Merci aussi aux dom qui se sont exprimés, Olivier et Tindalos, sur ces pulsions animales, ce besoin que vous portez en vous. Vous me confortez dans ma vision de cette violence que mon Maitre porte en lui, et à laquelle je sers d’exutoire volontaire. J’aime bien aussi votre formule, lorsque vous dites « Depuis que je fais du BDSM, j'ai moins cette frustration qui me bouffe les tripes, cette tension entre ma conscience sociale qui m'interdit la violence, et la pulsion de vouloir sauter à la gorge du chauffard à la moindre queue de poisson, du patron abusif... Je suis apaisé. »Cette vision paradoxale du bdsm qui permet de canaliser cette violence dans l’intime et le consentement, et de se libérer de la frustration.
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