sein d’une relation d’un soir ou d’une relation d’appartenance.
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Douxreveur
C'est bien ce que j'ai compris aussi ! Ou juste laisser l'autre se servir d'elle, ou de lui à sa convenance ! Sans avoir à demander !
J'aime 15/01/25
Maîtresse Elsa
Je suis en sueur dans le vestiaire. La tête penchée, une serviette sur le dessus pour éponger. "- Ca va Camille? Me demande Stef, une coéquipière. - Oui ça va. Merci. Et toi? Dur l'entraînement hein? - Grave! Il était fâché le coach non? Notre dernière défaite ne lui a pas plu, me dit-elle en riant. - Sans doute,lui répondis-je. Allez, douche et hop! A la maison! - Tellement! Je vais me laver chez moi, je dois me dépêcher! A Jeudi Cam'! - Ok! A Jeudi Stef!" Je me rends compte que toutes mes coéquipières sont parties. Je suis restée trop longtemps sous ma serviette... Je me dépêche d'aller prendre ma douche. Je retire mon t-shirt, ma brassière, mon short, ma culotte et mes chaussettes. L'odeur qui en échappe révéle l'intensité de la séance. Ça pue. Je souris et me dirige nue vers la douche. Je m'arrête, surprise de voir Dasha. J'étais pourtant persuadée d'être seule. Je n'ai pas vu son sac dans le vestiaire. Comme moi, elle est nue et se lave. Elle lève les yeux vers moi et me fixe : -" T'es encore là toi? Me dit-elle" Son ton est dur. Elle est comme ça Dasha. Dure. C'est une super joueuse. Elle pourrait être capitaine mais son attitude ne joue pas en sa faveur. Ni son hygiène de vie. Dasha est une grande noire d' 1 mètre 75, je dirais, soit 15 cm de plus que moi... et elle est "costaud". Elle a une grosse poitrine, des mamelons très foncés, du ventre qui déborde et un gros cul qui pointe vers le haut. Son visage n'est pas très beau non plus. Elle est joufflue, de gros sourcils habillent le dessus de ses yeux marrons, un nez large et de grosses lèvres. Le tout garni de cheveux crêpus. Au fait, la capitaine, c'est bibi! Et je crois qu'elle ne l'accepte pas trop... -"Comme tu peux le constater", lui répondis-je, en me dirigeant sous un pommeau. Je sens son regard sur moi. Je ne suis jamais à l'aise seule. J'ai toujours ressenti une tension. A cause du capitanat? je n'en suis même pas sûre. Je me lave, toujours dos à elle, en espérant qu'elle quitte les douches pour que je puisse faire ma toilette intime. Mais non. Elle reste. -"T es bien foutue Cam' tu sais..." Sa phrase me surprend. Elle est vraiment en train de me mater. Aucun doute maintenant. -" Euh... merci... balbutiais-je, - Ca te gêne les compliments sur ton corps? - Disons que je ne suis pas habituée venant d'une femme." Je ne me suis toujours pas retournée. Elle ne peut voir que mon dos et mes fesses. je vais pas vous mentir, je sais que je suis mignonne, jolie, bonne... même si j'ai toujours pensé que le physique n'était pas la qualité première chez quelqu'un. Mais 10 ans de basket, plus le fitness à côté et mon régime végétarien adopté depuis 5 ans m'ont permise d'avoir un corps svelte et musclé. Ajouter là dessus une poitrine bien ronde, bien ferme de 95 C, un cul élégant et rebondi, le tout ssurplombéd'un visage fin avec de grands yeux marrons clairs, un nez tout mignon, une jolie bouche bien dessinée, des cheveux longs châtains, le tout agrémenté d'un joli sourire, vous m'avez devant vous! -"T'es vraiment une beauté blanche... - Merci, lui dis-je en me tournmant vers elle. " Je la regarde, je dois être gentille aussi, faire un compliment en retour : "- T'es jolie aussi tu sais. - Ne sois pas gentille. Ça te donne un air condescendant, me jette-t-elle, - quoi?! Non mais... - je suis beaucoup moins jolie que toi et tu le sais... Nos corps sont differents! j'ai facile 20 kg de plus et c'est pas du muscle! Mais ça ne me dérange pas. J'aime mon corps tel qu'il est. - mais moi aussi, j'aime ton corps tel qu'il est! lui répondis-je du tac au tac sans réfléchir. " Pourquoi ai-je dit ça? "- Ah oui? me demanda-t-elle en me fixant dans les yeux." Cette conversation prend une tournure étrange. Comment l'a-t-elle interprétée? La tension qui a toujours existé entre nous vient de s'accroître. Je le sens. Mon corps chauffe, le rouge me monte aux joues et je sens mes jambes se dérober... Sans parler de mon ventre et de ma... non mais qu'est ce qui m'arrive! Ne sachant pas comment gérer cette situation, je prends peur et m'apprête à sortir de la douche. -" Euh excuse moi j'ai fini, je vais sortir! - ah bon? Mais tu viens juste d'arriver... tu ne t es pas lavée les cheveux, ni ta chatte et ton cul!" Chatte? Cul? Ces mots prononcés ont un effet électrique sur moi. -"je finirais chez moi" Mais elle s'approche. Plus près. Beaucoup trop près. Je sens son souffle sur mon cou ... mon corps commence à trembler, j'ai du mal à respirer... que m'arrive-t-il? "- Alors Capitaine? On perd ses moyens? Me sussure-t-elle dans le creux de l'oreille, - Écoute Dasha, je ne sais pas à quoi tu joues, mais saches que je ne suis pas lesbienne, pas bi, pas attirée par les femmes, ok? - Hum... t es sûre? Ton corps semble dire le contraire ma belle..." La situation est trop pour moi. Je n'arrive plus à gérer mes émotions, ni mon corps. Je sens ses mains sur mes épaules, ce qui me fait pousser un petit cri de ... pimbêche. Je suis ridicule. "- Enlèves tes mains! - Pourquoi? Je te donne un coup de main pour te laver afin que tu puisses sortir plus tôt. C est gentil non?" A quoi joue-t-elle? Je sens à présent ses mains parcourir mon dos, mousser le savon, ses ongles griffonnent ma peau... je me mords la lèvre, lorsque ses mains passent sur mes fesses. Je sens ma chatte se gonfler... heureusement que nous sommes sous la douche, je mouille tellement... "- Arrêtes s'il te plaît. Je ne suis pas à l'aise avec ça. - d'accord, je vais arrêter. Je ne voudrais pas que tu penses que je te harcèles ma jolie. Mais avant si tu permets... - quoi?" Et là je sentis sa force. Ses mains sur mes épaules, elle me retourne face à elle. Les yeux dans les yeux, je me sens toute petite. Moi, la capitaine, la leader de l'équipe... Je baisse les yeux, croise mes bras et mes jambes comme pour me protéger. Je me sens tellement victime alors que... "- laisse moi... dis-je d'une petite voix soufflée. - je vais te laisser ne t'inquiète pas, ma petite. Comme je te l'ai dit, je ne veux pas que tu penses que je suis une harceleuse. Je te laisse le temps de venir à moi. - comment ça? Je ne sais pas ce que tu attends de moi, mais tu te trompes! - non, je ne me trompe pas. Surtout en te voyant comme ça. Pauvre petite chose... soumise... - soumise? - oui soumise. Ce que tu ressens devant moi, cette chaleur qui t'envahit depuis tout à l'heure, c'est juste le plaisir de la soumission. Je l'ai toujours sentie avec toi. J'ai toujours voulu te posséder et je sais que tu ressentais cette tension également puisque ton attitude change en ma présence. Ai-je tord? - je... je... - reprends ton souffle ma belle, et dis moi." Je sens sa main me caresser le visage et le remonter pour que nos regards se retrouvent à nouveau. J'ai les yeux larmoyants. Je ne sais plus quoi penser. Mon corps est chaud, tremblant et ma chatte est au bord de l'explosion. Cette tension. Je sais maintenant qu'elle a raison. Je n'ai jamais été attirée par les filles mais là, face à elle, c'est différent. Ce n'est pas le fait que ce soit une femme qui m'attire, c'est elle. Juste elle et ce qu'elle est. Je ressens sa supériorité de plein fouet. "- Alors Capitaine? Me demande-t-elle sur un ton ironique - je... je ne sais pas... - A genoux! " M'ordonne-t-elle et immédiatement mon corps obéit. Mon visage est face à sa chatte noire et touffue. Elle n'en prend pas soin. Ses lèvres intimes légèrement rosées sont gonflées comme les miennes. Je suis hypnotisée par celle-ci. Je veux la goûter, je veux la prendre en bouche. Je sens ma langue sortir de ma bouche quand elle reprend la parole : - Alors Capitaine? Qu'es-tu? - je... je... je suis une soumise, dis-je d'une petite voix. - je n'ai pas entendu Capitaine! Plus fort! - JE SUIS UNE SOUMISE! criais-je. Et cela me libéra. Je ne sais comment l'expliquer mais une fois sortie de ma bouche, je me sentis beaucoup mieux. - Et que veux-tu?" Mon regard sur sa chatte et l'eau à la bouche, je lui répondis : "- te lécher. - ne me tutoies pas. Et finis tes phrases par Princesse. - D'accord Princesse. Je veux vous lécher la chatte, s'il vous plaît Princesse. - Très bien. Mais saches que si tu lèches ma chatte, tu acceptes de devenir ma pute blanche, mon animal de compagnie. Tu seras à mon service à tout moment, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Tu obèiras à chacun de mes ordres quelqu'ils soient, pour mon bon plaisir. Comprends bien, tu ne t'appartiens plus. Tu es à moi. Seulement à moi. Est-ce clair?" Ce petit discours m'émoustille encore plus. Ma chatte est gonflée de plaisir prenant le dessus sur ma raison. J'ai bien saisi que si je pose ma bouche sur cette magnifique chatte, ma vie va changer. Mais comment? Alors que je réfléchis à la question, mon inconscient ou je ne sais quoi, choisit pour moi et ma bouche se pose sur sa chatte, ma langue prit le chemî de son antre pour aller goûter le jus de ma Princesse. J'agrippe ses fesses bien grasses et ne les lâchent plus. Je la bouffe. Je sens ma chatte ruisselante de bonheur, mes tétons pointant comme jamais. Je l'entends gémir. Elle m'attrape la tête et la pousse fort sur son vagin. Je ne peux peux plus respirer, mon nez est collé à son clito. Ma langue continue à fouiller son con, ma bouche se remplit de son jus. J'avale chaque goutte comme un cadeau. Je me sens tellement bien. Sa respiration s'accélère, je sens qu'elle va jouir. Elle relâche la pression sur ma tête, ce qui me permet de prendre une bolée d'air. Elle frotte sa chatte sur mon visage, je suis réduite à un objet sexuel. Elle me barbouille le visage de sa chaude cyprine et je l'entends crier en se tendant. Un flot se déverse sur mon visage et mes cheveux. Elle enfouit à nouveau mon visage dans sa chatte pour que je puisse boire son jus. Elle finit en continuant de s'essuyer sur moi puis me relâche. "-Embrasse ma chatte. - Oui Princesse." Et je dépose un doux baiser sur son clitoris. "- Tu vas sortir de la douche tel quel. Tu ne te nettoieras le visage et les cheveux seulement demain matin. Je veux que tu dormes avec mon odeur. - mais Princesse, je dois manger avec ma mère et..." Une gifle tombe. Obéir. "- Oui Princesse - Bien. Avant de te coucher, tu écriras sur ton ventre " PUTE BLANCHE DE DASHA" avec un feutre indélébile. Tu m'enverras une photo. Je vérifierai par la même occasion que tu n'as pas pris de douche. Compris salope? - Oui Princesse. - je vais partir. Mais comme je suis une gentille princesse, tu as le droit de te masturber dans la douche dès mon départ du vestiaire. Sans faire couler l'eau hein me dit-elle avec un sourire en coin. - Merci Princesse." J'attendis 10 mn qu'elle s'en aille. Je commençe à grelotter, le froid de la douche et l'humidité m'enlacant, mais dès que j'entends le son de la porte se fermer, ma main se jete sur ma chatte et j'entreprends une masturbation effrénée. En pensant à ce que je venais de vivre et à ce que j'allais découvrir. Je jouis comme jamais. Sentant chacun de mes muscles se tendre, mes yeux se revulser, submergée par cette vague de plaisir. Un cri sort du plus profond de mon être. Une fois passé, je redte allongée sur le carrelage de la douche. Je prends 5 bonnes minutes pour échapper de ma torpeur orgasmique... je rampe jusqu'au banc du vestiaire. Je m'habille rapidement et sors du gymnase pour rentrer chez moi avec les effluves de Dasha sur mon visage.
13 personnes aiment ça.
Koolkam74
Super récit, très excitant, vraiment !! Merci
J'aime 26/11/24
Ecrivez encore .... j adore
J'aime 14/01/25
psyshow
a partagé une photo
Photo du net. Une simple utilisation de la langue du soumis en cage tout en buvant un bon verre.
15 personnes aiment ça.
là cage aux folles
J'aime 07/01/25
Douxreveur
Une image de la perfection !
J'aime 07/01/25
Bonsoir Pensez vous la relation free use Dominant/ soumise compatible en couple ? oui non Comment selon vous la chienne devrait elle après son ^Dominant par Maitre ou par son prénom usuel ou autres ? Merci
1 personne aime(nt) ça.
Qu en est il de la sentimentalité et douceur si on veut que sa complice devienne Free use ?
J'aime 01/12/24
Une_Poupee
Il faut y aller doucement pour que votre complice devienne votre FreeUse, mais tout est possible selon ce que chacun recherche réellement ...
J'aime 02/12/24
Une_Poupee
Cela n'empêche pas de conserver vos sentiments et votre douceur, envers cette personnes. Un objet sexuel restera toujours un être humain !
J'aime 02/12/24
Ce que je me demande aussi …faut il vraiment vouloir jouer ou ne plus le faire et attendre qu elle vienne d elle même
J'aime 02/12/24
Elle m a signé une lettre d engagement de soumise , on a passé la soirée tout s est déroulé comme voulu
J'aime 02/12/24
Et puis la semaine d après , je lui demande de jouer , ça l a soûle le matin , elle devait faire des trucs à son bureau ou elle est seule …elle l a joué un peu mais n était pas dedans ….résultat des courses je lui ai dis on est pas sur la même longueur d ondes …Continuer ou rester dans une relation vanille ???
J'aime 02/12/24
Que ferais tu a ma place 😉?
J'aime 02/12/24
Une_Poupee
Vous dites, "elle devait faire des trucs à son bureau ou elle est seule", donc je suppose qu'elle devait travailler ... Il y a un temps pour tout.
J'aime 02/12/24
Une_Poupee
Il y a au moins deux choses propre à la personne soumise qu'il faut respecter ... Le travail et la famille !
J'aime 02/12/24
Alors j ai fais une erreur
J'aime 02/12/24
Je vais m excuser
J'aime 02/12/24
Mais pour moi ça faisait partie de son obéissance en tout lieux …je lui avais dis d ailleurs que ça se passerait au bureau ….elle aurait pu dire : je veux pas dans ce lieu
J'aime 02/12/24
Une_Poupee
Elle semble être une vraie soumise et pour cela, elle ne vous dira jamais non ! "son obéissance en tout lieux" ne veux pas dire durant son temps de travail ou devant sa famille ... Je pense que vous devriez séparer deux choses : Le temps du dialogue pour expliquer les choses à votre partenaire, afin qu'elle puisse en discuter ouvertement et sans réprimande, et le reste du temps où vous êtes le Maitre et elle, la soumise. C'est bien d'avoir reconnu votre erreur, à défaut, vous devriez ouvrir un dialogue pour en discuter et voir ce qu'elle en pense. Peut-être y-a-t-il un autre Maitre qu pourrait l'expliquer avec ses mots.
J'aime 03/12/24
Pour l’instant je ne la relance plus j attendrai qu elle vienne d elle même , elle m’ a déçu je lui ai dis , elle n a pas obéi quand je lui demandais ….intensité 4/10 note donnée par les 2
J'aime 03/12/24
La famille bien sur j en tiens compte
J'aime 03/12/24
Et d accord avec toi plus simple de séparer travail et soumission bien que dans l éducation que je voulais lui donner elle soit capable d obéir à distante à l instant T , travail de rigueur , concentration et d abandon
J'aime 03/12/24
Une_Poupee
"capable d obéir à distante à l instant T", C'est impossible durant son travail ... Son principal Maitre quand elle bosse, c'est son patron ! Mais cela ne l'empêche pas de suivre vos ordres, comme se prendre en photo nue à son travail, si c'est compatible avec son travail et selon le moment où elle peut le faire.
J'aime 03/12/24
C est elle son patron
J'aime 03/12/24
Une_Poupee
lol
J'aime 03/12/24
Une_Poupee
Raison de plus de respecter son boulot !
J'aime 03/12/24
Alors j ai fais une erreur de lui demander ça
Soyez la première personne à aimer.
Jötunn
Bonjour Nous organisons une soirée entre couple le samedi 18 janvier près de Lisieux (Normandie) Nous souhaiterions avoir un ou une soumise à notre disposition pour agrémenter notre soirée. Comme pour les couples présents, le choix sera fait avec soin. Me contacter directement Bonne journée
Maîtresse Elsa
Je viens de rejoindre ma chambre, le cœur battant, le gros marqueur rouge dans la main. Je m'assois sur le lit pour me calmer. Inspire. Expire. Ferme les yeux. Grande inspiration. On retient. On expire en soufflant loin. Dès que je sens que ça va mieux, je me lève et me déshabille. Une fois, nue, je me dirige devant mon grand miroir. Je me regarde. Je me sens tellement faible. Je pense à Dasha. Et ma chatte s'éveille. Putain. Je la regarde. Sans poil, elle est couverte d'une fine couche d'humidité. Qu'est ce qui ne va pas chez moi? Dasha a raison... cette situation m'excite. Mais je ne la comprends pas. Je ne me reconnais pas. Moi, je suis une leadeuse! J'aime décider, motiver, diriger! Mais pas avec elle. Sa présence m' Mon téléphone bipe. Je l'attrape tout de suite, et j'ai raison car c'est Dasha. "Alors? Ça vient? Tu aimes trop me faire attendre...et je n'aime pas ça..." Je lui réponds de suite : "Excusez-moi Princesse, je viens de finir de manger et je m'apprête justement à faire mon devoir." Je dois me dépêcher. Je baisse la tête pour voir mon ventre mais mes seins me gênent. Je m'allonge sur le lit. C'est mieux. Je relève mes fesses et je commence à écrire en gros et en lettres capitales : PUTE BLANCHE DE DASHA. Voilà. C'est fait. Je repose mes fesses, me relève et prend une photoen prenant soin de ne pas faire apparaître mon visage. Photo envoyée. Mes tremblements reviennent avec l'excitation. Mon cœur pulse dans ma chatte... Oooooh putain... je croise mes jambes et je reprends mon exercice de respiration en attendant une réponse de Dasha. Elle n'arrive pas. Je vois pourtant qu'elle l'a ouvert. Me fait-elle payer mes attentes? Je regarde la photo. MERDE! je n'ai pas fait attention mais on voit clairement que je mouille... ma chatte est gonflée et suintante... j'étais tellement focus sur le temps, le texte et mon ventre que je n'ai pas fait attention à ça... et mes tétons... des traîtres. Je veux me toucher le clito... la chaleur s'empare de tout mon corps, j'ai chaud, je transpire... Je me laisse tomber sur le dos. Bip du téléphone. Vocal de Dasha. "Je ne sais pas quoi penser de cette photo, ma petite pute... tu as bien obéi, aucun problème, mais... as-tu honte de ta Princesse? As-tu honte d'être à mes pieds? Si c'est le cas, saches que ta honte sera pire demain au lycée." Je suis abasourdie par ce vocal menaçant. Je me redresse. Mais qu'est ce qui ne va pas encore? Je lui fais un vocal de suite, paniquée : « Mais Princesse, je ne comprends pas! J'ai obéi! J'ai écrit sur mon corps! » Vocal de Dasha « Oui petite chienne. Mais comme pour ton vocal, JE NE SAIS PAS QUI TU ES! Je veux voir ma chienne obéir! Je veux voir sa petite gueule regarder l'objectif! Tchiiiiiip... ET FAIS UN EFFORT SUR LES POSES!» Nan mais là... C'est absurde! je me regarde dans le miroir mon reflet désolant... nue, avachie sur mes cuisses, pleurant... elle me pousse à bout. Pas mon visage... Reprends-toi. Essuies tes yeux. Lève-toi. Elle a déjà ta voix avec ton nom. Debout, je me redresse dos droit, tends ma jambe gauche, plie légèrement la droite pour donner un peu plus de relief à mon cul rebondi. Je tourne un peu la tête, un peu plus vers le haut, oui comme ça, je prends une moue boudeuse et triste en posant mon index droit sur ma lèvre inférieur. Je tends le bras gauche au-dessus de moi, et j'enclenche la photo. Je ne me reconnais pas... Si je ne suis pas aguicheuse sur cette photo... J'ai l'air d'une bimbo en chaleur. Je lui envoie avec un petit mot : "J'espère que cette photo vous conviendra, Princesse. Avec mes excuses." Vocal de Dasha, quasi immédiat : " Aaaaaah voilà la petite chienne que j'ai adopté dans les douches tout à l'heure! Tu me donnes envie de venir te prendre là maintenant petite salope. Mais rassures toi, je vais patienter. En plus, je constate que toi aussi, tu as très envie de me voir... NE JOUIS PAS." Un léger sentiment de satisfaction me fait sourire... Un dernier message et je vais me coucher : « Merci Princesse. Bonne nuit et à demain » J'attends un peu mais pas de réponse. Je vais aux toilettes m'essuyer, oooooooh! le calvaire... le passage de la serviette sur mon con surgonflé m'oblige à me mordre la lèvre... De retour dans mon lit, j'entame une méditation pour me calmer. Le lendemain. Mon réveil sonne et comme tous les matins, je saute du lit. Je ne suis pas du genre à traîner sous la couette. J'ai bien dormi. Comme un bébé,, héhé. Je passe devant mon grand miroir, et il me raméne à la réalité. Je lise l'inscription sur mon ventre : Pute Blanche de Dasha. Je secoue la tête et je me passe un t-shirt et un short pour pouvoir descendre prendre le petit-déjeuner dans une tenue décente. Comme à chaque fois, mon père est déjà en train de prendre son café. Je ne l'ai pas entendu rentrer hier. "- Bonjour papa, ça va? - Ca va et toi? - Ça va. Tu es encore rentré tard hier soir... - Oui ma puce. C'est compliqué au boulot en ce moment. Tu sais que nous sommes en restructuration et je ne peux pas me permettre le moindre faux pas. - Je comprends, papa et j'espère que ça va aller - Merci ma puce. Bon, je dois y aller. A ce soir. Ou demain... - Bon courage papa! " Je sais que mon père est dans une situation délicate professionnellement. Avec maman, nous le laissons tranquille pour qu'il puisse vivre ce passage difficile le plus facilement possible. Du moins, dans son foyer. J'attrape un mug, prépare mon petit-déj et m'installe. Je scrolle sur mon téléphone. Message de Dasha : « Tu fais quoi? » Euh sérieux? Qu'est-ce que je peux faire à 7 heures du mat'? « Je déjeune Princesse » « Envoie une photo » Une photo de quoi? De mon mug? Mes céréales? Mon jus? Qu'est-ce qu'elle veut? Je réfléchis. Pas longtemps car je me doute bien qu'elle veut débuter sa journée avec une photo de sa salope en mode aguicheuse. Mais quelle position? J'entends ma mère aller dans la salle de bain. Vite. Je pose mon téléphone sur le plan de travail puis je retire mon t-shirt pour m'afficher comme sa propriété. Je prends mon mug de lait chaud et sa cuillère. Je règle le minuteur sur 5 secondes, j'appuie et je prends la pose que j'ai en tête, vue dans un magazine Playboy lors d'une sortie scolaire quand j'étais plus jeune. Je me rends compte que 5 secondes c'est long en fait... Je me sens un peu con dans la cuisine. La photo est prise. Je la regarde. Putain... je dégouline... et mes tétons sont durs! La photo me montre à moitié nue, le mug dans la main gauche, la cuillère dans la droite au-dessus de ma bouche faisant couler le lait sur ma langue, et dans le creux de mes seins aussi... J'envoie la photo, remets mon t-shirt rapidement sans m'essuyer, entendant ma mère arriver. - Bonjour ma puce, ça va mieux? Bien reposée? - Oui ça va super. Merci Maman. J'ai vu papa. Enfin aperçu... - Oui le pauvre... il est rentré après minuit hier soir... il est fatigué... - Je sais maman... espérons que cela se passe aux mieux. » Un bip émet de mon téléphone mais étant avec ma mère, je ne peux pas le regarder. Je me doute de qui c'est. Je sais que je dois regarder. Ne pas la faire attendre. J'écoute ma mère que d'une oreille, je dois prendre mon téléphone. Dès qu'elle se retourne pour son pain grillé, je jette un œil. Merde... elle a fait un vocal. Je réponds rapidement que je ne peux pas l'écouter étant avec ma mère. 2nd bip. Nouveau vocal. J'ai compris... Je finis mon mug, je trouve une excuse bidon et quitte la cuisine. Une fois dans ma chambre, j'écoute les vocaux de Dasha. Le 1er : « Wahooo! On voit que tu n'es pas 1ere de la classe pour rien ma petite salope! Tu apprends vite!" » Son ton est un peu condescendante mais sa voix est douce, ce qui me fait rougir comme une petite ado de 13 ans.. AAAAAAAAAAH! 2nd vocal : « JE SUIS TA PRIORITÉ. PAS TA MÈRE, PAS TON PÈRE, PERSONNE D'AUTRES. COMPRIS SALOPE? » Ok. Changement d'ambiance. Je décide de lui répondre vocalement pour la calmer en prenant une petite voix mielleuse : « Oui Princesse, vous êtes ma priorité. Je vous prie de m'excuser. Comme vous l'avez dit dans votre 1er vocal, j'apprends... » Mon dieu... d'où me sort cette voix de pimbêche? Je prépare ma tenue pour la journée puis me dirige vers la salle de bain, pour prendre enfin ma douche. « Et si elle me contacte pendant que je suis sous l'eau? » pensais-je... Je ne peux prendre le risque de la fâcher. Je lui envoie un message : « Princesse, je serai indisponible quelques minutes, le temps de ma douche. Je vous prie de m'excuser, Princesse ». En moins de 24 heures, j'en suis réduite à lui dire ce que je fais pour éviter des remontrances... J'attends 5 minutes, en me regardant dans le miroir et contemplant mon visage toujours couvert de la mouille de Dasha, Pas de réponse. Je file sous la douche. N'ayant toujours pas de réponse, je me prépare pour partir au lycée. Je m'habille de manière décontracté : sweat mauve, t-shirt blanc à col rond, jeans et basket. Avec bien entendu ma doudoune, mon écharpe et mon bonnet pour affronter le froid de l'hiver. A 8 heures, sac à dos en place, j'embrasse ma mère et lui souhaite une bonne journée puis je prends la direction du lycée. Je n'ai toujours pas de message de Dasha. Peut-être a-t-elle décidé de me laisser tranquille? Ou elle est vraiment fâchée... Après 20 mn de marche, j'arrive aux abords du lycée et aperçois mes amies Laure, Sophie et Clémence. Je leur fais signe de la main et m'approche d'elles. Après les salutations matinales, nous échangeons sur tout et rien. On se connaît depuis la 6e, donc 7 ans maintenant! J'adore mes amies. Nous vivons sans doute notre dernière année scolaire ensemble avec le bac à la fin de l'année! Nous sommes maintenant des jeunes adultes célibataires n'ayant pas encore vu le loup malgré quelques amourettes. On est assez sage faut dire. Enfin... jusqu'à hier me concernant...Et peut-on dire que j'ai vu le loup? Enfin, prenant des douches collectives assez souvent avec les joueuses, j'ai déjà vu d'autres sexes féminins que le mien. Mais le fait de l'avoir goûté? Mon corps en frissonne rien que d'y penser. D'ailleurs, je jette un coup d'œil à mon téléphone pour vérifier que je n'ai pas raté de message. Mais non. Pas de nouvelles. « Allez les filles! On y va! » dit Laure et nous la suivons dans l'enceinte du lycée. On se sépare en duo car nous ne sommes pas dans la même classe. Avec Clémence, nous nous dirigeons vers notre première heure de cours. La matinée se passe normalement. A midi, nous retrouvons nos deux copines pour aller manger au réfectoire. Sur le chemin, je la vois remonter le couloir, droit vers moi avec deux copines. A mesure que nous nous rapprochons, mon cœur s'accélère. Nous nous regardons, elle porte des vêtements larges et sans style comme d'habitude. Son visage est luisant de sueur, son regard dur. Je sens ma respiration prendre le tempo de mon cœur... Que va-t-elle faire? Que va-t-elle dire? On va se croiser, je baisse la tête, on se croise et... Rien. Elle n'a rien fait. Elle n'a rien changé aux habitudes. J'en souffle de soulagement. « Ça va Camille? me demande Laure. T'es toute rouge et tu transpires. T'as de la fièvre? » Encore cette scène... Je la regarde et la rassure : « Non ça va ça va. J'ai eu un coup de chaud sans doute à cause de ma doudoune et de la chaleur dans le couloir.» Nous poursuivons notre chemin quand mon téléphone annonce un message. Je n'ai pas de doute sur l'expéditeur. Je sors mon téléphone de ma poche : « WC 1er étage fond du couloir à gauche. Maintenant. » Montée d'adrénaline, je bredouille une excuse bidon à mes copines : - « Les.... Les filles, je dois rappeler ma mère, partez devant je vous rejoins. - Ok. Mais t'es sûre que ça va? C'est pas une mauvaise nouvelle? me demande Clémence - Euh non non, je ne pense pas. Ne t'inquiète pas lol. Allez! A tout de suite! - Ok meuf » Je prends mon téléphone et je fais semblant de composer le numéro de ma mère en prenant le chemin opposé à elles. Je simule une conversation, puis une fois le virage pris à gauche, je cours, grimpe les escaliers vers le premier étage et je traverse le couloir comme une furie. Heureusement, il n'y a personne. J'arrive devant la porte, je suis essoufflée, je transpire, mon cœur va exploser... J'essaie de reprendre mon souffle quand la porte s'ouvre... « Bah alors salope, on était pressée de voir sa Princesse? » Dasha apparaît devant moi dans l'encadrement de la porte, les bras croisés entre son ventre et ses seins. Soudain, elle dit : - « A genoux! - Mais Princesse, on est dans le couloir... - A genoux salope! » Je m'incline et m'agenouille devant elle en faisant bien attention à ne pas être vu. Le couloir est vide pour le moment mais ça ne va pas durer. « Voilà, c'est bien ma petite chienne. Rentre à quatre pattes. » Elle se décale pour me laisser passer et entrer dans les toilettes. J'ai un temps d'hésitation. Je n'ai pas envie d'avancer dans cet endroit, à 4 pattes. C'est dégoutant. Je la regarde de mes yeux larmoyants. - S'il vous plaît Princesse... Je ne veux pas... - Tu ne veux pas quoi? Obéir? - C'est sale, Princesse... - Assez sale pour une cochonne comme toi. Avance Maintenant! J'avance mes mains sur le sol collant et par endroit humide... Je serre les dents. Dasha reprend la parole en me laissant passer devant elle : - " T'as joui? - Non Princesse, - T'as eu envie de jouir? - Oui Princesse, - Pourquoi t' l'as pas fait? - Vous me l'avez interdit Princesse. - T'obéis bien, bonne fifille, » dit-elle en souriant et me caressant la tête. Dasha me pousse vers la cuvette des toilettes sans lunette. Elle prend et me tend du papier-toilette : - Nettoie salope. - Mais... Un simple regard de sa part a suffi pour me faire abdiquer. Quelle faiblesse... Je commence à frotter la cuvette avec dégout. Je sens Dasha bouger derrière moi et s'avancer, pour mettre sa tête au-dessus. Un filet de bave atterrit sur le bord. Elle fait ça tout autour. - Frotte maintenant. Oh! j'ai bavé dans tes cheveux... - C'est... C'est pas grave. Merci Princesse » Holola... Qui suis-je...? et je frotte cette cuvette, pour effacer les traces jaunâtres avec le papier imbibée de la salive de Dasha. Une fois satisfaite, elle m'ordonne de me lever. - "Retire ta doudoune, ton pull et ton T-shirt." Je m'exécute. Elle veut voir mes seins... prévisible... Je me déplace vers la poubelle pleine pour jeter le papier quand elle m'interpelle méchamment : - "Tu fais quoi là? - Je... Je vais jeter le morceau de papier-toilette, Princesse - Non. Pose-le là, à côté de toi." Je pose donc le papier sur le sol à ma droite. Je retire ma doudoune mais je ne sais pas où la poser. La garder sur mon bras me complique la tâche pour le reste. Dasha me regarde, puis le sol. Je l'observe, ne comprenant pas. Elle recommence en fronçant les sourcils. Non... Elle ne veut pas que je... non... 3e regard beaucoup plus dur à supporter, sa main se lève. Je baisse la tête, prends ma doudoune et je l'étends sur le sol dégoutant aux pieds de la cuvette. Ma doudoune sur le sol, en mode tapis... Je retire mon sweat et mon t-shirt qui la rejoignent. Je passe mes bras derrière mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. - "Tu fais quoi? - Euh bah je retire mon soutien-gorge, Princesse - Je te l'ai demandé? - Euh... - Euh! Euh! Euh! NON J' TE L'AI PAS DEMANDÉ! TU CROIS QUE JE VEUX VOIR TES SEINS CONASSE?! " J'ai peur qu'on l'entende! Je me ratatine à ses pieds en m'excusant et je retire immédiatement mes mains. - "Euh pardon Princesse, mais j'ai cru que... comme... - Comme quoi? Comme t'es ma pute, je veux forcément voir tes mamelles de chiennasse? - Non, non, bien sûr que non!" En réalité si. Mais ma lâcheté ne me laissera pas lui dire... Elle me pousse et me remet à genoux. Elle marche sur mes vêtements avec ses chaussures sales. Je suis sidérée. Elle me regarde et me demande de les lui retirer. Pouah quelle odeur! Ses chaussettes sont délavées et trouées. Quelle horreur! le pantalon maintenant. Je me redresse pour le déboutonner, je descends la braguette puis pose mes mains de chaque côté. La tâche se révèle ardue. Ses cuisses sont larges. Je dois mettre de la force pour le faire descendre. Une fois le passage fait, je lui retire et le pose sur mes vêtements. Maintenant la culotte. Elle est noire, défraichie et simple. Mon cœur palpite. Je vois une tâche d'humidité au milieu. Elle aime ce qu'elle fait. Je remonte les mains le long de ses cuisses qui sont en fait plus musclées que grasses. J'attrape les bords puis débute sa descente, le regard fixé sur son entre-jambe. - "Baisse les yeux! - Je.. euh... Oui Princesse." Je baisse sa culotte, frustrée de ne pas pouvoir revoir sa chatte... Un léger fumet s'en dégage, se frayant un chemin au milieu de l'odeur de ses pieds pour venir taquiner le bout de mon nez. Je me surprends à prendre plaisir à la sentir, à la laisser envahir mes narines. Je ne vous dirais pas que l'odeur est bonne, qu'elle sent la fleur. Oh non... C'était une odeur de fermentation mélangeant la sueur, l'urine sans doute et sa douce cyprine. Ma chatte palpite de plaisir. Une fois la culotte enlevée, je la mets avec le pantalon. Dasha se redresse, écarte les jambes au-dessus de la cuvette et me demande de me mettre dos droit devant elle, les mains sur les cuisses. Elle me dit : « Maintenant tu as le droit de regarder » Je lèves les yeux sur sa chatte touffue, légèrement luisante sans doute du plaisir de sa domination, puis soudain, un puissant jet d'urine vient frapper bruyamment la surface de l'eau. Je ne sais pas pourquoi mais cette vue me trouble. L'urine accentue l'odeur qui se dégage de sa chatte. Tout mon corps s'émoustille, mon clitoris se noie dans ma cyprine, mes tétons se dressent et se frottent sur les balconnets de mon soutif, ma respiration s'accélère... A mon grand désespoir, j'adore cette vue. Tout en pissant, elle me fixe, enfin, elle fixe surtout l'acte de propriété écrit sur mon ventre, avec un grand sourire. Elle me regarde : - "Tu aimes ce que tu vois? - Oui Princesse, soufflais-je - Tu veux toucher? - Toucher? euh..." La dernière fois que j'ai touché, ça m'a coûté la liberté. Du coup, j'hésite deux secondes mais mon envie est trop forte, je veux poser mon doigt sur son clito, caresser ses poils.... Alors que j'allais acquiescer, elle me dit : - "Trop tard. Je pensais que tu en avais vraiment envie en te regardant. Dommage. - Non non mais j'ai envie Princesse. Laissez-moi vous toucher, s'il vous plaît! - Non c'est trop tard. Je ne veux pas que ma chienne hésite à chaque question. Et puis j'ai fini de faire pipi. Essuie-moi! ce sera ton petit lot de consolation." Elle me montre le papier, je l'attrape, tire quelques feuilles puis approche doucement ma main sous sa vulve humide. Je le pose dessus et commence à l'essuyer. Je l'entends respirer plus fort. Je fais 3 passages et retire ma main. - "Pose-le avec l'autre et habille moi maintenant. - Oui Princesse." Ma chatte bouillonne, je m'en veux... Je veux jouir! Une fois habillée, elle me pousse et s'en va. Sans un regard. Me laissant seule, en soutif sur le sol dégueulasse des chiottes du lycée. Je me sens... plus bas que terre... et frustrée. MERDE! Je me lève, frotte mes affaires et m'habille. Une fois sorti, je prends la direction du réfectoire en repensant à tout ça. Presque arrivée, mon téléphone bipe. Dasha. Je souris malgré moi. « J'ai oublié! Prends les papiers et mets les dans ta culotte, contre ta foufoune ». Quoi? Nan... C'est crade et je suis loin des toilettes maintenant. Les élèves rejoignent le bâtiment et entrent dans les couloirs, la pause du midi se termine et je n'ai pas encore manger... Second message : « Prends une photo, p'tite pute » Raaaaaaah!!!! J'opère un demi-tour en accélérant le pas tout en maugréant. J'arrive aux toilettes mais elles sont occupées... Super... J'attends que la personne finisse. Chasse d'eau et... Oooooh! Mais quelle puanteur! je vois un élève, gros, gras, sortir. Il s'arrête devant moi, me regarde, et part vite en s'excusant. L'odeur est infecte. Comment c'est possible... Je rentre vite, ferme la porte. Je regarde par terre et je retrouve les papiers à leur place. Ouf... J'ouvre mon pantalon, tire sur ma culotte et les dispose contre ma « foufoune » sans réfléchir pour éviter d'être écœurée. Je vérifie qu'ils sont en bonne place et mon regard descendant se porte sur l'intérieur de la cuvette. Il a démonté les chiottes le con. De la merde partout... J'ai des hauts le cœur. Bref, téléphone, photo, message envoyé. Je ressors de là très vite. De l'air, j'ai besoin d'air. Le couloir est maintenant rempli d'élèves. Lorsque j'ouvre la porte, l'odeur s'échappe et les personnes autour me regardent. J'écarquille les yeux me rendant compte de la situation. Nan mais... Ce n'est pas moi.... Ils rigolent. J'entends leurs moqueries. Je tourne et baisse la tête rouge de honte pour aller retrouver Clémence pour les cours de l'après-midi, sans avoir eu le temps de manger... Message de Dasha : « C'était long parce que t'as chié? » Je ne comprends pas sa réponse, je regarde la photo et je vois la cuvette en arrière-plan... Je n'ai pas le temps de lui répondre qu'elle m'envoie un nouveau message : « La prochaine fois faudra nettoyer... Penses aux autres qui passent après toi... T'es dégueulasse! J'espère que tu aimes mon cadeau contre ta petite chatte... Smiley clin d'œil » Je suis au fond du trou, j'ai faim, je suis sale, je pue, sans parler encore une fois de ma frustration... et je ne me suis même pas lavé les mains...
Maîtresse Elsa
Le chemin vers la maison me paraît interminable. Mes jambes sont molles, j'ai dû mal à avancer. Je sens le suc séché de Dasha sur mon visage, son goût dans ma bouche. Que vient il de se passer? Qu'ai-je fait? Une fois l'excitation passée, la raison fait son retour de manière brutale. La descente est rude. Je sais que ma vie va changer. Cette idée me rend nerveuse. Comment a-t-elle pu me réduire à ça? Et comment ai-je pu aimer ça? Je m'emmitoufle dans mon écharpe pour cacher ma honte. Malgré le froid de l'hiver, j'ai chaud. Je libère le bas de mon visage de l'écharpe pour prendre le frais. Enfin bref. Réfléchir. Je dois trouver une solution. Personne nous a vu. Il me suffit de refuser d'obéir. Oui, voilà. Rien ne m'oblige et je peux nier ce qui s'est passé. Un sourire étire mes lèvres. Je rentre, je prends une douche et je tire un trait sur cette mésaventure. Voilà le nouveau programme de la soirée! Je continue mon chemin revigorée par cette idée. Arrivée à la maison, je salue ma mère qui s'approche et m'embrasse sur la joue! Je recule subitement. Gênée. Elle a posé ses lèvres sur mon visage, sur... non... Elle est surprise par mon attitude : "- Un problème ma Chérie? Tu ne veux plus que ta vieille mère t'embrasse c'est ça? Me dit-elle avec un petit sourire aimant, - Non Maman, excuse moi. C'est... euh... à cause de ... du froid! J'ai le visage tout froid. C'est pour ça! - oh excuse moi ma puce! Dis, tu rentres tard du basket non? - Euh... oui... parce que..." Chercher des excuses est compliqué. Je n'aime pas mentir. Je me reprends: "- Entraînement difficile, coach pas content, fatiguée" Wahou. Nul. "- Ah oui ma puce, je vois ça. Bon, va poser tes affaires dans ta chambre et prends une douche. Je suppose que tu n'as pas eu le temps." Comment ça? Je la regarde sans comprendre. Bah si j'ai pris une douche. "- Alloooo? Chérie? Va prendre ta douche. Lave moi ce visage tout collant de transpiration! Je l'ai sentie avec mon bisou." Oh mon Dieu! Je ne sais pas où me mettre. Ma mère a senti le jus de Dasha! Panique pas! Elle pense que c'est de la sueur. Reprends toi. "- Ah oui Maman. Excuses moi. Je suis vraiment fatiguée. Je monte". Je monte dans ma chambre et me laisse tomber sur le lit. Trop d'émotions. Ma mère a posé ses lèvres sur le jus de Dasha! J'ai honte. Pourtant, je lève mes mains vers mon visage et je pose mes doigts dessus. Elle a raison. Mon Visage colle. Je le sens sous mes doigts. Je les passe partout, sur mes joues, mon front, mon nez jusqu'au menton. Elle m'en a mis partout. J'ai chaud. Je ferme les yeux et je rejoue la scène. Mon visage dans sa chatte. Son ton. Sa prestance. Sa domination. Ses mains derrière ma tête. J'ai l'impression de tout revivre à nouveau. J'ai encore plus chaud. Mes joues rougissent. STOP. J'ouvre les yeux. Je regarde le plafond en me rendant compte que je suis trempée. Je passe ma main, et ce simple contact me tord de plaisir. Aaaaaaah. J'ai envie de me masturber... Alors que ma main commence un léger va et vient, mon téléphone bippe. Je n'y prête pas attention. 2nd bip. Je me mords la lèvre. Le plaisir monte. 3e bip. Puis 4,5,6... jusqu'au 12e où je décide de me lever pour prendre mon tél. Je suis frustrée. Qui peut me faire chier maintenant? Dasha. Mon cœur bondit et mes mains tremblent. J'ouvre ma messagerie. "Alors salope? Bien rentrée?" "Réponds moi!" "Règle à retenir petite pute : NE JAMAIS FAIRE ATTENDRE SA PRINCESSE" Et les messages suivants sont une suite de point d'interrogation. Je me sens mal. Ses messages outranciés me choqent autan qu'ils... m'excitent. Non, non. C'est à cause de ma frustration. Un message s'affiche devant moi. "Tu lis sans me répondre salope? Vraiment?" Encore un message. Vocal maintenant. Mon cœur se serre et mon ventre se contracte. J'ai peur. J'appuie sur lecture: "PUTAIN DE SALOPE! D'OÙ TU M'MANQUES DE RESPECT! JE VOIS QUE TU AS LU MES MESSAGES. SI TU REPONDS PAS MAINTENANT, JE DÉBARQUE." Je suis horrifiée par ce vocal. Je ne veux pas qu'elle vienne chez moi. Depuis la dernière fête avec les joueuses, elle connait mon adresse. Je m'empresse de répondre, malgré l'adrénaline qui s'empare de mon cops et me fait trembler : " Écoute Dasha, je ne sais pas trop ce qui s'est passé tout à l'heure. Je n'étais pas moi même. Alors est ce qu'on peut en rester là? Nous sommes coéquipières et élèves dans le même lycée. Restons amies." J'ai mis trop de temps à l'écrire à cause de mes tremblements. J'attends sa réponse. "Non. smiley Fuck" J'écarquille les yeux. Comment ça non? "J'arrive. smiley furieuse" J'écarquille encore plus les yeux. Non non non. "Non s'il te plaît ne vient pas. Je ne suis pas toute seule. Ma mère est là. Je ne veux pas de problème." Ma raison refait surface d'un coup et je repense à mon idée. Nier. Pourquoi ne l'ai-je pas fait des le départ? Putain... je suis trop conne. Je le fais maintenant? Je relis le 1er message que j'ai envoyé. Je suis trop conne. Je suis une abrutie. J'ai reconnu ce qui s'était passé... Je fais merde sur merde dès qu'il s'agit d'elle. Incapable de réfléchir... Nouveau vocal: " Tu as posé ta bouche de petite capitaine sur ma chatte en connaissance de cause non?" Sa voix est douce. Suave. Rien à voir avec le précédent. Ses mots, son ton m'électrisent. La manière dont elle m'appelle petite capitaine est tellement réducteur... Je ré-écoute. Encore. Et encore. Cette voix, cette phrase m'hypnotisent. "Oui..." J'abandonne. Elle a gagné, mon corps, mon esprit ne peuvent plus lutter... J'ai perdu. Il se passe beaucoup trop de chose en moi à cet instant précis. Les tremblements, la bouche sèche, la chatte trempée... Je viens donc d'admettre, de confirmer ce qui s'était passé. Et mon corps me brûle... j'ai chaud. Je sens la sueur se former sur mon front. Vocal: "Alors tu sais ce que tu es désormais et tu va me le dire à haute de voix" Sa voix... hum... J'écoute de nouveau 3 fois son vocal en serrant les cuisses. Je sais ce qu'elle veut que je dise. Elle m'a demandé de l'écrire sur mon ventre. Je me ressaisis, prends une grande inspiration et prononce de manière la plus audible possible : " Je suis la pute blanche de Dasha" J'expire bruyamment. C'est dégradant. J'en ai le souffle coupé mais je ris. Je ris de ça, de mon état, de ce que je viens de faire. Je sers plus fort mes cuisses. J'ai l'impression que je vais me pisser dessus. Vocal : " 2 choses ne vont pas dans ta réponse petite pute : 1/ je ne sais pas qui tu es. Prononce explicitement ton prénom et ton nom. 2/ tu as oublié ton rang par rapport à moi?" Je suis sidérée par son vocal et son ton plus dur. Je l'écoute encore 3 fois. Ça va devenir un toc? Mon prénom? Mon nom? Un vocal se conserve non? Elle pourra l'utiliser contre moi... Je ne sais pas quoi faire. 5 minutes se sont écoulés. Nouveau vocal: "Tu as vraiment envie de me voir on dirait... ne t'inquiète pas ma pute, je mets mes chaussures et j'arrive" Non non non!!! Je sais qu'elle peut le faire. Je me ressaisis. J'inspire, j'expire. Merci Petit Bambou. Je redresse la tête, prends mon téléphone sans réfléchir et me lance d'une petite voix : " Je m'appelle Camille TELLIER, et je suis la pute blanche de Princesse Dasha" Le vocal est envoyé. Je m'écroule sur mon lit. Mon corps tremble. Je pleure. Je ris. Ma respiration est lourde. J'ai conscience que ma vie va changer. Je veux me caresser. Vocal : "Bien ma pute. C'est mieux comme ça. N'oublie pas ton devoir ce soir. Ne jouis pas. On se voit demain au lycée." Ne jouis pas? Comment... Ma mère m'extirpe de ma torpeur : "- A table! - J'arrive! " Je sors difficilement de mon lit pour aller dans la salle de bain. Je regarde mon visage. Le mélange des larmes et du jus ont faits des stries blanches. Merde. Je ne peux pas descendre comme ça. Mais je n'ai pas le droit de me laver le visage. Je sers encore mes cuisses. Tant pis... Arrivée à table, ma mère me regarde. "-Tu ne t'es pas douchée?" Elle s'approche de moi et me fixe. "- Tu as pleuré ma Chérie? Ça ne va pas? - Euh si ça va maman. J'ai...j'ai écouté une musique qui m'a émue. Et oui désolée pour la douche, je me suis écroulée dans mon lit, écoutée de la musique et somnolée. Je la prendrais demain matin, c'est pas grave. [Ma chatte réagit à cette phrase par une vague de picotements]. - crado me dit-elle en souriant - oui dis je en rigolant, mais là je suis vraiment fatiguée. Je mange et je me couche! - Bien ma Puce. - Au fait, Maman, as-tu un feutre indélébile? [Ooooooooh... je sens mes lèvres et mon clito gonfler] - Euh attends... oui je crois dans le pot à l'entrée. Pourquoi?" Si tu savais Maman... ma chatte me consume sur place. Mes joues sont rouges. "- pour noter des choses sur..." Mon corps. "- sur mes classeurs. Mettre le nom des matières etc., tu vois? - d'accord. Mais je crois que c'est un marqueur rouge. En parlant de rouge, tu ne couves pas quelque chose toi?" Elle s'approche de moi et comme toute bonne maman pose sa main sur mon front poisseux de sueur et de... Je me retire. "- non ça va t'inquiète. Je suis juste fatiguée. Merci pour le marqueur." Nous poursuivons le repas puis je quitte ma mère pour aller me "coucher".
sissy jocelyne
free use.... Comme cela est attirant ! Sans possibilité de refus, de se soustraire à la moindre "demande", à toutes les exigences, en tout temps, en tout lieu, c'est un rêve !
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sissy jocelyne
je ne vois pas cela tout à fait de cet façon, mais chacun sa façon d'interprêter... Pour moi, à partir du moment ou on accepte le "jeu"...
J'aime 19/11/24
Le BDSM joue avec la limite du non, mais même pour une freeuse le "non" existe ce qui est normal car il existe des circonstance qui sortent de l'ordinaire et qui amènent l'arrêt du jeu. Mais on est d'accord par définition une freeuse ne dit pas non.
J'aime 19/11/24
C'est un plaisir Maitre Damon, j'éprouve beaucoup de respect pour vos positions en régles générales.
J'aime 19/11/24
Une_Poupee
Après avoir expliquer ses limites et donner son autorisation, pourquoi vouloir arrêter ?
J'aime 19/11/24
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