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#0
Petit sujet léger, enfin pas tant que ça, mais qui a plus vocation à échanger de manière détendue qu'à réellement lancer un débat.
Ce qui signifie sûrement qu il va y avoir un débat déchirant entre les tenants des diverses positions. 😂🤣
Je veux parler ici de la sodomie.
Plus exactement, je veux parler de la douleur dans la sodomie. Je m'explique, je m'explique, ne hurlez pas tout de suite.
La sodomie est une chose globalement et généralement vu comme plus ou moins douloureuse... Mais certaines sources indiquent que du temps, de la patience et de la préparation permettent de la pratiquer de manière uniquement agréable, sans réelle douleur, dans le partage d'une intimité sexuelle douces et tendre....
Pourtant, force est de constater que j'ai croisé assez peu de femmes, surtout soumises, qui disent que la sodomie ne fait pas mal... Et le vendredi du site nous montre bien à quel point la pratique peut être appréciée...
Alors, certes, le côté animal/bestial/Primal de cette forme de possession particulière joue probablement un rôle dans le plaisir qui y est prit.
Le côté cérébral également qui, selon les personnes, jouera sur "Il m'utilise pour son plaisir"/la dégradation-humiliation/la honte/... (Barrez les mentions inutiles) qui apportera à chacun.e une forme de plaisir cérébral supplémentaire.
A cela s'ajoute tout de même une forme de plaisir strictement physique, parce qu'on a beau dire, l'endroit est plein de terminaisons nerveuses fort sympathiques...
Mais alors, et la douleur ?
Y a t'il réellement la possibilité de ne pas avoir mal?
Y a t'il une forme de masochisme dans le plaisir lié à la sodomie?
Où est-ce une recherche d'équilibre entre la douleur et le plaisir qui permet de faire que ça soit agréable ?
Le tout en tenant compte des divers extrêmes, allant de "Oui mais on y va doucement, lentement, progressivement" jusqu'à "ça fait un mal de chien mais ne t'arrête surtout pas, c'est tant que tu bouges que ça reste super bon"...
Je caricature un peu, mais j'ai rencontré ces diverses réactions au fil des années, et d'autres discussions ici ou là, mais je n'ai pas encore pu dégager de grande ligne globale.
Bon, je parle beaucoup de soumises parce que les fondements masculins ne m'attirent pas, mais tout témoignage est le bienvenu évidemment.
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Pandora
#1
Sujet léger mon Sire...?
Je dirais profond, pour ma part en tout cas... ^^
Bien comme nous avons déjà échangé sur le sujet, en effet, je suis curieuse de connaître le ressenti d autres personnes, étant moi même incapable de poser des mots sur les miens...
Oui, le plaisir est intense pour ma part.
Mais, découle t il plus du cérébral, que du plaisir pur des sensations ou encore de la douleur / contrainte engendrée..?
J aurais tout de même tendance à penser que c est un mélange.. En fonction de l instant, le cérébral et le désir prenant place en 1er lieu, puis les sensations physiques se mêlant au cérébral, puis, une fois l intensité éprouvante potentiellement atteinte, la douleur qui rentre en jeu et propulse le moindre mouvement en plaisir décuplé... Je ne joui jamais autant que l orsque j ai atteins ce stade.
Mais... Étant un "petit peu" (😋) maso.. Je ne serai probablement émettre un avis des plus justes..
Dernière modification le 09/12/2021 09:29:57 par Pandora.
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#2
Bonjour Oneiros, Pandora
La sodomie je l'apprehendais avant surtout la pénétration mais après ce stade je me détendais et j'ai jamais eu de douleurs et maintenant ben même la pénétration je l'appréhende plus ... Mais bon après des mois de dilatation intensive et de sodomie avec des godes géants port de gros plug mon cul est plus que prêt 😂😂😂
Le secret c'est la préparation du petit trou lubrifiant faut pas économisé et le mental se dire qu'on s'ouvre pour accueillir son Mâle et je pense qu'après le plaisirs prend le relais la sodomie ça rend addict ....
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ÉviDanse
#3
Bonjouuur à vous merci pour ce sujet.
Je suis là pour apprendre alors 👀😁
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#4
N'oublions pas que l'homme dispose d'une prostate qui rend potentiellement la pénétration anale encore plus agréable que pour la femme, au point d'avoir été considéré comme le point G masculin, et d'être utilisé avec des electrostimulations pour forcer l'éjaculation chez les animaux... Mais ça, c'est l'info un peu provoque du jour.
Sinon, merci Montaigne pour ce point de vue pénétrant. 😁
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SœurClo
#5
Une douleur, petite et atténuée au départ, qui ne fait que rendre encore meilleur l'acte en lui même... Il y a même des moments où l'on n'a pas besoin de lubrifiant...
Je suis maso et j'aime le plaisir dans la douleur, mais à force de "pratiquer" il ne reste plus que le plaisir, si fort, si intense, si profond... Pour reprendre le mot de Pandora.
Etre à lui complètement, bestialement, me laisser aller à cette jouissance si particulière, lui appartenir toute entière, un pur bonheur.
Et recommencez encore et encore...
J'aime ce moment où il me dit je vais t'enculer, j'aime lui demander de le faire... De ne pas s'arrêter...
D'ailleurs, mon Mâle Effik, vivement vendredi prochain 🤪😁
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Carpo
#6
Merci ce sujet passionnant, entre autres car il est l'occasion de créer quelques passerelles entre hommes et femmes, ou de parler de la place de la douleur dans la pratique bdsm.
Mon expérience d'homme aimant être pénétré est qu'il est tout à fait possible d'être sodomisé sans douleur. Un peu d'entraînement, une bonne lubrification, un peu de préparation (je m'en passe volontiers...), pas de stress en tête et surtout l'envie dans le corps, et tout ira bien.
Pour un homme, il y a d'autres obstacles à affronter que la douleur. En premier lieu le carcan de préjugés autour de cette pratique, qui n'est pas une orientation sexuelle (faut-il le rappeler ?) et n'entame pas la masculinité, si elle est joliment assumée. Ensuite la capacité même d'en apprécier les plaisirs, qui peut être spontanée chez certains, et demander plus de recherches chez d'autres.
Mon expérience est intermédiaire : j'ai depuis longtemps trouvé plaisir à parcourir cette zone, mais c'est assez récemment que j'ai franchi un cap en réveillant tout ce qui dormait encore et en identifiant les différentes formes de plaisir qui s'y mêlent. Cela demande potentiellement un certain travail sur soit, au contraire de l'éjaculation. 
Et là, messieurs, c'est effectivement bien plus fort et varié que ce que le sexe masculin peut apporter (clin d'œil appuyé aux qui n'oseraient pas encore se lancer).
Si la sodomie sans douleur est possible et parfaite pour une pratique "plaisir", il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée ou frustrée du plaisir, sur les moments et les lieux, etc.
Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint au cadeau du plaisir pur et tendre.
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#7
Merci Carpo pour ce témoignage très complet et intéressant.
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Vous avez dit "léger" :smile:?
Comme vous le dites, Oneiros, le côté animal/bestial/primal de cette forme de possession particulière joue au moins chez moi un rôle déterminant dans le plaisir que je prends à m'offrir de la sorte.
Sans doute aussi parce que je sais que c'est une manière de me "posséder" que mon Maître apprécie particulièrement.
Quant à la douleur, elle est nécessairement présente au moment de l' "introduction", puisque je me refuse à toute autre lubrification que "naturelle" (et sans que sa bouche n'intervienne).
Ce doit être notre côté "écolo" :smile:.
Par contre, une fois "prise", lui en moi, elle s'estompe et se transforme en un plaisir intense.
Celui de lui appartenir pleinement.
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#9
Le titre m'a interpelé .. et le fou-rire m'a emporté quand j'ai vu le sujet, Merci @Oneiros ^^
Pourtant c'est l'âme déchirée (^^) que je vais répondre sérieusement (oui c'est dur!)
Alors la douleur ? et bien je ne connais pas la douleur de la sodomie (pourtant sans épiloguer moi la douleur je la vis H24) et je n'utilise pas de lubrifiant !
Oui il y a possibilité de ne pas avoir mal mais je ne peux pas l'expliquer.. juste dire que j'aime ça ? ça serait réducteur ! il y a un coté très cérébral dans la sodomie que vous et d'autre sont déjà écrit .. je pense que chez moi il y a une part d'excitation liée à un coté sulfureux, interdit, obéissance qui me rend dans cet état
il y a bien au début ce moment quand le gland force l'ouverture .. c'est un moment que j'attends toujours avec plaisir , l'intensité du désir est très forte , la contrainte d'être à sa merci (bon ok j'avoue que mon plaisir réside aussi à le faire craquer et jouir même quand il se retient), la bestialité de l'acte
j'ai peut-être une particularité que toutes n'ont pas .. . "je mouille du cul" comme il aime dire.. c'est à dire que je suis trempée et quand je vais jouir pendant une sodomie, j'éjacule un liquide (que nous n'avons jamais pris le temps d'analyser c'est vrai^^)
J'ai déjà échangé avec des femmes (et avec ma fille pour tout vous dire!), beaucoup ont peur que ça fasse mal, du coté interdit aussi et malgré des préliminaires, elles restent très tendues, crispées, j'en déduis que dans ces cas ça doit en effet être douloureux .. et plus ça fait mal plus ça se tend .. bref moi pas maso !!!
bon évidemment s'il décide un jour de me prendre à sec et sans me prévenir pendant que je vide le lave-vaisselle en pensant aux factures à payer ... ça risque d'être douloureux .. pour lui aussi d'ailleurs ^^
Voili, voilà ma part personnelle à cet édifice de seau troué ...
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#10
FFE, si vous êtes écolo alors, lol. Sinon, il y a l'huile d'olive aussi dans le genre écolo. 😇
Merci de ce témoignage encore différent, qui vient compléter le tableau.
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#11
Gitane sans filtre,
Et bien, ravi de vous avoir fait rire. J'avoue que je trouve ça plus sympa aussi, d'autant que la vérité reste que le plaisir de la sodomie et le rapport qu'on y a est très personnel, l'important étant de prendre du plaisir.
Mais grâce à vous, j'aurais découvert quelque chose de nouveau, votre particularité m'était jusqu'alors inconnu. Une belle évolution du corps qui rends cette pratique "infamante" d'autant plus naturelle et justifiée. 😁
Et j'ai aussi beaucoup ris a l'évocation du lave vaisselle, imaginant la scène sans mal... Où avec dans le cas présent. 😂😂
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@Oneiros.
J’aime beaucoup l’huile d’olive.
C’est d’ailleurs celle que nous consommons principalement.
Mais pas pour cet usage là 😀.
Sinon, je me retrouve complètement dans le témoignage de Gitane.
Même si je n’ai pas sa « particularité ».
Ce qui n’est toutefois pas handicapant pour autant.
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#13
Voici mon point de vue en tant qu'homme qui sodomise femmes et hommes et en tant qu'homme qui se fait sodomiser principalement par des hommes (une queue étant bien plus agréable qu'un gode à mon goût) :
Je ne vois pas dans la sodomie quelque chose de plus bestial ou de plus dégradant que dans la pénétration vaginale, ou le "baisage" de bouche par exemple, ou encore bien d'autres pratiques, mais je comprends parfaitement que le sentiment d'être dégradé puisse augmenter le plaisir, ce sentiment étant propre à chacun, et dépend en grande partie selon moi du contexte socio-culturel qui nous a vu grandir.
Le plaisir : s'il est envisageable que l'homme en prend plus que la femme (je ne sais pas), en tant qu'homme je peux dire que oui c'est absolument jouissif, et je ne me suis jamais vu autant couiner de plaisir autrement qu'en me faisant pénétrer. A cela je rajouterai que ma femme aimait beaucoup se faire sodomiser et qu'elle y prenait elle aussi beaucoup de plaisir, ce qui n'a pas manqué d'ailleurs de me mettre la puce à l'oreille.......
La douleur : mal fait c'est incroyablement douloureux, bien fait il n'y a aucune douleur, et parfois on peut tolérer une certaine douleur car elle est intimement liée au plaisir.
La petite queue d'un bourrin pressé peut faire très mal quand la grosse queue d'un expert passe comme inaperçue !
Pour autant, si j'en reviens à l'exemple de ma femme qui aimait çà, aujourd'hui rien qu'un doigt lui fait mal ou n'est pas agréable.... ce que je ne m'explique pas ...
Mon avis de pénétrant : La nature fait bien les choses car chez la femme, la rugosité du vagin apporte plus de plaisir à la queue de l'homme que le lisse intestin.
Pour l'homme les choix d'orifices sont plus restreints, et il me semble avoir pris souvent plus de plaisir à sodomiser un homme qu'une femme, mais c'est certainement lié à mon mental, je ne sais pas si c'est le bon terme mais enfin c'est dans ma tête, et la tête est la vraie maîtresse du plaisir...
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#14
FFE : ".........puisque je me refuse à toute autre lubrification que "naturelle" (et sans que sa bouche n'intervienne)."
Vous vous privez certainement, l'un comme l'autre, du plaisir de cette enivrante proximité. ;-)
Soyez la première personne à aimer.
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#15
Donc...
Payer les factures et vider le lave-vaisselle te font mouiller du cul...
Merdalors, je croyais que c'était moi^^ Mon ego en prend un coup
mais je note l'insonsable complexité des soumises lubriques...
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#16
Navré MagmA pour cette découverte, mais la bonne nouvelle, c'est que vous n'aurez plus jamais a vider le lave vaisselle. 😁😁😁
Soyez la première personne à aimer.
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#17
Alors Oneiros et MagmA vous avez mal compris : moi je ne veux pas être prise par surprise à sec en vidant le lave-vaisselle !!! En aucun cas une idée de fantasme !
j'aime beaucoup l'expression "pratique infamante" que j'ai lu infemmante ...
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M des Sens
#18
Malheureusement j'ai peu à dire, outre ce qui fut évoqué dans d'autres réponses...
Un point que je prends sur une particularité....
Dernièrement, j'ai eu l'honneur d'une Belle ;) ...qui m'a fait cet infime honneur de l'honoré du postérieur...pour sa première fois...
Et, comme vous chère Gitane, elle s'est découverte également cette particularité...en cette endroit...(et pas que là d'ailleurs, mais c'est un autre sujet...)
Certes, pas à chaque fois...mais très souvent....
Ce n'était pas ma première...mais effectivement assez rare pour être soulevé cependant...
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j'ai peut-être une particularité que toutes n'ont pas .. . "je mouille du cul" comme il aime dire.. c'est à dire que je suis trempée et quand je vais jouir pendant une sodomie, j'éjacule un liquide (que nous n'avons jamais pris le temps d'analyser c'est vrai^^) ...
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#19
Ouf merci M, .. je me sens moins seule et plus dans une certaine "normalité" ...
et pas queue d'ailleurs ... et vous ne voulez pas développer ? rires ^^
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M des Sens
#20
Ah lala, ma chère Gitane....Je développerais....plus exactement j'ai un texte en préparation...mais c'est certains troubles récents qui m'ont, on va dire, retardés l'écriture....
Mais oui, je développerai ce sujet...coulant ...:joy:
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#21
Gitane est un modèle équipé de la lubrification interne ! C'est plutôt performant mais cela demande du doigté pour déclencher l'arrosage ^^
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#22
Vous dites : "Si la sodomie sans douleur est possible et parfaite pour une pratique "plaisir", il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée ou frustrée du plaisir.
Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint au cadeau du plaisir pur et tendre."
Si c'est une dominatrice elle doit apprécier le douloureux contraint à imposer au soumis en jouant sur la grosseur des godes sur la durée de t'intromission, voire le faire sodomiser par un homme devant elle pour l'humilier.
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#23
Vous dites :
"Mon expérience est intermédiaire : j'ai depuis longtemps trouvé plaisir à parcourir cette zone, mais c'est assez récemment que j'ai franchi un cap en réveillant tout ce qui dormait encore et en identifiant les différentes formes de plaisir qui s'y mêlent. Cela demande potentiellement un certain travail sur soit, au contraire de l'éjaculation.
Et là, messieurs, c'est effectivement bien plus fort et varié que ce que le sexe masculin peut apporter (clin d'œil appuyé aux qui n'oseraient pas encore se lancer).
Si la sodomie sans douleur est possible et parfaite pour une pratique "plaisir", il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée..."
J'ai déjà été sodomisé par des dominatrices professionelles, je suis sûr que ce qui les intéresse c'est d'humilier les soumis avec des sodomies douloureuses et que le soumis recherche aussi cela.
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#24
ce sujet passionnant, il est l'occasion de créer quelques passerelles entre hommes et femmes, ou de parler de la place de la douleur dans la pratique bdsm.
Pour un homme, il y a d'autres obstacles à affronter que la douleur. En premier lieu les préjugés autour de cette pratique, c'est effectivement bien plus fort et varié que ce que le sexe masculin peut apporter.
la sodomie, il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée, sur les moments, etc.
Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint . Bien que switcher, je souhaiterais être soumis pour essayer la sodomie passive, aussi bien avec une dominatrice avec un gode ceinture, mais aussi m'imposer des fellations et me faire sodomiser par un homme afin de m'humilier, mais aussi d'avoir mal au cul après avoir été dépucelé et que la maîtresse m'impose cela régulièrement pour faire de moi un esclave sexuel.
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#25
Vous dites : " il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée ...du plaisir, sur les moments , etc.
Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint..."
Je pense que c'est ce que je redoute mais aussi ce qui m'attire qu'une maîtresse m'impose des sodomies avec un gode, puis avec un homme.
Soyez la première personne à aimer.
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#26
@Carpo
"Si la sodomie sans douleur est possible et parfaite pour une pratique "plaisir", il me semble qu'elle doit pouvoir se décliner sous d'autres formes pour une pratique domination, c'est à dire permettre à la personne dominante de pouvoir exprimer la marque de sa domination. Il est possible de jouer sur les durées, les différentes manières de pénétrer, sur la survenue contrôlée, répétée. Ma Maîtresse et moi travaillons à cela, pour qu'elle ait à sa disposition toute la palette du possible, du douloureux contraint." La dominatrice doit faire souffrir le soumis et la sodomie est un bon moyen en jouant sur la durée, la taille des godes, etc.
Soyez la première personne à aimer.