Bonjour,
Avant d'aller plus loin, je précise que les exemples que je donne sont au masculin dans un souci de lisibilité.
Rappelons d'abord que la soumination est le fait pour un soumis d'inciter son partenaire à le dominer, alors que ce dernier n'est à priori pas dominant.
J'aimerais d'ailleurs que ce post ne se limite pas à la soumination mais qu'il englobe aussi la démarche opposée (dont je ne connais pas le nom) qui consiste pour un dominant à inciter son partenaire à se soumettre à lui.
Je pense que la soumination est une démarche fréquente dans les relations vanille car beaucoup de gens, même s'ils ne s'associent pas à l'univers BDSM, ont un penchant pour la soumission ou la domination et ce penchant s'avère peu ou pas satisfait dans leur vie intime habituelle. Et cette démarche est importante pour que ces soumis et dominants puissent vivre les situations nécessaires à leur équilibre. Sauf que son issue me semble très imprévisible, ce qui en fait un pari risqué :
De mon expérience, j'aurais tendance à considérer les deux premiers scénarios comme les plus probables - même si bien sûr, tout dépend de ce qui est demandé, de l'ouverture d'esprit du partenaire, de la nature de la relation, etc. Mais j'ai aussi lu des témoignages sur ce forum de soumis étant devenus dominants (ou l'inverse, je ne sais plus), ce qui montre qu'adopter un nouveau rôle est possible et ce qui laisse de la place au troisième scénario.
De votre côté, que pensez-vous de la soumination ? Y avez-vous déjà eu recours, et avec quels résultats ?
J'ajoute enfin que même si cette démarche est égoïste, elle me semble malheureusement quasi-inévitable pour une partie de la population dont les besoins ont peu de chances d'être satisfaits naturellement. Je pense notamment aux hommes hétéros soumis (comme moi) confrontés à la rareté des femmes dominatrices.
Avant d'aller plus loin, je précise que les exemples que je donne sont au masculin dans un souci de lisibilité.
Rappelons d'abord que la soumination est le fait pour un soumis d'inciter son partenaire à le dominer, alors que ce dernier n'est à priori pas dominant.
J'aimerais d'ailleurs que ce post ne se limite pas à la soumination mais qu'il englobe aussi la démarche opposée (dont je ne connais pas le nom) qui consiste pour un dominant à inciter son partenaire à se soumettre à lui.
Je pense que la soumination est une démarche fréquente dans les relations vanille car beaucoup de gens, même s'ils ne s'associent pas à l'univers BDSM, ont un penchant pour la soumission ou la domination et ce penchant s'avère peu ou pas satisfait dans leur vie intime habituelle. Et cette démarche est importante pour que ces soumis et dominants puissent vivre les situations nécessaires à leur équilibre. Sauf que son issue me semble très imprévisible, ce qui en fait un pari risqué :
- Soit le partenaire tolère le rôle qui lui est demandé et la relation n'est pas altérée
- Soit le partenaire ne l'apprécie pas et la relation s'en trouve compromise
- Soit le partenaire y trouve son compte et la relation prend une nouvelle dimension
De mon expérience, j'aurais tendance à considérer les deux premiers scénarios comme les plus probables - même si bien sûr, tout dépend de ce qui est demandé, de l'ouverture d'esprit du partenaire, de la nature de la relation, etc. Mais j'ai aussi lu des témoignages sur ce forum de soumis étant devenus dominants (ou l'inverse, je ne sais plus), ce qui montre qu'adopter un nouveau rôle est possible et ce qui laisse de la place au troisième scénario.
De votre côté, que pensez-vous de la soumination ? Y avez-vous déjà eu recours, et avec quels résultats ?
J'ajoute enfin que même si cette démarche est égoïste, elle me semble malheureusement quasi-inévitable pour une partie de la population dont les besoins ont peu de chances d'être satisfaits naturellement. Je pense notamment aux hommes hétéros soumis (comme moi) confrontés à la rareté des femmes dominatrices.
Dernière modification le 10/11/2024 17:22:49 par Sacha.
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