Bonjour.
Je suis un homme de 66 ans, exclusivement homo, soumis et mazo hard. J’ai commencé le BDSM hard il y a 50 ans. J’ai eu des relations BDSM hard suivies avec 4 dominants et une relation “vanille” suivie. Sans oublier des aventures “vanille” de très courte durée, quand je n’avais pas de dominant.
Je suis en couple depuis 37 ans avec un dominant actuellement âgé de 68 ans, et en soumission totale depuis 34 ans. Mariés depuis une quinzaine d’années. Nous nous permettons de courtes pauses pour une sexualité plus soft, plus romantique et plus tendre, de temps en temps: une soirée, un week-end, et systématiquement deux semaines de vacances “vanille” une fois par an.
Notre pratique est particulière : BDSM militaire. Comme le dit souvent mon dominant “C’est l’uniforme, et tout ce qui va avec !” Exercices et entraînement intensifs, corvées pénibles, brimades dégradantes, punitions sévères, et, surtout, une discipline hyper stricte. C’est très contraignant, physiquement et mentalement. Pour moi, bien sûr, mais aussi pour lui, puisqu’il a pour principe directeur que tout ce qui est ordonné à un soldat, le supérieur doit être capable de l’accomplir ou le supporter aussi. Ca ne veut pas dire qu’il y a échange des rôles. C’est même totalement exclu. Ca veut dire que tout ce qu’il impose, il le teste sur lui d’abord.
Au départ, le trip militaire était son trip. Ca ne m’excitait pas vraiment, mais comme j’ai toujours été ouvert aux nouvelles expériences, j’ai accepté d’essayer. Résultat : nous le pratiquons toujours, et il est hors de question pour tous les deux d’arrêter tant que nous sommes physiquement capables de le pratiquer.
Huit ou neuf fois par an, nous recevons deux autres soumis pour qu’ils subissent les mêmes contraintes que moi pendant un week-end. En tenant comptes de leurs limites et capacités, bien sûr. L’un participe depuis bientôt 16 ans, l’autre depuis 7 ans. Nous sommes à la recherche d’un soumis de plus. Le dernier qui a voulu s’y essayer a craqué dès le premier week-end. Trop hard pour lui. Nous sommes actuellement en contact par écrit avec un candidat. Il semblait très motivé au début, puis aucune réponse pendant quelques jours. Il vient de reprendre contact et nous a dit avoir été malade.
Nous voulions convenir au plus vite d’un premier rendez-vous afin de discuter de vive voix. Comble de malchance : depuis avant-hier matin, c’est moi qui suis en “arrêt maladie”. Le médecin m’a prescrit 7 jours d’antibiotiques et m’a conseillé 10 jours de repos. Mon dominant a ordonné 15 jours de repos. Le Chef militaire inflexible est instantanément devenu un mari attentionné qui me dorlote. C’est agréable, mais je suis impatient de retourner à ma vie de soumis. Les pics d’endorphines me manquent déjà. Nous avons prévenu le candidat et reprendront contact avec lui quand je serai rétabli. Nous avons profité de notre repos forcé pour m’inscrire ici, pour le cas où cette rencontre n’aboutirait pas.