La peste :Cher cousin permettez moi de vous dire que vous avez fier allure dans cette position (dit elle en rigolant). Voire votre tête entre les fesses de cette domestique est un véritable délice pour mes yeux.
Cette chère Amélie, experte en sarcasme, qui pense avec une pointe d'ironie avoir humilié son cousin en le mettant à genoux derrière une domestique.
Ma chère il vous reste beaucoup de chose à apprendre sur l'homme et ses petits plaisirs inavouable. En faisant cela, vous avez offert à mes sens une explosion de sensations et de saveurs qui ont mis en émoi ma personne.
Se dresse devant moi la plus jolie chose que mes yeux aient jamais eu la chance de contempler depuis le premier jour de ma vie. Le tableau idyllique que je contemple avec gourmandise et avidité renvoie la Joconde de Da Vinci à un tableau dépourvue de toutes saveurs.
En effet, la position naturelle adoptée par la domestique crée un paysage d'une beauté exceptionnelle, cette jupe relevée et uniquement maintenue par les mains de celle-ci.
Comment ne pas être captivé par les formes sensuelles de cette lune ? Comment résister à cette harmonie de couleurs qui se superposent, créant ainsi une véritable symphonie visuelle ?
Et cette chaleur délicate que mes joues ont ressentie au contact de cette peau si douce et ravissante. Tel un écrin jalousement gardé, cette sensation qui m'est involontairement offerte éveille en moi une multitude de sentiments qui m'étaient encore inconnus.
Jusqu'à présent, ma connaissance des fragrances féminines se limitait aux parfums qui les habillent. Jamais je n'avais eu la chance ni le plaisir de découvrir l'essence la plus intime qu'elles peuvent offrir à celles et ceux qui ont eu le privilège de les connaître. Cependant, ma cousine, dans sa volonté de m'humilier, m'a offert cette opportunité et je suis véritablement charmé par cette découverte.
Je dois admettre, chère cousine, que l'allure à laquelle vous faites référence a autant d'importance à mes yeux que le dernier bijou ou vêtement que vous vous êtes offert.
Il est évident que ma cousine était légèrement contrariée par le résultat de son expérience. Je suis pleinement conscient des raisons pour lesquelles elle a cherché à me mettre dans cette situation. Elle a voulu ce venger de l'audace que j'avais eue à son encontre quelques années auparavant. J'avais osé la défier en intervenant devant cette même domestique, interrompant ainsi la fessée que cette dernière était en train de recevoir de la main de ma tante. J'avais également osé mettre en évidence ses propres contradictions, ce qui avait entraîné une punition qu'elle avait jugée sévère et humiliante pour une personne de son statut. J'avais également osé mettre en évidence ses propres contradictions, ce qui avait entraîné une punition qu'elle avait jugée sévère et humiliante pour une personne de son rang. Il est vrai que réciter quelques pater et ave maria est bien plus humiliant que de montrer ses fesses nues à un auditoire.
Il semble presque certain que ma cousine aurait éprouvé une grande satisfaction si j'avais été choqué de me retrouver dans une telle situation, avec ma tête entre les fesses d'une domestique. Il est important de comprendre que nous n'avons pas le même statut social et qu'il est inconcevable que ce genre de scénario se produise en dehors d'une situation humiliante.
Amélie : Alex relève toi, quant à vous autres reculottez vous et reprenez le travail.
Je me relève avec regret, et contrairement à ce qu'elle aurait imaginé, je suis aux anges, voire même en extase. En tant qu'homme galant que je suis, je me fais un devoir de remercier chaleureusement ma cousine pour cette expérience unique et inattendue.
Moi (avec un immense sourire) : chère cousine je dois, quand même, vous remercier pour ce magnifique cadeau de bienvenu que vous venez de m'offrir.
Taquin ? Moi non, qu'est ce qui vous fait dire cela ? Bon je dois reconnaître que la savoir déçue et vexée est un véritable délice que je déguste avec plaisir et délectation.
Et cette déception est à l'image de mon érection, immense, dur et visible, tellement visible que ma cousine va s'accrocher à cette « branche » pour lancer une nouvelle pique à mon égard.
Amélie : nous pouvons, en effet, tous voir que ce « cadeau » t'a plus. Il semblerait que les fesses de Maureen est réveillé ta virilité cher cousin.
Tous les regards se tournent vers moi, regard dirigé vers ma queue. Bien que je sois flatté par cette attention, je me sens un peu gêné face à cette situation. Maureen et les autres personnes sont toujours présentes dans la pièce, observant la scène.
Moi : que veut tu chère cousine, je suis un homme sensible à tous les plaisirs que la vie peut lui offrir et vous y avez contribué et je t'en suis reconnaissant.
Ma cousine fut coupé dans sa tentative de réponse par ma tante, celle ci nous intima l'ordre d’arrêter nos échanges « d'amabilités ». Boudeuse devant cet affront ma cousine quitta la pièce et, d'avance, je sais qu'elle va chercher et sûrement trouver un moyen de me faire payer cette nouvelle offense. Ma tante demanda à Maureen de m'escorter vers mes quartiers et exige de sa part qu'elle satisfasse tous mes besoins sans exceptions. Je dois dire que cette dernière demande marque mon esprit et ma curiosité, a quelles besoins fait elle référence. Elle acquiesce et me demande de la suivre, une fois seul sur le chemin de mes quartier, je ne peut retenir ma curiosité et je lui pose LA question qui me brûle les lèvres
Moi : que voulait dire ma tante en évoquant le fait de satisfaire mes besoins ?
Maureen : (En rigolant de bon cœur) Monsieur me fait marcher ?
Moi : Non du tout, je ne vois pas ce qu'a voulu dire ma tante avec le « satisfaire mes besoins »
Maureen :Simple, elle me demande vous faire jouir Monsieur
Vue le grand sourire qu'elle a sur le visage, je peut en déduire que la rougeur ayant pris possession de mon visage était visible. Nous sommes devant la porte de ma chambre, elle l'ouvre et nous entrons l'un après l'autre. Dans la chambre je peut voir que mes affaires y sont déjà, elle le voit aussi.
Maureen : vos affaires sont déjà la, personne ne viendra nous déranger. Que préférez vous ?
Moi : Pardon ?
Maureen : je dois vous faire jouir et le temps nous ait compté, le déjeuné sera servi d'ici 45 minutes et je suis chargée de l'office, donc si Monsieur peut me dire ce qui le fait bander cela me serait utile.
Voyant mon regard rouge et surpris, je dois dire que je ne m'attendais pas du tout à cela, je me demande même où je suis tombé, je suis loin de ce qui ce passait ici dans mes souvenirs.
Maureen : bon je sais que mes fesses vous plaise voulez vous vous déshabiller et vous allonger sur le lit que je puisse poser mon cul nue sur votre visage, je pourrais ainsi vous branler par la même occasion.
Je ne réagis pas, toujours surpris de cette situation
Maureen : ah moins que vous ne préfériez que je soulève, une nouvelle fois, l’arrière de ma jupe pour que vous vous branliez en matant mon cul.
Toujours aucune réponse de ma part
Maureen : vous ne m'aidez pas Monsieur, dois je appeler votre cousine pour qu'elle vous déculotte et vous fesse pour vous faire réagir ? À moins que vous n'aspiriez à autre chose notamment me fesser pour avoir oser suggéré d'être corrigé par votre cousine ?
Commençant, enfin a réagir
Moi : heu...non, enfin, on va rester sur votre première suggestion, même si l'idée de vous fesser me plaît beaucoup et je me ferai une joie de vous tanner le cul.
Maureen : si Monsieur veut bien se donner la peine de se déshabiller et de s'allonger sur le lit que je puisse remplir mon office.
Ainsi ce chapitre ce termine avec les fesses de Maureen sur le visage d'un Alex tutoyant les anges du 7eme ciel.
Dans le prochain chapitre, auront nous droit au déjeuner (déjeuner qui va offrir un rebondissement inattendu au manoir) ? Est ce qu'Amélie va entrer dans la chambre pendant l'échange de plaisir entre Maureen et Alex ?