Qu'ils l'aient mal pris, c'eût été possible. C'était la crainte de mon Maître quand je lui ai fait part de mon intention, pour en discuter avec lui et demander sa permission. Il craignait que ça tourne à la catastrophe et que je sois in fine obligée de faire un choix: rompre les ponts avec lui, ou avec ma famille. Il m'a néanmoins donné son accord et m'a beaucoup soutenue dans cette initiative. Je lui suis totalement soumise et même s'il me laisse beaucoup de libertés en pratique, c'est lui qui décide et je n'aurais évidemment jamais pris une initiative aussi importante sans son accord.
Pour ma part, j'y avais bien réfléchi et je savais quand même où je mettais les pieds - je ne suis pas du genre à me lancer dans une initiative perdue d'avance et j'avais estimé que les chances de succès étaient élevées, même si dans ce domaine la certitude n'existe pas. Le risque principal était lié à ma capacité à bien expliquer la relation, mettre en évidence tout ce qu'elle m'apporte, mais, au pire, ils savent que je ne suis pas une fofolle qui s'engage dans n'importe quoi à la légère, donc selon toute vraisemblance ils se seraient dits que si je m'étais engagée dans cette relation de soumission c'est que j'avais de bonnes raisons, que je savais ce que je faisais, et ils m'auraient laissé la possibilité de réexpliquer encore et encore jusqu'à ce que ce soit clair.
Après, oui, ce fût un gros soulagement bien sûr. D'autant plus qu'ils ont accepté cette relation de manière bien plus favorable que ce que j'avais anticipé. Ne plus avoir à leur cacher la nature réelle de notre relation simplifie beaucoup de choses. Je ressens aussi (et ça je ne l'avais pas vraiment anticipé) de la fierté et une certaine excitation à m'assumer ouvertement comme femme soumise en leur présence. Je suis très fière d'appartenir à mon Maître et pouvoir assumer publiquement ma soumission devant les personnes qui me sont les plus chères, ça me fait quelque chose.
Quant aux collègues de travail je n'en ai jamais parlé. Même si certains pourraient comprendre, je sais très bien que ce genre d'information se répandrait comme une traînée de poudre et atteindrait rapidement d'autres personnes qui n'y comprendraient rien et qui d'ailleurs n'auraient pas vraiment envie de comprendre. Après, j'aurai l'étiquette "soumise" collée sur le front, et plus aucune possibilité de m'en défaire.
Pour ce qui est de donner des conseils, je m'en garderai bien. Chaque situation est particulière: le milieu professionnel dans lequel vous évoluez, la relation que vous entretenez avec vos proches, leur mentalité, ... Le seul conseil que je peux éventuellement donner c'est de ne pas révéler votre soumission sans y avoir bien réfléchi, car c'est irréversible. Si a posteriori cela s'avère être une mauvaise idée, vous ne pourrez plus revenir en arrière.
Pour ma part, j'y avais bien réfléchi et je savais quand même où je mettais les pieds - je ne suis pas du genre à me lancer dans une initiative perdue d'avance et j'avais estimé que les chances de succès étaient élevées, même si dans ce domaine la certitude n'existe pas. Le risque principal était lié à ma capacité à bien expliquer la relation, mettre en évidence tout ce qu'elle m'apporte, mais, au pire, ils savent que je ne suis pas une fofolle qui s'engage dans n'importe quoi à la légère, donc selon toute vraisemblance ils se seraient dits que si je m'étais engagée dans cette relation de soumission c'est que j'avais de bonnes raisons, que je savais ce que je faisais, et ils m'auraient laissé la possibilité de réexpliquer encore et encore jusqu'à ce que ce soit clair.
Après, oui, ce fût un gros soulagement bien sûr. D'autant plus qu'ils ont accepté cette relation de manière bien plus favorable que ce que j'avais anticipé. Ne plus avoir à leur cacher la nature réelle de notre relation simplifie beaucoup de choses. Je ressens aussi (et ça je ne l'avais pas vraiment anticipé) de la fierté et une certaine excitation à m'assumer ouvertement comme femme soumise en leur présence. Je suis très fière d'appartenir à mon Maître et pouvoir assumer publiquement ma soumission devant les personnes qui me sont les plus chères, ça me fait quelque chose.
Quant aux collègues de travail je n'en ai jamais parlé. Même si certains pourraient comprendre, je sais très bien que ce genre d'information se répandrait comme une traînée de poudre et atteindrait rapidement d'autres personnes qui n'y comprendraient rien et qui d'ailleurs n'auraient pas vraiment envie de comprendre. Après, j'aurai l'étiquette "soumise" collée sur le front, et plus aucune possibilité de m'en défaire.
Pour ce qui est de donner des conseils, je m'en garderai bien. Chaque situation est particulière: le milieu professionnel dans lequel vous évoluez, la relation que vous entretenez avec vos proches, leur mentalité, ... Le seul conseil que je peux éventuellement donner c'est de ne pas révéler votre soumission sans y avoir bien réfléchi, car c'est irréversible. Si a posteriori cela s'avère être une mauvaise idée, vous ne pourrez plus revenir en arrière.
Dernière modification le 09/03/2025 11:09:17 par sylvie35.
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