Récit : "tu l'as voulu, tu l'as eu". Quand j'ai reçu son SMS, j'étais au travail. Un SMS bien aguicheur, plutôt provoquant, dans lequel elle évoquait son envie de "ma bite". Comme c'était une période de grosse charrette, et que j'avais hâte d'en finir, j'ai d'abord décidé d'ignorer ce message. Mais j'en ai très vite reçu un autre, évoquant "une forte envie de [se] faire baiser". J'ai essayé de continuer à me concentrer, un peu agacé par les autres messages qui ont suivi, et qui étaient dans la même veine, évoquant sa "chatte humide" et le fait que je devais me dépêcher d'en profiter. N'arrivant plus à me concentrer, je décide de laisser mon boulot en plan pour aller satisfaire les besoins de la gourmande qui me chauffe. Quelques minutes plus tard seulement, je suis chez elle. La porte est ouverte, j'entre sans frapper. Je la trouve sur son lit, allongée sur le ventre, faisant semblant de dormir. Elle est en culotte, seins nus. Je me positionne au dessus d'elle, assis à califourchon sur ses fesses, et j'empoigne ses seins dont je malaxe les tétons. Je les fais rouler entre mes doigts, je les titille, je les pince légèrement, je les agaces. Dans le même temps, je lui donne quelques baisers dans le cou, et aussi quelques suçons sur les épaules. Puis je la retourne sur le dos d'un seul cou, et je lèche ses aréoles. Je descends jusqu'à sa taille et je lui arrache sa culotte d'un coup sec. Elle a un petit sourire qui veut dire que ce dirigisme ne lui déplaît pas. Je lèche sa chatte, m'attardant sur son clitoris, sur lequel j'applique une légère pression à l'aide de ma langue. Je glisse un doigt à l'intérieur et je commence à caresser l'intérieur de son sexe. De mon autre main, je continue à titiller ses tétons. Sa chatte se gonfle et devient considérablement humide. La cyprine coule abondamment. Elle me demande de continuer comme ça, ce que je fais. Elle halète, elle souffle, elle râle. Puis elle joui. Elle le dit et elle le montre : elle se tortille, elle crie, et l'humidité de son sexe augmente encore. Elle me demande d'arrêter, elle n'en peut plus. Sauf que... Je l'attrape par les hanches, et je continue mon manège. Elle essaye de se dégager mais je la tiens fort. Elle me demande à nouveau d'arrêter, et là j'arrête. Puis je recommence. Elle gémit, elle rit, elle crie stop. Je poursuis ainsi encore un temps puis je fais remonter ma tête vers la sienne en mordillant son ventre et ses seins. De ma bouche encore humide de sa mouille, je lèche ses lèvres. Elle a un sourire béat. Là, je me redresse et je retire mes vêtements. Je la fais se mettre à genoux devant moi et elle comprend tout de suite ce que j'attends d'elle. Elle attrape ma queue et l'enfourne dans sa bouche. Elle s'applique, et utilise toute sa science de la pipe. Elle lèche mes couilles, frotte ma verge contre ses joues. Elle s'essaye aussi à la gorge profonde. J'attrape ses cheveux et les tire un peu vers le haut et vers mon ventre. Déséquilibrée, elle se penche en avant. Elle est maintenant à quatre pattes sur le matelas, le cul tendu vers l'arrière. C'est moi qui imprime le rythme de la fellation : je fais aller et venir mon bassin pour faire coulisser ma queue dans sa bouche. Je sens que cela la gêne, alors j'arrête. Je me retire pour qu'elle puisse reprendre son souffle, je lui fais lécher mes couilles. Puis je recommence mon manège. Quand j'en ai assez de ce petit jeu, je l'attrape par les épaules et les hanches et la déséquilibre. Elle se retrouve projetée sur le dos, sur le matelas. Je m'allonge sur elle et je la pénètre. J'y vais doucement au début, le temps que son vagin se fasse à la présence de ma verge, puis j'accélère progressivement le rythme. Plus ça va, plus j'y vais fort. En appui sur mes avants-bras, je la pilonne complètement. Elle apprécie et me demande de continuer. Je décide de modifier un peu ma position en prenant appui sur le matelas avec ma tête. Cela libère mes mains et je les utilise pour agripper ses fesses. Mes doigts se frayent un chemin et s'insinue dans la raie de son cul pour aller titiller son anus. Elle halète, elle gémit, elle dit qu'elle aime ça. Et elle réclame autre chose. -"Prends moi en levrette, je t'en supplie", dit-elle.- "Vraiment ?" -"Oui, j'en ai envie"."OK. Comme tu voudras".Je la retourne sans ménagement, d'un coup sec. Elle se retrouve à quatre pattes, le cul offert. Je me positionne derrière elle et je la pénètre. Je fais des va-et-vient lents, presque langoureux, en caressant ses seins et son dos. Puis je pose mes mains sur épaules et j'accélère la cadence. Elle apprécie. J'intensifie mon mouvement et je finis par faire glisser mon bras droit autour de son cou. Je la bloque dans cette position et je la pilonne. Elle est prisonnière. Elle gémit, elle crie. Mes hanches claquent bruyamment contre son cul. Je la "libère" et je place mes mains sur ses hanches. Je me bascule légèrement vers l'arrière, et je fait des mouvements très rapides du bassin. Elle devient vraiment bruyante maintenant, au fur et à mesure que je la baise sauvagement dans cette position, mes couilles claquent contre sa chatte. Je libère une de mes mains et je lui administre une fessée sonore qui laisse une belle marque rouge sur ses fesses blanches. Je recommence. Encore et encore. Son cul est devenu tout rouge et je lui empoigne les cheveux. Je les tire vers l'arrière d'une main, elle très cambrée maintenant. De mon autre main, je lui enfonce mon pouce dans le trou du cul. Je sens une légère résistance, j'appuie un peu. Le petit conduit s'ouvre et mon doigt s'enfonce dans le canal très serré. Au bout d'un certain temps de ce traitement, je retire mon doigt.Je la fais s'allonger sur le ventre, les bras tendus devant. J'attrape sa culotte qui traînait sur le matelas et je lui ligote les mains avec. Toujours dans son dos, je m'assois sur le dessus de ses cuisses et je recommence à la baiser dans cette position. J'en profite à nouveau pour lui claquer le cul, lui griffer le dos et les fesses. Puis je libère ses mains et reprends la culotte. Je lui demande si elle l'aimait bien ce sous-vêtement. Elle me dit que oui car elle le trouve beau. "Dommage", que je lui répond. Et je déchire la culotte. Je la fait se remettre en levrette, et je lui colle une sacrée claque, très sonore, sur le cul. Je me positionne à nouveau derrière elle et je recommence à la prendre. De ma main gauche, j'alterne tirage de cheveux et introduction d'un doigt dans le cul. De main droite, j'utilise ce qui reste de la culotte comme un fouet. Elle me demande de continuer comme ça, de la baiser comme une moins que rien. Je ne réponds pas, je me contente d'accélérer encore la cadence. J'en arrive à un point où je la pilonne tellement qu'elle ne peut plus parler, elle émet juste des halètement saccadés au rythme de ma queue qui va et qui vient dans son sexe. Au bout d'un moment de ce traitement, elle me demande d'arrêter : "je n'en peu plus" dit-elle. Je m'allonge alors sur le dos et je la fais s'asseoir sur ma queue. Elle attrape ma bite et l'enfonce dans son vagin. Elle commence à onduler sur mon moi et j'attrape ses seins pour les lécher. J'enfourne un de ses tétons dans ma bouche et avec ma langue, je le caresse de façon répété. De mon autre main, je m'amuse à varier les fessés et les massages de l'anus ou du haut des fesses, à la naissance de sa raie du cul. Elle jouit. Je l'attrape par les hanches, la soulève un peu et la pilonne dans cette position. Elle hurle des "oui" et j'y vais encore plus fort. Quand je sens que je vais jouir à mon tour, je me retire. Je la fais se mettre à genoux devant moi. Elle est en appuie sur le bord du lit, et j'ai une vue imprenable sur son cul. Elle a tout de suite compris ce que j'attendais et elle ouvre la bouche pour commencer à me sucer. J'en profite pour recommencer à lui claquer son derrière de façon sonore. Ses fesses son de plus en plus rouge, je me demande si cela ne va pas la gêner pour s'asseoir dans les jours qui viennent. C'est bien possible mais après tout, cela lui fera un souvenir !Elle continue à me sucer, alternant mouvements de langues sur mon gland, léchage des testicules et du périnée. De temps en temps elle reprend son souffle en me branlant d'une main. De nouveau, je prends ses cheveux et m'en serre pour la guider. Elle ouvre plus grand la bouche pour que je puisse m'y enfoncer davantage. Elle bave, et sa salive lubrifie ma queue qu'elle enfonce de plus en plus profondément dans sa bouche. Même pas besoin de lui dire quoi faire, elle a bien compris la partition qu'elle doit jouer. Elle continue à me sucer en me massant les couilles. Je la mets en garde : si elle continue, je vais jouir dans sa bouche. Malgré ma queue qui l'empêche de parler, elle parvient à pousser un soupir en forme d’encouragement. Je poursuit mes avertissements, lui dit que je vais éjaculer dans sa bouche, que tout mon sperme va couler dans sa gorge. Elle gémit de plus belle, et commence à me sucer de plus en plus fort. Plus je lui parle de ce qu'elle me fait et de ce que ça va entraîner, plus ça l'excite. Et je jouis. Les jets giclent dans sa bouche, je continue à maintenir ses cheveux pour qu'elle ne puisse pas détourner la tête et échapper à l'invasion de sa bouche par mon sperme. Mais elle n'en a pas l'intention et, docile, elle s'acquitte gentiment de sa tâche. Alors que j'ai finis de jouir, je la maintient encore un peu dans cette position. Sans que j'ai besoin de lui dire, elle avale tout. Je relâche sa tête et elle se relève.Elle se relève et s'essuie la bouche. Elle rit, et me regarde en souriant. Elle pousse un soupir, rit de nouveau. Elle a l'air ravi. "Merci", me dit-elle.
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