Averamm
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En sortant du manoir je me retrouva face a une véritable œuvre d’art. Dès les premiers pas sur la terrasse, un parfum enivrant, mélange délicat de fleurs fraîches et d’essences végétale. Les haies taillées avec précision encadraient les allées, créant un labyrinthe naturel d’une beauté hypnotique. Les roses, dans des nuances allant du rouge écarlate au rose pâle, déployaient leurs pétales délicats comme une invitation à la découverte.

Alex suivit une allée pavée qui le conduisit vers un kiosque de jardin, orné de grappes de glycines aux teintes violettes. Là, il découvrit un banc en fer forgé, orné de coussins moelleux, offrant une vue imprenable sur un bassin miroitant où nénuphars et poissons colorés jouaient en harmonie.

Le murmure apaisant de l’eau qui s’écoulait d’une fontaine à l’ancienne ajoutait une symphonie naturelle à l’ensemble, créant une atmosphère douce et apaisante. Cette agréable sensation fut nouvelle pour Alex, en effet lui qui est habitué aux bruits assourdissant des machines, il découvrait qu’en ce monde il pouvait exister des havres de paix et il ressentait le privilége d’être ici en cette douce et agréable journée. Cette agréable sensation fut interrompu par Eléonore.

Eléonore : C’est agréable de se promener au milieu de ses merveilles n’est ce pas ?

Alex : en effet c’est un plaisir qui se déguste sans aucune modération

Eléonore : (En riant) vient et marchons ensemble, il est temps d’échanger sur ton avenir et ce qui, éventuellement, pourrait t’attendre prochainement.

Alex : Je serai ravi de marcher à vos cotés au milieux de cet oasis.

Eléonore : En plus d’être beau garçon tu est charmeur, Victoria m’avait caché cela.

Alex devint rouge en entendant ses mots, ce qui fit rire Eléonore.

Eléonore : comme tu le sais L’institut forme les élites qui, demain, dirigeront notre nation. Chaque année des jeunes issus des classes populaires et moyenne ont la possibilité d’intégrer cet institut en étant sponsorisé par un ou une membre de l’élite.

Alex : En effet depuis l’enfance j’entends parlé de cet endroit et bien souvent il est comparé a un lieu de débauche infinie.

Eléonore : Et bien nous en sommes très loin. L’institut est bien plus qu’une simple université. C’est le sommet de l’éducation, le Saint-Graal des connaissances. Seuls les privilégiés, les enfants des plus grandes familles, y ont accès. Il y a quelques élus, des étoiles montantes des classes inférieures, qui parviennent à briser les chaînes de la tradition. Ils sont acceptés ici, non pas parce qu’ils sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche, mais parce qu’ils ont eu la chance d’avoir été sponsorisés. Ces chanceux, ces esprits brillants des classes inférieures, sont parrainés. Imaginez, être choisi parmi les masses, être élevé au-dessus de votre destin préétabli. C’est une opportunité rare et précieuse. Ainsi il est important que tu comprennes que certaines régles ont été établi pour que cette opportunités reste unique et que l’élu soit reconnaissant du cadeau qui lui est fait.

Alex : je comprends parfaitement même si je trouve cela dommage. En effet le savoir et la connaissance devrait être accessible à tous et à toutes et ne pas se limiter à certaines classes.

Eléonore : Le savoir est une arme redoutable, en offrant cela à tous et à toutes tu ouvres une boite de pandore.

Alex : Et ouvrir cette boite de pandore ne rendrait elle pas service à la nation ?

Eléonore : en théorie cela pourrait être un atout, malheureusement, notre nation est aussi peuplé d’individus aux idées extremes qui profiteraient de se savoir pour manipuler les plus faibles. Mais, tu sais, il y a une facette intrigante de tout cela.

Alex : c’est a dire

Eléonore : tout a l’heure tu parlais de lieu de débauche et ce n’est pas totalement faux. En effet ce que tu appels débauche est en vérité une doctrine importante. Si cela ne rentre pas par la tete cela rentre par les fesses.

Alex : (surpris par cette derniere phrase) je ne comprends pas ?

Eléonore : Ne soit pas niais, tous les hommes et femmes venant acquérir ses connaissances sont soumis à la fessée déculottée de la part des enseignantes et sont encouragé a se fesser mutuellement et il n’est pas rare de voir certains et certaines trouver un plaisir jouissif dans cette pratique, soit en donnant ou recevant la fessée ou en regardant une personne la recevoir.

Alex : je pense avoir eu un aperçu un peu plus tot dans la journée

Eléonore : Certes, mais a l’institut c’est le coté humiliant et vexatoire qui est recherché.

Alex : Un cérémonial j’ai peur de ne pas bien comprendre ?

Eléonore : Quand le ou la punie doit être corrigé, il doit se déculotter de maniére a ce que l’auditoire présent puisse voir son intimité et cela s’applique aux filles et aux garçons, aprés avoir mis a nue ses fesses il ou elle doit demander sa fessée, je voie que cela te plait d’entendre cela.

Alex : (rougissant) heu…Oui…en effet, je n’arrive pas a la controler je suis désolé.

Eléonore : ne le soit pas, c’est parfaitement naturelle, tous les hommes ont des érections et jusqu’à maintenant je n’en ai pas encore vue qui était capable de « controler » la nature.

Si tu intégre « l’élite » tu va découvrir un autre monde. Ce monde la est peuplé par de jeunes hommes et femmes venant des plus grandes familles du pays. Ils sont éduqués depuis leur plus tendre enfance au monde qu’ils vont diriger demain et ne sont pas fan de voir arriver des opportunistes dans leur univers. Les opportunistes sont les boursier et les sponsorisés. Si tu entre la bas tu devras faire tes preuves pour être accepter comme un des leurs, tu devras saisir toutes les opportunités qui te seront offerte et Laura sera l’une voir ta meilleure allié pour y parvenir.

Je faisais référence au roi car cet « école » fonctionne comme fonctionnait la cour du roi à Versailles, Hypocrisie, complot, intrigue, orgies sexuelles sont l’essence meme de cette institution.

Moi : d’aprés ma tante, vous avez pu intégrer l’institution en étant sponsorisé par votre defunt mari, comment avez vous vécu dans cet environnement hostile envers vous ?

Eléonore : cette question va rester sans réponse pour le moment, pas que je ne veuille pas y répondre, mais elle arrivera de manière naturelle au cour de nos différentes rencontre cette semaine.

Moi : je serai honoré de revenir

Eléonore : tout doux mon cher avant j’ai un premier test a te faire passer, assied toi sur ce banc. Je souhaite voir si, comme ta tante me l’a raconté, tu sais fesser une femme.

Surpris de la demande, je m’assied sur se banc et je voie Eléonore relever sa jupe et s’allonger sur mes genoux.

Eléonore : tout a l’heure tu admirais mon cul par dessus ma jupe, maintenant tu le voies dans son plus simple appareil.

Moi : elles sont magnifique, un véritable appel à baiser.

Eléonore (riant) : je t’en remercie mais point de baiser pour le moment, tu va me fesser vigoureusement, je veux que mon cul devienne rouge et douloureux au point d’avoir du mal à m’assoir tout a l’heure.

Sans attendre je commence à fesser Eléonore.

Eléonore : je te rappel mon cher que j’ai un rendez vous avec mon notaire dans très peu de temps, si tu me fesses de cette manière je ne suis pas prête d’avoir un cul rouge et douloureux. Mes y plus de cœur et de force.

Moi : c’est si gentiment demandé. (elle veut avoir mal aux cul, je vais me faire un plaisir de lui offrir ce qu’elle désire)

Je mis donc du cœur à l’ouvrage et j’offris à ses fesses un déluge de claque tout aussi forte et puissante les unes que les autres. Sa lune devint rouge, très rouge au point de sentir la chaleur de ce cul.

Pendant la fessée, la jeune femme nous rejoint

jeune femme: Madame votre notaire est arrivé, je l’ai installé dans le bureau.

Eléonore (toujours sur mes genoux) : Ouch, bien très cher, aie, j’arrive. Alex je vais devoir écourter notre échange.

Alex : dommage, cet échange me plait énormément

Eléonore (riant un bon coup) : j’ai bien remarqué que cela te plait, je sent ta queue sur mon bas ventre.

Eléonore se lève et laisse tomber sa robe, me privant ainsi de la vue de ses jolies, très jolies fesses.

Eléonore (s’adressant à la jeune femme) : accompagnez Alex au salon, et apportez lui de quoi se désaltérer en attendant la fin de mon rendez vous. Et préparer la salle à manger, nous passerons immédiatement à table après mon entrevu.

Jeune femme : oui madame, bien madame.

 

ps: vos retours m’interesse, et si cela vous a plus j’en suis ravi

Thèmes: fessée
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