Bonjour Ekhko
Cf l'autisme et les troubles du langages quant à une moindre maîtrise langagière chez les hommes / femmes. >
"Une analyse récente mentionne un rapport de trois garçons pour une fille. Ce rapport de la prévalence entre les garçons et les filles va d'ailleurs certainement évoluer dans les années à venir avec les progrès actuels sur la détection du trouble du spectre autistique." dixit votre lien . Bien vu.
Certes la détection est encore appelée à évoluer car les méthodes diagnostiques s'adaptent selon le sexe pour renseigner et affiner le diagnostic quant aux f. L'imagerie cérébrale qui commence à être exploitée, elle, ne connaît pas de biais mais la médecine n'est pas une science exacte...[« Prendre en compte le sexe et le genre pour mieux soigner : un enjeu de santé publique », remis au ministère de la Santé en 2020 par le Haut Conseil à l’égalité (HCE).]
Mais je me demande si vouloir de l'égalité à tout prix, et ici en diagnostic médical, si cela ne risque pas d'être un biais en soi !? A chaque époque ses travers ... Tout est dans le curseur.
Mais si la médecine a moins étudié les pathologies / femmes ( Linfarctus est souvent donné en exemple) , la psychologie a-t-elle suivi le même chemin en ce qui concerne les cohortes étudiées par les chercheuses et les chercheurs ( h encore majoritaires dans ce domaine, je viens de regarder pour la France )? Je soulève cette question sans aucune arrière-pensée.
[ Suite à votre réflexion, j'ai relu qq articles récents sur les troubles du langage.On y parle du professeur, de l'enseignant, du médecin, de l'orthophoniste, des psychologues qui orienteraient eux-mêmes la détection et leur regard sur les garçons en raisons de stéréotypes de genre et de biais. Mais jamais comme aujourd'hui, les garçons n'ont été autant éduqués ( et donc détectés ?) que par les f. Beaucoup de ces études considèrent le sexe de la cohorte étudiée en se fichant comme d'une guigne du sexe des intervenants dans la détection. Ca laisse rêveur...
Dans les pays de l'OCDE, 70% des enseignants sont des f; en France 52 % des médecins sont des f et c'est croissant, 97 % des orthophonistes et 86% des psychologues sont des f, et dernier point qui n'est pas à l'honneur des h, les f sont bien plus présentes dans le suivi scolaire. Y échapperaient les activités sportives (?), les activités non sportives pour les enfants et ados sont également conduites en majorité par des f ( 69% des bafa en 2016 ). C'est ainsi !
Qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit : Il ne s'agit pas de trouver des boucs émissaires ( l'image n'est pas très heureuse, soit !) mais cela pose des questions quant aux biais qui travailleraient les personnels en question quant à la détection . ce n'est pas si limpide que ça . ]
Les aptitudes langagières sont nettement du côté des f et ce dès l'enfance .
Il faudrait aussi voir comment les f éduquent leur fille et leur garçon. Les filles sont bien plus souvent stimulées par leur mère qui leur parle plus et qui leur demande de les aider, bien plus qu'aux garçons ...
Et sur les réseaux, bdsm ou non d'ailleurs, la maîtrise langagière ...et surtout la perception juste de la réception des messages envoyés: positive, négative, réservée, enthousiaste,etc... de l'interlocutrice ou de l'interlocuteur est capitale... et nettement à l'avantage des f à mon avis.
Cf l'autisme et les troubles du langages quant à une moindre maîtrise langagière chez les hommes / femmes. >
"Une analyse récente mentionne un rapport de trois garçons pour une fille. Ce rapport de la prévalence entre les garçons et les filles va d'ailleurs certainement évoluer dans les années à venir avec les progrès actuels sur la détection du trouble du spectre autistique." dixit votre lien . Bien vu.
Certes la détection est encore appelée à évoluer car les méthodes diagnostiques s'adaptent selon le sexe pour renseigner et affiner le diagnostic quant aux f. L'imagerie cérébrale qui commence à être exploitée, elle, ne connaît pas de biais mais la médecine n'est pas une science exacte...[« Prendre en compte le sexe et le genre pour mieux soigner : un enjeu de santé publique », remis au ministère de la Santé en 2020 par le Haut Conseil à l’égalité (HCE).]
Mais je me demande si vouloir de l'égalité à tout prix, et ici en diagnostic médical, si cela ne risque pas d'être un biais en soi !? A chaque époque ses travers ... Tout est dans le curseur.
Mais si la médecine a moins étudié les pathologies / femmes ( Linfarctus est souvent donné en exemple) , la psychologie a-t-elle suivi le même chemin en ce qui concerne les cohortes étudiées par les chercheuses et les chercheurs ( h encore majoritaires dans ce domaine, je viens de regarder pour la France )? Je soulève cette question sans aucune arrière-pensée.
[ Suite à votre réflexion, j'ai relu qq articles récents sur les troubles du langage.On y parle du professeur, de l'enseignant, du médecin, de l'orthophoniste, des psychologues qui orienteraient eux-mêmes la détection et leur regard sur les garçons en raisons de stéréotypes de genre et de biais. Mais jamais comme aujourd'hui, les garçons n'ont été autant éduqués ( et donc détectés ?) que par les f. Beaucoup de ces études considèrent le sexe de la cohorte étudiée en se fichant comme d'une guigne du sexe des intervenants dans la détection. Ca laisse rêveur...
Dans les pays de l'OCDE, 70% des enseignants sont des f; en France 52 % des médecins sont des f et c'est croissant, 97 % des orthophonistes et 86% des psychologues sont des f, et dernier point qui n'est pas à l'honneur des h, les f sont bien plus présentes dans le suivi scolaire. Y échapperaient les activités sportives (?), les activités non sportives pour les enfants et ados sont également conduites en majorité par des f ( 69% des bafa en 2016 ). C'est ainsi !
Qu'on ne me fasse pas dire ce que je n'ai pas dit : Il ne s'agit pas de trouver des boucs émissaires ( l'image n'est pas très heureuse, soit !) mais cela pose des questions quant aux biais qui travailleraient les personnels en question quant à la détection . ce n'est pas si limpide que ça . ]
Les aptitudes langagières sont nettement du côté des f et ce dès l'enfance .
Il faudrait aussi voir comment les f éduquent leur fille et leur garçon. Les filles sont bien plus souvent stimulées par leur mère qui leur parle plus et qui leur demande de les aider, bien plus qu'aux garçons ...
Et sur les réseaux, bdsm ou non d'ailleurs, la maîtrise langagière ...et surtout la perception juste de la réception des messages envoyés: positive, négative, réservée, enthousiaste,etc... de l'interlocutrice ou de l'interlocuteur est capitale... et nettement à l'avantage des f à mon avis.
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