J’ai l’esprit en feu, tendu jusque dans mes neurones,
ma plume intense, qui s’affûte sans cesse,
façonnant une clé, je cherche à m’échapper,
de cette prison mentale que je crée via ces images dont tu m’inondes l’esprit.
Pervers ? Ainsi soit-il,
je crois en l’émotion cérébrale qui fait flancher mon mental,
je crie dans le silence de cette boite qui crâne au sommet de mon corps,
et j’y perds, lâchant l'onde psychique d’une pulsion si saine,
qu’elle soignera ton esprit critique, dans l’absolu de cette lutte épique.