Bonjour, Ma question s’adresse aux personnages qui épanouissent leurs désirs BDSM dans la dissimulation. Que faire des accessoires? Où les cacher? Et surtout, quels objets du quotidien détourner pour les utiliser à des fins sexuels? J’ai déjà pu détourner quelques objets mais je pense ne pas avoir songé à tout. Je suis donc preneuse de vos astuces et conseils!
Dernière modification le 08/11/2022 16:31:03 par BDSM.
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Ismael Bey
#1
ben moi je les laisse a mon taf en générale les prenant avec moi que quand j'en est besoin , sinon pour le détournement , ben déjà les pinces a linges , les concombre et autres fruits et légumes , une cravache d'équitation , enfin bref rien de bien original , et désolé si mon intervention ne vous avance pas plus ;)
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ZarathoustraDom
#2
Je n'aime pas trop le terme "dissimulation" que vous utilisez (en raison de sa connotation négative de tromperie, de mensonge, de non transparence...), mais effectivement, il faut bien être réaliste, et avouer que dans la majorité des cas, nous n'étalons pas à la vue de tous nos fouets, menottes, cordes, croix de St André ou Magic Wand lorsque nous recevons famille, amis ou relations professionnelles (sans oublier le facteur qui, lui, au moins, sonne toujours deux fois, bien sûr, ce qui laisse le temps de ranger ^^).
De fait, pour ma part, le problème ne se posera bientôt plus : je suis en train d'aménager un espace "donjon" dont l'accès sera strictement réservé ! C'est sans aucun doute la meilleure solution à ce problème...
Jusqu'à présent toutefois, je range les objets usuels dans deux coffres assez grands (de style malle de voyage ancienne) munis chacun d'un cadenas, et qui trônent au milieu de la salle de séjour, comme des éléments de mobilier décoratif.
Par ailleurs, je dispose d'un plafond ancien avec des poutres, sur lesquelles j'ai fixé une dizaine d'anneaux d'acier : pour en détourner l'usage, j'y ai suspendu des éléments décoratifs (hamac brésilien, cages à oiseau, lanternes anciennes...) qu'il me suffit de décrocher lorsque je veux retrouver l'usage originellement prévu (cela ne prend pas plus de 5 minutes !).
Enfin, j'ai une cabane de jardin dans laquelle je stocke quelques éléments de mobilier plus imposants (croix de St André, banc de bondage...) ainsi cachés aux regards.
...
Je suis conscient que ces solutions ne sont pas applicables partout, et en particulier pas en appartement parisien, mais ce sont celles que j'utilise.
Toutefois, une petite idée que j'avais mise en œuvre dans l'appartement d'une soumise chez qui je me rendais fréquemment avait consisté à fixer des crochets pitons filetés (et donc facilement démontables) à visser dans des gonds ancrés dans le mur et le dessus de double-porte séparant le hall d'entrée du séjour. Ce système d'ancrage, lorsqu'il n'était pas utilisé, était masqué par des baguettes de bois peintes de la même couleur que les murs, et amovibles très facilement via un système de scratch.
Je suis certain qu'il existe bien d'autres idées possibles en se creusant un peu la tête !
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Bonjour Ismael Bey,
Effectivement, j’utilisais déjà ces détournements. Mais sympa de s’apercevoir qu’on n’est pas seul à métamorphoser le réel pour qu’il comble nos désirs.
Bonjour ZarathoustraDom,
Au passage, très pertinent de faire se rencontrer Nietzsche et le BDSM.
Quand je parle de dissimulation, j’évoque le fait de ne pas rendre visible cette partie de mon intimité.
Curiosité attisée, les idées vont germer. Merci de cette réponse.
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Pour ma part du grand classique également : des écharpes pour servir de bandeau ou d'attaches, des portes-manteau pour les supports, ou encore mon préféré étant le beau lit à baldaquin "pour faire princesse"... à délivrer bien sur.
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