bonjour à toutes et à tous, j'avais dit que je quitterais ce site à la suite de la dernière discussion que j'avais animée. Malheureusement, je vis une période d'intense amertume. Je pensais ces sentiments classés, mais je constate qu'il n'en est rien, et que ma récente aventure sur ce site a réactivé cette colère qui, finalement, semble assez existentielle chez moi. Vous vous en foutez, tant mieux pour vous, vous avez bien raison. Je suis peut-être à côté de la plaque, ce pamphlet n'a peut-être rien à faire ici, mais tant pis. J'ai vraiment besoin de vomir ça une bonne fois pour toute avant, cette fois-ci pour de bon, de vous laisser entre vous, entre adultes cultivés, distingués et élégants. Ma colère contre l’homme dominateur de plus de 50 ans, le grand vainqueur de la compétition sociale prend des tournures de plus en plus politiques. Je hais ce genre d’hommes quand il est en plus prédateur, suffisant, vicieux. Il justifie tout par son immense qualité alors qu’il n’est que chanceux, et patient. Et prêt à s’abaisser jusqu’où ses vieux genoux le lui permettent pour baiser de la chair fraiche. Notre société est ainsi faite : quand tu es un homme, tout est fait pour te rappeler que, tant que tu es jeune, tu n’es qu’un branleur, une pauvre merde qui ne mérite rien de plus qu’une tape sur l’épaule et avec qui on veut bien rediscuter plus tard, quand tu auras un peu d’expérience de la vie. Ce sentiment affreux, je l’ai vécu. Il constitue une sorte de négation d’éducation, l’inverse de la transmission. C’est juste une réaction d’exclusion de concurrents pour garder le pouvoir sur les femelles. C’est contraire à la relation de filiation, que je voyais avec mon oeil romantique comme quelque chose de plus fort que la logique de prédation, mais il n’en est rien. Ces vieux hommes dominateurs prédateurs ne voient pas les jeunes hommes comme leurs petits frères ou fils spirituels, ils les voient comme des rivaux qu’ils aimeraient tuer. Et mon instinct me dit que la société est malade de ça, que si les jeunes sont de plus en plus agressifs, c’est parce qu’ils ont de moins en moins de place dans la société : ils sont pauvres, les jeunes, n’ont plus accès au crédit pour la plupart et s’ils veulent tirer leur épingle du jeu, ils sont obligés de se rabaisser à prêter allégeance à ces vieux fils de pute de chefs, d'entrer dans cette merde de conservatisme, sans quoi ils seront des parias pour la vie. Donc, triés sur le volets par les maîtres, certains jeunes, de bonne famille bien entendu, sont autorisés à gravir les échelons pour qu’un jour, le plus tard possible car dans ce milieu, on ne transmet jamais rien, on garde tout jusqu’à la mort ; un jour, ces jeunes « élus » deviendront les maîtres à leur tour. La compétition sociale est biaisée jusqu’à la moelle, d’emblée. Tu comprends bien que si tu es jeune et pauvre, tu n’auras jamais accès aux meilleurs morceaux, peu importe ta valeur intrinsèque. Tout est mis en place pour érotiser au maximum la figure du mâle dominateur riche et cultivé, « bien habillé » (c’est à dire costard de marque, distingué), « d’âge mûr ». Tout est fait pour que les jeunes femmes identifient ce type de mâle comme le sommet de la pyramide, le must de l’attirance sexuelle. L’expérience, la confiance en soi et l’assurance érigés en valeurs ultimes de la virilité, la vraie. Parce que s’il ne s’agissait que de la taille de la bite, ou des caractères sexuels secondaires, certains hommes nés pour dominer de par leur famille n’auraient pas de quoi la ramener vu ce qu’il y a dans leur caleçon ou sous leurs fringues, or ces aléas sont absolument intolérables pour eux.Alors les plus patients attendent, dans l’aigreur, d’acquérir péniblement l’expérience qui pourra peut-être un jour leur permettre d’accéder à des femmes jeunes et désirables. Certains franchement plus talentueux tirent rapidement leur épingle du jeu, la plupart du temps s’il n’ont à se préoccuper que de leur jeunesse et pas de leur pauvreté. Et la sélection selon les règles de ce jeu truqué se fait : à 55 ans, soit tu as une Rolex, sois tu n’as plus de dents, et je vous laisse le soin d’imaginer qui des deux une jeune femme de 18 ans désire le plus. Et plus c’était dur de surnager, plus tu en as bavé durant ces décennies, plus tu as envie de faire crever les branleurs qui voudraient prendre ta place, et baiser un maximum de ces petites putes, fraiches et dociles.Et tous les moyens sont bons, sous couvert d’un peu d’éducation et de culture, tout est bon pour manipuler et exploiter les jeunes victimes de ce manège glauque vieux comme le monde. L’autorité, le pouvoir sont aisément détournés pour que, dès le plus jeune âge, les jeunes femelles tombent dans le piège distingué de ces vieux prédateurs pervers. Bien sûr, ils s’arrangeront pour convaincre et persuader les jeunes proies qu’elles sont pleinement consentantes, mais on consent à quoi quand on a 16, 17 ou 18 ans et que l’on est déjà entre les griffes d’un homme de trois fois son âge avec une position hiérarchique socialement établie comme supérieure ?Je suis malade quand je pense à ça, au nombre de ces jeunes femmes qui se réveilleront un jour, qui ne mouilleront plus à l’idée d’être la petite pute de ce genre de prédateur, parce qu’elles ne seront plus vues que comme des vieilles putes usagées, et leur maitre lassé partira à nouveau à la chasse pour trouver ailleurs de la jeune chatte vierge. Que restera-t-il de ce jeu sexuel transgressif excitant, quand ces jeunes femmes auront compris qu’elles étaient vues et consommées pour ce que leur jeunesse et leur innocence excitait chez leur « maître » et pas vraiment pour ce qu’elles sont, de façon invariable dans le temps ? Les dominateurs, les vrais, ne se ruent pas sur des filles ayant à peine une vague expérience de la sexualité. Ceux là sont des prédateurs, nuisibles à la société dans son ensemble. Les dominateurs dignes de ce nom, et je pense quand même qu’il en existe, prennent le temps de cerner la femme qu’ils veulent dominer : qui est-elle est ? Quelle est son histoire ? Ils n’ont probablement pas peur d’arriver après d’autres hommes. Les prédateurs, eux, veulent surtout serrer leurs misérables pattes de rapace sur une fille la plus jeune possible, pour qu’ils soient certains malgré le caractère très médiocre de leur petite personne, d’être l’homme le plus exceptionnel du monde aux yeux de cette jeune fille qui n'ont encore rien vu. Ils ont peur : peur de vieillir (alors qu’ils ne rêvaient que de « mûrir » avant…), peur d’être remplacés par des plus jeunes et vigoureux, peur que leur proie voit le monde et vole de ses propres ailes. Les dominateurs n’ont peur que de ne pas être dignes de dominer la femme qui leur fait confiance. Je suis écoeuré, parce que que dans douze ans, j’entrerai dans ma cinquième décennie, très symbolique dans ce « système de prédation ». Je devrais faire un choix entre transmettre ce que la vie m’a enseigné, ou garder mes grosses pattes jalousement sur ce trésor, et vivre comme un petit roi qui rêve d’un harem de chatte fraiche, et me terrer dans un monde d’apparences pour justifier ma propre grandeur, qui n’est évidemment qu’un mirage qui ne trompe que les idiots qui veulent bien y croire avant même de le voir. Je crois que je vais continuer à faire ce que je fais déjà, et tant pis si ces vieux rois vicieux me regardent avec dédain, tant pis si les jeunes vierges endoctrinées mouillent devant ces vieilles ordures et me crachent dessus. Tout ça n’a pas de sens, un jeune homme de valeur devrait avoir une belle vie, matérielle, affective et sexuelle. Or c’est trop rarement le cas, à cause de ces vieux cons possessifs et aigris, qui ne veulent que répéter le cercle vicieux duquel ils sont issus. Que ce cercle vicieux aille se faire foutre, que ces vieux cons qui se reconnaîtront aillent se faire foutre ! Et là, enfin, je peux partir l’esprit léger, en ayant dit vraiment ce que j’ai sur le coeur ! Merci à ceux qui m’auront lu, à ceux qui n’ont pas peur de se dresser contre un conformisme qui fait un inquiétant retour en force par les temps qui courent.Je souhaite aux victimes de ces ordures de comprendre au plus tôt où ceci les mènera, et qu’elles puissent émasculer symboliquement ces pitoyables hommes dès qu’elles en auront la force et la lucidité. Je leur souhaite évidemment aussi beaucoup de véritable bonheur et de plaisir loin de ces vampires.Je souhaite en revanche tous les malheurs du monde aux manipulateurs pervers égoïstes et totalement amoraux. Qu’ils vivent le plus longtemps et le plus péniblement possible, jusqu’à voir les ravages du temps, et qu’ils soient assez faibles pour se faire humilier par celles qui étaient leurs proies hier. Et puisqu’il s’agit ici de discuter : il y en a des comme ça sur ce site d’après vous ? Parce que l’on parle rapidement et assez fort des « dalleux », mais les manipulateurs pervers, on en parle aussi ici ? Ou bien on contribue à faire perdurer ce « système de prédation » et à érotiser l’image de l’ "homme mûr", cette véritable tumeur maligne de société ?
Thèmes:
manipulation
Dernière modification le 26/10/2024 14:22:56 par DrZ.
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