Les différents niveaux d'impact

Il y a aussi le facteur durée à prendre en compte, ainsi que la surface d'impact, le poids et la solidité de l'objet, pour des impacts cinglants, lourds....

Je pense pouvoir faire tenir le facteur durée dans la marque, plus l'impact sera sur la durée plus il va forcément laisser une marque et une douleur résiduelle.Quant à la différence lourd/cinglant je la distingue pour ma part entre les bleues pour la premier et le sang pour le second suivant la puissance.

pas forcément.. on peut arracher une peau en 2 coups de fouets..

Ce n'est en rien contradictoire avec ce que j'ai écrit, le cinglant avec le sang. :smile:

Photo personnelle avec des marques du fouet de Pascal le Maitre des lieux de Cris et Chuchotements.Pour les marques et leur durée cela dépend de tant de choses, la peau, l'instrument choisi, la durée, les impacts, etc etc.Me concernant, je marque facilement, j'ai la peau fine, sensible, réactive, pour cette photo les marques ont duré un mois et demi avant qu'il ne reste plus rien, malgré les granulés d'arnica et la pommade qui allait bien conseillé par Pascal et Philippe de Beaumont.Mon Maître présent ce soir là, a fait signe à un moment donné, pour stopper en voyant les marques nacarat, incarnat sur ma poitrine.C'est ce soir là, que j'ai connu pour la première fois le subspace, j'étais bien ne ressentant plus la douleur, aucun cri/hurlement de ma bouche, ayant franchi un palier.Mon plus beau souvenir alors que cela faisait un an que j'étais soumise à un Maitre.

en fait je comprend pas l'intérêt de ces niveaux."1/ aucune marque résiduelle, douleur brève2/ douleur résiduelle, marques légères pouvant durer3/ douleur soutenue, bleus, marques4/ marques jusqu'au sang "pour quoi faire?

L'éventail des possibles est bien plus varié que la grille de lecture proposée, et d'autres facteurs que ceux-là rentrent en compte, je pense qu'on est d'accord...

Je ne sais pas si on parle de la même chose, mais les niveaux de SM que j'utilise en pratique SM et dressage sont ceux ci-dessous"Niveau 1- Jeux à peine SM : fessées, pincements et mordillements légers. Absence quasi totale d'instruments et de scénario. Martinet soft. Attaches légères.• Niveau 2- Le SM léger : apparition des liens, des premiers instruments de flagellations, et éventuellement de pinces. Petites contraintes. Scénario possible mais souvent primaire. Ordres, exhibitions, nudité, immobilité, décoration, objet sexuel, etc.• Niveau 3- Le SM moyen ou classique : élaboration d'un scénario type : je suis le/la Maître/sse, tu es mon esclave et je te punis ! Utilisations systématiques d'instruments de flagellations, de pinces et d'attaches. Apparitions de pratiques insolites comme orties, bougies. Permanence du fétichisme. Présence fréquente de tierces personnes. Relations homosexuelles forcées. Humiliations légères, comme marcher à 4 pattes, etc. Cire de bougie, jeux avec godes, jeux uro. Douleur de niveau moyen, etc.Niveau 4 : attaches pénibles (position inversée, sodomie forcée, Gorge profonde imposée, douleurs, cris, hurlements, supplications.Niveau 5- Le SM limite: aiguilles et donc sang, étouffements, strangulation contrôlée, électricité, marquage, scarification, vomissement, jeux fécaux appelés aussi "caviar". "

Merci pour vos contributions.@arc en ciel Merci de votre partage.Le but n'est pas de classifier quoi que ce soit, le but est de me situer dans un domaine et de découvrir ce que potentiellement je ne connaîtra pas de cette pratique et de son impact.Vous êtes tous ici plus ou moins expert, mais ce n'est pas le cas de tout le monde et il semble que vous l'oubliez (pas vous en particulier, la communauté dans son ensemble) souvent pour ce que j'ai pu lire comme réactions sur cette communauté.On est bien d'accord, c'est bien pour cela que je ne me limite pas à ma seule vision et pensée mais ouvre le sujet pour découvrir l'option et la vision des autres.@Olivier Je ne raisonnais pas en terme de scénario mais plutôt d'action et de conséquences.Si je suis vos niveaux je me risquerai jusqu'au troisième, mais sans aucun doute pas avec la même puissance que certains pourraient le faire. C'est cette puissance que je cherche à identifier.

On ne fonctionne pas tous de la même manière.Nous avons les mêmes bases niveau SM mais par la suite je dirais qu'on adapte selon nos personnalités, nos envies du moment mais aussi du feeling entre les deux.Rien n'est figé et certaines pratiques diffèrent complètement en fonction de qui nous avons affaire.Je suis d'accord avec vous tous dans le fait qu'il y a une multitude de facteurs qui entrent en jeu, matériel, technique, capacité d'infliger d'un côté et recevoir de l'autre, etc...Pour ma part je suis sadique, je prends beaucoup de plaisir à infliger, à marquer mais cela se fait avec une très grande bienveillance et surtout en sécurité.Je fais les choses en progressivité car je jauge la peau, la capacité d'endurance et les choses se passent au mieux lorsque cela monte crescendo.J'ai besoin que ce que j'inflige ait du sens et permette de repousser les limites corporelles en faisant lâcher prise... RÉVÉLER, progresser, se libérer.C'est là qu'est mon kiff.Je fais les choses selon mon instinct et très à l'écoute de mon partenaire du moment.Enawelle

Comme vous je travaille beaucoup sur l'éveil des sens.Le SM est assez technique.Arc en ciel l'explique très bien dans son partage d'expérience.La douleur ressentie permet de "plonger" Enawelle

L'éveil des sens avec l'effet de l'impact est plus intéressant à chercher que le fait d'infliger une douleur juste pour faire mal .Il faut donner du sens à cette pratique sinon y'a pas d'intérêts

Bonjour,Pour moi il manque effectivement plein de choses...- prise en compte de la peau de la personne. Certaines personnes marquent facilement, d'autres pas.- prise en compte de l'état émotionnel et physique de la personne. Les masos aussi ont leur jour avec et sans. - Les marques ne sont aucunement pour moi le reflet de la dureté de la séance. J'ai beaucoup de mal avec les classifications... Je rejoins les avis que les ressentis sont bien plus appréciables que les appellations diverses... Que les ressentis n'ont parfois rien à voir avec la concrétisation par les marques, que la douleur n'est pas qualifiable ni quantifiable... Au delà même des personnes...

Bonjour Je rejoins Azhara les marques ne sont pas un critère qui donne l'intensité de ce qui est vécu ressentie... L'être humain est bien plus complexe il y a toute la charge émotionnelle qui varie indéniablement, la fatigue, les événements qui ont eu lieu, la façon dont le corps vit le moment, l'état d'esprit... Et cela des deux côtés...

Je rejoins Azhara également, les marques n'ont rien avoir avec l'intensité d'une séance...Par contre les marques, j'aime les regarder après, les voir changer et se transformer..

Bonjour moi j ai dit à mon dom que je ne voulais pas de marque, je tiens à ce que rien ne se voit dans la vie de tout les jours. Vous pouvez faire une séance SM intense et ne pas avoir de marque le lendemain, les marques n ont rien avoir avec la force, l intensité ou le ressenti croyez moi monsieur joue du paddle du martinet et du fouet et fin de séance je plane complet, j aime cette sensation de chaleur que procure une séance de SM, sentir tout mon corps chaque Muscle chaque morceau de peau. J aime sentir l électricité,la fulgurance de la douleur, sentir la chaleur des bougies qui coule sur moi, et cette sensation étrange de prendre feu quand on fait du fire play qu il met de la mousse à raser sur mon dos avant d y mettre le feu (en tte sécurité évidemment et ça ne me brule pas) ce sont des sensations jouissive. Je ne sais pas dans quel catégorie SM mettre tout ça.

je partage tout a fait le propos de Ennawelle et Dan94, pour moi, infliger la douleur a pour but d'éveiller les sens, mon plaisir ne reside pas dans la violence en soit mais dans ce qu'elle révèle chez ma soumise...Ce classement de niveau n'a aucun interet, le maitre gère au jour le jour selon le ressenti, la progression, sans s'enfermer dans un catalogue .