Coucou.
Le fameux "on ne joue pas avec la nourriture" me semble destiné aux enfants pour leur inculquer le respect de ladite nourriture, fruit de la terre et du travail des êtres humains.
Et c'est très bien! D'éducation catholique assez rigoriste puis militaire tout autant stricte, j'ai appris à ne pas gâcher, à toujours finir mon assiette en me rappelant que je suis une privilégiée de pouvoir manger à ma faim
(1 humain-e sur 10 souffre de la faim...).
Cependant, je suis la 1ère à régulièrement pratiquer le nyotaimori (déguster des sushis présentés sur le corps d'une femme nue). Et pas que des sushis : fraises/chantilly, tiramisu, etc...
Celà ne me pose aucun problème de conscience puisque je "finis mon assiette" évidemment!
Je transgresse sans doute certaines valeurs morales. Et encore : lesquelles?
Respecter l'autre? Tout le monde est consentement et y prend plaisir.
Respecter la nourriture? Elle est consommée mais dans un cadre particulier sans être gâchée.
J'ai, par contre, une certaine aversion pour le foodplay lorsqu'il s'agit de s'enduire le corps de nourriture...qui ne sera pas consommée. Chacun-e ses kinks mais ce n'est pas le mien. Je mettrais en parallèle une autre pratique : le needleplay (jeux d'aiguilles).
J'utilise beaucoup d'aiguilles et autres matériels à usage médical pour mon plaisir et celui de mes partenaires. J'anime aussi des ateliers à ce sujet.
Avant de débuter, je fais toujours remarquer le côté privilégié de jouer avec du matériel qui pourrait servir à soigner des gens.
On pourrait penser à une autre forme de gâchis. C'est pas faux.
Maintenant, il faut aussi savoir être à la hauteur de ses plaisirs! Pour finir, je vous dirais que le BDSM -à mon sens- a ce côté transgressif qui nous permet d'extérioriser certaines choses en toute sécurité et bienveillance.
Alors, gardez vos valeurs tout en prenant plaisir. Votre plaisir. Quelqu'il soit.
Le fameux "on ne joue pas avec la nourriture" me semble destiné aux enfants pour leur inculquer le respect de ladite nourriture, fruit de la terre et du travail des êtres humains.
Et c'est très bien! D'éducation catholique assez rigoriste puis militaire tout autant stricte, j'ai appris à ne pas gâcher, à toujours finir mon assiette en me rappelant que je suis une privilégiée de pouvoir manger à ma faim
(1 humain-e sur 10 souffre de la faim...).
Cependant, je suis la 1ère à régulièrement pratiquer le nyotaimori (déguster des sushis présentés sur le corps d'une femme nue). Et pas que des sushis : fraises/chantilly, tiramisu, etc...
Celà ne me pose aucun problème de conscience puisque je "finis mon assiette" évidemment!
Je transgresse sans doute certaines valeurs morales. Et encore : lesquelles?
Respecter l'autre? Tout le monde est consentement et y prend plaisir.
Respecter la nourriture? Elle est consommée mais dans un cadre particulier sans être gâchée.
J'ai, par contre, une certaine aversion pour le foodplay lorsqu'il s'agit de s'enduire le corps de nourriture...qui ne sera pas consommée. Chacun-e ses kinks mais ce n'est pas le mien. Je mettrais en parallèle une autre pratique : le needleplay (jeux d'aiguilles).
J'utilise beaucoup d'aiguilles et autres matériels à usage médical pour mon plaisir et celui de mes partenaires. J'anime aussi des ateliers à ce sujet.
Avant de débuter, je fais toujours remarquer le côté privilégié de jouer avec du matériel qui pourrait servir à soigner des gens.
On pourrait penser à une autre forme de gâchis. C'est pas faux.
Maintenant, il faut aussi savoir être à la hauteur de ses plaisirs! Pour finir, je vous dirais que le BDSM -à mon sens- a ce côté transgressif qui nous permet d'extérioriser certaines choses en toute sécurité et bienveillance.
Alors, gardez vos valeurs tout en prenant plaisir. Votre plaisir. Quelqu'il soit.
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