Hello,
Avec un peu de recul sur mes interactions de ces derniers temps, j'en viens à me poser cette question : sommes-nous si marginaux, nous qui sommes attirés par l'uro voire par le scato ?
Les interactions en questions correspondent, d'une part, aux échanges que j'ai pu avoir sur des applications de rencontres classiques et, d'autre part, à ma dernière relation en date.
Que ce soit sur ces applications ou avec mon ex, je savais m'adresser à des femmes à priori "vanilles", donc moi, avec mes envies flatuphiles, urophiles et scatophiles, j'avais plutôt intérêt à préserver leur sensibilité en évoquant dans un premier temps la pratique la moins "écœurante" (à mon sens) du lot : l'uro.
Je trouvais aussi évidemment un intérêt personnel à procéder ainsi : ne pas trop passer pour un fou, ou en tout cas pas de suite.
Sauf que la plupart du temps, l'accueil réservé fut assez négatif : incompréhension, dégoût, sarcasmes et rupture avec mon ex (même si la rupture a été décidée d'un commun accord).
Et lorsque l'accueil était un peu plus chaleureux, c'est-à-dire lorsque l'uro semblait admise, le scato restait considéré comme une pratique extrême (ce que j'admets) et comme un seuil à ne jamais franchir.
Maintenant j'ai bien conscience que mon champ de vision est restreint puisque évoquer un tel sujet sur des applications de rencontres classiques n'étant pas facile, ce n'est pas non plus quelque chose que j'ai reproduit des centaines de fois.
J'en appelle donc à votre regard : pensez-vous que les personnes attirées par ces pratiques sont si marginales ?
Question bonus : pensez-vous que l'on puisse concevoir ces pratiques sans rapport de domination/soumission ? Personnellement je ne pense pas.
Dernière modification le 14/10/2022 22:04:31 par Sacha.
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