@Gitane
Pourquoi "en cette période de vendanges tardives" ?
Non pas que je ne les apprécie pas.
Au contraire.
Un gewurtz vendanges tardives, c'est juste sublime sur un foie gras.
C'est simplement le lien avec les seins que je n'ai pas saisi :smile:
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J'ai longtemps eu un problème avec mes seins.
Trop petits à mon goût.
Je rêvais d'une poitrine opulente et craignais qu'avec le peu que j'avais à leur offrir, les mecs me trouvent insipide par rapport aux autres filles.
Mais finalement, mon premier mec m'a fait comprendre que mes seins lui convenaient comme ils étaient.
Et la suite m'a démontré que d'autres pensaient comme lui.
Alors je me suis acceptée comme je suis.
En plus, ça me permet de m'abstraire facilement de soutien gorge.
Et j'ai toujours aimé me savoir libre :smile:
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Quant à la question de fond, jouir par les seins, j'aurai tendance à répondre oui.
Même s'ils ne sont pour moi qu'une zone érogène parmi les autres, au même titre que mon entrecuisses, mes reins.
Mais, comme le souligne Virginie, une zone fortement conductrice lorsque mon Maître joue avec, me brutalise les tétons, les pince, les mord, voire les cravache.
Ou au contraire quand il les caresse, les suce lentement, doucement, les faisant durcir, se tendre.
Il aime en jouer.
Et j'aime qu'il en joue.
De toutes les façons possibles.
Parfois, il lui arrive de ne se servir que des mes seins pour m'amener au plaisir.
Alternant caresses, cravache, cire brûlante, pinces.
Et à chaque fois, l'orgasme est là.
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Au delà de leur "fonction utilitaire", ils sont, pour lui comme pour moi, un symbole de féminité et en même temps une façon, quand nous sortons (quand c'était encore possible) de nous rappeler, à lui comme à moi, ce que je suis pour lui et ce qu'il est pour moi.
Il m'arrive souvent dans ce cas les agrémenter de pinces, dont nous sommes seuls à savoir que je les porte, sous une robe habillée.
Et que les porterai tout au long du repas, de la journée ou de la soirée, la douleur initiale s'estompant progressivement, pour revenir brutalement lorsqu'il me les retire et que le sang afflue à nouveau.
Et j'adore quand à ce moment là il me pince les tétons pour jouir de cette souffrance libératrice qu'il m'inflige.