Tindalos
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D'après wikipédia :
Le narcissisme des petites différences est un concept d'abord utilisé par Sigmund Freud dans Malaise dans la civilisation pour expliquer les oppositions qui surgissent entre des individus ou des groupes que les tiers considèrent comme identiques ou similaires. Il sert notamment en géopolitique pour traiter des tensions qui naissent entre États frontaliers culturellement proches.
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Narcissisme_des_petites_diff%C3%A9rences
Je ne savais pas que ce concept existait. C'est quelque chose que j'ai déjà observé par le passé. Plus la communauté est petite, plus les différences les plus minimes sont exacerbées.
J'ai fréquenté le milieu goth, par exemple, ils passent leur temps à se chamailler sur qui est le plus goth, à créer des sous-courants les plus obscurs...
Un comportement qu'on retrouve dans notre milieu. Dégoiser sur le voisin parce qu'il n'est pas assez ceci ou trop cela, c'est un peu la spécialité du milieu. Je ne jette la pierre à personne, c'est un travers dans lequel je tombe à pieds joints, parfois.
Voilà, pas de grande réflexion philosophique, juste mettre un nom sur un comportement humain qu'on retrouve dans notre petite communauté, qui n'a pas forcément besoin de ça vue notre réputation sulfureuse...
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#2
Bonjour !
Personnellement, je trouve au contraire que la communauté BDSM est très ouverte à tous, à toutes dynamiques, tout profil psychologique et physique, dans une réelle volonté d'acceptation générale.
Du moins... la communauté américaine approchée sur de rares groupes FaceBook. La française, nous la découvrons ici depuis peu Papa et moi.
Ce concept, en plus d'être le fruit du constat de Freud dont mon estime est si basse que même le zéro absolu diffuse une douce chaleur quand ce grotesque personnage est prit pour référence, évoque, pour moi, une tendance évidente que j'attribue aux Vanilles.
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Renishima
#3
Complètement vrai sur certains groupes Fetlife francophones, où quelques "anciens" passent leur temps à cracher sur tout ce qui peut différer de leur, il n'y a pas d'autres mots, dogme.
Généralement très verbeux, condescendants et désagréables, aussi bien en ligne qu'en munch.
Je fuis toute une partie du milieu, qui bien que prônant tolérance, est souvent très méprisante. Et méprisable.
Les anglophones me semblent bien plus ouverts.
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Même avis. C'est ce qui fait que je n'ai jamais vraiment voulu passer IRL avec d'autres personnes. Des gens que je ne connais même pas parlent sur nous, notre sitte, par exemple.
Trop hard, pas assez hard. L'histoire sans fin du "vrai dom" et de la "vraie soumise"...!
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