Panthère a dit...
B - Je m'évertue à vous faire entendre que j'ai ma propre définition.
Est ce un drame pour vous ?
Un drame, certainement pas.
Mais pour tenter d'échanger avec vous, c'est assurément une difficulté.
Panthère a dit...
D - Et bien non.
Vous êtes aveugle à défaut d'être sourd ?
Vous avez déjà coaché un être humain, en dehors d'un musicien ?
Non à quoi? A la plus grande universalité du non-verbal? Pour une fois que je vous offrais une mince occasion de tomber d'accord!
Il n'y a pas que le coach et la musique, dans les manières de "relationner", vous savez...
Je serais pourtant tenter d'avancer que oui, même si j'envisage cette fonction sans doute très différemment de vous, et ne peux m'approprier ce mot. Il m'est arrivé d'accompagner, de soutenir, de conseiller, de guider, même. Mais jamais je ne dirais "coacher". Je vois dans ce mot des connotations marchandes, hygiénistes, efficaces, impatientes, qui me déplaisent fortement.
Panthère a dit...
E - Si vous n'avez plus le sens de l'humour ?
Je ne sais plus quoi penser...
Leurre de ma part en fait.
Mon sens de l'humour n'est pas totalement inaltérable, vous savez. Si toute cette incompréhension n'était qu'une vaste blague, celle-ci elle était alors sans doute un peu longue, relativement à ma faible endurance.
Panthère a dit...
F - Vous le décryptez comment ?
Pour ma part, je m'y fis plus qu'aux dires.
Le langage verbal se décrypte avec des outils verbaux, et avec l'entendement.
Le langage non-verbal se vit, se ressent, se traverse avec les sens et l'intuition. Avec "l'écoute", celle au sens large qui m'est chère.
Vouloir décrypter le non-verbal par le verbe, c'est l'appauvrir, c'est en fermer le sens en lui plaquant des projections. Je ne m'y fie qu'à condition qu'il reste non-verbalisé...
Panthère a dit...
Douce nuit à vous analogique.
De même pour vous.
Soyez la première personne à aimer.