Je suis dominant cérébral. Ce qui me fait partir c'est de dresser une soumise avec la voix, l'émotionnel et le situationnel que génère entre autre les mots crus ou humiliants. Par ailleurs je  vais avec des soumises cérébrales, et c'est ce que celles que j'ai rencontré attendent.
J'évite les mots touchant au physique. Dans ce que je peux dire, "Ecartes les jambes salope", "les sacs à foutre comme toi ne méritent pas de préliminaires" "Je t'aime petite chienne lubrique" etc.
Le ton est aussi important que les mots car il contextualise le jeu d'humiliation en le limitant à la relation BDSM et renforçant le lien unique et si fort qu'est celui d'une relation BDSM.
A la fin c'est purement une logique SM, un besoin comblé par un besoin diamétralement opposé.
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