Alors, les exceptions confirmant souvent la règle, grand bien vous fasse Sansmouvements, de ne pas avoir eu d'infection microbienne ou virale, et je citerai juste Madame Mère qui disait de son bel accent corse : "Pourvou que ça doure !"
Mais votre cas et celui d'autres hommes encagés sûrement, ne servent pas de base générale pour dire que le port de cage sur du long terme et surtout, le port de sonde urétrale sur du long terme, ne sont pas des prises de risques.
Oui, les hommes ou femmes portant des sondes à demeure vivent "bien" leur évacuation vésicale ainsi car ils n'ont pas le choix déjà, mais là, on entre dans le contexte médical et/ou chirurgical, et surtout, les soins d'hygiène et les précautions d'asepsie sont rigoureux : et quand ça dérape, l'infection leur tombe dedans comme la misère sur le pov' monde !
J'ai mis un moment à comprendre ce que vous nommez "urètre" : en fait, vous parlez de la sonde urétrale et du méat urinaire . OK.
Quant aux conseils pour les mictions, merci d'avoir révélé comment ne pas en mettre partout : j'imagine combien de femmes après avoir lu ce paragraphe, crieront au loup sur leur conjoint en voulant les sonder pour ne plus avoir la cuvette à rebaisser après le passage masculin, et ne plus nettoyer les gouttes urinaires abandonnées ça et là ! C'est ultra crado quand même !
Bon, perso ....plutôt que de flanquer des sondes urétrales sur toutes les queues avoisinantes, je vous conseille Mesdames d'apprendre à vos hommes à uriner ASSIS : ce n'est pas compliqué, ça les reposera en lisant la dernière revue à la mode, ça calmera leurs ardeurs à repeindre les toilettes.....et ça limitera les inévitables querelles urinaires !
Militons en féministes accomplies pour calmer aussi leur égo en urinant assis ! :smiley:
Vous le faites bien pour le reste, non ?
J'adore les jeux urétraux, j'adore explorer et faire découvrir ce plaisir-peur chez l'homme et chez la femme (plus simple d'ailleurs), mais je limite les risques et surtout, je ne cherche pas à interdire les érections et encore moins le plaisir d'un partenaire.
Ce sont des voies de domination différente.
Et puis, sur l'aspect du plaisir, je me dis que la vie est bien courte, difficile souvent, angoissante comme en ce moment, et punaise.....pourquoi refouler le plaisir, pourquoi retenir et contenir les orgasmes ? Pourquoi castrer psychologiquement via ces interdictions ?
Lorsque vous ne pourrez plus bander, ne subsistera-t'il pas quelques regrets de temps et de frissons perdus ?
J'espère que non.
Ah....last point : tout le monde aura bien compris que vous ne partirez pas ensemble en vacances cette année, Messieurs, donc respirez Sansmouvements, respirez, ça passera mieux !:alien: