Hors l'approche livresque, rien ne remplacera les cours avec des pros des cordes et enseignants reconnus si vous voulez apprendre une pratique sécuritaire.
Ce que j'aime beaucoup chez Steph, c'est son humilité déjà, et son approche du bondage qui, outre la technicité maîtrisée, descend profondément en soi, tant attacheur qu'attaché, chercher la communication, la complicité, la sensualité, et l'échange de pouvoir.
Je suis plus partagé, ici.
J'enseigne différentes choses, dont la photographie : a priori je suis donc plus que d'accord sur l'importance du vrai cours, du vrai contact, de l'interactivité et de l'échange. Néanmoins, plusieurs ombres au tableau : déjà, les nombreux abus. Beaucoup d'asso' ont abrité des prédateurs, beaucoup de prédateurs pratiquent, et on ne sait sûrement pas tout. Ce qui ne présente pas de risque pour un couple qui se déplace, peut présenter des risques par ailleurs.
J'accepte volontiers qu'on me dise que c'est subjectif, pour le point suivant. Beaucoup d'encordeurs / encordeuses ont une relation qui est, je ne sais comment dire. Ambiguë ? Avec le lapin encordé. Certain cultivent cette ambiguïté, c'est une manière de voir les choses. Mais ce n'est pas la mienne : je ne touche par exemple JAMAIS une modèle lors d'une séance photo. Pour le dire plus clairement, le lien entre le libertinage et la séance de manque souvent de clarté, à mon sens.
J'ai écrit à un rigger bien connu, au moins deux fois, pour des ateliers avec mon épouse : je n'ai jamais eu de réponse. Cela laisse un doute par rapport à ce que j'ai décrit précédemment. Il y a des tris en fonction des possibilités..?
On se lance rarement dans les arts liés au sexe sans l'aimer, beaucoup. Parfois trop ?
Je note la description de Steph, mais en toute honnêteté, ce n'est pas celle que j'ai jusqu'à présent. Par ailleurs, je l'ai vu se faire descendre en flèche sur d'autres forums. Je me nourris des différents échanges, car je ne la connais pas personnellement, merci de ton (votre ?) avis !
