Laidy Sienne
#0
Allez, qui va publier demain jeudi ?
Photos, tatouages, sculptures (je ne cite personne), et des textes.
Merci à tous !
Dernière modification le 06/10/2021 23:05:03 par Laidy Sienne.
Soyez la première personne à aimer.
#
#1
Fan apocope de fanatique, mais quelle mouche me pique
Passionné de marquage enivré, je reste un éternel passionné
De sa peau refroidie par le ventilateur de mes envies
Chaque pale de cuir ricoche sur le sommet de ses désirs
Chaque coup calanche sur sa croupe de soumise asservie
Instigateur de sa douleur, adorateur de sa candeur
Égérie de mes écrits, béni oui-oui de mes pulsions établies
Ventilons ventilons , je suis fan de son don, chutttttt mes ton bâillon !!!!
Rehaël…..
3 personnes aiment ça.
Laidy Sienne
#2
"L'énorme et vieux ventilateur
Essayait d'brasser l'air lourd d'odeur
On aurait pu palper la peur
Dans une aussi épaisse moiteur"
C'est pas de moi .....
L'original ici.
https://www.youtube.com/watch?v=4W29TzA1-Qc
Soyez la première personne à aimer.
masque_gris
#3
masque_gris
Il y a 3 heure(s)
Vendredi 7 octobre...
Dans cette cave parfaitement isolée, elle étouffe, en sueurs malgré le ventilateur qui brasse un air sulfureux que pourtant elle apprécie.
Le cliquetis des palles a servi de métronome aux concerto de tourments qu'elle vient de subir.
Elle savait son Maître fan du "boléro" de Ravel, il lui a confirmé, respectant la cadence enivrante allant crescendo... Expert, il la conduite à de multiples orgasmes que chaque coups "cymbale" sublimait...
1 personne aime(nt) ça.
masque_gris
#4
8 octobre...
Elle court, en sueur, fixant sans cesse sa montre. Elle sait que chaque seconde de retard équivaut à un coup de martinet… Elle sait aussi, il l’a lui a déjà prouvé qu’il transforme chaque minute en coup de cravache. Elle a déjà cinq minutes de retard. Pour se changer les idées et oublier son inquiétude, elle calcule tout en fixant instinctivement cette montre qui l’hypnotise. Cinq minutes équivalent à 300 coups de martinet. Elle choisira la cravache surtout que c’est maintenant dix minutes qu’elle a de retard.
La dernière fois, car c’est vrai qu’elle trop souvent en retard, elle a dû trouver des stratagèmes pour ne pas montrer à son mari les marques que son Maître lui avait faite.
Enfin, la voilà devant le jardin. Le portail est fermé. Elle le maudit en caressant sa montre comme si elle pouvait ralentir le temps.
Elle appuie sur l’interphone. Pervers, il prend son temps pour répondre.
- Oui… ?
- C’est moi Maître.
- Qui ça… ?
- Votre soumise Maître…
Le portail s’ouvre.
Elle sent le temps qui passe… Elle calcule le nombre de coups de cravache et de martinet car, elle sait qu’il prendra en compte chaque seconde.
Il l’attend sur le perron avec un sourire sans équivoque, tout en lui montrant sa montre….. !
2 personnes aiment ça.
Laidy Sienne
#5
Excellent texte, et très pervers en effet !
Merci à vous.
Soyez la première personne à aimer.