Votre post montre helas que vous n'avez rien compris à ce qu'est une relation BDSM. Si vous ressentez du mepris et que vous prenez plaisir a humilier quelqu'un qui ne le souhaite pas vous n'etes pas adepte du BDSM, vous etes juste un pauvre type de plus, frustré et qui gagnerait à consulter un psychiatre. Le BDSM repose sur l'accord formel entre le dominant et le soumis (cf. "contrat BDSM"), qui est censé attester legalement du consentement des intervenants; le soumis souhaitant tester ses limites et ayant assez confiance dans le discernement d'un maitre pour lui laisser le controle. Admettons qu'une personne craignant la vitesse souhaite ressentir le shoot d'adrenaline. Sachant que elle n'arrivera pas seule à dépasser mes peurs, si elle a suffisamment confiance en quelqu'un, elle peut le laisser piloter une moto sur laquelle elle sera passagere, lui demandant d'aller jusqu'a 100 km/h. Il est entendu que si à n'importe quel moment, elle demande de s'arreter, le pilote s'executera (cf. safeword "mot d'arret") ... Voila c'est ca le respect et c'est la condition sine qua non d'une relation BDSM : 1. Je ne juge pas de la cause ou nature des demandes de mon soumis, 2. je respecte les limites qu'il fixe (bien que de lui meme il puisse demander ulterieurement de l'outrepassser). 3. je respecte son droit d'arreter l'experimentation a tout moment. Accessoirement, je suis assez responsable en tant que dominant de fixer moi meme une limite conservative: Je me dois de n'acceder qu'aux demandes que je ne juge pas dangereuse pour le soumis: physiquement mais aussi psychiquement ("savoir jusqu'ou aller trop loin") Est il vraiment necessaire de rappeler ici que dans une relation BDSM, celui qui a le choix, c 'est in fine le soumis, que le role du dominant consiste à lui faire vivre l'experience que le soumis souhaite mener dans des conditions de sécurité ?? apparemment... ps. vous paraphrasez non pas J. Curtis, mais une piece de theatre ecrite en 1933 par Hanns Johst , un nazi de la premiere heure; dédiée à hitler et consideree comme le manifeste theatral du nazisme ("Schlageter" acte 1, scene 1) : "Wenn ich Kultur höre ... entsichere ich meinen Browning," (quand j'entends le mot "culture", je sors mon revolver Browning")
Dernière modification le 13/02/2024 11:00:16 par moondog.
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