@ Monsieur VraiEsclavagiste,
N’est-ce pas posté sur le forum et non le mur général ? Je dois dire que c’est la première fois que j’ose m’aventurer là de cette manière.
Les avis féminins ont suivi le vôtre… J’avoue que j’étais très curieuse de connaitre le ressenti de soumises sensibles à cela.
Il est vrai que j’y vois davantage de l’extrême dans le fait d’être esclave que soumise. Un lâcher prise plus intense, plus incisif … à revoir mais peut être est-ce aussi mon désir ? Milles questions. Tant que cela est non subit et progressif. Deux points que vous avez soulignés et qui sont plus que véridiques et à ne pas perdre en tête.
Un troisième également tout aussi important : le choix de son propriétaire.
Etre esclave à son Maître ne signifie pas l’être à tous. J’avais besoin de ce rappel car autre que l’humiliation, j’ai en horreur le sentiment de faiblesse. Mais choisir Celui à qui l’on offre cela peut avoir une saveur différente.
L’état d’esprit que vous avez décrit sur les dispositions d’une esclave donne des clés et réassure.
Merci pour celle ci : « il faut avoir du caractère pour accepter ce que certains qualifieraient d'inacceptable ! »
Je dois commencer à apprendre à taire mes craintes vis à vis d’un esclavagisme imposé, noir, qui tire vers le bas et nourrir une image plus libératrice aux pieds de Celui qui s’en montrera digne.
Lire vos partages de vécues d’esclaves donne un nouveau souffle et ne rend plus ce chemin si inaccessible, froid et néfaste.
Quant à l’humiliation, hum c’est assez intime pour m’épancher là dessus…Mais je comprends à présent ce que cela pourrait apporter au Maître de faire vivre cela à son esclave. Un preuve d’obéissance, d’abandon, d’adoration …