Une parenthèse "sérieuse" pour tenter d'expliquer cette passion bien étrange pour "la fessée", la flagellation et autres penchants du même ordre et après on rigole, promis !
Aimer la soumission, la domination, aimer donner ou recevoir la fessée... c'est grave docteur ?
Pourquoi développe-t-on un penchant vers la soumission ou la domination ? Pourquoi est-on enclin à trouver une source de plaisir en subissant ou en infligeant une souffrance ?
C'est la faute à Œdipe prétendait Freud. Aujourd'hui, les psy-trucs et autres psy-machins sont d'accords sur un point:
Tout se joue dans l'enfance et même au cours la première enfance aux stades successifs de notre construction de futur adulte sexué et en particulier au cours de la construction de notre "moi" sexuel.
Lorsqu'un enfant subit un châtiment corporel, il garde dans son corps et dans son psychique la mémoire de cette violence, et quand cette violence prend la forme d'une fessée, elle touche à 'l'intime', à la pudeur et stimule une zone érogène . Se mêlent alors: "interdit", honte, humiliation, douleur, plaisir...
Si la fessée, la "tournée de martinet" s'accompagne d'une atteinte à la pudeur, ce qui est le cas quand la fessée est humiliante (fessée déculottée par exemple, fessée en public...), l'enfant verra sa sexualité future affectée par ce vécu douloureux ou non.
En clair, un enfant victime de violence risque d'avoir un comportement violent; un enfant qui a subi des violences à caractère sexuel même en apparence anodines, verra sa sexualité orientée.
Il y a sans doute parmi nous de nombreuses victimes de punitions corporelles, de fessées qui peuvent témoigner de la manière dont cette violence ont durablement affecté leur développement psychologique et sexuel.
Le caractère à priori violent de la fessée ou de la correction plus ou moins douloureuse et humiliante, qu'on soit victime ou témoin, marque à tout jamais et détermine l'orientation sexuelle.
Alors... c'est grave docteur ?
Aimer la soumission, la domination, aimer donner ou recevoir la fessée... c'est grave docteur ?
Pourquoi développe-t-on un penchant vers la soumission ou la domination ? Pourquoi est-on enclin à trouver une source de plaisir en subissant ou en infligeant une souffrance ?
C'est la faute à Œdipe prétendait Freud. Aujourd'hui, les psy-trucs et autres psy-machins sont d'accords sur un point:
Tout se joue dans l'enfance et même au cours la première enfance aux stades successifs de notre construction de futur adulte sexué et en particulier au cours de la construction de notre "moi" sexuel.
Lorsqu'un enfant subit un châtiment corporel, il garde dans son corps et dans son psychique la mémoire de cette violence, et quand cette violence prend la forme d'une fessée, elle touche à 'l'intime', à la pudeur et stimule une zone érogène . Se mêlent alors: "interdit", honte, humiliation, douleur, plaisir...
Si la fessée, la "tournée de martinet" s'accompagne d'une atteinte à la pudeur, ce qui est le cas quand la fessée est humiliante (fessée déculottée par exemple, fessée en public...), l'enfant verra sa sexualité future affectée par ce vécu douloureux ou non.
En clair, un enfant victime de violence risque d'avoir un comportement violent; un enfant qui a subi des violences à caractère sexuel même en apparence anodines, verra sa sexualité orientée.
Il y a sans doute parmi nous de nombreuses victimes de punitions corporelles, de fessées qui peuvent témoigner de la manière dont cette violence ont durablement affecté leur développement psychologique et sexuel.
Le caractère à priori violent de la fessée ou de la correction plus ou moins douloureuse et humiliante, qu'on soit victime ou témoin, marque à tout jamais et détermine l'orientation sexuelle.
Alors... c'est grave docteur ?
Thèmes:
la fessée
Dernière modification le 25/04/2013 08:28:51 par fessee21.
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