J’aime par dessus tout ces claques qui ponctuent une série de remontrances.
Dans l’embarras de la déculottée, l’obligation d’avoir à répondre aux assertions et questions, prêter chaque fois le flanc à une réplique plus tranchante, plus humiliante.
Prendre parole les fesses à nues et brûlantes, le sexe honteusement dressé, la voie éraillée, honteuse et implorante. Remercier, demander pardon, promettre, remercier encore.
Ô comme j’aimerais que cette maîtresse me mette la main au col. Me menace, joue de ma crainte, de ma honte.
Maestra je t’imagine m’entretenir d’un ton sévère. Subitement, sans prévenir en plein repas. Me coupant la parole devant d’autres dames, tu me rappellera à mes fautes comme à un enfant.
Agacé que je bafouille et rougisse, je te verrais me tirer par le poignet, me lever les fesses de ma chaise et m’emmener à l’endroit de ton choix.
Je me sens frémir à y penser, m’imaginer parcourant les quelques pas augurant la correction publique. Je trépigne d’envie de connaître à nouveau cette première obligation de révéler moi même mes sous vêtements. En tremblant légèrement, tiré par autorité sur ses douces cuisses, de placer mon pauvre cul convenablement.
La Maestra de mes rêves me fait porter la petite culotte. Elle le fait pour m’humilier et me rappeler à ma condition de soumis. Elle le fait pour accentuer pour moi cette honte de me dévoiler.
Je voudrais qu’elle veuille me faire pleurer de honte, m’oblige à faire entendre ma voix piteuse de petit garçon, de petite garce, de ce qu’elle voudrait.
Je veux ce moment, qu’il cuise, dure, ne finisse que pour une nouvelle et plus honteuse situation.
Être exposé, convié à satisfaire le désir de sexes palpitants, recevoir leur sève, m’offrir totalement sous la menace d’un châtiment plus terrible, d’un martinet, d’une ceinture.
O comme je rêve
Soyez la première personne à aimer.