Huitième séance (suite) :C'était sans compter sur son intelligence au jeu et les moult itérations que nous en avions déjà fait.Elle commença par le dos, quatre coups d'une intensité forte pour répondre au "4" écrit en gros sur son dos.Puis dix sur chaque seins, plus doucement car écrits plus petit.Elle enchaîna les instructions sans jamais se tromper.Avec le recul, je suis sacrément impressionné par son attention aux détails et sa présence dans l'instant présent.M'enfin, imaginez-vous! Elle sortait d'une strangulation plutôt costaude, d'une séance de baguette et d'une rencontre fortuite avec l'encadrement d'une porte. Les yeux bandés (vous l'avez pas oublié, hein!?). Et là, un gars se prend pour Trina MERRY et elle a le réflexe d'enregistrer mentalement ce qui est écrit (déjà, faut y arriver, je vous invite à essayer), puis de faire le parallèle avec ce qu'elle a déjà vécu, puis décrypter et ensuite faut toujours le faire, hein!?Bref, cette femme est incroyable et avec un niveau comme cela en face, ça force à l'admiration, et surtout à se dépasser, à inventer de nouveaux trucs, pour qu'elle puisse, à son tour, se dépasser ou échouer en essayant (ce qui reste formateur).Je profitais donc de son application stricte de la chose pour prendre mon téléphone et trouver un angle avantageux.Au premier clic, elle se figea une seconde. J'attendis.La légende ne dit pas si j'avais fait exprès d'enlever le mode silencieux afin que le son se produise mais en tout cas, il eu son petit effet que je détaillerai plus tard.Lorsqu'elle eut fini, je lui pris le martinet des mains et parcouru son corps avec.Mon insistance à glisser le manche entre ses fesses avait dû lui mettre la puce à l'oreille mais c'est lorsque que je présentai le plug à sa bouche qu'elle saisit mes velléités.Des fois j'ai des réflexions qui, si je devais les positionner sur l'échelle de l'utilité à l'humanité, devraient sûrement se positionner tout en bas. MAIS. Car il y en a un mais. Socrate disait bien "connais-toi toi-même... et arrêtes de nous faire chier". Et si l'histoire a la fâcheuse propension à continuellement oublier les deuxièmes parties de citations, ce qui amène régulièrement à des appropriations de mauvais goût qui feraient se relever de leur tombe certains auteurs pourtant bien intentionnés de leur vivant. ROCARD, si tu nous lis... J'avoue que sur ce coup, il avait pas faux le Grec ancien (pas d'âgisme, hein, juste pour resituer l'époque).C'est en enfonçant le plug dans sa bouche demandeuse que je posais la question de l'hérédité de ce geste. Pourquoi faire ça?A quelle envie cela tentait-il de répondre?Oui. Ouiiiiiiii. Je vous vois venir avec vos gros sabots (on a les mêmes). Le porno, le porno.Et bein non.Et en même temps, si ça avait été le cas, la question suivante aurait été, qui a eu cette idée en premier. Parce que me faites pas croire que l'industrie du porno est novatrice. Elle se contente juste de normaliser des pratiques marginales venant des amateurs (le commun des mortels, vous et moi, les p'tits pervers que nous sommes). Et là, on aurait bien été dans la merde à devoir s'envoyer des recherches étymologiques à la bibliothèque du quartier." - Excusez-moi ma bonne dame, le rayon sur les pratiques sexuelles je vous prie."N'ayant jamais été un très grand consommateur des productions californiennes ou Tchèque, à l'exception de pratiques "minoritaires" promulguées par quelques (plus très) amateurs.rices, que je peinai à réaliser par moi-même voir qui m'étaient impossible d'accès. Et oui, jamais je n'aurai de relation lesbienne. Triste mais je me suis fait une raison.Bref, je digresse encore et ce n'est pas très sain. Même si le sein est majoritairement composé de graisse.J'aime beaucoup le devant-derrière. Fourrer un truc dans la bouche de l'autre puis dans son cul ou inversement. Mes partenaires un peu moins. Sauf bien sûr celles qui sont à l'aise avec ça, Dieu les bénisse.Après quelques allers-retours entre ses fesses et sa bouche, je la fis se pencher, les mains contre la vitre. Dehors, la nuit était tombée et la froideur de celle-ci se ressentait à travers le carreau.Elle frissonna et je ne saurais dire si c'était cela ou bien le manche de l'objet qui pointait à l'entrée de son anus.Après moult efforts, l'objet bien ancré dans son fondement ressortait de par ses lanières de cuir, lui conférant une petite queue qui pendait entre ses cuisses.Pendant le travail anal, j'aime bien poser une main sur le ventre de l’intéressée. Non pas pour sentir une quelconque protubérance, on en est pas là, mais parce qu'ainsi, je ressens l'état dans lequel elle est.Frédérique avait l'habitude des jeux anales (à ne pas confondre avec les jeux anneaux qui sont les jeux olympique et vâchement moins source de plaisir et de divertissement me concernant, même si je dois bien avouer le plaisir de voir l'équipe de France tenir la dragée haute à la dream team tout ça parce qu'ils tombent pour une fois sur des arbitres qui savent conter jusqu'à deux).Ça se voyait à la coloration de son anus, à la certaine facilité avec laquelle je lui insérai ce que je voulais (dont moi). Mais cela se ressentait aussi. Son ventre n'était jamais contracté, se gonflant et se dégonflant au grès de ses respirations lentes.J'aime bien ça. Je suis dans le contrôle à ce moment-là. Comme un contrôleur aérien gérant les entrées et les sorties en fonction du trafic. Je sais pas si vous voyez mais c'est moins elle et moi que moi et mon instrument. Je fis passer une laisse autour de son cou. Une simple corde en nœud coulant que j'avais jusqu'à présent utilisé seulement lorsqu'elle se montrait réticente au dressage. Sa texture rugueuse était, je pense facilement identifiable par Frédérique, voilà pourquoi elle s'agita un peu, sûrement prise d'incohérence. Je lui caressai les cheveux comme à un bourrin qu'on voudrait calmer.D'un coup de baguette, je la fis mettre à quatre pattes.Elle était magnifique ainsi. Je n'ai pas d'appétence particulière pour le petplay mais je dois bien avoué qu'ainsi, elle était très excitante.Je lui fis faire le tour de la pièce, tapotant ses fesses de la baguette pour la faire avancer plus vite, l'objet dans ses fesses rendant le déplacement compliquer.
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