Bonjour
Alors pour les liens, désolée... mais non. J'ai écrit ce texte il y a 2 ans, et je serais incapable de vous ressortir mes sources. Je sais qu'elles sont plurielles, mais où... :-/
Pour ma propre experience, c'est surtout une histoire de sensibilité, hypo ou hyper. Je suis pour ma part de type plutôt hypo, il me faut de l'intensité dans le contact pour ressentir quelque chose. Ainsi, une pénétration banale en mode vanille, avec petites caresses langoureuses, etc, est juste d'un ennui terrible pour moi car je ne ressens physiquement.... rien. J'ai besoin de "violence" pour ressentir les sensations de mon corps (d'où le masochisme).
A contrario, j'ai une amie qui est elle de type hyper niveau sensibilité, et pour qui les rapports sexuelles sont très difficiles car elle ressent trop tout avec énormément d'intensité au point que le moindre rapport, même extrêmement tendre et doux, en est presque trop violent pour elle.
Ce qui joue également est notre incapacité à comprendre les codes et implicites sociaux. Exit la place de la femme qui doit être gentille, douce, avenante, et surtout pas trop sexuelle, je l'ai compris j'avais dépassé la trentaine, et ne collais absolument pas au cliché, en n'ayant aucun problème à faire mes avances aux personnes me plaisant, à proposer frontalement une partie de cul si l'autre me plaisait, et à refuser tout aussi frontalement... Bref, j'avais parait il un comportement masculin. Et c'est l'ignorance des codes sociaux qui m'a permis d'oser le faire, donc l'autisme. Je ne connais aucune femme non autiste qui s'autorise à être aussi libre que je l'étais et le suis sans des années de déconstruction ou un grave trauma (donc pas à 20 ans lorsque j'ai commencé).
Alors pour les liens, désolée... mais non. J'ai écrit ce texte il y a 2 ans, et je serais incapable de vous ressortir mes sources. Je sais qu'elles sont plurielles, mais où... :-/
Pour ma propre experience, c'est surtout une histoire de sensibilité, hypo ou hyper. Je suis pour ma part de type plutôt hypo, il me faut de l'intensité dans le contact pour ressentir quelque chose. Ainsi, une pénétration banale en mode vanille, avec petites caresses langoureuses, etc, est juste d'un ennui terrible pour moi car je ne ressens physiquement.... rien. J'ai besoin de "violence" pour ressentir les sensations de mon corps (d'où le masochisme).
A contrario, j'ai une amie qui est elle de type hyper niveau sensibilité, et pour qui les rapports sexuelles sont très difficiles car elle ressent trop tout avec énormément d'intensité au point que le moindre rapport, même extrêmement tendre et doux, en est presque trop violent pour elle.
Ce qui joue également est notre incapacité à comprendre les codes et implicites sociaux. Exit la place de la femme qui doit être gentille, douce, avenante, et surtout pas trop sexuelle, je l'ai compris j'avais dépassé la trentaine, et ne collais absolument pas au cliché, en n'ayant aucun problème à faire mes avances aux personnes me plaisant, à proposer frontalement une partie de cul si l'autre me plaisait, et à refuser tout aussi frontalement... Bref, j'avais parait il un comportement masculin. Et c'est l'ignorance des codes sociaux qui m'a permis d'oser le faire, donc l'autisme. Je ne connais aucune femme non autiste qui s'autorise à être aussi libre que je l'étais et le suis sans des années de déconstruction ou un grave trauma (donc pas à 20 ans lorsque j'ai commencé).
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