La relation D/s, une autre forme de tendresse - Trouver sa place

Je n'ai pas ressenti cette difficulté car dès le début je ne voulais pas cloisonner ma vie entre bdsm et non bdsm. Bien sûr, nous adaptons notre comportement en fonction des circonstances, des personnes présentes, mais dans l'esprit je me sens soumise 24h/24 et j'aime que ce soit ainsi. Je pense qu'inversement j'aurais d'énormes difficultés à cloisonner, à passer d'un statut à un autre dans la même journée. De même, dans l'idée de beaucoup de personnes, sur ce site on ne doit parler que de bdsm et exclusivement de bdsm, ce qui pour moi est bizarre, comme si le bdsm était un concept désincarné qui "évoluait" dans un espace intersidéral coupé de tout. Désolée, je ne vous aide pas beaucoup...

Merci pour votre réponse, sylvie35.Je ne cherche pas à cloisonner, je me sens soumise 24h/24 également, mais comme je suis maman solo de deux ados, j’ai aussi une autre vie que ne partage pas mon Maître, même s’il est toujours là pour me soutenir. Mon Maître et moi faisons beaucoup de choses ensemble mais il n’intervient pas dans cette facette de ma vie.Il connaît ma situation depuis le début et mes enfants savent qu’il existe mais ils ne se sont jamais rencontrés.

Je commence à me sentir incomplète car je ne peux pas donner ou passer le temps que je souhaiterais dans aucune des deux parties de ma vie.Je me sens triste de ne pas pouvoir voir mon Maître parce que des événements extérieurs viennent perturber notre relation et là je ne parle pas de mes enfants.Mon Maître est très compréhensif mais moi je me sens écartelée.

Un cloisonnement imposé par les circonstances de la vie. Il n'y a malheureusement pas de solution simple je crois. Est-ce que le fait de vous projeter sur le long terme ne pourrait pas aider à relativiser ? Les circonstances évoluent plus vite qu'on ne le pense, et on donne parfois trop d'importance à quelque chose qui est éphémère à l'échelle d'une vie. J'ai senti que votre Maître est empreint de sagesse et la patience est une qualité des sages.

Mon Maître est, en effet, patient et sage.Et vous avez également raison sur le fait que devrais relativiser, mais, vu l’âge de mon dernier, je devrais me projeter sur du très long terme, surtout que certaines choses risquent encore de se compliquer à court mais aussi à moyen terme en ce qui concerne ma vie de famille.J’ai déjà perdu plus de 10 ans de ma vie à me reconstruire et pour protéger mes enfants et la justice laisse traîner certaines choses ce qui génère un cercle vicieux pour mes enfants et pour moi.L’impuissance me pèse et me ronge.

Je n'ai pas très bien saisi le détail de ce que vous décrivez.Est-ce que vos rapports (notamment de tendresse, c'est ça ?) avec votre dominant ont changés depuis que vous avez opté pour le 24/7 (ma formulation n'est peut-être pas bonne...) ou bien vous qui vous reprochez de ne pouvoir suffisamment vous consacrer à cette relation ?Comme la journée de 35h (pour laquelle je milite ardemment) n'a pas encore été instituée, aucune personne ne fait plus que ce qu'elle peut faire, surtout quand sa bonne foi ne peut être mise en doute, il me semble ?Ou peut-être n'ai-je pas compris votre questionnement ?

Si je peux me permettre, je suis aussi maman solo de deux mineurs et soumise. Malheureuesement je n'ai pas de Maître, mais je me trouve parfois bouffé par ces mêmes sentiments de ne pas avoir ou même être assez dans ces deux rôles. Car c'est beaucoup d'elever deux enfants seule - tout comme ça peut être enrichissant, c'est souvent épuisant. C'est plus de travail que la "norme" car on est seules à le faire. Puis c'est beaucoup d'être soumise, même célibataire, de chercher de la tendresse et oui, même de l'amour, dans un milieu où on nous dit que l'objectif primaire est le sexe. Et c'est plus de travail que la norme car on est moins nombreuses que les vanilles et on ne parle pas aussi librement avec nos amies et familles de nos problèmes relationnels alors il y a moins de soutien.Et puis il y a du travail, qu'il faut prioritiser pour pouvoir payer les factures pour elever les enfants: la norme veut qu'on partage ce devoir mais nous n'avons pas ce backup - c'est nager ou plonger. Et ne commmençons même pas avec les histoires des papas et leurs familles et la justice et tout ce tralala! La "norme" n'a même pas à y reflechir.Bref, c'est beaucoup, vraiment beaucoup, de vivre ainsi. Peu étonnant alors de se sentir parfois écartelée. Je compatise.Je fais de la méditation quasiment tous les jours depuis un an (je l'avais essayé avant plusieurs fois mais jamais accroché mais il y a tant de styles que de pratiquants - il m'a fallu du temps pour trouver le bon match pour moi dans les méditations guidées) et cela m'aide énormément. C'est une façon de prendre du temps rien que pour moi, de m'offrir de la tendresse et de l'amour, de garder mon équilibre et maintenir ma santé mentale et affective. Je ne peux que le recommander vivement: ils disent que si on n'a pas 5 minutes pour méditer, il nous faut donc dix 😏En y rajoutant quans je peux, du sport, de la bonne nutrition, 7heures de sommeil par jour, du temps dans la nature et avec des amis, et du temps juste seule à lire ou rien faire de tout, j'ai un choix d'activités qui assure mon bien-être et ainsi, depuis un an, je ne suis plus rongé par cette anxieté de ne pas assurer. Plus de temps et de soins pour moi vaut plus de présence et d'assurance quand je suis avec mes enfants: on ne peut pas remplir la tasse de l'autre quand la notre est toujours presque vide. Alors peut-être si tu faisais moins pour les enfants (qu'ils aident plus avec le ménage par ex), ou parlais avec ton Maître sur tes sentiments pour avoir plus de temps pour toi ou qu'il suggère un autre moyen efficace pour décompresser (fouets? Oui svp!!!)?Kudos à toi rien que d'essayer tenir une relation en tant que maman seule - il faut te féliciter car ça prend du courage de faire ainsi confiance. Je t'admire. Sois gentille avec toi.

Si avec tout ça, vous avez le sentiment de ne pas assurer, on se demande qui assure, alors !Courage et bravo !

Douter, avoir l'impression de ne pas en faire assez, voire d'être nulle, c'est quelque chose que je connais bien... Quelques similitudes avec votre contexte familial, sur lesquelles je préfère ne pas m'étendre ici, des journées bien chargées, un énorme manque de confiance en moi. Au début de ma relation de soumission, je me mettais une pression énorme toute seule, je mettais la barre très très haut (bien trop haut), et cela m'épuisait et me décourageait. J'étais souvent en colère contre moi-même et très anxieuse, avec l'impression d'avoir eu la chance de rencontrer un Maître dont les qualités dépassent de très loin mes espérances et de ne vraiment pas être à la hauteur du cadeau que le destin m'a fait.Je ne dis pas que j'ai tout résolu, loin de là, mais dans mon cas personnel c'est essentiellement grâce aux discussions avec mon Maître que j'ai pu me sentir mieux. A l'impossible nul n'est tenu, me dit mon Maître. Il m'a aussi fait réaliser que pour lui, ce qui importe ce ne sont pas mes "performances", mais la bonne volonté dont je fais preuve dans le contexte qui est le mien.Ce que j'ai constaté aussi c'est que souvent la fatigue, surtout après une journée trop chargée et une multitude de préoccupations à l'esprit, fait totalement perdre la notion de l'importance relative des choses. Essayer de se donner quelques minutes où on s'interdit de penser aux soucis du moment et où on se force à revenir à l'essentiel peut aider. Évidemment c'est toujours plus facile à dire qu'à faire...

C’est moi qui me reproche de manquer de temps et d’imposer indirectement à mon Maître des complications liées à ma vie de mère qui n’est pas de tout repos car le père de mes enfants est très spécial et procédurier.

Merci beaucoup pour votre témoignage dans lequel je me retrouve.Je n’ai pas de mérite, j’ai vraiment un Maître attentif, compréhensif et aux petits soins.C’est moi qui lui impose un rythme qui ne me convient pas.Quant à mes enfants, ils m’aident, mais eux même sont épuisés et mal à cause de l’attitude de leur père.Je marche beaucoup, j’aime la photographie, j’aime lire également. J’ai testé la méditation mais je n’ai pas accroché.Aujourd’hui le paddle a fait son œuvre avec des câlins, un restaurant où nous avons bien ri et beaucoup de partage et de sourires.J’espère que vous trouverez un Maître aussi compréhensif et à l’écoute que le mien. Continuez de prendre soin de vous.

Merci pour vos mots. Vous décrivez exactement ce que je vis.Mon Maître me montre mes accomplissements malgré la fatigue et tout le reste et il me dit que je le rend fier. Pour lui c’est également la volonté dont je fais preuve qui compte plus que tout et que je garde le sourire est très important pour lui et il fait tout pour ça.Il faut que j’apprenne à vraiment décompresser.

Bonjour J'ai du mal à trouver le sujet du post dans ce que vous racontez de votre vie. Quel est le rapport avec la tendresse que vous évoquez ?Enfin, est-ce un choix de cloisonner votre vie de maman avec celle de soumise ?

En fait c’est une tendresse avec un rapport d’obéissance et une façon d’exprimer sa tendresse différemment que dans la vie vanille que ce soit de la part du Dominant ou du dominé et j’ai du mal à rendre la pareille de la tendresse que m’offre mon Maître à cause du stress et de la pression que je me mets. Mon Maître n’est pas une personne très tactile et beaucoup de nos rapports sont vraiment psychologiques, ce qui me va très bien. Mais je me reproche mon manque de disponibilité psychologique ces derniers temps étant parasitée par le père de mes enfants qui se comporte comme un odieux connard avec ses propres enfants puisqu’il ne peut plus m’atteindre directement.Cloisonner n’est pas vraiment un choix mais nos contraintes respectives, surtout professionnelles, nous imposent, pour l’instant, un éloignement géographique.Ni mon Maître, ni les enfants n’ont envie de se rencontrer et c’est leur choix. Mes enfants savent qu’il existe mais pas la nature de notre relation car c’est intime et mon Maître connaît mon quotidien avec mes enfants sans y participer.Tout allait très bien jusqu’à ce que mon ex, père des enfants, s’en prenne aux enfants et que je doive une énième fois en 10 ans agir pour les protéger.Cela me rend nerveuse, triste, anxieuse et parfois en colère et mon Maître voit et subit indirectement tout cela ce qui me fait culpabiliser.

Je comprends mieux. J'avais les mêmes rapports avec mon 1er Maître. Il était mon Maître, pas mon mec. Je ne lui demandais pas de tendresse. Ce n'est pas les rapports que nous avions. Quant à votre sentiment de culpabilité, je pense que vous avez tort. Vous faites passer vos enfants avant tout et c'est heureux

Merci Salomé, mon Maître ne me reproche rien et il me soutient vraiment. C’est moi qui déteste faire les choses ainsi.Faire passer mes enfants en priorité est normal pour moi et aussi pour lui mais j’ai l’impression que quand je le vois je ne suis pas disponible pour lui à 100 % et c’est très frustrant.Mon Maître peut avoir des gestes tendres en termes vanille et c’est réconfortant mais j’aime davantage ce rapport de tendresse psychologique unique que je ressens comme beaucoup plus intense et qui me touche beaucoup plus qu’un câlin. Les deux ne sont pas incompatibles et quand mon Maître les couple c’est encore plus fort car vraiment spontané et l’effet des deux se cumule.

Mon Maître n’est pas vanille et ce n’est absolument pas ce que je lui demande, je l’aime comme il est.J’aime notre relation, son intensité et sa profondeur.Mais la tendresse psychologique est infiniment plus complexe et demande davantage que la tendresse purement vanille et en ce moment c’est plus compliqué pour moi de donner à mon Maître autant que lui m’offre.

Et pour Oscailte, elle bénéficie lorsque nous nous voyons, de mes bêtises qui la font éclater de rire : et ça, c'est aussi bénéfique que 2h de méditation.Tant pour elle que pour moi, car le rire irlandais d'Oscailte, est juste fantastique ! Ahhhh, le verbe "compatiser" n'existe pas, Osca : (mdr), mais tu compatis sans problème ! :heart_eyes::heart_eyes::heart_eyes:Le jour où j'écrirais anglais aussi bien que tu écris en français, je m'appellerai Osca 2

Ça ira mieux dans quelques temps, Stella. On a tous connu des moments difficiles. C'est à votre Maître de vous fustiger 😁

Ça c’est fait ! 😁Merci pour le reste.

J’attends avec impatience de voir les bêtises de Lady Spencer. 😀😇*C’est qui qui fera moins la maline dans pas longtemps… C’est moi 🤪.*

Je sors ressourcée d’une merveilleuse journée avec mon Maître, venu juste pour me soutenir malgré un emploi du temps déjà très chargé pour lui.Une journée riche en émotions sous le soleil, rien de tel pour retrouver la pêche. J’ai décidé qu’il n’y aurait pas de subdrop *auto persuasion*.

Et elle en fait 🤭😂 plein de bonnes ondes à toi et ton Maître 😘

Tu peux toujours tenter de décider d'avoir ou non un drop, sub ou dom d'ailleurs, ça ne fonctionne pas ainsi : si tu dois t'en prendre un, de drop, il te tombera dessus .Tu pourras juste faire avec, et vivre avec le temps qu'il te faudra pour le mettre de coté.C'est assez perturbant mais l'important est de se rappeler que c'est passager et que nous sommes plus forts (doms et soums) que les drops.Parfois, on lutte en combattant, d'autres fois, en pleurant et en se lamentant, certaines autres fois, en s'isolant et en repoussant tout. En fait, on fait bien comme on peut, avec la vie quotidienne qui nous pourrit l'existence et la sublime en même temps.Et parce que d'autres ont besoin de nous (le "nous" est large) et que nous comptons aux yeux de ces autres là, le choix est restreint et nous pousse à nous relever et à avancer.Les autres ? -_-_-_ les enfants, les amis, la famille, l'entourage aimant, les 4 pattes, les deux pattes aussi, les poilus, les plumés, les épilés et toux ceux que l'on aide d'un sourire .Quant à "moins faire la maline" dans quelques jours, tu avais encore un doute ? :smiling_imp::smiling_imp::notes:

Je dois reconnaître que tu as raison, comme toujours, Lady Spencer, le drop a eu lieu mais suivre certains conseils avisés a permis d’en limiter l’impact.En fait je me sens impressionnée car je suis encore novice dans beaucoup de domaines mais je sais que je serai bien entourée. ❤️

My dearest Lady,I consider myself suitably educated and flattered simultaneously - thank you! 😁C'est rare qu'une correctrice se laisse corrigé - c'est donc signe de mon énorme respect pour la vraie Maîtresse que tu es. Avec un peu de chance il y aura l'occasion de continuer mon education d'ici 2 semaines - j'ai bien hâte pour notre road trip!Vive les rigolades - on en a tous(etstststsewhatever - cette langue ne se prète pas facilement à son évolution...) bien besoin!😘

Sans vouloir diminuer le sérieux de votre situation, ni de p(m)atroniser, ni offrir des platitudes, les histoires des exs/ papas rancunièrs j'en connais aussi et la bonne nouvelle est qu'elles sont passagères. Hourah! Vivement la fin!Comme vous l'avez bien dit, quand on n'arrive plus à atteindre la mère ça les arrive parfois de se tourner vers les enfants - c'est pénible, mais ça passe - c'est souvent le dernier cri d'un homme-bébé qui n'a plus ses jouets et cherche à retenir du pouvoir déjà perdu. Puis le relationnel père/fils adolescent y est parfois aussi : le vieux loup qui se voit menaçé par la force croissante de sa progéniture: si le père n'arrive pas toujours à en tirer des leçons, les fils en apprennent comment devenir les hommes qu'ils souhaiteraient être (il y a sans doute une meilleure façon de tourner cette phrase - excusez moi, s'il vous plaît, si je m'exprime mal : sorry in advance Lady Spencer! 🙏🏻).J'espère que vous arrivez bientôt à la survolter cette période turbulente et qu'une soirée en bon ambience fera ce qu'il faut pour la détente tant attendue 😉

Oscailte,Cela fait 10 ans que cela dure, bon là je pense que mes enfants en ont vraiment marre et que la justice devrait enfin les entendre et les protéger.J’ai aussi dit à mon Maître tout ce que j’avais sur le cœur et cela fait un bien fou.Merci pour vos mots et pour votre soutien.Je suis désolée de vous avoir répondu si tardivement mais j’avais besoin de prendre du recul.

Bonjour Je pense que ça prend du temps pour arriver à trouver un équilibre entre les différentes parties de soi et les différents "rôles " a tenir dans sa vie. Et la vie se charge malicieusement de redistribuer les cartes au moment où on croit avoir trouver.J'ai souvent l'impression de me perdre aussi et de ne pas faire assez, de ne pas être assez pour mon maître. Et comme il me le rappelle, c'est à lui de me dire si c'est le cas.Je me rends compte à chaque fois que c'est moi qui me met la pression et lutte contre moi même au lieu de lâcher prise. Ah ce fameux lâcher prise!!! Si seulement il y avait un modèle d'emploi infaillible!!Mon maître m'apaise, en m'écoutais, en comprenant et car il a cette patience que je n'ai pas, ni avec moi même, ni avec les événements. Pour en revenir aux différences dans les relations vanilles et bdsm. Pour moi, ce n'est même pas une question de ça, c'est plutôt une question que chaque relation est différente, vous pourriez ressentir aussi cette différence avec un autre maître que le vôtre. Après, hors sentiment amoureux, les émotions et les sentiments que l'on ressent envers son maître sont très différents que dans une autre relation. Cette tendresse, quelle qu'en soit la forme, physique ou psychologique, je ne pense pas que l'on puisse la ressentir de la même façon avec quelqu'un d'autre que son maître. C'est un lien très particulier et les émotions qui s'y associent le deviennent aussi.

Bonjour,Merci pour votre témoignage Alicia, oui, c’est bien cela, je me mets aussi la pression seule.Éducation, restes d’une relation destructrice où je ce que je faisais n’était jamais assez bien, charge mentale qui aveugle.Oui, le Lien est quelque chose de très particulier et intense et c’est encore parfois déstabilisant pour moi, même si j’ai fait de gros progrès en matière de lâcher prise. Entretenir la dynamique de la relation demande un vrai recul et t un vrai travail sur soi.Merci pour votre réponse Perlimpimpim.Être et ne plus paraître, c’est tout à fait cela.Mais pour cela il faut d’abord savoir qui on est, s’accepter, savoir aussi se remettre en question sur certains points, accepter que rien n’est acquis et que tout est à construire puis à entretenir et il faut que le don de soi soit réciproque.

Bonjour, désolé d'interrompre cette discussion, je ne réussis pas à envoyer de message à part via cette page de discussion, est-ce normal ? Sinon je suis un jeune homme avec de l'énergie à revendre qui cherche à donner du plaisir sans se limiter et tester de nouvelles expériences.Merci d'avance pour les réponses.