Bon, quoique n'étant pas familière de l'edging, je me lance à mon tour.
Pour ne pas laisser à ces Messieurs seuls le soin de commenter :smile:
Et profiter si besoin de leur expérience en la matière.
Concernant mon Maître, il n'est évidemment pas question pour moi de pratiquer l'edging sur lui.
J'aime l'idée de me savoir au service de son plaisir et ça n'est pas vision de la soumission que de vouloir le "contrôler".
Me concernant, c'est différent.
Mais soit il n'est pas doué en la matière soit c'est moi qui suis en cause, mais ses tentatives pour m'emmener aux limites de l'orgasme en m'en privant au dernier moment n'ont jamais fonctionné.
Peut-être parce j'ai tendance à partir au quart de tour.
Quant aux plaisir solitaires, j'avoue que ce n'était pas mon truc.
Pour la frustration, me priver de ce que j'aime, c'est à dire de l'acte final, qui consiste à me prendre, quel que soit celui de mes orifices qu'il choisit, c'est différent.
Comme il n'est pas plus envisageable que je le frustre lui, il lui arrive d'y recourir, en assouvissant son désir légitime tout en se passant de moi, en jouissant non pas en moi mais sur moi.
Pas trop souvent, heureusement :smile:
Je déteste quand il se comporte ainsi.
Quand il me prive de lui.
Mais en même temps je l'accepte quand il décide de se "comporter en salaud".
En me refusant ce que j'attends, le plaisir de jouir de lui.
Parce que c'est son droit.
Que j'aime aussi qu'il me rappelle parfois que mon plaisir dépend de lui.
Doit ne dépendre que de lui.
Et que comme Bitoul, je sais que son intérêt (et le mien par ricochet) est aussi de me maintenir sexuellement en demande pour être encore plus encline à me soumettre à tous ses désirs.
Quand bien même c'est ce que j'essaie déjà de faire spontanément.
Alors, Messieurs, qui semblez davantage que moi maîtriser le sujet, si vous avez des suggestions (autres que m'y adonner moi-même), je suis preneuse :smile: