Confondre Boubakar le brouteur avec les dominas pro, et défendre les mêmes brouteurs parce que "quand même les gens sont idiots". Eh ben. Il vaut mieux lire tout ça que d'être aveugle, mais de peu je le crains.
Aller jusqu'à taper, encore, sur les victimes d'arnaques c'est vraiment pousser le bouchon. Parce que oui, on parle de victime dans un cas comme celui-ci. Et les auteurs sont les mêmes que ceux qui "chauffent" des mineurs pour ensuite leur demander des photos X et enfin demander de l'argent -devenant des criminels-. Comme disent les jeunes, "faut doser hein". A l'occasion demandez à un directeur de collège, ou à un gendarme, son avis sur la question et les effectifs dont nous parlons. Je ne parle pas ici de quelques cas marginaux, malheureusement.
Voilà pour les brouteurs.
Maintenant, un mot pour les connasses de Twitter ou d'ailleurs, vraies femmes ce coup-ci, qui tentent d'exploiter le filon de la misère affective en demandant à tous (oui oui, même ceux que ça n'intéressent pas) des offrandes et en traitant au passage la totalité des hommes de sous-race. Là, c'est autorisé ?
Pour ce qui est des "TDS" : on a le droit de les défendre, on a aussi le droit de les mépriser, ou d'en mépriser si on veut être moins absolu et choisir l'objet du mépris. On a le droit d'être empathique, mais d'avoir bien plus de tristesse pour leur destin, que de respect. Derrière les jolis acronymes et autres dénominations issues de la novlangue : on parle de prostitution. On parle tantôt de personnes exploitées par des réseaux mafieux, tantôt de vies tragiques et de regrets nourris. Les domina pros sont une niche parmi les TDS, plus proche selon moi de l'artisanat que des arnaques sus-citées.
Ne voyez ici par d'amalgame misogyne : j'aime les femmes, je les respecte, mais je sais faire la différence entre une dame, Boubakar et les pétasses bien vénales qui voient des filons réels ou imaginaires. Et condamner ce avec quoi je suis en désaccord est pour l'instant encore autorisé.