Petite explication technique, alors.
Le logiciel contrôlant les sextoys connectés est propriétaire, c'est à dire qu'il est conçu par le fabriquant et pas accessible ou modifiable par le grand public.
Mais, les gentils hackers (au sens explorateurs de savoir) ont analysé le bouzin (du reverse engineering) pour comprendre comment il fonctionne et créer un logiciel open source (donc librement modifiable et redistribuable) pour pouvoir utiliser la chose sans passer par le logiciel propriétaire (certains sont très à cheval là-dessus, et il y a une forte intersection entre les milieux libertaires et les sexualités alternatives).
Le revers de la médaille, c'est que ce genre de logiciels, surtout sur un marché de niche, est parfois moins bien suivi, moins bien entretenu, qu'un logiciel propriétaire.
Un buffer overflow, c'est quand on met un morceau d'information dans une case trop petite, et le résultat, dans le langage de programmation C et d'autres, produit un core dump, un vidage de la mémoire qui permet éventuellement d'analyser la source du problème.
Donc si le sextoy est dans le fondement d'une personne à ce moment-là, les résultats peuvent être... aléatoires. Intéressants, mais aléatoires.
Le logiciel libre commence à bien s'implanter. OpenOffice/LibreOffice, Firefox, Thunderbird, même Linux, on en trouve un peu partout.
PS: pour les ayatollahs de la FSF et les stakhanovistes du code source, il va sans dire que tout cela n'est que raccourcis et simplifications, merci...