« Se définir, c’est avant tout arrêter de se raconter une histoire que l’on voudrait que les autres croient. »
Que pensez-vous de la jalousie ?
Chez les autres, chez vous, chez votre partenaire…
Je ne pense pas être quelqu’un de jaloux. Mais comme toute bonne assertion, celle-ci ne peut se vérifier qu’une fois expérimentée.
Alors certes, je suis quasiment sûr de ne pas aimer que l’on me coupe un bras. Mais en vrai, peut-être que je kifferais…
Je ne suis pas maso, et à l’exception d’une toute petite expérience personnelle quand j’étais gamin, je ne fais qu’enfoncer des portes ouvertes.
J’ai été élevé par une mère extrêmement tolérante. Pas avec cet extrémisme qui caractérise l’époque actuelle mais plus un « je m’en fiche soit qui tu veux » très plaisant et qui aujourd’hui encore me sert de ligne directrice dans mon appréciation de la vie.
Petit, elle me disait souvent : quand tu auras une copine, ou un copain, tu fais bien ce que tu veux.
Elle m’a trompé 1 semaine après.
Je me souviens encore de ce moment.
Pas celui où elle m’a trompé parce que, heureusement, je n’étais pas là. (je précise pour le lecteur peu imaginatif). Nous étions sur le canapé, j’allais faire à manger et alors que j’étais concentré sur le menu (j’adore cuisiner), elle se mit à pleurer.
Imaginez, tellement bon que mon futur repas traversait le temps pour l’émouvoir avant même qu’elle y goûte. Prends ça ROBUCHON !
« Il faut qu’on parle »
Vous la connaissez peut-être cette fameuse phrase. J’ai toujours cru à une légende urbaine. Vous savez, comme la dame blanche, tout le monde en parle mais personne ne l’a jamais vue (ou personne n’en est revenu vivant pour le raconter, qui sait?)
Et bien si, elle existe.
« Je t’ai trompé hier soir, j’étais à cette soirée et je sais même pas pourquoi je l’ai fait, parce que je suis bien avec toi et je veux pas tout faire foirer... »
Le fameux discours.
Je ne sais pas si vous êtes amateurs/amatrices de science-fiction mais la dissociation d’expérience c’est un truc qui revient souvent dans un certain sous-genre.
Ou pas, il est tard et je ne suis plus très sûr des auteurs mais si c’est bien le cas, mattez la culture du bonhomme, et sinon, preum’s, je m’en vais pondre une nouvelle dessus.
Bref, trêve de digressions.
J’étais donc sur ce canapé et je vivais la scène de deux manières distincts. La première, en mon for intérieur, où je me concentrais sur le repas et sur ce que j’allais cuisiner, tout en m’écoutant dire d’une oreille imaginaire distraite, écoutes, ce n’est pas grave, l’important c’est d’être honnête et puis y’a pas mort d’homme, je m’en fiche.
On a discuté pendant 10 minutes, la majeure partie moi en train d’essayer qu’elle arrête de pleurer et je m’entends même à la fin lui dire « je t’aime ».
A ce stade, je me permets de rappeler une chose. Je voulais être en couple. Je me retrouvais dans cette situation pour une raison qui m’échappait (si on considère la vie d’un point de vue holistique bien évidemment) mais cela me permettait de confirmer deux choses.
La première, je ne suis pas jaloux, c’est bon, c’est confirmé.
La seconde, j’avais moins d’attentes et d’implication dans la situation qu’elle.
Je n’ai jamais rencontré de pervers-narcissique ni été confronté à la toxicité. Ce fléau que chaque femme semble croiser une fois dans sa vie (les hommes aussi, sûrement). Mes amies en parlent, la télé en parle, l’instagram de ma copine en parle, ce forum en parle, mais moi, jamais vu.
Et comme dans une pièce, si tout le monde trouve que ça pue sauf toi, c’est donc que c’est toi qui a pété, il m’arrive de me poser la question, suis-je ce monstre que les autres dépeignent ?
Il m’arrive de réfléchir à cela de temps en temps.
Mais plus comme une soupape de sécurité que comme une véritable remise en question de qui je suis.
La question peut néanmoins se poser car d’un certain point de vue, je jouais avec elle.
Mais ne me faisons pas pousser des cornes tout de suite.
Cette discussion eut quelques effets. Elle libéra nos échanges. Parce que en vrai, voir quelqu’un qui s’ouvre, qui se montre vulnérable, je trouve ça beau et une belle marque de confiance. Tout comme à l’époque, je ne trouvais rien de plus beau que de voir ma soumise s’abandonner à mes petites perversions. Les yeux bandés et le souffle court dans l’attente des sévices.
(Je place quelques bribes de temps en temps pour pas vous endormir ^^)
Ensuite, puisque cette courgette avait commis l’adultère (ça marche hors mariage?) sans protection adaptée, il nous fallait renoncer à la chose le temps que les tests soient ok.
Je ne sais pas si les hommes et les femmes sont égaux quant au sexe.
Depuis que je suis en âge de pratiquer, j’ai toujours eu une grosse libido et me suis toujours retrouvé dans la position du demandeur car l’autre n’arrivait pas à suivre.
Avec le temps, l’expérience et les nouvelles connaissances glanés au détour de quelques manuels plutôt cool, cela s’est accentué.
Alors si tu m’annonces qu’il va falloir pratiquer l’abstinence, et que en plus c’est de ta faute, le petit démon en moi s’agite.
Que pensez-vous de la jalousie ?
Chez les autres, chez vous, chez votre partenaire…
Je ne pense pas être quelqu’un de jaloux. Mais comme toute bonne assertion, celle-ci ne peut se vérifier qu’une fois expérimentée.
Alors certes, je suis quasiment sûr de ne pas aimer que l’on me coupe un bras. Mais en vrai, peut-être que je kifferais…
Je ne suis pas maso, et à l’exception d’une toute petite expérience personnelle quand j’étais gamin, je ne fais qu’enfoncer des portes ouvertes.
J’ai été élevé par une mère extrêmement tolérante. Pas avec cet extrémisme qui caractérise l’époque actuelle mais plus un « je m’en fiche soit qui tu veux » très plaisant et qui aujourd’hui encore me sert de ligne directrice dans mon appréciation de la vie.
Petit, elle me disait souvent : quand tu auras une copine, ou un copain, tu fais bien ce que tu veux.
Elle m’a trompé 1 semaine après.
Je me souviens encore de ce moment.
Pas celui où elle m’a trompé parce que, heureusement, je n’étais pas là. (je précise pour le lecteur peu imaginatif). Nous étions sur le canapé, j’allais faire à manger et alors que j’étais concentré sur le menu (j’adore cuisiner), elle se mit à pleurer.
Imaginez, tellement bon que mon futur repas traversait le temps pour l’émouvoir avant même qu’elle y goûte. Prends ça ROBUCHON !
« Il faut qu’on parle »
Vous la connaissez peut-être cette fameuse phrase. J’ai toujours cru à une légende urbaine. Vous savez, comme la dame blanche, tout le monde en parle mais personne ne l’a jamais vue (ou personne n’en est revenu vivant pour le raconter, qui sait?)
Et bien si, elle existe.
« Je t’ai trompé hier soir, j’étais à cette soirée et je sais même pas pourquoi je l’ai fait, parce que je suis bien avec toi et je veux pas tout faire foirer... »
Le fameux discours.
Je ne sais pas si vous êtes amateurs/amatrices de science-fiction mais la dissociation d’expérience c’est un truc qui revient souvent dans un certain sous-genre.
Ou pas, il est tard et je ne suis plus très sûr des auteurs mais si c’est bien le cas, mattez la culture du bonhomme, et sinon, preum’s, je m’en vais pondre une nouvelle dessus.
Bref, trêve de digressions.
J’étais donc sur ce canapé et je vivais la scène de deux manières distincts. La première, en mon for intérieur, où je me concentrais sur le repas et sur ce que j’allais cuisiner, tout en m’écoutant dire d’une oreille imaginaire distraite, écoutes, ce n’est pas grave, l’important c’est d’être honnête et puis y’a pas mort d’homme, je m’en fiche.
On a discuté pendant 10 minutes, la majeure partie moi en train d’essayer qu’elle arrête de pleurer et je m’entends même à la fin lui dire « je t’aime ».
A ce stade, je me permets de rappeler une chose. Je voulais être en couple. Je me retrouvais dans cette situation pour une raison qui m’échappait (si on considère la vie d’un point de vue holistique bien évidemment) mais cela me permettait de confirmer deux choses.
La première, je ne suis pas jaloux, c’est bon, c’est confirmé.
La seconde, j’avais moins d’attentes et d’implication dans la situation qu’elle.
Je n’ai jamais rencontré de pervers-narcissique ni été confronté à la toxicité. Ce fléau que chaque femme semble croiser une fois dans sa vie (les hommes aussi, sûrement). Mes amies en parlent, la télé en parle, l’instagram de ma copine en parle, ce forum en parle, mais moi, jamais vu.
Et comme dans une pièce, si tout le monde trouve que ça pue sauf toi, c’est donc que c’est toi qui a pété, il m’arrive de me poser la question, suis-je ce monstre que les autres dépeignent ?
Il m’arrive de réfléchir à cela de temps en temps.
Mais plus comme une soupape de sécurité que comme une véritable remise en question de qui je suis.
La question peut néanmoins se poser car d’un certain point de vue, je jouais avec elle.
Mais ne me faisons pas pousser des cornes tout de suite.
Cette discussion eut quelques effets. Elle libéra nos échanges. Parce que en vrai, voir quelqu’un qui s’ouvre, qui se montre vulnérable, je trouve ça beau et une belle marque de confiance. Tout comme à l’époque, je ne trouvais rien de plus beau que de voir ma soumise s’abandonner à mes petites perversions. Les yeux bandés et le souffle court dans l’attente des sévices.
(Je place quelques bribes de temps en temps pour pas vous endormir ^^)
Ensuite, puisque cette courgette avait commis l’adultère (ça marche hors mariage?) sans protection adaptée, il nous fallait renoncer à la chose le temps que les tests soient ok.
Je ne sais pas si les hommes et les femmes sont égaux quant au sexe.
Depuis que je suis en âge de pratiquer, j’ai toujours eu une grosse libido et me suis toujours retrouvé dans la position du demandeur car l’autre n’arrivait pas à suivre.
Avec le temps, l’expérience et les nouvelles connaissances glanés au détour de quelques manuels plutôt cool, cela s’est accentué.
Alors si tu m’annonces qu’il va falloir pratiquer l’abstinence, et que en plus c’est de ta faute, le petit démon en moi s’agite.
2 personnes aiment ça.