Antoinette
#0

Le mariage offre une stabilité dans la relation. C'est un engagement pour une vie commune, des relations sexuelles, et plein de devoirs et de plaisirs l'un envers l'autre.  Créer un couplé qui fonctionne, ce n'est pas facile, mais l'amour est le vecteur principal. 

Les pratiques bdsm....au debut cela peut être un jeu pour pigmenter des rapports sexuels. Pourtant c'est une pente douce. Si le plaisir est là,  on glisse inexorablement vers des pratiques de plus en plus hard. 

Le mariage offre un contrat de stabilité. Pratiquer le bdsm dans le cadre du mariage, c'est rajouter un second contrat, qu'il n'est pas besoin d'écrire,  sauf avec le fouet ou la cane sur la peau de celui où celle qui va se soumettre à l'autre et se donner totalement. 

Pratiquer en couple, cela renforce incroyablement le mariage et ce lien, et ce, même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant. 

Les couples qui pratiquent le bdsm dans le cadre du mariage divorcent sans doute moins et semblent plus heureux que les autres. Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme. 

 

Bises.....qu'en pensez vous ? 

Thèmes: mariage, bdsm, sexe
2 personnes aiment ça.
Si les sentiments sont forts dans le couple, je doute que ce que vous appelez le cocufiage rende le soumis plus amoureux même si la Maîtresse est théoriquement en droit d'avoir d'autres soumis.
Effectivement, avec un autre, des sentiments peuvent aussi naître, grimper en force, et reléguer définitivement au second plan l'autre soumis.
Je ne parle pas de la souffrance psychologique ainsi générée et qui ne relève pas du SM.
3 personnes aiment ça.
Antoinette
#2
Si les sentiments sont forts dans le couple, je doute que ce que vous appelez le cocufiage rende le soumis plus amoureux même si la Maîtresse est théoriquement en droit d'avoir d'autres soumis.  Je ne parle pas de la souffrance psychologique ainsi générée et qui ne relève pas du SM.
Je n'aime pratiquer qu'avec mon maso.  Les soumis m'ennuient beaucoup.
Avec un.mado toute souffrance va devenir plaisir pour lui
 Donc c'est clair des le début. Il aime souffrir.
Et c'est grand raffinement que de le cocufier, de lui faire comprendre que lui n'a plus le droit d'honorer sa femme, etc...c'est source de jeu.
Et plus il souffre et plus il est heureux et bien. Les masos, c'est pas compliqué.  
 
2 personnes aiment ça.
même si le Maître ou la Maîtresse sont en droit d'avoir des aventures extra conjugales. Faire cocu le soumis fait partie du jeu de domination, et le faire souffrir avec cela pour le garder encore plus amoureux, c'est excitant.
Bah, euh, pourquoi ? Ca peut en faire partie, mais ce n'est pas du tout le cas chez nous. Pour le reste je suis plutôt d'accord.
Le stade vanille est peut être comme un étouffoir a terme. 
Je pense que c'est un jugement, que cela nuit au propos général, les idiots qui condamnent les relations BDSM sont le pendant de ce type de jugements.
1 personne aime(nt) ça.
Antoinette
#4
Bah, euh, pourquoi?
Chaque couple pratique comme bon lui semble. Le principal c'est que les deux prennent du plaisir.  
Rien n'est plus complexe que la psyché humaine. 
Perso, je ne cherche plus à comprendre mon maso. Mais plus je suis sadique et plus je lui fait mal et plus il a de plaisir. 
Et c'est jouissif pour une sadique de faire souffrir grave son maso. 
Le seul problème c'est la sécurité car on a toujours envie d'aller plus loin. 
 
1 personne aime(nt) ça.